D'accord.
Mais je n'y vois plus trop clair quand je lis J'm'interroge : ''Attention de ne pas confondre le "sens du moi" ou le "sens du soi" et le "soi réel", c'est-à-dire : le sujet participant conscient lui-même.''
D'accord.
C'est ça, entre autres choses pour ce qui me concerne.
C'est pourtant simple : le sujet participant conscient ne peut être élément de conscience.ronronladouceur a écrit : ↑13 juil.25, 02:34 D'accord.
Mais je n'y vois plus trop clair quand je lis J'm'interroge : ''Attention de ne pas confondre le "sens du moi" ou le "sens du soi" et le "soi réel", c'est-à-dire : le sujet participant conscient lui-même.''
J'm'interroge a écrit : ↑13 juil.25, 01:42 La conscience de soi est improprement nommée conscience. Il s'agit au mieux d'une compréhension.
La conscience ne cherche rien, elle n'est dotée d'aucune volonté, c'est un pur contenu pour l'esprit, lequel est le soi réel, le sujet participant conscient.
On ne peut pas saisir ce "soi" , je ne comprends pas ce que tu appelles "soi réel" .a écrit :J'minteroge a dit : La conscience ne cherche rien, elle n'est dotée d'aucune volonté, c'est un pur contenu pour l'esprit, lequel est le soi réel, le sujet participant conscient.
Idem .a écrit :J'minterroge a dit : La conscience phénoménale n'est pas ce qui en est conscient. Elle n'a aucune intentionnalité, c'est l'esprit qui en a une, qui est capable d'opérer sur ses contenus et de jouir d'une compréhension en lien avec l'activité cognitive cérébrale.
Il ne s'agit pas de quelque chose qui se saisit mentalement, d'ailleurs je ne sais pas trop ce que tu entends par le mot "saisir" que je n'utilise pas. Il s'agit de "quelque chose" dont l'existence se déduit logiquement, il s'agit de "quelque chose" sans quoi il n'y aurait aucun sens à parler de vécus, ou dit autrement : de conscience phénoménale ou de qualia. En effet, pour qu'il y ait une conscience phénoménale, il faut nécessairement un sujet conscient pour en distinguer les éléments. Et suggérer que le cerveau serait ce sujet n'est pas une explication, car on ne trouve nulle part cette conscience telle qu'elle est vécue subjectivement dans le cerveau.
Ce point de vue est-il réductible à la logique formelle?J'm'interroge a écrit : ↑13 juil.25, 02:49 C'est pourtant simple : le sujet participant conscient ne peut être élément de conscience.
Et Spira de dire que la conscience 'désire'!!La conscience ne cherche rien, elle n'est dotée d'aucune volonté,...
J'm'interroge a écrit : ↑13 juil.25, 02:49 C'est pourtant simple : le sujet participant conscient ne peut être élément de conscience.
Quel point de vue ? Tu n'as toujours pas compris la différence entre un point de vue et une position théorique..ronronladouceur a écrit : ↑13 juil.25, 04:00 Ce point de vue est-il réductible à la logique formelle?
Et ça m'appraît contre-intuitif...
J'm'interroge a écrit : ↑13 juil.25, 02:49 La conscience ne cherche rien, elle n'est dotée d'aucune volonté,...
Spira s'emmêle les crayons, il confond lui aussi le sujet participant conscient et la conscience phénoménale en attribuant à cette dernière, des caractéristiques qui relèvent du premier.
Pour répondre à votre dernière phrase, on ne trouve, non plus, nulle part votre explication dans le cerveau (!)...J'm'interroge a écrit : ↑13 juil.25, 03:40 Il ne s'agit pas de quelque chose qui se saisit mentalement, d'ailleurs je ne sais pas trop ce que tu entends par le mot "saisir" que je n'utilise pas. Il s'agit de "quelque chose" dont l'existence se déduit logiquement, il s'agit de "quelque chose" sans quoi il n'y aurait aucun sens à parler de vécus, ou dit autrement : de conscience phénoménale ou de qualia. En effet, pour qu'il y ait une conscience phénoménale, il faut nécessairement un sujet conscient pour en distinguer les éléments. Et suggérer que le cerveau serait ce sujet n'est pas une explication, car on ne trouve nulle part cette conscience telle qu'elle est vécue subjectivement dans le cerveau.
Si c'est pour tenter de clarifier le truc, c'est un peu vite y aller, et je trouve que ça nous fait pas mal d'embrouilles... Entre autres, que ça ne tient pas compte du point de vue, tout de même à ne pas négliger, des neurosciences, sans évidemment que l'on puisse affirmer dans un sens ou dsns l'autre...C'est déductif, spéculatif en un sens, théorique certainement, mais c'est tout à fait imparable. Il ne s'agit pas de quelque chose qui se saisit mentalement, mais qui se comprend intellectuellement.
Tout concept n'est pas nécessairement creux, certains désignent même des réalités.
''Aucun sens'' compte tenu de votre cadre...J'm'interroge a écrit : ↑13 juil.25, 04:12 Quel point de vue ? Tu n'as toujours pas compris la différence entre un point de vue et une position théorique..
C'est une conclusion tout ce qu'il y a de plus logique.
Affirmer le contraire n'aurait aucun sens. En effet, si le sujet était en mesure d'être conscient de lui-même, il ne serait plus le sujet lui-même, mais un objet de conscience pour lui.
Ce n'est pas que le concept (?) soit creux, mais plutôt limité puisqu'il ne rend pas compte d'autres compréhensions possibles...Tout concept n'est pas nécessairement creux, certains désignent même des réalités.
Certains n'ont pas besoin de moi pour s'emmêler les crayons.ronronladouceur a écrit : ↑13 juil.25, 04:22 Si c'est pour tenter de clarifier le truc, c'est un peu vite y aller, et je trouve que ça nous fait pas mal d'embrouilles...
Tu parles encore de point de vue...ronronladouceur a écrit : ↑13 juil.25, 04:22 Entre autres, que ça ne tient pas compte du point de vue, tout de même à ne pas négliger, des neurosciences, sans évidemment que l'on puisse affirmer dans un sens ou dsns l'autre...
Pas vraiment, si l'on creuse bien ce qui se dit entre spécialistes de la question. La quasi totalité des chercheurs en neurosciences ou philosophie de l'esprit s'accordent à reconnaître que les vécus subjectif (qualia) n'existent nulle part dans le cerveau. Les partisans de la thèse reductioniste diront que ces vécus n'existent pas, allant par conséquent jusqu'à simplement les nier, alors que les partisans de la thèse non reductioniste diront qu'ils existent bien, mais nulle part dans le cerveau.ronronladouceur a écrit : ↑13 juil.25, 04:22 Me semble qu'on ne peut pas juste affirmer quelque aspect pour que ça suffise à régler ce genre de problème lorsque même scientifiquement, convenons-en, la question demeure ouverte...
N'importe quoi.ronronladouceur a écrit : ↑13 juil.25, 04:39 ''Aucun sens'' compte tenu de votre cadre...
Et pourtant, il suffit que l'intuition s'en mêle pour sortir de votre cadre...
Bla bla. À quelles autres compréhensions possibles fais-tu référence, et surtout, sont-elles cohérentes ?ronronladouceur a écrit : ↑13 juil.25, 04:39 Ce n'est pas que le concept (?) soit creux, mais plutôt limité puisqu'il ne rend pas compte d'autres compréhensions possibles...
Non , la conscience de soi ne peut pas être vécue directement , elle n'est vécue très supposément comme tu l'expliques que par reconstruction pour établir une logique . Mais c'est ce qu'on appelle du bricolage concordiste . On essait de faire coller l'impression d'une conscience de soi à une réalité vécue de cette même conscience de soi , alors qu'elle n'est jamais vécue sur le plan réel , mais reconstruite mentalement par inférence . C'est comme si tu disais que dieu existe et doit exister par nécessité du fait que tu y crois . Et tu en déduirais que c'est la preuve que dieu existe . C'est circulaire , et ça ne démontre rien .a écrit :j'minterroge a dit : Il ne s'agit pas de quelque chose qui se saisit mentalement, d'ailleurs je ne sais pas trop ce que tu entends par le mot "saisir" que je n'utilise pas. Il s'agit de "quelque chose" dont l'existence se déduit logiquement, il s'agit de "quelque chose" sans quoi il n'y aurait aucun sens à parler de vécus
Mais qu'est-ce que tu me réponds non ? Je n'ai pas parlé de la conscience de soi. Lol...
Ah bah alors "on" est au moins trois à être d'accord sur cette évidence.J'm'interroge a écrit : ↑13 juil.25, 06:50 J'ai clairement dit qu'il n'y a pas de conscience de soi, et j'ai expliqué en quoi il est impropre de parler de conscience à ce sujet.
Ou mieux dit : la seule conscience de soi dont il est question, est imaginale. Je le reformule ainsi, notamment car il y a conscience de beaucoup d'autres choses, toute perception sensorielle, ressenti, image mentale étant élément de conscience.
S'il ne l'était pas, "tu" ne pourrais pas en parler.J'm'interroge a écrit : ↑13 juil.25, 08:57
Le sujet participant conscient, lui, n'est jamais objet de conscience.
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