je me demande qui a diabolisé et massacré ses propres concitoyens juifs et qui veut les massacrer une fois encore dans la guerre ultime l'armaguédon sous la baniere du christ!dorcas a écrit :Ben, si Benoit n'est pas allé à Gaza, c'est qu'il a la trouille de se faire massacrer par les terr......stes du hamas et autre............
Autre chose les ashkénazes ne sont pas des juifs Allemagne uniquement ce sont des juifs du nord alors que les séfarades sont les juifs du sud et non pas uniquement d'Espagne.
Ashkénaze n'a rien a voir avec nazi, c'est encore de la propagande idiotes pour diaboliser les juifs comme toujours et toujours par les même qui eux sont peut -être très intelligents.dorcas
La persécution des juifs en Belgique 1940-1944
Maxime Steinberg
Dès lors, pour arriver à leurs fins, les nazis auront besoin de relais, belges ou même... juifs, qui exécuteront les mesures antisémites

Cet ouvrage analyse tous les rouages du système qui organise la persécution des Juifs en Belgique entre 1940 et 1945 ; il définit le rôle et les agissements de ses acteurs clés, depuis les premières ordonnances antijuives jusqu'à l'été meurtrier de 1942. En examinant les rôles et la répartition des tâches entre les différents services allemands, l'auteur constate que les effectifs des persécuteurs étaient dérisoires. Dès lors, pour arriver à leurs fins, les nazis auront besoin de relais, belges ou même... juifs, qui exécuteront les mesures antisémites. Le livre pose la question des responsabilités en termes d'efficacité de la persécution et d'ampleur de ses ravages, dans un pays qui perd près d'un Juif sur deux au cours de la Seconde Guerre mondiale. Sans négliger pour autant le rôle des " collaborateurs ", partisans de l'Ordre nouveau, cette nouvelle étude montre comment l'appareil administratif et policier belge s'accommode plus ou moins des tâches que les Allemands le chargent d'exécuter alors que celles-ci sont contraires aux lois belges et au droit des gens. Car, cette " collaboration administrative " ne procède pas d'un ralliement idéologique à l'occupant, mais de la politique du " moindre mal " des autorités belges. Certes, l'occupant installe un homme de l'Ordre nouveau au poste clé de secrétaire général du ministère de l'Intérieur ; mais, du sommet à la base, ce sont les fonctionnaires belges qui jouent bon gré mal gré le rôle inscrit dans le scénario antijuif des Allemands, notamment en leur fournissant le registre national des Juifs dont ils ont besoin. De même, les personnalités juives nommées par les Allemands à la tête de l'AJB (Association des Juifs en Belgique) acceptent de représenter les " intérêts juifs " face aux SS, les aidant à administrer les persécutés, puis à les rassembler en vue de les déporter. Un ouvrage essentiel pour comprendre la " solution finale " en Belgique.
http://livre.fnac.com/a1597186/Maxime-S ... -des-juifs