Re: Tintin sur la Lune
Posté : 11 oct.16, 01:22
Y' a til une plume dans la station spatiale?
Forum Inter-Religieux de sociologie religieuse francophones
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bercam a écrit :tu m'aimes ou quoi ?
Ah ben ça c'est pratiquebercam a écrit :![]()
C'est simple , La religion babylonienne s'apprend à l'école !
Ou a la dance :
ou dans la mode
Politique , la santé, armement , la science ......dans tout les domaines !
bref l'inversion de la parole de Dieu dans son intégralité ...
non cette plume n'est pas dans une station spatiale mais le fio……de ……indian a écrit :Y' a til une plume dans la station spatiale?
Rien à voir donc avec cette ânerie que tu nous balances.Elles relèveraient des « sannions » ou « bouffons » qui jouaient les fables atellanes, ainsi nommées de la ville d'Atella, d'où ils étaient venus, vers les premiers temps de la République romaine, pour ranimer les Romains découragés par une peste affreuse.
Cicéron, émerveillé de leur jeu, s'écrie : « Quid enim potest esse tam ridiculum quam sannio est ? Sed ore, vultu, [imitandis moribus,] voce, denique corpore ridetur ipso » (de Oratore, lib. II, cap. 64). Le costume de ces mimes, tout à fait étranger aux habitudes grecques et romaines, se composait d'un pantalon (et non d'une toge) de diverses couleurs, avec une veste à manches, pareillement bigarrée, qu'Apulée, dans son Apologie, désigne par le nom de centunculus, habit de cent pièces cousues ensemble. Ils avaient la tête rasée, dit Vossius, et le visage barbouillé de noir de fumée : Rasis capitibus et fuligine faciem obducti. Tous ces traits caractéristiques se trouvent dans des portraits peints sur des vases antiques sortis des fouilles d'Herculanum et de Pompéi ; et l'on peut en conclure que jamais descendant de noble n'a offert une ressemblance de famille aussi frappante que celle qui existe entre Arlequin et ses aïeux.
Quant à la personnalité d'Arlequin, elle fut sans doute empruntée aux personnages d'esclaves des comédies latines (celles de Plaute et Térence, eux-mêmes très inspirés par les spectacles comiques latins pré-classiques), au caractère souvent très proche (goinfres, poltrons, fanfarons, paresseux, lascifs…), aucune trace textuelle d'atellane n'ayant subsisté après l'Empire Romain.
Tu veux qu'on parle des tiens ? Ah non pardon, j'oubliais, t'as pas pas besoin d'argument avec de la franc-maçonnerie et des Illuminati partout même dans l'air qu'on respire histoire d'être sûr d'avoir raison à un moment donnébercam a écrit :toujours aucun argument ?
=> http://www.persee.fr/docAsPDF/comm_0588 ... 1_1364.pdfDans une société nivelée où les troubles psychologiques, les frustrations, les complexes d'infériorité sont à l'ordre du jour, dans une société industrielle, où l'homme devient un numéro dans le cadre d'une organisation sociale qui décide pour lui, où la force individuelle, si elle n'est pas exercée dans l'activité sportive, reste humiliée par la machine qui agit à la place de l'homme et détermine ses mouvements mêmes, dans une société de ce genre, c'est le héros positif qui doit incarner, au-delà de toute limite, les exigences de puissance que le citadin ordinaire nourrit sans pouvoir les satisfaire.
(...)
Cependant, l'image de Superman peut être identifiée par le lecteur. En effet, Superman vit parmi les hommes sous les fausses apparences du journaliste Clark Kent; et comme tel il est apparemment craintif, timide, médiocrement intelligent, un peu gauche, myope et soumis à sa collègue Lois Lane, matriarcale et libidineuse, qui le méprise, étant follement amoureuse de Superman. La double identité de Superman a une raison d'être dans la narration parce qu'elle permet d'articuler de manière assez variée le récit des aventures de notre héros, les équivoques, les rebondissements, un certain suspens de roman policier. La trouvaille est excellente du point de vue mythopoiétique : Clark Kent personnifie typiquement le lecteur moyen qui est obsédé par ses complexes et méprisé par ses semblables; le moindre employé de commerce en Amérique, par un évident processus d'identification, nourrit en secret l'espoir qu'un jour, des dépouilles de sa personnalité, puisse fleurir un surhomme, capable de racheter des années de médiocrité.
indian a écrit :Tintin n'est pas allé sur la lune?
et les Duponts?
J'm'interroge a écrit :Par contre, à te lire, s'ils sont tous comme toi, les "du cons" de bahaïs ils y sont dans la Lune eux !
Liberté 1 a écrit :![]()
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Et ne viens pas dire que tu l'as volé l'ingénieur
Finalement, peut-être est-il préférable d'être un transsexuel