Posté : 10 août05, 09:17
Ta naïveté est fabuleuse mon ami... 

Forum Inter-Religieux de sociologie religieuse francophones
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On n' en sait bien plus qu' il y a 1400 ans.muslim06 a écrit :pourquoi pardonner aux scientifiques...au contraire la science ne cesse de confirmer la grandeur d'Allah(swt), plus on avance dans nos connaissances, et plus on se rend copmpte que l'on ne sais rien(de tout ce que Dieu(swt) sait).
Je ne veux pas rentrer dans votre débat mais de quelle musique vénitienne tu parles??pastoral hide & seek a écrit :
Celui la même qui a Turin ne s'est pas privé pour dire qu'il associait volontiers la musique vénitienne, cette musique légère et frivole dont le peuple allemand aurait bien besoin, à, je vous le donne en mille : la fête de Pâques ...
Il aurait pu parler de Dyonisos, et la on aurait tous compris, mais non il était en italie et il a préféré parler de Pâques ...
La légéreté, la frivolité, la joie de la musique venitienne pour évoquer la mort et la resurection du christ, comme c'est étrange ...
Si on en sait bien plus qu' auparavant, c' est surement pas grace aux moines ou aux imams, avec eux on serait encore en l' an 1000.muslim06 a écrit :c'est vrai on en sait plus qu'il y a 1400ans, c'est justement ce progrés qui nous permet de dire que ce qui reste à savoir est incommensurable...ce qui est un signe pour ceux qui réfléchissent...
patlek a écrit :
Si on en sait bien plus qu' auparavant, c' est surement pas grace aux moines ou aux imams, avec eux on serait encore en l' an 1000.
La Pascaline est une des premières calculatrices mécaniques. Elle a été inventée par Blaise Pascal.
Elle ne pouvait effectuer que des additions et des soustractions. La soustraction n'est pas directement implémentée, mais utilise une technique de complément à 9 pour l'effectuer par l'intermédiaire d'une addition. La complémentation est faite en utilisant un systéme de double affichage qui permet de selectionner un nombre ou son complément à 9.
La Pascaline était destiné a résoudre des problèmes d'arithmétique commerciale. Plusieurs versions sont fabriquées et au moins cinquante exemplaires construits. Sa commercialisation fut à l'époque un échec.
Leibniz la perfectionne pour la rendre capable, par un système de roues à cliquet servant de "mémoire", d'effectuer des multiplications.
La Pascaline connut une période de gloire dans les années 60 en usage interne dans la compagnie IBM. C'était alors en effet le seul dispositif bon marché permettant d'effectuer très vite des calculs en numération hexadécimale, comme le demandait l'analyse post-mortem des programmes de l'époque.
Un exemplaire original est exposé, à Paris, au Musée des Arts et Métiers. Voici à quoi elle ressemblait :