La tradition du Mahayana, met l’accent sur la pratique altruiste du bodhisattva comme moyen pour parvenir à l’éveil, à la fois pour soi-même et pour les autres.
Règles du forum
Le courant bouddhisme mahāyāna, terme sanskrit signifiant « Grand Véhicule » apparaît vers le 1er siècle de notre ère dans le Nord de l’Inde. Actuellement le bouddhisme mahayana a une forte présence en Chine, au Tibet, au Japon au ve siècle, en Corée en 372, au Viêtnam, à Singapour et Taïwan. La tradition du Mahayana, met l’accent sur la pratique altruiste du bodhisattva comme moyen pour parvenir à l’éveil, à la fois pour soi-même et pour les autres.
Le 11 novembre 2015, les différentes communautés religieuses d’Annecy se sont associées pour organiser une journée de rencontre interreligieuse ayant pour thème : le dialogue plus fort que la peur.
Au total, 170 personnes de toutes religions (catholiques, protestants, musulmans, juifs et bouddhistes, notamment du mouvement Soka)… ou sans religion ont participé à l'événement.
Le matin, les principes fondamentaux de chaque confession ont été présentés au cours d’une visite des différents lieux de culte (église, temple, mosquée, synagogue et salle avec un autel bouddhique). L’après-midi, de petites réunions de discussion se sont tenues, animées par l’association Coexister. Chacun a partagé son expérience de vie et de croyance.
"Le sage n’est pas celui qui pratique le bouddhisme en dehors des règles de la société mais plutôt celui qui, grâce à une compréhension profonde du monde, connaît la meilleure manière de s’y comporter."
Yvon a écrit :La dialogue ca se fait avec tous les chefs d'états , chaque être humain à l'état de bouddha . La paix mondiale ca concerne la planete entière .
Nelson Mandela
Zou Enlai
Et bien d'autres .....
"Ikeda une sangsue de salon:
"Ikeda veut se faire passer pour un militant de la paix. Mais on ne risque pas de le voir dans un pays en guerre. Non, ce qu'il aime, ce sont les salons d'ambassades, où il peut ressasser avec succès des phrases comme " Laissons donc entrer en nos cœurs et jour après jour le nouveau soleil". C'est un mégalo qui passe son temps à se faire photographier en serrant la pogne de célébrités, chaque cliché étant reproduit dans la revue de la Soka Gakkai Internationale... Laquelle n'a rien à envier aux plus grandes heures du stalinisme : à chaque page, Ikeda sous tous les angles en train de serrer des mains. Il a réussi à séduire des gens comme Nelson Mandela, Mikhaïl Gorbatchev (dont il paie certains voyages), le footballeur Roberto Baggio, Yehudi Menuhin , Danielle Mitterrand et sa Fondation France-Libertés, qui a reçu de l'argent de la secte, et même André Malraux, dont la photo est aujourd'hui encore placardée en guise de pub pour la Soka dans le métro japonais. Efficace dans son genre, Ikeda. Il a récolté 250 titres de citoyen honoraire dans le monde. Son lobbying est particulièrement actif à l'ONU, qui a accordé un statut consultatif à la secte, et, en 1983, la médaille de la Paix à son gourou."
Source: "Charlie hebdo"
Certainement plus réaliste que votre soupe Soka Gakkai !
Modifié en dernier par algol-x le 07 févr.16, 04:08, modifié 3 fois.
"Une carte n'est pas le territoire" Alfred Korzybski
C'est sûr la paix mondiale ne se réalise pas le cul vissé sur une chaise en restant au Japon .
Récapitulons :
La dialogue ca se fait avec tous les chefs d'états , chaque être humain à l'état de bouddha . La paix mondiale ca concerne la planete entière .
Nelson Mandela
Zou Enlai
Et bien d'autres .....
15/11/2009 Invitation de M. Obama pour Daisaku Ikeda
Samedi 14 novembre a eu lieu au Suntory hall de Tokyo un important discours de politique étrangère de M. Obama. Les différents thèmes de politique dans la région du pacifique ont été abordés , y compris "l'engagement pour un monde sans armement nucleaires". Plusieurs personnalités japonaises ont été invités à ce discours, y compris Daisaku Ikeda, philosophe et intellectuel japonais qui, ne pouvant pas s'y rendre a envoyé un représentant.
Daisaku Ikeda est un intellectuel, philosophe et personnage religieux japonais. Troisième président de l’association bouddhiste Sōka Gakkai entre 1960 et 1979, il est, depuis 1975, le président de la Sōka Gakkai Internationale (SGI), qui regroupe les associations Soka de différents pays.
Ayant œuvré dans des domaines aussi variés que la philosophie, la fiction, la critique, les essais, la poésie, la photographie ou encore la théologie du bouddhisme de Nichiren, il est professeur et docteur honoraire de plusieurs universités et membre honoraire du Club de Rome.
1983 Médaille de la paix par L'ONU .
À partir des années 1970, en pleine guerre froide, Daisaku Ikeda entreprend des rencontres avec des personnalités universitaires, culturelles et politiques lors de voyages de diplomatie citoyenne afin de promouvoir le dialogue et contribuer à l'apaisement des tensions internationales. Le 8 septembre 1968, il lance un appel pour la normalisation des relations sino-japonaises lors d'un discours à Tokyo devant 20 000 étudiants. En 1974, il rencontre le Premier ministre russe Alexis Kossyguine à Moscou. La même année, il se rend en Chine et rencontre le Premier ministre Zhou Enlai.
Basé sur l'esprit ouvert du bouddhisme, Daisaku Ikeda s'est engagé dans une série de dialogues avec de nombreuses personnalités dans divers domaines (lettres, arts, politique, santé, etc). Ces échanges de cœur à cœur ont pour but de trouver des réponses aux défis de notre époque et de faire avancer la construction d'un XXIe siècle tourné vers la paix.
Parmi ces rencontres :
Arnold Toynbee, historien britannique
Aurelio Peccei, co-fondateur du Club de Rome
Zhou Enlai, premier secrétaire du gouvernement chinois
Le prince Sianouk, président de la république du Kampuchea
Vaclav Havel, ex-président de la Tchécoslovaquie
Mikhail Gorbatchev, alors président de l'URSS
Nelson Mandela, président de la république sud-africaine et prix Nobel de la paix
Linus Pauling, prix Nobel de chimie et prix Nobel de la paix
Elie Wiesel, écrivain et prix Nobel de la paix
Rosa Parks, « mère » du mouvement des droits civiques américains
Corazon Aquin, présidente de la république des Philipines
Rajiv Gandhi, Premier ministre de l'Inde
Pour la France :
René Huygue, historien d'art français
Alain Poher, président du Sénat
Jacques Chirac, en 1987, alors maire de Paris
François Mitterrand, en 1989, Président de la République française
En tant que président de la Soka Gakkai et, plus tard, de la SGI, il établit plusieurs instituts éducatifs, religieux, culturels et de recherche :
l’Institut de philosophie orientale en 1962,
l’Association des concerts Min-On en 1963,
l’Université Soka de Hachioji, dans la banlieue de Tokyo en 1971
l'Université Soka d'Amérique à Orange County (États-Unis) en 2001,
le musée d’art Fuji de Tokyo en 1983,
la Maison littéraire de Victor Hugo à Bièvres en 1991,
l’Institut Toda de recherche sur la paix en 1996,
le Centre de recherches écologiques d’Amazonie près de Manaus (Brésil)
le Centre de recherche de Boston pour le xxie siècle en 1993 (rebaptisé en 2009, Centre Ikeda pour la paix, l’enseignement et le dialogue)
Daisaku Ikeda a donné des conférences dans une trentaine d’universités et instituts. Le 27 mai 1975, il donne une conférence à l'université d'État de Moscou et reçoit son premier doctorat honoraire. En 1983, il reçoit la médaille de la paix des Nations unies. À ce jour, en 2012, il a reçu plus de 300 titres honorifiques de nombreuses institutions universitaires ou académiques du monde entier.
En France, il a prononcé un discours en 1989 à l’Académie des Beaux-Arts de l’Institut de France, à Paris. Il a reçu en 1990 le prix de « la paix et l'humanité » des Éditions du Rocher. En 1992, il a été nommé Chevalier dans l'Ordre des Arts et Lettres de la République française, reconnaissance destinée à récompenser les personnes qui se sont distinguées par leurs créations dans le domaine artistique ou littéraire. Dans le discours de remise, M. Brunet, chef de Cabinet, a souligné la contribution de Daisaku Ikeda aux échanges culturels entre les deux pays, la France et le Japon. En mars 2005 il a reçu la médaille de la Chambre de commerce de Paris pour ses contributions dans le domaine des échanges internationaux d'étudiants entre l'Université Soka et l'école d'Advancia.
En 2010, il reçoit un 300e prix académique : l'Université du Massachusetts à Boston le fait docteur honoris causa ès Lettres
Modifié en dernier par Yvon le 06 févr.16, 21:00, modifié 2 fois.
"Le sage n’est pas celui qui pratique le bouddhisme en dehors des règles de la société mais plutôt celui qui, grâce à une compréhension profonde du monde, connaît la meilleure manière de s’y comporter."
"La doctrine pacifiste, anti armes nucléaires de la Soka Gakkai est en contradiction avec les positions et décisions prises par le Komeito vis à vis du nucléaire depuis 1967 et dont les électeurs sont principalement les adhérents de l'organisation religieuse dont le mentor Daisaku Ikeda est le fondateur historique du parti.
Le 26 janvier 2012, Daisaku Ikeda, le président honoraire de la Soka Gakkai Japon et président en exercice de la Soka Gakkai Internationale , a interpellé les autorités du pays à abandonner l'énergie nucléaire : "A l'aune de l'accident de la centrale atomique de Fukushima, j'appelle le Japon à étudier rapidement des politiques énergétiques qui ne dépendent pas de l'énergie nucléaire."
Un crime moral contre l'environnement et l'humanité
C'est une revirement historique ! C'est la première fois qu'il s'exprime ainsi sur ce sujet depuis plus de 50 ans. S'il a été un militant constant du désarmement nucléaire mondial, avec entre autre sa participation en 1998, par l'entremise du département de la jeunesse de la Soka Gakkai Japon, à "Abolition 2000" de la Nuclear Age Peace Foundation, et de nombreuses expositions sur les armes nucléaires présentées à travers le monde, il n'est jamais apparu comme un activiste prépondérant dans l'histoire de l'opposition à l'électricité nucléaire au Japon.
Dans l'histoire sociale contemporaine japonaise, en 1954, ce sont les femmes des marins - de l'équipage du chalutier Daigo Fukury Maru (Le Dragon Chanceux) - irradiés par le tir de la bombe atomique du programme d'essais américain Castle Bravo au large de l'atool Bikini près des îles Marshall - accompagnées par des mouvements progressistes comme le parti communiste, des chrétiens, des bouddhistes du Nipponzan Myohoji (école de Nichiren) qui ont débuté les premiers mouvements sociaux anti-nucléaire militaire. Il semble qu'à l'époque certains pratiquants de la Soka Gakkai des villages avoisinants ce soient spontanément associés à la lutte de ces femmes.
Dès 1967, puis de 1999 jusqu'à Fukushima en fidèle allié du PLD, le Komeito a soutenu la nucléarisation civile du Japon, et de facto la production de plutonium pouvant être à usage militaire. Avec son retour au gouvernement en 2013 il a choisi de composer avec les ambitions pro-nucléaires du PLD. Ses électeurs sont historiquement pour l'essentiel les membres de la Soka Gakkai sans lesquels le PLD n'aurait pu gagner les élections et gouverner le pays. Les électeurs du Komeito suivent les directives morales de la Soka Gakkai – donc de D. Ikeda qui n'a jamais réellement soutenu les alternatives sociales, économiques, politiques, culturelles, quand bien même il a fait d'innombrables discours pouvant y faire penser.
Si D. Ikeda s'est prononcé de façon anecdotique et marginale sur des questions environnementales et écologiques ou encore si la Soka Gakkai a participé localement à des initiatives alternatives pour le bien-être social, elle s'est toujours positionnée dans le camp des mentalités traditionnelles et des conservateurs, celui d'un gouvernement allié aux combinats de la stricte économie capitaliste, du commerce international conquérant, de l'industrie lourde, de l'agro-alimentaire intensif : un système économique induisant la destruction de l'environnement...
À preuve du contraire, D. Ikeda, ce brillant défenseur de la vie, amoureux de la nature, pacifiste, 1111 fois honoré de distinctions de toutes sortes par d es institutions internationales diverses (de la plus anodine à la plus prestigieuse), a été le complice de la nucléarisation du Japon par son silence sur la question des dangers du nucléaire civil - malgré l'activisme anti-nucléaire, les déclarations alarmistes de spécialistes japonnais, les accidents nucléaires dans l'archipel et dans le monde , les rapports des commissions d'enquêtes sur la sécurité nucléaire au Japon - ainsi que par ses alliances politiques et sa fonction d'ambassadeur culturel soutenu par le ministère japonnais des Affaires Étrangères lors de ses voyages internationaux à partir des années 1970 , ainsi que par s on amitié dans les années 1980 avec le président de Mitsubichi, dont il s'est flatté , la banque qui gère les actifs de la Soka Gakkai mais qui est aussi le groupe industriel ayant participé à la construction du parc nucléaire et à son exploitation et principal fabricant d'armement du pays.
D. Ikeda, fondateur d'une ONG humanitaire, ce promoteur d'une philosophie humaniste bouddhique, de la paix dans le monde, des droits de l'homme comme de ceux des enfants, et en tant que personnalité de premier plan de la société civile, a démontré sa responsabilité accablante dans le développement du programme nucléaire, aidé en cela par ses instruments : la Soka Gakkai et le Komeito, en restant en retrait des mouvements alternatifs anti-nucléaire civil minoritaires mais très actifs dans les années 1970, en consentant de facto à l'orientation économique et industrielle qui fut à l'origine de la construction des centrales nucléaires japonaises à partir de 1961 (Tokaimura) dont la visée ultime a été historiquement - pour les dirigeants politiques des années 1950 - la fabrication de bombes atomiques.
D. Ikeda dans ses actions militantes avec la Soka Gakkai contre les Armes Nucléaire en a complètement dissocié le Nucléaire Civil, ses discours pour la paix et le désarmement camouflent sa collusion occulte avec les intérêts des conglomérats qui contrôlent les pouvoirs politiques financiers industriels les plus opposés à la vie, à la paix, à l'harmonie entre les humains et la nature : en totale contradiction avec l'idéal bouddhiste qu'il prône : comme le soutien de la SGI à La Charte de la Terre... En tant que maître à penser de la Soka Gakkai, et du parti Komeito par extension, il est évident qu'il a tenu en toute conscience un discours humaniste, pacifiste, complètement dissemblable des positions et décisions politiques favorables au libéralisme offensif de "son parti" depuis les années 1960.
Mensonges, forfanteries, dissimulations ?
C'est un crime moral contre l'environnement et l'Humanité.
Il faut savoir, de plus, que les exonérations fiscales des organisations religieuses au Japon sont extrêmement avantageuses, elles ont été conçues par le PLD qui ainsi les a insidieusement soudoyé afin qu'elles le soutiennent – lors des élections, ou au moins qu'elles ne critiquent pas ouvertement ses alliances avec les grands groupes économiques qui dictent les orientations politiques.
Une anecdote pour exemple.
Depuis 2003 Shingo Mimura (sans étiquette) a été élu et réélu gouverneur d'Aomori, avec l'aide infaillible du PLD et de ses partenaires : le Komeito et le Nouveau Parti Conservateur, là où se trouve le site nucléaire de Rokkaso-mura dont la conception a été en partie supervisée par Mitsubichi pour pouvoir produire la matière première des armes nucléaires. Le gouverneur a apporté son soutien à l'énergie nucléaire qui est devenue l'un des principal secteur économique et pourvoyeur d'emploi de la préfecture. Depuis, et après une vérification de la sécurité des centrales existantes dans un contexte marqué par l'accident de Fukushima, S. Mimura soutenu en cela par ses alliés politiques a été le seul à militer pour continuer la politique de développement de l'industrie nucléaire dans la préfecture.
En France l'actuelle Association Cultuelle Soka du Bouddhisme de Nichiren et avant elle la Soka Gakkai Française et encore avant la Nichiren Shoshu Française se sont toujours fait les relais de l'idéologie pacifiste de D. Ikeda sans jamais lui être déloyal ni désobéissant en quelques points que ce soit. Ce dévouement sans faille a empêché depuis toujours l'ensemble de leurs hauts dirigeants officiels de développer une intelligence critique propre à produire un discours innovant adapté aux réalités sociétales concrètes, et les a obligé à refuser d'émettre publiquement une pensée philosophique originale sur les problématiques et enjeux du monde, ce qui fait d'eux, jusqu'au 26 janvier 2012, les complices inconscients du désastre nucléaire japonais et international.
Les "élites intellectuelles" de ce mouvement sont inexistantes et ne sont pas encouragées à s'épanouir, pas de polémiques constructives, ni de remises en question des contradictions internes : voir le blog d'un bouddhiste soka réfléchissant sur la Soka Gakkai. Les dirigeants ont ouvert leurs salles culturelles et cultuelles à des conférences de non pratiquants dotés d'une réflexion et d'une culture propre, mais jamais à de s penseurs alternatifs réfléchissants et participants à la création d'un autre monde (alter-mondialistes, anti-nucléaire, écologistes, nouvelles thérapies, etc.), pas plus que les colonnes de leurs publications à leurs coreligionnaires pourvus d'une pensée spirituelle originale et personnelle inspirée par les paradigmes bouddhiques.
Tout comme au Japon, cette organisation religieuse est féodale, oligarchique, conservatrice, partisane de l'économie libérale et d'une morale sociale et familiale très conformiste, tout en affichant la plus stricte neutralité au sujet des affaires nationales mais en recherchant l'approbation de personnalités de la société civile et des pouvoirs publics quand à son système de valeurs humaines. En cela elle se conforme aux directives du consistoire soka japonais. C'est une organisation religieuse complètement absente à toute recherche d'évolutions et d'innovations sociales culturelles économiques d'un monde où ses pratiquants vivent et agissent, et de plus en plus dérégulé par les dictatures politiques financières industrielles.
La doctrine sociale (et politique) de cette société religieuse internationale (au statut d'ONG) consiste à ne pas se prononcer, ne pas prendre de position vis à vis des dérives et perversions de la dérégulation et de la globalisation économique responsables de la destruction de la nature, de l'environnement, et son cortège de catastrophes. Ce type d'attitude s'apparente à une approbation silencieuse .
P.S : Conformément à la liberté d'expression accordée aux citoyens par la Constitution de la république française, ce texte est le fruit d'une connaissance reliée à une observation assidue de cette organisation religieuse durant vingt ans, d'une analyse et d'une interprétation personnelle de documents disponibles en langues française et anglaise extérieures à la Soka Gakkai, ainsi que de l'ensemble des publications en langue française de la Soka Gakkai et de D. Ikeda de 1960 à 2010 [aucune n'exprime sa participation dans la lutte contre le nucléaire civil].
S'il s'avérait qu'il existait des publications officielles en langue française de cette organisation prouvant son implication effective et récurrente dans le mouvement anti-nucléaire civil au Japon dès ses débuts, nous apprécierions de les savoir publiés sur internet et de connaître l'adresse de ces sites.
Liens vers deux documents en anglais relatant l'implication réelle du Komeito, du Seikyo Shimbun et de la Soka Gakkai, dans le soutien à la politique pro-nucléaire du Japon : http://www.japan-press.co.jp/m [...] hp?id=2155 http://www.japan-press.co.jp/m [...] hp?id=2156
Advaita888 16 novembre 2013 à 08h06
Il semble qu'il soit impossible aux pratiquants de la SGI de réfuter mon opinion sur l'implication au Japon du Komeito et de ses électeurs de la Soka Gakkai et donc de Daisaku Ikeda dans la nucléarisation de l'archipel depuis 1967, ni d'expliquer les contradictions idéologiques du Komeito et de Daisaku Ikeda quand à leur occultation des dangers du nucléaire civil sur l'environnement et de son interdépendance avec le nucléaire militaire, alors qu'ils s'opposaient officiellement aux armes nucléaires."
Dialogues menés par Daisaku Ikeda
D. Ikeda a mené de nombreux dialogues :
1967
Comte Richard Coudenhove-Kalergi, philosophe autrichien. 1972
Arnold Toynbee, historien anglais. 1974
André Malraux, écrivain français et ancien ministre de la Culture.
René Huyghe, historien d'art et membre de l'Académie française.
Mikhaïl Sholokhov, prix Nobel de littérature.
Zhou Enlai, premier ministre chinois. 1975
André Malraux, écrivain français et ancien ministre de la Culture.
Deng Xiaoping, vice premier ministre chinois.
Henry Kissinger, secrétaire d'État des États-Unis.
Aleksei Kossyguine, premier ministre de l'URSS.
Kurt Waldheim, secrétaire général de l'ONU.
Norodom Sihanouk, ancien roi du Cambodge.
Aurelio Peccei, membre fondateur du Club de Rome. 1978
John Kenneth Galbraith, économiste et professeur d'économie politique à l'Université Harvard.
Bryan Wilson, professeur à l'Université d'Oxford. 1979
J.P. Narayan, dirigeant politique indien et disciple de Gandhi. 1980
Deng Yingchao, veuve de Zhou Enlai. 1981
Nikolai Tikonov, premier ministre de l'URSS.
Todor Zhivkov, président du Conseil d'État bulgare.
Bryan Wilson, professeur à l'Université d'Oxford.
Anatoly Lougaflov, recteur de l'Université de Moscou. 1982
Javier Pérez de Cuellar, secrétaire général de l'ONU. 1983
Rudolphus Marie Lubbers, premier ministre hollandais.
Hu Yaobang, secrétaire général du Parti communiste chinois.
Paul Hartling, haut commissaire de l'ONU pour les réfugiés. 1984
Joao Baptista de Oliveira Figueiredo, président du Brésil.
Fernando Belaunde Teny, président du Pérou. 1985
Rajiv Gandhi, premier ministre de l'Inde. 1986
Raul Alfonsin, président de la République d'Argentine.
Johan Galtung, spécialiste en études sur la paix.
Miguel de la Madrid, président de la République du Mexique. 1987
Linus Pauling, prix Nobel de chimie et prix Nobel de la paix.
Norman Cousins, écrivain et enseignant américain.
Joaquin Balaguer, président de la République dominicaine.
Michel Baroin, président de la Mission pour la Commémoration du bicentenaire de la Révolution française et de la Déclaration des droits de l'homme.
Nikolaï Ryzhkov, premier ministre soviétique.
Jacques Chirac, maire de Paris.
Edgar Faure, président de la Mission pour la Commémoration du bicentenaire de la Révolution française et de la Déclaration des droits de l'homme.
Alain Poher, président du Sénat français.
René Huyghe, membre de l'Académie française.
Wojciech Jaruzelski, président du Conseil d'État polonais. 1988
Bhumibol Adulyadej, roi de Thaïlande.
Mahathir Mohamad, premier ministre de Malaisie.
Jaime Lusinchi, président de la République du Vénézuela.
Lee Kuan Yew, premier ministre de Singapour. 1989
Daniel Arap Moi, président de la République du Kenya.
Franz Vranitzky, chancelier d'Autriche.
Virgilio Barco, président de la République de Colombie.
Princesse Chulabhorn, princesse de Thaïlande.
Julio Maria Sanguinetti, président de la République d'Uruguay.
Princesse Anne d'Angleterre.
Ingvar Carlsson, premier ministre suédois.
Cari XVI Gustav, roi de Suède.
Bengt Göransson, ministre suédois de l'Education et des Affaires culturelles.
François Mitterrand, président de la République française.
Jack Lang, ministre de la Culture.
Danielle Mitterrand, présidente de l'association France-Libertés.
Marcel Landowski, secrétaire peipétuel de l'Académie des Beaux-Arts.
René Huyghe, membre de l'Académie française.
Alain Poher, président du Sénat français.
Jean Fage, président du Musée de la photographie à Bièvres.
André Fage, directeur du Musée de la photographie à Bièvres.
Louis Auquier, président de l'Université Paris V.
Michel Maffesoli, professeur à l'Université Paris V.
Robert Berthier, président des Jeunesses musicales de France.
Bernard Dorin, ambassadeur de France au Japon.
Donald Chesworth, militant social britannique.
Chandra Wickramasinghe, professeur et astronome britannique.
Joseph Nye, professeur à l'Université Harvard.
Ying Ruocheng, vice-ministre de la Culture de Chine.
Bernard Lown, co-président du Comité international des physiciens contre la guerre nucléaire.
Mikhail Kuzin, co-président du Comité international des physiciens contre la guerre nucléaire.
John Neumeier, directeur du Ballet de Hambourg.
Fabio Roversi-Monaco, recteur de l'Université de Bologne.
Cornel Capa, directeur du Centre international de la photographie.
Javier Perez de Cueilar, secrétaire général des Nations unies.
Jean-Pierre Hocké, haut-commissaire du HCR.
Margaret Thatcher, premier ministre de Grande-Bretagne.
Li Peng, premier ministre de la République populaire de Chine.
Anatoly Loukyanov, président du Présidium suprême de l'URSS.
Julio Maria Sanguinetti, président de la République d'Uruguay.
Joseph Rotblat, président des Pugwash Conferences on Science and World Affairs.
Prince Tony Momoh, ministre nigérian de l'Information et de la Culture.
Virgilio Barco, président de la République de Colombie.
Jan Wirgin, directeur du Musée des antiquités asiatiques de Stockholm. 1990
Zhelyu Zhelev, président de la République de Bulgarie.
Mikhaïl Gorbatchev, président de l'URSS.
Danielle Mitterrand, présidente de France Libertés.
Georges Saitoti, vice-président du Kenya.
Nelson Mandela, président adjoint de l'African National Congress.
Rhi Chong Sun, directeur du musée d'art Ho-Am de Corée du Sud.
Nataliya Sats, fondatrice et présidente du Théâtre musical national des enfants de Moscou.
Daniel Arap Moi, président de la République du Kenya.
Turgut Ozal, président de la République de Turquie.
Kenneth Kaunda, président de Zambie.
John Montgomery, professeur émérite de l'Université Harvard.
René Simard, vice-recteur de l'Université de Montréal.
John Kenneth Galbraith, économiste et professeur d'économie politique à l'Université Harvard. 1991
Ingvar Carlsson, premier ministre suédois.
Neil Rudenstine, président de l'Université Harvard.
Elie Wiesel, prix Nobel de la paix.
Joseph Nye, professeur à l'Université Harvard.
René Simard, professeur à l'Université de Montréal, cancérologue.
Michel Maffesoli, professeur à l'Université Paris V.
Chandra Wickramasinghe, professeur et astronome britannique.
Marcel Landowski, chancelier de l'Institut de France.
Pierre Hugo, arrière-petit-fils de Victor Hugo.
Serge Tolstoï, petit-fils de Léon Tolstoi.
Ricardo Diez Hochleitner, président du Club de Rome.
Sir Fred Hoyle, professeur et astronome.
Genrikh A. Borovik, président du Comité soviétique pour la paix.
Carlos A. Faraco, recteur de l'Université de Panama.
Gennadi A. Yagodin, président du Comité national de l'URSS pour l'éducation.
James Njagi Njiru, ministre de la Culture du Kenya.
Jutta Unkart, Mmc la ministre de l'Education d'Autriche.
W. Henrichsmeyer, recteur de l'Université de Bonn.
Richard von Weizsâcker, président de la République fédérale allemande.
Wang Xuezhen, professeur à l'Université de Pékin.
Mikhaïl Gorbatchev, président de l'URSS.
Anatoly A. Louganov, recteur de l'Université de Moscou.
Charles K. Kao, professeur à l'Université de Hong-Kong.
Wang Gungwu, professeur à l'Université de Hong-Kong.
Corazon Aquino, présidente de la République des Philippines.
John Major, premier ministre britannique.
Virgilio Barco, président de la République de Colombie.
Rita Siissmuth, présidente de la Chambre des députés d'Allemagne.
Bhumibol Adulyadej, roi de Thaïlande.
Oswald Mtshali, poète anti-apartheid sud-africain.
Chingiz Aitmatov, écrivain et diplomate d'URSS.
Federico Mayor, directeur général de l'UNESCO.
Albert Carnesale, de l'École John F. Kennedy à Boston.
Lokesh Chandra, directeur de l'Académie internationale de culture indienne.
Hsueh Shou Sheng, recteur de l'Université de Macao.
Ricardo Popovsky, recteur de l'Université de Palermo en Argentine. 1992
Yehudi Menuhin, violoniste.
Ricardo Diez Hochleitner, présidentdu Club de Rome.
Shankar Dayat Sharma, vice-président de l'Inde.
Bans Manço, musicien turc.
Ramaswamy Venkataraman, président de la République de l'Inde.
Jiang Zemin, président de la République populaire de Chine.
Hosni Mubarak, président de la République arabe d'Egypte.
Vaclav Havel, président de la République tchèque et prix Nobel de la paix.
Suleyman Demirel, premier ministre de Turquie.
Frederic Willem de Klerk, président de la République sud-africaine.
Li Peng, premier ministre de la République populaire de Chine.
Aleksei Khoklov, professeur à l'Université de Moscou.
Glenn Paige, professeur émérite à l'Université de Hawaii.
Ihsan Dogramaci, fondateur de l'Université Bilkent d'Ankara.
Sonia Gandhi, femme politique et veuve de l'ancien premier ministre Rajiv Gandhi.
Suharto, président de l'Indonésie.
Majid Tehranian, professeur de l'Université de Hawaii.
Bhumibol Adulyadej, roi de Thaïlande.
Ralph Unkart, professeur émérite à l'Université des technologies de Vienne.
Francis Gichaga, vice-chancelier de l'Université de Nairobi.
Shao Huaze, éditeur chinois. 1993
Rosa Parks, militante des droits civiques américains.
Marvin Hier, fondateur et doyen du Centre SimonWiesenthal.
Noemi Sanin de Rubio, ministre des Affaires etrangeres de Colombie.
Noranit Setabutr, président de l'Université Thammasat de Thaïlande.
César Gaviria Trujillo, président de la République de Colombie.
Austregésilo de Athayde, président de l'Académie des Lettres du Brésil.
Amaral Vieira, pianiste et compositeur brésilien.
Carlos Menem, président de la République d'Argentine.
Francisco Delich, recteur de l'Université de Cordoba.
Mariano Mores, pianiste et compositeur argentin.
Osvaldo Pugliese, chef d'orchestre argentin.
Andrès Rodriguez, président du Paraguay.
Luis Berganza, recteur de l'Université nationale d'Asuncion au Paraguay.
Patricio Aylwin, président de la République du Chili.
Luis Fleury Fiiho, gouverneur de l'État de Sao Paulo.
Linus Pauling, lauréat du prix Nobel de chimie et du prix Nobel de la paix.
Franck Jordan, maire de San Franscisco.
Carlos Mario de Clerc, recteur de l'Université Lomas de Zamora en Argentine.
Nambaryn Enkhbayar, ministre de la Culture de Mongolie.
Lu Jimin, directeur du Musée de Pékin.
Vasant Sathe, président du Concile indien pour les relations culturelles.
N. Radhakrishnan, directeur de Gandhi Smriti et Darshan Samiti.
Lawrence Sullivan, directeur du Centre d'étude des religions à l'Université Harvard.
John Humphrey, professeur émérite de l'Université Mac Giil, à Montréal.
Jerry Rawlings, président de la République du Ghana.
Alfredo Cristiani Burkard, président de la République du Salvador.
Boutros Boutros-Ghali, secrétaire général des Nations unies.
Azian Shah, roi de Malaisie.
Roberto Baggio, footballeur italien.
Mikhaïl Gorbatchev, ancien président de l'URSS.
Princesse Napoléon.
Alexis Vaesken, ministre des Affaires étrangères du Paraguay.
Gunal Akbay, recteur de l'Université d'Ankara.
Fidel Ramos, président de la République des Philippines.
José Abueva, président de l'Université des Philippines.
John Kenneth Galbraith, économiste et professeur d'économie politique à l'Université Harvard.
Nur Yalman, titulaire d'une chaire d'anthropologie à l'Université Harvard.
John Montgomery, professeur émérite à l'Université Harvard.
Robert Jastrow, scientifique de la NASA, collaborateur du programme Apollo.
Chang Lin Tien, chancelier de l'Université de Californie.
David Strangway, président de l'Université britannique de Colombie.
René Simard, recteur de l'Université de Montréal
.
Chandra Wickramasinghe, professeur et astronome britannique.
Nelson Maculan Filho, recteur de l'Université de Rio de Janeiro. 1994
Bhumibol Adulyadej, roi de Thaïlande.
Cai Delin, président de l'Université de Shenzhen.
Li Youwei, maire de la ville de Shenzhen.
Farouk Hosni, ministre égyptien de la Culture.
Vincent Harding, professeur des religions à l'Université de Denver.
Forbes Munro, recteur de l'Université de Glasgow.
Franco Nannotti, vice-gouverneur de la province de Florence.
Fabio Roversi Monaco, recteur de l'Université de Bologne.
Roberto Baggio, footballeur italien.
Viktor Sadovnichy, recteur de l'Université d'État de Moscou.
Mikhail Gorbatchev, ancien président de l'URSS.
Aleksandr Yakovlev, président du Leonardo Club.
Gavril Popov, président de l'Université internationale de Moscou.
Gennadi Yagodin, recteur de l'Université internationale de Moscou.
Chingiz Aitmatov, écrivain kirghize.
Lou Ann Guanson, directrice du Spark M. Matsunaga de l'Institut pour la paix de l'Université de Hawaii.
Sonia Gandhi, femme politique et veuve de l'ancien premier ministre Rajiv Gandhi.
César Gaviria Trujillo, président de la République de Colombie.
Patricio Aylwin, ancien président du Chili.
Abraham Cooper, doyen adjoint du Centre SimonWiesenthal.
Lin Zugeng, président de l'Université Xiamen.
Shunzo Ono, musicien de jazz japonais.
Herbie Hancock, musicien de jazz américain.
Rosa Parks, militante du mouvement des droits civiques américains.
Jules Brassner, homme d'affaires américain.
Oscar Arias Sanchez, ancien président du Costa Rica, prix Nobel de la paix.
Edouardo Frei Ruiz Tagle, président de la République du Chili.
Lech Walesa, président de la République de Pologne.
Youssef Boutros-Ghali, ministre égyptien de la Coopération internationale.
Sisto Duran-Ballen, président de la République d'Equateur.
Ivaylo Znepolski, ministre de la Culture de Bulgarie.
Boutros Boutros-Ghali, secrétaire général des Nations unies.
Ricardo Diez-Hochleitner, président du Club de Rome.
Christina Weiss, directrice de l'Office culturel de la Ligue des villes hanséatiques à Hambourg.
John Neumeier, directeur artistique du Ballet de Hambourg.
Jack Stark, président du Claremont Mc Kenna College de Californie.
Michel Oksenberg, directeur du centre Est-Ouest de Honolulu.
Roger Posadas, chancelier de l'Université des Philippines.
Cai Delin, président de l'Université Shenzhen.
Jen Hu Chang, professeur à l'Université de culture chinoise de Taiwan.
Tsai Mci Lin, présidente de l'Université de culture chinoise de Taiwan.
Kedar Mathema, vice-chancelier de l'Université Tribhuvan du Népal.
Amos Ganor, ambassadeur d'Israël au Japon.
Guy Bourgeault, professeur de bioéthique à l'Université de Montréal.
Ved Nanda, professeur à l'Université de Denver.
Richard Dubanoski, professeur de psychologie à l'Université de Hawaii.
Anthony Marsella, professeur de psychologie à l'Université de Hawaii.
Francisco Delich, recteur de l'Université nationale de Cordoba en Argentine.
Gonzalo Ruiz Martinez, recteur de l'Université Del Valle de Bolivie.
Wang Xiaoxian, vice-présidente de l'Association du peuple chinois pour l'amitié avec les pays étrangers.
Huang Shiming, vice-président de l'Association de l'amitié sino-japonaise. 1995
Nelson Mandela, président de l'Afrique du Sud.
Kocheril Raman Narayan, vice-président de l'Inde.
Carlos Alberto Messeder, directeur du Centre de philosophie et de sciences humaines de l'Université de Rio de Janeiro.
Adolfo Perez Esquivel, militant argentin.
Robert Thurman, professeur au département des religions de l'Université de Colombie.
Jin Yong, écrivain chinois.
Wang Gungwu, vice-recteur de l'Université de Hong-Kong.
Oscar Arias Sanchez, ancien président du Costa Rica.
Jorge Range!, secrétaire de l'Education et de la Jeunesse de Macao.
Birenda Bir Bikram Shah Dey, roi du Népal.
Govindra Raj Joshi, ministre de l'Education nationale du Népal.
Sher Bahadur, premier ministre du Népal.
Hassan Gouled Aptidon, président de la République de Djibouti.
Luiz Marques, directeur du Musée national de Sao Paulo.
Youssef Boutros-Ghali, ministre de la Coopération internationale d'Egypte.
Aleksander Yakolev, un des artisans de la perestroika en URSS.
Albert Likhanov, écrivain russe.
Su Dongtian, professeur de l'Université de Shenzhen en Chine.
Amaral Vieira, pianiste et compositeur brésilien.
Bans Manço, artiste turc. 1996
Boutros Boutros-Ghali, secrétaire général des Nations unies.
Fidel Castro, président du Conseil d'État de la République de Cuba.
Armando Hart Davalos, ministre de la Culture de Cuba.
Juan Vela Valdes, recteur de l'Université de la Havane.
José Maria Figueres Olsen, président de la République du Costa Rica.
Ved Nanda, professeur de l'Université de Denver.
Henry Kissinger, ancien secrétaire d'État des États-Unis.
Moshe Arad, président de l'Université Hébraïque de Jérusalem.
Ricardo Diez Hochleitner, président du Club de Rome.
Sonia Gandhi, femme politique et veuve de l'ancien premier ministre indien Rajiv Gandhi.
Johan Galtung, chercheur en études sur la paix.
Yuri Petrosyan, directeur de l'Institut des études orientales de l'Académie des sciences de Russie.
Shanmughasundaram Mohan, de la Cour de justice suprême de l'Inde.
Marvin Hier, fondateur et doyen du Centre Simon Wiesenthal de Los Angeles.
Abraham Cooper, doyen adjoint du Centre SimonWiesenthal.
Manuel Esquivel, premier ministre du Belize.
Amos Richmond, professeur de l'Université Ben Gourion de Tel Aviv.
Yasushi Akashi, Sous-secrétaire général des Nations unies pour les affaires humanitaires.
Batmunkh Ligden, président de la Fédération de Mongolie.
Wang Xunzhang, président de l'Université de Zhongshan en Chine.
René Simard, recteur de l'Université de Montréal.
Jules Brassner, homme d'affaires américain. 1997
Qian Weichang, recteur de l'Université de Shanghai.
Chen Liangyu, député-maire de Shanghai.
Fang Zhaoling, artiste peintre de Chine populaire basée à Hong-Kong.
Amadeu Thiago de Mello, poète brésilien.
Louis Derbré, sculpteur français.
Cinto Vitier, fondateur et président du Centre de recherches José Marti.
Jerry Rawlings, président de la République du Ghana.
Choue Young Seek, fondateur de l'Université Kyung Hee de Corée.
Mikhaïl Gorbatchev, ancien président de l'URSS.
Fernando Nery de Sa, député brésilien.
Liu Cheng, secrétaire général de l'Institut de littérature de Mongolie.
Ved Prakash Nanda, professeur de droit à l'Université de Denver aux Etats-Unis.
Sitaram Sharma, secrétaire général adjoint de la World Federation of United Nations Associations.
Hashim Abdul Halim, président de la WFUNA.
Kochenl Raman Narayanan, président de l'Union indienne.
Krishna Kunt, vice-président indien.
Kumar Gujral, premier ministre de l'Inde.
Sonia Gandhi, femme politique et veuve de l'ancien premier ministre Rajiv Gandhi.
Amalendu De, secrétaire général de la Société asiatique (mémorial de Rabindranath Tagore).
Ravinder Kumar, directeur du mémorial Nehru.
Dr N. Radhakrishnan, directeur du Gandhi Smriti et Darshan Samiti.
Li Peng, premier ministre de la République populaire de Chine.
Liu Zhongshu, président de l'Université du Jiling en Chine.
Zhang Fuliang, vice-président de l'Université du Jiling.
Bryan Wilson, professeur à l'Université d'Oxford.
Cai Delin, ancien président de l'Université de Shenzhen, en Chine.
Félix Unger, président de l'Académie des sciences et des arts européens.
Chang Jenhu, président du conseil d'Université de la culture chinoise de Taiwan.
Lin Tsaimei, président de l'Université de la culture chinoise de Taiwan.
J. Forbes Munro, professeur d'histoire économique à l'Université de Glasgow.
Martin Seligman, professeur de psychologie de l'Université de Pennsylvanie.
Amaral Vieira, pianiste et compositeur brésilien.
Jules Brassner, homme d'affaires américain.
Jong Taeck Chung, président du collège Chong Cheong de Corée.
Li Decheng, maire adjoint de Shenzhen.
José Abueva, président de l'Université des Philippines. 1998
Juan Carlos, roi d'Espagne.
César Gaviria Trujillo, secrétaire général de l'Organisation des Etats Américains et ancien président de la Colombie.
Fidel V. Ramos, président de la République des Philippines.
Virsely de la Cruz, présidente de l'Université de Manille.
Fang Zaoling, peintre chinoise.
Jin Yong, écrivain chinois.
Jorge Rangel, secrétaire d'État à l'éducation et à la jeunesse de Macao.
René Simard, recteur de l'Université de Montréal.
Jiang Zemin, président de la République populaire de Chine.
Boutros Boutros-Ghali, ancien secrétaire général de l'ONU.
Hu Jintao, vice-président de la République populaire de Chine.
Benjamin William Mkapa, président de la Tanzanie.
Alberto Antonio Kohan, secrétaire général de l'Office présidentiel d'Argentine.
Mikhail Nikolayev, président de la République du Sakha de la Fédération de Russie.
Thabo Mbeki, vice-président exécutif d'Afrique du Sud.
Inder Kumar Gujral, ancien premier ministre de l'Inde.
Chingiz Aitmatov, écrivain kirghize.
Choue Young Seek, chancelier de l'Université Kyung Hee de Corée.
Jong Taeck Chung, président du Collège Chung Cheong de Corée.
Cho Moon Boo, président de l'Université nationale Cheju.
Yu Byeong Don, gouverneur de la province de Puyo en Corée.
Chung Jong Teh, gouverneur de la province de Kyongsang en Corée.
Hou Zixin, président de l'Université Nankai à Tianjin en Chine.
Piao Wenyi, président de l'Université de Yanbian en Chine.
Vrajendra Raji Mehta, vice-chancelier de l'Université de Delhi.
Antonio Celso Alves Pereira, recteur de l'Université de Rio de Janeiro.
Arun Gandhi, directeur de l'Institut M.K. Gandhi pour la non-violence.
Lokesh Chandra, directeur de l'Académie internationale de culture indienne.
Hazel Henderson, futurologue et économiste.
Andrew Gonzalez, président de l'Université De la Salle aux Philippines.
Wang Gungwu, directeur de l'Institut d'Asie orientale à Singapour.
David Krieger, président de la Nuclear Age Peace Foundation.
Mario Armando Mena, recteur de l'Université de Moron d'Argentine.
Manuel Pantigoso Pecero, de l'Association des docteurs du Pérou.
Ivan Rodriguez Chavez, recteur de l'Université RicardoPalma.
Fang Jie, viceprésident de la Fondation de l'Art chinois.
Viktor Sadovnichy, recteur de l'Université d'Etat de Moscou.
Anatoly Logunov, directeur de l'Institut de physiques de haute énergie de Russie.
Antonio Laffranchi, recteur de l'Université de Panama.
Eusebio Leal, directeur du Musée de la Havane.
Roberto Kertesz, président de l'Université Florès d'Argentine.
Pan Yunhe, président de l'Université Zhejiang.
Qian Weichang, chancelier de l'Université de Shanghai.
Gonzalo Ruiz Martinez, recteur de l'Université Del Valle de Bolivie.
Abu Bakar, vice-chancelier de l'Université de Brunei Darussalam.
Ramiro Eduardo Osorio, ancien ministre de la Culture de Colombie.
Francis Tolentino, maire de la ville de Tagaytay aux Philippines.
Natsagiin Bagabandi, président de la République de Mongolie.
N. Radhakrishnan, directeur de Gandhi Smriti et Darshan Samiti. 1999
Raja Nazrin Shah, roi de Malaisie.
Andrés Pastrana Arango, président de la République de Colombie.
Olusegun Obasanjo, président désigné du Nigeria.
Amara Essy, ministre des Affaires étrangères de Côte d'Ivoire.
Joseph Estrada, président de la République des Philippines.
Vasili Vlasov, premier ministre de la République de Sakha.
Viktor Sadovnichy, recteur de l'Université de Moscou.
Gennadi Yagodin, recteur de l'Université internationale de Moscou.
Lee Soo Sung, ancien premier ministre de Corée du Sud.
Hashim Abdul Halim, président de la WFLTNA.
Marquise du Lau d'Allemans, descendante de Napoléon Bonaparte.
Allen Lee Sessoms, de PUniversité de la ville de New York.
Jules Brassner, directeur de la Napoleonic Society of America et
directeur honoraire du Musée Fuji de Tokyo.
Abel Prieto, ministre de la Culture de Cuba.
Hector A. Navarro Diaz, ministre de l'Education du Vénézuela.
Cho Moon Boo, président de PUniversité nationale de Cheju en de Corée du Sud.
Choue Young Seek, chancelier de l'Université Kyung Hee de Corée du Sud.
Lee Won Sik, maire de la ville de Kyongju en Corée du Sud.
Kim Sang Soon, gouverneur de la province de Chongdo en Corée du Sud.
Zhou Ligao, recteur de l'Université de Macao.
He Jicheng, président de l'Université Nord-Est dc la Chine.
Majid Tehranian, directeur de l'Institut Toda de Recherches sur la paix et la politique mondiales.
Stuart Rees, directeur du Centre pour la paix et les conflits de l'Université de Sydney.
Casimiro Juarez, président du Cagayan Capitol College des Philippines.
Lin Liyun, interprète durant la rencontre entre le premier ministre chinois Zhou Enlai et Daisaku Ikeda, députée chinoise et ancien membre du comité permanent du Congrès national populaire de Chine.
Jiang Shusheng, président de l'Université de Nankin.
Cassio Taniguchi, maire de la ville de Curitiba du Brésil.
José Antonio de Chazal Palomo, recteur de l'Université de Santa Cruz en Bolivie.
Quansheng Zhao, professeur à l'École des relations internationales de l'American University de Washington.
Luo Weizhi, vice-président de l'Université de Hunan.
John Montgomery, professeur émérite de l'Université Harvard.
Lester Thurow, économiste et professeur à l'Institut de technologie du Massachusetts.
José Abueva, ancien président de l'Université des Philippines.
Forbes Munro, professeur à l'Université de Glasgow.
David Tay, président de Société de photographie de Singapour.
Wang Yongxiang, directeur du Centre de recherches Zhou Enlai de l'Université de Nankai.
Arthur K.C. Li, vice-chancelier de l'Université chinoise de Hong-Kong.
Roberto Baggio, footballeur italien.
Herbie Hancock, pianiste de jazz américain.
Norberto Ramos, danseur de tango argentin. 2000
Huang Jianhua, président de l'Université des études étrangères du Guangdong.
Mme Fang Zaoling, peintre chinoise.
Arthur K.C. Li, vice-chancelier de l'Université chinoise de Hong-Kong.
Joseph Rotblat, président émérite des Conférences Pugwash et lauréat du Prix Nobel de la paix.
Emmanuel Yap Angeles, président de l'Université Angeles des Philippines.
Rogelio Quiambao, commandeur suprême de l'Ordre de José Rizal des Philippines.
Ha Jingxiong, président de l'Université des nationalités de Pékin.
Ludmila Verbitskaya, recteur de l'Université de Saint Pétersbourg.
Le Lam, maire de la ville de Auburn en Australie.
Emesto Melendez Bachs, ambassadeur de Cuba au Japon.
David P. Roselle, président de l'Université de Delaware.
Daniel F. Callahan, professeur de l'Université de Delaware.
Shi Ningzhong, président de l'Université nationale du Nord-est de Chine.
Fidel V. Ramos, ancien président des Philippines.
Kim Sam Youl, président de l'Association des familles des personnes méritoires décédées pour l'indépendance nationale de la Corée du Sud.
Herbie Hancock, pianiste de jazz américain.
Wayne Shorter, musicien de jazz américain.
Tsend-Ayush, recteur de l'Institut de Littérature de Mongolie.
M.B.G Dogon-Yaro, ancien ambassadeur nigérien au Japon.
Zhu Weihua, président de l'Université de Yunnan (Chine).
Chen Fuqiang, vice-président de l'Université de Yunnan (Chine).
Arun Gandhi, fondateur de l'Institut M. K. Gandhi pour la non-violence.
Lawrence Edward Carter Sr., doyen de la Chapelle internationale Martin Luther King, Jr. du Morehouse College (Etats-Unis).
George David Miller, professeur de l'Université Lewis des États-Unis.
Edmund Ho Hau Wah, directeur de la Région administrative spéciale de Macao.
Hans Denningsen, ancien proviseur du Lycée Askov pour le peuple du Danemark.
Henning Dochweiler, proviseur du Lycée Askov pour le peuple du Danemark.
Majid Tehranian, directeur de l'Institut Toda pour la recherche sur la paix et la politique mondiales.
Ronald. R. Duterte, président de l'Université des Philippines du Sud.
Richard H. Seager, professeur adjoint des études religieuses, Hamilton College (Etats-Unis).
Anand Panyarachun, ancien premier ministre de Thaïlande.
Hazel Henderson, futurologue et économiste américaine.
Fang Zhaoling, peintre chinoise basée à Hong Kong.
Anson Chan, première secrétaire pour l'administration de Hong-Kong.
Victor H. Kazanjian, Jr., doyen de la vie religieuse et spirituelle, Wellesley College des États-Unis.
Youri A. Petrosyan, vice-président du Centre scientifique de Saint-Pétersbourg de l'Académie russe des sciences.
Pornchai Mongkhonvanit, président de l'Université de Siam, Thaïlande.
Viktor Sadovnichy, recteur de l'Université d'État de Moscou.
Felix Unger, président de l'Académie européenne des sciences et des arts.
S.R. Nathan, président de Singapour.
Leonie Kramer, chancelier de l'Université de Sydney, Australie.
Tun Haji Hamdan bin Sheikh, chancelier de l'Université de Putra, Malaisie.
Mahathir Mohamad, premier ministre de Malaisie. 2001
Nambaryn Enkhbayar, premier ministre de Mongolie.
Rudoiphus Lubbers, Haut Commisaire des Nations-unies pour les réfugiés.
Abraham Cooper, rabbin et doyen adjoint du Centre Simon Wiesenthal.
Alfred Balitzer, de Claremont McKenna College des États-Unis.
Richard H. Seager, professeur adjoint de Hamilton College, Etats-Unis.
Sun Yong, président de l'Université de Nord-ouest, Chine.
Mercedes Menafra de Battie, première dame d'Uruguay.
Bernard Petit, président du Souvenir napoléonien.
Ronald A. Bosco, président de la Thoreau Society des États-Unis.
Olusegun Obasanjo, président nigérian.
Aftab Seth, ambassadeur de l'Inde au Japon.
Larry A. Hickman, directeur du Centre pour les études sur Dewey à l'Université de l'Illinois du Sud, États-Unis.
Yitzhak Lior, ambassadeur d'Israèl au Japon.
Chen Jian, ambassadeur de Chine au Japon.
Felix Unger, président de l'Académie européene des sciences et des arts.
Chen Haosu, président de l'Association des peuples chinois pour l'amitié avec les pays étrangers.
Wu Ruijun, secrétaire général de l'Association d'amitié sino-japonaise.
Luigi Lonfernini, capitaine régent de la République de Saint-Marin.
Fabio Berardi, capitaine régent de la République de Saint-Marin.
Jutta Unkart Seifert, présidente de l'Iniative culturelle européenne pour la jeune génération de l'Autriche.
Thabo Mbeki, président de l'Afrique du Sud.
Linus Pauling Jr., professeur et fils du lauréat des deux prix Nobel en chimie et de la paix.
Modifié en dernier par Yvon le 07 févr.16, 02:50, modifié 4 fois.
"Le sage n’est pas celui qui pratique le bouddhisme en dehors des règles de la société mais plutôt celui qui, grâce à une compréhension profonde du monde, connaît la meilleure manière de s’y comporter."
Yvon a écrit :"Le Président Ikeda un marathonien pour la paix "
Parole d'adepte!
Yvon a écrit :"Personnellement je pense que , tant que l'on aura pas trouvé une source d'énergie propre de remplacement fournissant autant d'énergie qu'une centrale nucléaire et quand je vois l'exploitation dévastatrice pour l'environnement des mines de charbon à ciel ouvert en allemagne pour fournir des centrales thermiques polluantes, et à effet de serre conséquentes ,faute de mieux , je suis pour le nucléaire civil ."
Manque d'imagination flagrant ! ensuite que de contorsions pour soutenir l'attitude irresponsable de votre gourou...
Je ne soutient personne ce n'est que mon avis personnel
Modifié en dernier par Yvon le 07 févr.16, 02:48, modifié 1 fois.
"Le sage n’est pas celui qui pratique le bouddhisme en dehors des règles de la société mais plutôt celui qui, grâce à une compréhension profonde du monde, connaît la meilleure manière de s’y comporter."
En 1899 on a inventé en France une voiture électrique " La jamais contente " ateignant les 100 km ! tandis que le record des voitures à pétrole était de 62 kilomètres à l’heure.
Mais au lieu de continuer dans cette voie , la politique de l'époque adopté par les industriels fut de continuer à développer le moteur à explosion . C'est d'ailleurs la seule invention qui depuis n'a pas évolué depuis plus de 120 ans , on est toujours sur le principe du moteur 4 temps ou Diesel .
Si on avait mis autant de volontés politiques , de moyens de recherche , que l'on a mis pour développer et perfectionner le moteur à explosion ,pour le moteur électrique , il y a bien longtemps qu'on roulerait tous avec des voitures " propres ".
Il y a eu quelque tentatives avortés comme le moteur à air comprimé . A l'heure actuelle ce qui semble le plus prometteur c'est la pile à combustible à hydrogène qui ne rejette que de l'eau .
Modifié en dernier par Yvon le 07 févr.16, 03:04, modifié 1 fois.
"Le sage n’est pas celui qui pratique le bouddhisme en dehors des règles de la société mais plutôt celui qui, grâce à une compréhension profonde du monde, connaît la meilleure manière de s’y comporter."
Yvon a écrit :"Comme on peut le voir, mis à part les calomnies habituelles "
La critique de votre gourou et de votre mouvement declenche chez vous des réflexes conditionnés:
"Dénigrer comme vous le faites le président Ikeda et la Soka Gakkai est la preuve de votre bassesse et de votre incompréhension totale du bouddhisme de Nichiren daishonin !"
le Komeito est une chose , la Soka Gakkai en est une autre ."
Vous interprétez ce texte d'une manière étrange, apparemment, certaines de vos facultés cognitives semblent inhibées
Modifié en dernier par Yvon le 07 févr.16, 06:40, modifié 1 fois.
"Le sage n’est pas celui qui pratique le bouddhisme en dehors des règles de la société mais plutôt celui qui, grâce à une compréhension profonde du monde, connaît la meilleure manière de s’y comporter."
Merci pour ce texte /
Comme on peut le voir, mis à part les calomnies habituelles , le Komeito est une chose , la Soka Gakkai en est une autre .
Personnellement je pense que , tant que l'on aura pas trouvé une source d'énergie propre de remplacement fournissant autant d'énergie qu'une centrale nucléaire et quand je vois, suite à son abandon des centrales nucléaires, l'exploitation dévastatrice pour l'environnement des mines de charbon à ciel ouvert en allemagne pour fournir des centrales thermiques polluantes, et à effet de serre conséquentes ,faute de mieux , je suis pour le nucléaire civil .
La mine de lignite à ciel ouvert de Welzow, dans l'est de l'Allemagne, appartenant au groupe énergétique public suédois Vattenfall, le 18 août 2014 afp.com/Patrick Pleu
La centrale électrique de Boxberg (Saxe). Au premier plan, la mine de lignite à ciel ouvert qui l'alimente.
De plus au Japon , il n'y a même pas de charbon de substitution, et ce pays à des besoins en énergie énormes . Alors c'est bien beau d'être contre le nucléaire civil , mais on propose quoi à la place ?
Le nucléaire ce n'est pas la panacée et comporte bien des inconvénients , mais , à energie égale , comparé au charbon c'est bien plus propre pour la planète .
En attendant mieux comme le dit le président Ikeda il est urgent " d' étudier rapidement des politiques énergétiques qui ne dépendent pas de l'énergie nucléaire."
Et ça tout le monde en convient
Modifié en dernier par Yvon le 08 févr.16, 00:06, modifié 3 fois.
"Le sage n’est pas celui qui pratique le bouddhisme en dehors des règles de la société mais plutôt celui qui, grâce à une compréhension profonde du monde, connaît la meilleure manière de s’y comporter."
Je vous laisse à vos manipulations puériles (!), vos réactions sont un peu archaïques (au sens psy du terme...) si on se réfère à la théologie des dix états, on perçoit de vos interventions sur ce forum animalité et colère...
Encore les mêmes liens bidons , mais une sage décision
Et contrairement à vous, je ne suis pas en guerre , je ne mène aucun combat et n'éprouve aucune colère .
Et je vous remercie , grâce à vous , j'ai pu remettre le nez dans différents ouvrages bouddhistes et le Sutra du Lotus, ce qui a contribué à entretenir mon étude
Bien à vous et portez , (et reposez ) vous bien
Modifié en dernier par Yvon le 07 févr.16, 13:16, modifié 1 fois.
"Le sage n’est pas celui qui pratique le bouddhisme en dehors des règles de la société mais plutôt celui qui, grâce à une compréhension profonde du monde, connaît la meilleure manière de s’y comporter."