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Re: L'âme meurt-elle ?
Posté : 25 oct.13, 03:00
par medico
Si justement Platon et sa philosophie on influencé les juifs aprés la conquête de la Palestine par Alexandre le grand. et cela se retrouve dans les livres apocryphes.
dans la bible a part les apocryphes l'âme c'est la personne dans son entier c'est la vie.
tien la Bible Crampon édition 1905 traduit le verset 7 par un être animé.et en bas de page dit ceci (un être animé,lit ,une personne,une âme vivante).
Re: L'âme meurt-elle ?
Posté : 25 oct.13, 03:03
par franck17360
medico a écrit :Si justement Platon et sa philosophie on influencé les juifs aprés la conquête de la Palestine par Alexandre le grand. et cela se retrouve dans les livres apocryphes.
dans la bible a part les apocryphes l'âme c'est la personne dans son entier c'est la vie.
tien la Bible Crampon édition 1905 traduit le verset 7 par un être animé.et en bas de page dit ceci (un être animé,lit ,une personne,une âme vivante).
Mais l'être animé ne peut pas être l'association du corps inerte et de l'homme intérieur ?
Re: L'âme meurt-elle ?
Posté : 25 oct.13, 12:36
par septour
Le corps "mis en oeuvre"( l'oeuvre de depart) par les parents sera anime par l'ame/DIEU, mais c'est l'esprit qui "CONSTRUIRA" le corps, cellule par cellule et c'est encore lui qui veillera sur la machine corps pendant le sommeil et sur le fonctions automatiques pendant la veille et pendant le sommeil.
Le corps mourra un jour et l'esprit aussi, mais jamais l'ame/dieu
Re: L'âme meurt-elle ?
Posté : 25 oct.13, 17:35
par franck17360
septour a écrit :Le corps "mis en oeuvre"( l'oeuvre de depart) par les parents sera anime par l'ame/DIEU, mais c'est l'esprit qui "CONSTRUIRA" le corps, cellule par cellule et c'est encore lui qui veillera sur la machine corps pendant le sommeil et sur le fonctions automatiques pendant la veille et pendant le sommeil.
Le corps mourra un jour et l'esprit aussi, mais jamais l'ame/dieu
Et tu as un verset de la Bible qui nous montre cela ?
Re: L'âme meurt-elle ?
Posté : 26 oct.13, 03:18
par J'm'interroge
@ medico:
J'm'interroge a écrit :Je me base
uniquement sur la Bible dans mes affirmations plus haut. N'invoque pas Platon, rien à voir!
-----> Donne moi la définition biblique de psykhe s'il te plait!
------> et tant qu'on y est, celle de l'homme intérieur" dont parle Paul.
Merci d'avance.
J'attends tes réponses, merci.
_________________________________
@ franck 17360:
franck17360 a écrit :
Mais l'être animé ne peut pas être l'association du corps inerte et de l'homme intérieur ?
Bibliquement:
- 1) Les âmes ou êtres vivants sont la réunion d'un corps et du "souffle de vie": nephesh = corps + Ruah (ou corps + Pneuma)
- 2) l'homme est une âme ou un être vivant de la même manière qu'un animal, mais il est en plus une "âme" (psykhe) en tant qu' "homme intérieur".
-----> l' homme c'est une
"âme"(1) et une
"âme vivante"(2). Le concept d'âme regroupe donc deux notions bibliques distinctes.
====> l' "homme intérieur" est animé par la
vie de l'Esprit, son corps est animé par le
souffle divin.
La "chair" ce sont l'ensemble des pulsions non spirituelles de l'homme, l' "homme intérieur" c'est la partie spirituelle de l'homme, celle qui est à l'image de "Dieu" et qui est destinée à rejoindre sa demeure céleste (celle qui vient d'en haut d'après Paul...) La chair et les oeuvre de la chair étant ce qui sera détruit comme par le feu. le Corps ("le vêtement du dessus") subira la corruption
Amicalement.
Re: L'âme meurt-elle ?
Posté : 26 oct.13, 04:30
par medico
l'enseignement de l'immortailté de l'âme et quoi que tu en dise ne trouve pas sa source dans la bible mais dans la plilosophie.
Commentaire de la bible Osty sur le livre de la Sagesse.

il bien question de l'influence grecque.
la suite a venir.
Re: L'âme meurt-elle ?
Posté : 26 oct.13, 04:44
par medico


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Re: L'âme meurt-elle ?
Posté : 26 oct.13, 05:28
par franck17360
medico a écrit :

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Si tu lis bien, il parle de l'immortalité de l'âme... ou tout du moins que l'âme survit dans "l'au-delà"...
Re: L'âme meurt-elle ?
Posté : 26 oct.13, 06:15
par medico
c'est ce que je veux faire comprendre le mot immortalité de l'âme ne se trouve pas dans la bible sauf dans les livres apocryphes qui ont subi l'influence des philosophes grecques.
D’où vient la notion d’immortalité de l’âme ?
Depuis le début de l’histoire humaine, la mort a sans cesse effrayé les hommes qui ont constamment essayé de comprendre ce qui se passe au-delà de cette échéance ultime. Face au néant insupportable, ceux-ci ont toujours tenté de nier la mort en se rattachant à l’idée apaisante d’une survie immédiate. Pour la majorité des hommes de chaque civilisation, l’antique notion d’immortalité de l’âme semble donc avoir été une réponse rassurante – mais imparfaite – à l’angoisse de l’au-delà.
Selon cette conception, l’âme survit tel un « double du vivant ». Ainsi, la mort n’est pas vraiment la mort puisque « la vie » se poursuit sous une autre forme ! Plus ou moins différente selon les peuples – nous nous limiterons à un rapide aperçu historique –, la représentation de la vie de l’âme après la mort du corps a toujours été empreinte de mystère. Et cet aspect a généralement induit la crainte (peur de l’enfer, pensée que l’âme pourrait interagir avec les vivants) dans le cœur des hommes, un sentiment qui aujourd’hui encore dans nos sociétés occidentales, influence considérablement le culte rendu à « l’âme de nos morts » !
L’immortalité de l’âme est donc une idée qui remonte à la nuit des temps. On trouve déjà, en effet, la notion d’âme survivant après la mort chez les ancêtres lointains des tribus animistes d’Afrique. Pour les Egyptiens, « l’âme, après la mort, va se joindre aux étoiles innombrables (version la plus antique) ou se fondre dans l’âme universelle qui habite le soleil (version panthéiste plus tardive) (6) ». Inconnue jusqu’alors, la pensée de l’immortalité de l’âme apparaît en Grèce au VIe siècle av. J.-C. à travers l’orphisme, courant religieux issu du mythe d’Orphée, enseignant à la fois l’immortalité de l’âme et la réincarnation.
Disciple de l’orphisme, le philosophe Pythagore, lui aussi, n’accepte pas que la vie s’achève par la mort ! A son tour, il influence fortement l’autre philosophe grec – non moins célèbre – Platon (427-347 av. J. C.) pour qui l’âme est immortelle et de nature divine. Ce dernier cherche à le prouver dans son œuvre, le Phédon : « Ce qui est divin, immortel, intelligible, ce qui est indissoluble et possède toujours en même façon son identité à soi-même, voilà à quoi l’âme ressemble le plus. »
Si, jusqu’au milieu du IIe siècle, les premiers chrétiens fidèles à la Bible – qui appréhende l’homme dans son unité – ne se laissent pas séduire par le platonisme, ce n’est plus le cas à partir du IVe siècle. Au fil des années, de façon remarquable, cette idée d’immortalité de l’âme chère au « grand Platon » s’impose de plus en plus à l’esprit des philosophes et des Pères de l’Eglise qui l’adoptent et tentent de l’affiner avant de l’intégrer au christianisme !
Re: L'âme meurt-elle ?
Posté : 26 oct.13, 08:42
par franck17360
medico a écrit :c'est ce que je veux faire comprendre le mot immortalité de l'âme ne se trouve pas dans la bible sauf dans les livres apocryphes qui ont subi l'influence des philosophes grecques.
Tout dépend comment la bible est interprétée.
Re: L'âme meurt-elle ?
Posté : 26 oct.13, 09:18
par medico
tu ne peut pas interpreter un mot qui n'existe pas.imortalité de l'âme cette expression ne se trouve pas dans la bible.
Re: L'âme meurt-elle ?
Posté : 26 oct.13, 09:19
par franck17360
medico a écrit :tu ne peut pas interpreter un mot qui n'existe pas.imortalité de l'âme cette expression ne se trouve pas dans la bible.
Tout comme vie éternelle sur la terre...
Re: L'âme meurt-elle ?
Posté : 26 oct.13, 22:47
par medico
si justement mais ce n'est pas le sujet .c'est dit dans le notre père que ta volonté se fasse sur la terre .pour que la volonté de Dieu se fasse sur la terre il faut bien qu'il y a des habitans.
Re: L'âme meurt-elle ?
Posté : 26 oct.13, 22:49
par medico
D’où vient la notion d’immortalité de l’âme ?
Depuis le début de l’histoire humaine, la mort a sans cesse effrayé les hommes qui ont constamment essayé de comprendre ce qui se passe au-delà de cette échéance ultime. Face au néant insupportable, ceux-ci ont toujours tenté de nier la mort en se rattachant à l’idée apaisante d’une survie immédiate. Pour la majorité des hommes de chaque civilisation, l’antique notion d’immortalité de l’âme semble donc avoir été une réponse rassurante – mais imparfaite – à l’angoisse de l’au-delà.
Selon cette conception, l’âme survit tel un « double du vivant ». Ainsi, la mort n’est pas vraiment la mort puisque « la vie » se poursuit sous une autre forme ! Plus ou moins différente selon les peuples – nous nous limiterons à un rapide aperçu historique –, la représentation de la vie de l’âme après la mort du corps a toujours été empreinte de mystère. Et cet aspect a généralement induit la crainte (peur de l’enfer, pensée que l’âme pourrait interagir avec les vivants) dans le cœur des hommes, un sentiment qui aujourd’hui encore dans nos sociétés occidentales, influence considérablement le culte rendu à « l’âme de nos morts » !
L’immortalité de l’âme est donc une idée qui remonte à la nuit des temps. On trouve déjà, en effet, la notion d’âme survivant après la mort chez les ancêtres lointains des tribus animistes d’Afrique. Pour les Egyptiens, « l’âme, après la mort, va se joindre aux étoiles innombrables (version la plus antique) ou se fondre dans l’âme universelle qui habite le soleil (version panthéiste plus tardive) (6) ». Inconnue jusqu’alors, la pensée de l’immortalité de l’âme apparaît en Grèce au VIe siècle av. J.-C. à travers l’orphisme, courant religieux issu du mythe d’Orphée, enseignant à la fois l’immortalité de l’âme et la réincarnation.
Disciple de l’orphisme, le philosophe Pythagore, lui aussi, n’accepte pas que la vie s’achève par la mort ! A son tour, il influence fortement l’autre philosophe grec – non moins célèbre – Platon (427-347 av. J. C.) pour qui l’âme est immortelle et de nature divine. Ce dernier cherche à le prouver dans son œuvre, le Phédon : « Ce qui est divin, immortel, intelligible, ce qui est indissoluble et possède toujours en même façon son identité à soi-même, voilà à quoi l’âme ressemble le plus. »
Si, jusqu’au milieu du IIe siècle, les premiers chrétiens fidèles à la Bible – qui appréhende l’homme dans son unité – ne se laissent pas séduire par le platonisme, ce n’est plus le cas à partir du IVe siècle. Au fil des années, de façon remarquable, cette idée d’immortalité de l’âme chère au « grand Platon » s’impose de plus en plus à l’esprit des philosophes et des Pères de l’Eglise qui l’adoptent et tentent de l’affiner avant de l’intégrer au christianisme !
Re: L'âme meurt-elle ?
Posté : 31 oct.13, 03:00
par franck17360
1 Corinthiens 15:50: "Cependant, je dis ceci, frères, que la chair et le sang ne peuvent hériter du royaume de Dieu, et que la corruption non plus n’hérite pas de l’incorruptibilité"