Re: ISSA as, le prophete
Posté : 07 mars18, 02:01
Ce que je trouve dommage, c'est qu'Omar oublie les engagements de Dieu, engagements qu'il fait par des promesses ou alliances unilatérales (c'est à dire de sa part).
Par exemple, tu liras Exode 19:6 où il y a une condition, et là tu peux te dire : bon la condition n'a pas été remplie et Dieu aurait passé à autre chose avec un tout autre peuple. Mais Dieu s'était déjà engagé unilatéralement et sans condition : voir alliance et promesses faites à Abraham, Isaac et Jacob.
Je ne parlerais pas de la bénédiction qui vient par la semence d'Abraham au sujet de toutes les familles du sol car elle s'accomplira sous le royaume messianique et pas avant.
Je parle de l'alliance faite à Isaac au sujet des nations et qui est donnée à Jacob qui sera appelé Israël.
Par la suite Jacob sous l'inspiration divine écrira que Shilo sortira de Juda comme le dernier roi, et qu'il sera un roi éternel.
Si tu as bien suivi, la défection d'Israël selon la chair (et particulièrement la prêtrise) n'invalide en rien l'alliance de Dieu et ses promesses qui ici sont inconditionnelles. Ce qui signifie que Dieu n'a pas choisi un autre peuple pour produire une autre semence à qui appartiendra le bâton de commandement.
Autrement dit, si je prends comme base de raisonnement les engagements de Dieu, je m'aperçois que le salut ne vient pas d'Ismaël mais d'Israël. C'est d'ailleurs dans cette optique que Dieu nous rélève la nouvelle alliance (Jérémie 31:31-34)
Ce que Jésus confirme, la nation qui produirait les fruits serait une forme de régénération d'Israël sur une alliance meilleure que celle passée avec Moïse. Mais cette fois, on entre dans quelque chose de nouveau, mais toujours pas de salut venant d'Ismaël;
Paul a aussi été clair et comme il le dit, il s'agit d'un drame symbolique, or un drame, ça se finit toujours mal. Ce n'est pas du burlesque, ni de la comédie.

Par exemple, tu liras Exode 19:6 où il y a une condition, et là tu peux te dire : bon la condition n'a pas été remplie et Dieu aurait passé à autre chose avec un tout autre peuple. Mais Dieu s'était déjà engagé unilatéralement et sans condition : voir alliance et promesses faites à Abraham, Isaac et Jacob.
Je ne parlerais pas de la bénédiction qui vient par la semence d'Abraham au sujet de toutes les familles du sol car elle s'accomplira sous le royaume messianique et pas avant.
Je parle de l'alliance faite à Isaac au sujet des nations et qui est donnée à Jacob qui sera appelé Israël.
Par la suite Jacob sous l'inspiration divine écrira que Shilo sortira de Juda comme le dernier roi, et qu'il sera un roi éternel.
Si tu as bien suivi, la défection d'Israël selon la chair (et particulièrement la prêtrise) n'invalide en rien l'alliance de Dieu et ses promesses qui ici sont inconditionnelles. Ce qui signifie que Dieu n'a pas choisi un autre peuple pour produire une autre semence à qui appartiendra le bâton de commandement.
Autrement dit, si je prends comme base de raisonnement les engagements de Dieu, je m'aperçois que le salut ne vient pas d'Ismaël mais d'Israël. C'est d'ailleurs dans cette optique que Dieu nous rélève la nouvelle alliance (Jérémie 31:31-34)
Ce que Jésus confirme, la nation qui produirait les fruits serait une forme de régénération d'Israël sur une alliance meilleure que celle passée avec Moïse. Mais cette fois, on entre dans quelque chose de nouveau, mais toujours pas de salut venant d'Ismaël;
Paul a aussi été clair et comme il le dit, il s'agit d'un drame symbolique, or un drame, ça se finit toujours mal. Ce n'est pas du burlesque, ni de la comédie.