Posté : 15 sept.08, 03:59
Qui ne souffre pas, donc qui ne ressent rien, donc... mort.l'espoir a écrit :ma nature humaine me pousse à adorer Un être Parfait, qui ne nous ressemble pas et qui ne souffre pas!
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Qui ne souffre pas, donc qui ne ressent rien, donc... mort.l'espoir a écrit :ma nature humaine me pousse à adorer Un être Parfait, qui ne nous ressemble pas et qui ne souffre pas!
justement Ren', Un être parfait ne meurt pas!Ren' a écrit : Qui ne souffre pas, donc qui ne ressent rien, donc... mort.
La chose que vous ne réalisez pas, vous, les Musulmans, c'est que Jésus de Nazareth devrait accomplir cette parole de l'Ancien Testament à l'effet que tout genou fléchira devant lui, le "juste", lorsqu'il "fleurira" sur cette terre! (Psaume 72,7-14) Or, étonamment, nous avons cette déclaration de notre ami Saul qui dit "qu'au nom de Jésus tout genou fléchisse dans les cieux, sur la terre et sous la terre"!.. ce qui, normalement, devrait également vous inclure, vous, les Musulmans, ainsi que tous les habitants du désert! (Phil 2,10)l'espoir a écrit :18.4. et afin aussi d’avertir ceux qui prêtent à Dieu une progéniture, 18.5. alors qu’ils n’en ont aucune preuve, pas plus que n’en avaient leurs pères. Quel monstrueux blasphème et quel horrible mensonge !
5.75. Le Messie, fils de Marie, n’est qu’un prophète comme tant d’autres qui l’ont précédé. Sa mère était véridique, et tous les deux se nourrissaient comme tous les mortels. Voyez avec quel soin Nous leur expliquons Nos versets ! Et voyez comme ils s’en détournent !
la souffrance est humaine et non pas divine!Ren' a écrit :Qui ne souffre pas, donc qui ne ressent rien, donc... mort.
Il est le Vivant, nous sommes d'accord ; donc Il ressent ; donc Il peut souffrir. Car Il nous aime.l'espoir a écrit :c'est Le Vivant!
Voici un extrait du Catéchisme de l'Eglise Catholique quant à la mort du Christ :l'espoir a écrit :Jésus (selon vous) est mort sur la croix...
624 Par la grâce de Dieu, au bénéfice de tout homme, il a goûté la mort (He II, 9). Dans son dessein de salut, Dieu a disposé que son Fils non seulement "mourrait pour nos péchés" (1 Co XV, 3) mais aussi qu’il "goûterait la mort", c’est-à-dire connaîtrait l’état de mort, l’état de séparation entre son âme et son corps, durant le temps compris entre le moment où il a expiré sur la croix et le moment où il est ressuscité. Cet état du Christ mort est le mystère du sépulcre et de la descente aux enfers. C’est le mystère du Samedi Saint où le Christ déposé au tombeau (cf. Jn 19, 42) manifeste le grand repos sabbatique de Dieu (cf. He 4, 7-9) après l’accomplissement (cf. Jn 19, 30) du salut des hommes qui met en paix l’univers entier (cf. Col 1, 18-20).
625 Le séjour du Christ au tombeau constitue le lien réel entre l’état passible du Christ avant Pâque et son actuel état glorieux de Ressuscité. C’est la même personne du "Vivant" qui peut dire : "J’ai été mort et me voici vivant pour les siècles des siècles" (Ap I, 18) : "Dieu [le Fils] n’a pas empêché la mort de séparer l’âme du corps, selon l’ordre nécessaire à la nature, mais il les a de nouveau réunis l’un à l’autre par la Résurrection, afin d’être lui-même dans sa personne le point de rencontre de la mort et de la vie en arrêtant en lui la décomposition de la nature produite par la mort et en devenant lui-même principe de réunion pour les parties séparées" (S. Grégoire de Nysse)
626 Puisque le "Prince de la vie" qu’on a mis à mort (Ac III, 15) est bien le même que "le Vivant qui est ressuscité" (Lc XXIV, 5-6), il faut que la personne divine du Fils de Dieu ait continué à assumer son âme et son corps séparés entre eux par la mort : "Du fait qu’à la mort du Christ l’âme a été séparée de la chair, la personne unique ne s’est pas trouvée divisée en deux personnes ; car le corps et l’âme du Christ ont existé au même titre dès le début dans la personne du Verbe ; et dans la mort, quoique séparés l’un de l’autre, ils sont restés chacun avec la même et unique personne du Verbe" (S. Jean Damascène)
si justement écoute Dieu dans le coran nous enseigner que ce qu'ils font c'est machiavéliqueJe m'attendais à cette réponse... Alors il y a beaucoup de discussion à ce sujet... Disons juste qu'en suivant la croyance chrétienne... En Adorant Jésus, Ils adorent Dieu, Donc pas de différence...
si jésus n'est pas comme nous par sa naissance alors adam est plus grand que lui puisque adama n'a pas d epère ni mère alors que jésus a une mère, tu fais fausse route mariIl ne faut pas faire semblant de ne pas comprendre, Jésus n'est pas comme nous, il n'est pas né comme nous, il est le messie, né de la parole divine, (le fils = la parole), (le souffle de vie = le saint esprit) le plus grand envoyé de Dieu, le message le plus grand, vous avez le droit de ne pas être d'accord...
faux, jésus n'a jaamis dit une telle énormité il a dit dans l'évangile que tu dois adorer Dieu et a lui seul tu rendras un culteMais le résultat c'est que c'est quand même Dieu qu'ils adorent, en passant par Jésus...
faut savoir que paul ne parle que pour lui même jamais jésus n'a dit que tous devait fléchir le genou devant lui jamaissceptique a écrit : La chose que vous ne réalisez pas, vous, les Musulmans, c'est que Jésus de Nazareth devrait accomplir cette parole de l'Ancien Testament à l'effet que tout genou fléchira devant lui, le "juste", lorsqu'il "fleurira" sur cette terre! (Psaume 72,7-14) Or, étonamment, nous avons cette déclaration de notre ami Saul qui dit "qu'au nom de Jésus tout genou fléchisse dans les cieux, sur la terre et sous la terre"!.. ce qui, normalement, devrait également vous inclure, vous, les Musulmans, ainsi que tous les habitants du désert! (Phil 2,10)
Et, que cela vous plaise ou non, il est clairement spécifié dans le véritable évangile que Jésus est le "Fils du Dieu" vivant auquel vous aurez tous à rendre des comptes lorsqu'il reviendra pour rendre à chacun selon ce qu'auront été ses oeuvres! (Apoc 22,12)
Ceci n'est pas tout à fait exact, Iliasin! Dans le livre de l'Apocalypse, nous pouvons lire ceci : "Quand il (l'agneau = Jésus) eut pris le livre, les quatre êtres vivants et les vingt-quatre vieillards se prosternèrent devant l'agneau, tenant chacun une harpe et des coupes d'or remplies de parfums, qui sont les prières des saints."! (Apoc 5,8)iliasin a écrit :faut savoir que paul ne parle que pour lui même jamais jésus n'a dit que tous devait fléchir le genou devant lui jamais
paul s'est trompé, celui qui faut suivre c'est jésus pas paul, jésus a dit seul Dieu doit être adoré
Luc 4:8 Et Jésus, lui répondant, dit : Il est écrit : «Tu rendras hommage au Seigneur ton Dieu, et tu le serviras lui seul»
voyez clair on ne doit adorer que Dieu seul, du témoignage de jésus christ
Selon La Sainte Bible donc selon les chrétiens.l'espoir a écrit : justement Ren', Un être parfait ne meurt pas!
c'est Le Vivant!
Jésus (selon vous) est mort sur la croix...
Il n'est pas que Parfait Il est plein d'Amour pour sa création. Heureusement que nous n'avons pas un Dieu regarde que son nombril !l'espoir a écrit : la souffrance est humaine et non pas divine!
un dieu qui souffre est loin d'être parfait
Il nous aime oui, Il nous pardonne, Il nous guide, Il nous écoute, Il est poche mais Il ne souffre pas!Ren' a écrit : Il est le Vivant, nous sommes d'accord ; donc Il ressent ; donc Il peut souffrir. Car Il nous aime.
624 Par la grâce de Dieu, au bénéfice de tout homme, il a goûté la mort (He II, 9). Dans son dessein de salut, Dieu a disposé que son Fils non seulement
Dieu pardonne nos péché une fois qu'on le Lui demande, Il est capable de tous!"mourrait pour nos péchés"
mais Dieu connait l'état de mort car c'est Lui qui a créé la vie et la mort(1 Co XV, 3) mais aussi qu’il "goûterait la mort", c’est-à-dire connaîtrait l’état de mort, l’état de séparation entre son âme et son corps, durant le temps compris entre le moment où il a expiré sur la croix et le moment où il est ressuscité. Cet état du Christ mort est le mystère du sépulcre et de la descente aux enfers. C’est le mystère du Samedi Saint où le Christ déposé au tombeau (cf. Jn 19, 42) manifeste le grand repos sabbatique de Dieu (cf. He 4, 7-9) après l’accomplissement (cf. Jn 19, 30) du salut des hommes qui met en paix l’univers entier (cf. Col 1, 18-20).
625 Le séjour du Christ au tombeau constitue le lien réel entre l’état passible du Christ avant Pâque et son actuel état glorieux de Ressuscité. C’est la même personne du "Vivant" qui peut dire : "J’ai été mort et me voici vivant pour les siècles des siècles" (Ap I, 18) : "Dieu [le Fils] n’a pas empêché la mort de séparer l’âme du corps, selon l’ordre nécessaire à la nature, mais il les a de nouveau réunis l’un à l’autre par la Résurrection, afin d’être lui-même dans sa personne le point de rencontre de la mort et de la vie en arrêtant en lui la décomposition de la nature produite par la mort et en devenant lui-même principe de réunion pour les parties séparées" (S. Grégoire de Nysse)
626 Puisque le "Prince de la vie" qu’on a mis à mort (Ac III, 15) est bien le même que "le Vivant qui est ressuscité" (Lc XXIV, 5-6), il faut que la personne divine du Fils de Dieu ait continué à assumer son âme et son corps séparés entre eux par la mort : "Du fait qu’à la mort du Christ l’âme a été séparée de la chair, la personne unique ne s’est pas trouvée divisée en deux personnes ; car le corps et l’âme du Christ ont existé au même titre dès le début dans la personne du Verbe ; et dans la mort, quoique séparés l’un de l’autre, ils sont restés chacun avec la même et unique personne du Verbe" (S. Jean Damascène)
Ce qui est faiblesse aux yeux des hommes n'a aucun sens au regard de Dieu. Seul Celui qui n'a rien à craindre peut se permettre ce qui pour nous est faiblesse. Nul besoin de démonstrations de force dans ce cas...l'espoir a écrit :la souffrance est une faiblesse et Dieu n'est pas faible!
c'est vrai, et c'est ce que nous dit la Parole de Dieu.Ren' a écrit :Ce qui est faiblesse aux yeux des hommes n'a aucun sens au regard de Dieu.
et qui t'as dit que la souffrance était une faiblesse? Elle nous rapproche souvent de Dieu, Aimer c'est aussi accepter de souffrir, et ça va toujours dans les 2sens, c'est réciproque... Si Dieu ne souffrait pas, il n'aurait pas non plus de Colère, et il ne pourrait pas non plus être déçu... Et il ne pourrait pas non plus aimer... ça n'est pas une faiblesse mais une force...Il nous aime oui, Il nous pardonne, Il nous guide, Il nous écoute, Il est poche mais Il ne souffre pas!
la souffrance est une faiblesse et Dieu n'est pas faible!