Posté : 25 mai06, 09:58
Merci pour ton témoignage. Je l'ai lu avec intérêt.
Chacun a un parcours différent et tire des leçons pour lui-même qui l'enrichissent.
Maintenant, pour moi, un prêtre n'est qu'un homme, pas plus, ni moins.
Mais ceci estunpoint de vue de réformé.
Pour un catholique, un prêtre est plus quec e qu'il est, il incarne le sacré en le représentant. C'estsans doute pour cela que la déception est grande car les gens les voient en tant qu'homme exemplaire à suivre.Ils sont censés être des modèles de vertu à suivre.
Pour moi, ils ne sont que des hommes et quand ils ont failli, c'est devant la Justice des hommes qu'ils doivent répondre et non se retrancher, comme il arrive quelque fois, derrière le sacré ou le secret de la confession.
En tant qu'hommes exerçant une autorité sur d'autres, leur punition doit être "sans circonstance atténuante", en principe. Mais, en matière de sexualité,je comprends leurs chutescar leur voeu est impossible à tenir. Ici, c'est àl'Eglise Institution de changer et de cesser d'obliger des hommes dans la force de l'âge de renoncer à ce qui est sacré aux yeux de Dieu: la sexualité fait participer l'homme à l'oeuvre créatrice de Dieu. Y renoncer n'est donc pas sans poser de séreiux problèmes et s'exposer à des blessures psychologiques ou à des chutes "naturelles" répétées, mais s'atténuant avec le temps. Lesdécideurs sont presque tous des vieillards dans l'Eglise romaine... ceci explique cela.
Salut
Chacun a un parcours différent et tire des leçons pour lui-même qui l'enrichissent.
Maintenant, pour moi, un prêtre n'est qu'un homme, pas plus, ni moins.
Mais ceci estunpoint de vue de réformé.
Pour un catholique, un prêtre est plus quec e qu'il est, il incarne le sacré en le représentant. C'estsans doute pour cela que la déception est grande car les gens les voient en tant qu'homme exemplaire à suivre.Ils sont censés être des modèles de vertu à suivre.
Pour moi, ils ne sont que des hommes et quand ils ont failli, c'est devant la Justice des hommes qu'ils doivent répondre et non se retrancher, comme il arrive quelque fois, derrière le sacré ou le secret de la confession.
En tant qu'hommes exerçant une autorité sur d'autres, leur punition doit être "sans circonstance atténuante", en principe. Mais, en matière de sexualité,je comprends leurs chutescar leur voeu est impossible à tenir. Ici, c'est àl'Eglise Institution de changer et de cesser d'obliger des hommes dans la force de l'âge de renoncer à ce qui est sacré aux yeux de Dieu: la sexualité fait participer l'homme à l'oeuvre créatrice de Dieu. Y renoncer n'est donc pas sans poser de séreiux problèmes et s'exposer à des blessures psychologiques ou à des chutes "naturelles" répétées, mais s'atténuant avec le temps. Lesdécideurs sont presque tous des vieillards dans l'Eglise romaine... ceci explique cela.
Salut