Les musulmans et la destruction programmée de la civilisation humaine
Publié le 28 septembre 2016 - par Bernard Dick - 9 commentaires - 1 232 vues
L’article suivant, publié le 24/09/2016 sur le site des laïques arabes ssrcaw, est de Saleh Hammayé, écrivain et journaliste. Il y dénonce le rôle destructeur de l’islam face à la culture et face à la civilisation en Occident et ailleurs. Nous avons souhaité porter son analyse à la connaissance des Français et des francophones, même si nous ne la partageons pas dans sa totalité (NDT).
Nombreux sont ceux qui ont critiqué la Conseillère allemande Merkel sur sa position envers les réfugiés syriens quand elle a décidé de les accueillir en Allemagne. Et nombreux aussi sont ceux qui blâment aujourd’hui les démocraties occidentales en raison de la liberté qu’elles accordent aux musulmans pour vivre comme ils l’entendent là-bas, liberté qu’ils considèrent comme des choix qui se termineront par des catastrophes pour ces démocraties. Ils estiment en effet que les musulmans vont exploiter cette liberté uniquement pour démolir et détruire ces sociétés. Et de ce fait, des voix se font entendre haut pour dénoncer et mettre en garde contre ces démarches catastrophiques. D’une façon générale et exprimant notre accord de principe avec cette opinion, nous considérons que la politique suivie par les Etats occidentaux aujourd’hui envers les musulmans, et que le laissez-faire qu’ils leur donnent et qui leur permet de propager les idées extrémistes ne seront qu’un désastre pour ces sociétés. L’Occident est-il stupide quand il se montre conciliant avec les musulmans malgré tous les torts qu’ils lui occasionnent ? Ou existe-t-il d’autres causes plus complexes qui interviennent dans ce domaine ?
Par rapport à cette question, la réponse est bien sûr : Non, il n’est pas stupide. Mais il faut souligner quelques points. Ce qui échappe à ceux qui lancent cette critique sur le laxisme de l’Occident face à l’extrémisme des musulmans, c’est qu’à l’origine, ces pays sont démocratiques. Or, se lancer dans la répression ne fait pas partie de leurs premiers choix, comme c’est le cas chez nous [dans les pays arabes]. Par ailleurs, ces pays ont la phobie des politiques fascistes et du comportement totalitaire. Par conséquent, l’Occident démocratique, en général, a une politique d’ouverture à l’autre, par idéologie ou par intérêt. Il ne s’en défait pas facilement car l’Occident a expérimenté le fascisme au temps d’Hitler et de Mussolini et il n’en a recueilli que la destruction. D’autre part, les sociétés occidentales sont des sociétés qui perçoivent la valeur de la diversité, donc elles protègent cette diversité. L’Amérique, bien sûr, en est la meilleure preuve. L’Amérique est un pays construit par les immigrés. En Amérique, tout immigré a la liberté de mettre en valeur sa culture et son identité dans le cadre national cohérent que sont les Etats-Unis d’Amérique. Nous trouvons, bien sûr, la même situation en Europe. Les démocraties européennes ont ouvert leur porte aux immigrés, elles leur ont permis de faire valoir leur cultures et leurs façons de vivre pour qu’elles progressent en richesse et en diversité. L’Indien montre sa culture, le Chinois expose la sienne, le Japonais, l’Africain aussi et tous en font autant, de même les Européens entre eux. Dans cette optique, l’ambiance de liberté devient un moyen de richesse et de diversité et un moyen de construire une véritable culture à laquelle tous les humains participent par leur pensée, leur croyance, leur créativité. C’est ce que nous voyons actuellement prendre corps dans les démocraties occidentales où vous trouvez des entreprises dont les ouvriers sont de nationalités diverses. Vous trouvez aussi dans chaque ville une rue pour une culture : il y a le quartier chinois, le quartier indien ou mexicain etc… Le tout dans le cadre d’un vivre-ensemble pacifique et constructif. Mais quand le problème a-t-il commencé ?
Le problème a commencé, bien sûr, avec l’entrée des musulmans sur la voie migratoire vers l’Ouest et avec l’exploitation de cette même liberté. Le musulman est différent de l’Indien, du Chinois et même du musulman non soumis à l’idéologie (« le musulman de nom » (1)), il n’apporte aucune pensée, aucune culture, aucun style de vie qui pourraient être considérés comme différents. Le musulman, ce qui est regrettable, est un être imbu d’une idéologie criminelle et fasciste dont le premier et le dernier but sont de soumettre le monde à sa domination. Partant de ce principe et quand une liberté lui est très largement accordée, le musulman ne cherche pas à l’exploiter pour diffuser sa culture locale, comme l’ont fait les Chinois avec leurs restaurants chinois, les Indiens avec leurs festivals de couleurs, les Brésiliens qui ont diffusé leurs belles danses, la samba et la salsa etc… Le musulman arrive avec ses comportements archaïques connus : voile, niqab, burkini, sans parler de l’affront à la femme et des accusations d’incroyance envers les autres. Il ouvre les mosquées pour incuber le terrorisme et le mal. On considère globalement que les musulmans sont les seuls à ne pas avoir donné quelque chose aux sociétés où ils ont résidé : pas d’aspects culturels, pas d’art, pas de créativité qui soient offerts par les musulmans aux sociétés occidentales. En général, et ça va de soi, ils jettent l’anathème sur les créateurs et bannissent toutes les formes artistiques et musicales etc…qui auraient pu être une plus-value dans la société où ils vivent. Et même sur le plan vestimentaire (le seul élément qui peut te distinguer dans une société étrangère), les musulmans sont dans la décadence. La tenue musulmane ne peut être classée parmi les différentes catégories de modes. C’est un simple tissu minable pour ensevelir, vivantes, les femmes, c’est la barbe négligée pour les hommes. Voilà les témoins de l’appartenance idéologique qui rendent un vêtement racial détestable, dénaturant l’aspect du lieu bien plus qu’ils ne lui rendent service.
C’est ainsi que nous parvenons à la source de la problématique qui fait face aux démocraties occidentales. Le problème de l’infiltration des extrémistes pour razzier le corps occidental n’a pas pour fondement la stupidité occidentale qui a permis une large marge de liberté. Car la liberté, comme nous l’avons expliqué, est une chose positive et utile à tous. L’ouverture à l’autre est le meilleur qu’un pays puisse pratiquer mais le problème réside dans les musulmans et les musulmans seuls. Ce sont eux seuls qui ont profité de cette marge de liberté pour détruire et ravager, et actuellement, il n’y a personne d’autre que la colonie musulmane qui crée la destruction du pays qu’elle habite. Même si des musulmans ne provoquent pas des explosions ni ne pratiquent la terreur – cela est fréquent -, ces musulmans transmettent néanmoins aux membres de ces sociétés cette maladie mortelle qui est en eux. La présence de nombreux terroristes occidentaux dans les rangs de Da’ech en est la meilleure preuve. C’est à cause d’eux que souffre l’humanité entière, et dans tous les pays, il y a une angoisse, générée par ces fous qui visent à détruire le monde. Un simple tour dans l’un des aéroports internationaux suffit pour que vous perceviez la destruction qu’ils ont provoquée. Aujourd’hui, la plupart des aéroports du monde sont devenus des casernes à cause du terrorisme des musulmans, sans parler, bien sûr, de ce que souffre l’humanité, ici et là, à cause d’eux. Par conséquent, s’il fallait adresser un blâme, par crainte de voir disparaître l’humanisme incarné dans les démocraties occidentales, c’est aux musulmans et à aux seuls qu’il faut adresser ce blâme et non pas aux libertés en Occident. Cette liberté, cette ouverture à l’autre, c’est un gain humaniste sur lequel il ne faut pas reculer. Mais, ce qu’il faut faire, c’est combattre ce virus appelé les musulmans. La répression doit uniquement porter sur eux. Cette restriction ne devrait concerner qu’eux, jusqu’à ce qu’ils reviennent sur la juste voie. Bien sûr, il faut rappeler que cela n’est en rien du racisme quand nous disons qu’il faut cerner le musulman, car il ne s’agit pas de répression contre une race ni contre une couleur, ni contre une idéologie pacifique qui a tous les droits à la liberté de croyance, mais il s’agit d’une répression contre une catégorie de gens qu’il faut combattre. Comme nous combattons les voleurs, les terroristes et les tueurs, il faut combattre les musulmans en partant de ce principe qu’ils sont des éléments corrompus. Quant au non-musulman provenant d’un pays islamique ou quant au « musulman de nom » (celui qui met son appartenance nationale et humaniste devant son appartenance religieuse), il ne sera pas inclus [dans ces mesures], et c’est ce qui se passe actuellement. Nous trouvons en effet en Occident certaines personnes que l’on qualifie de musulmans et qui ont réussi et qui apportent une plus-value, même modeste, au pays où ils se trouvent. Citons par exemple les restaurants de cuisine proche-orientale, égyptienne, maghrebine (1) etc…Il y a aussi quelques apports artistiques comme la danse orientale ou le raï d’Algérie qui ajoutent au crédit artistique créatif du monde. Ce sont des apports bons et utiles. Nous constatons que toutes ces manifestations de civilisation ne se sont pas produites à partir d’un principe de prosélytisme religieux mais qu’elles furent un aspect de diffusion d’une culture locale. On ne doit pas imaginer que réprimer le musulman est une répression contre l’homme moyen-oriental ou nord-africain etc… Le but est de réprimer le porteur de l’épidémie. C’est cette même épidémie, à l’origine, qui a emporté les Etats de ces migrants. Le Syrien qui a fui vers l’Allemagne par exemple et qui aspire à appliquer sa charia là-bas, n’est parti vagabonder que pour proclamer l’islam qui a détruit son pays. Un tel individu ne doit pas jouir de la liberté car, comme les criminels, il propage le mal et la destruction. Tant de malheur, de terreur et de mort se sont abattus sur les pays des musulmans à cause de l’islam. Ça suffit. Pourquoi transposer cette épidémie aux pays de la civilisation humaniste ?
De là, et pour résumer ces propos, le blâme et tout le blâme va à l’encontre des musulmans et à eux seuls. Ceux-là doivent payer le prix de leurs actions. Il n’y a pas à réclamer l’abandon de la liberté, de l’ouverture et de l’accueil à l’autre pour toute race, couleur ou comportement. C’est cette liberté aujourd’hui qui fait de nous des humains civilisés. La faire disparaître, c’est faire disparaître notre humanisme.
Traduit de l’arabe par
Bernard Dick
(1) Ces musulmans que Saleh Hammayé appelle des « musulmans de nom » ne sont pas clairs dans leurs choix. La liberté offerte en Occident leur permet de quitter la religion dont ils ne partagent pas la doxa. Qu’ils aient le courage de proclamer qu’ils quittent leur religion ! Mais le problème est que les « musulmans de nom » veulent jouer sur les deux tableaux. Malgré eux, peut-être, ils représentent le cocon, le giron dans lequel se développent le fondamentalisme et le terrorisme. Si un jour l’islam arrive au pouvoir en Occident et applique la charia, ces « musulmans de nom » reviendront au bercail qu’ils n’ont jamais eu le courage de quitter réellement. Ils sont qualifiés pourtant d’hypocrites par l’islam lui-même. Il n’y a pas de « musulman de nom » ni de « musulman modéré » ni de « musulman laïque » ni de « musulman de France » ou d’ailleurs. Tous sont des « Français de papier », des « citoyens de papier » qui ne ressentent aucun devoir envers le pays d’accueil. Un musulman est un musulman et rien d’autre (NDT).
(2) Les restaurants sont aussi un moyen de propager la culture islamique dans la mesure où l’introduction de la viande halal fait partie du prosélytisme. De même les boucheries halal qui refusent de servir du porc. Ils doivent aussi être combattus (NDT).
Au 26/09/2016, nombre d’attaques terroristes islamiques mortelles :