Bien vu!ronronladouceur a écrit : 13 nov.25, 10:07 L'enfant à sa mère : Maman, je t'aime gros comme tout l'univers...
Excellent même je trouve! (mais bon ce n'est que mon avis)
Bien vu!ronronladouceur a écrit : 13 nov.25, 10:07 L'enfant à sa mère : Maman, je t'aime gros comme tout l'univers...
Je ne suis pas convaincu que ce soit dèbJ'm'interroge a écrit : 13 nov.25, 12:28 .
Si c'est pour échanger des propos aussi débi.les, le tchat est un lieu plus approprié.
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Le regard éperdu de cette corneille qui vient de se faire canarder dessus (oui excuse) en dit long sur le besoin d'être prise en compte dans ce Tout englobant Tout n'oubliant personneJ'm'interroge a écrit : 13 nov.25, 13:41 .
Une corneille a un niveau de réflexion supérieur à un enfant de cet âge.
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Valeur argumentative dans le cadre du débat qui nous intéresse : 0.aerobase a écrit : 13 nov.25, 13:57 Le regard éperdu de cette corneille qui vient de se faire canarder dessus (oui excuse) en dit long sur le besoin d'être prise en compte dans ce Tout englobant Tout n'oubliant personne
Pour quelque chose d'aussi vital car cela avoir a à voir avec cette demande de sens, je pense que cela demande réflexion avant de balayer ça d'un revers de la main à la suite d'une écriture mathématique qui ne dit pas le rapport que cela a à voir avec la main qui l'écrit propriété de celui qui va mourir juste deux minutes plus tard et qui aura ce même regard éperdu devant la Grande Faucheuse qui le foudroiera
J'ai perçu que tu étais dans la saisie immédiate du sens profond du mot tout dans la déclaration de l'enfant... Ce qui contrase avec le tout tel qu'analysé dans le topic jusqu'à maintenant...aerobase a écrit : 13 nov.25, 12:38 Je ne suis pas convaincu que ce soit dèb
À moins de considérer que le point de vue de l'Enfant n'a aucune valeur sinon il faut considérer la nature de ce point de vue
Si elle est imaginaire il faut le prouver (je ne pense pas que ce soit si évident)
Bref je me trompe peut être mais je ne balaye pas ça d'un revers de la main comme ça
En tout cas, elle présente l'avantage d'ouvrir la perspective et montre par le fait même le côté fermé de la raison qui agumente en circuit fermé. Pas étonnant que l'on n'en sorte pas...J'm'interroge a écrit : 14 nov.25, 02:15 Tu présentes la phrase de l’enfant comme si elle venait “aérer” ou “débloquer” la discussion, mais elle ne le fait pas, pour une raison simple : elle n’a strictement aucun lien conceptuel identifié avec le problème traité.
Peut-être, mais pas seulement... Je dirais qu'aerobase voit plus loin que cette simple considération d'affectivité puisqu'il est question du mot 'Tout' qui fait passer à une autre dimension... Une saisie immédiate sans en appeler à la raison, mais l'incluant tout en la dépassant, celle-ci étant vite débordée par l'essence que porte le mot dans la déclaration de l'enfant...Quand aérobase réagit à cette phrase, il ne produit pas une saisie immédiate du sens profond du mot "tout".
...
Il exprime seulement une sensibilité à la dimension affective de l’énoncé.
Il ne l'est pas. Pas de souci de mon côté...Et cela n’a rien à voir avec une compréhension conceptuelle du “Tout”, ni avec la question de savoir si une totalité peut ou non s’inclure elle-même, ou si un tel concept est cohérent.
Comme je le disais, il y a clarification quant à la limite de la réflexion se retrouvant tourner sur elle-même sans en sortir...Par conséquent, invoquer la phrase de l’enfant ne résout rien, ne clarifie rien, ne répond à aucune objection formulée plus haut. Cela ne dit rien sur l’auto-inclusion, rien sur la cohérence d’un système accès sur ce concept de "Tout", rien sur les stratifications logiques, rien sur le paradoxe. C’est simplement une diversion s'appuyant sur un autre usage du mot "tout", non conceptuel, non pertinent pour l’analyse.
Cette émotion fait partie du tout... Et le grand 'tout' sans limites les pointerait-il toutes, même si on ne peut en faire l'inventaire, tout comme pour les nombres réels...Bref : l’enfant exprime une émotion, pas une solution, et l’utiliser pour commenter Russell ou un paradoxe logique n’a aucune portée argumentative.
Il s'agit d'une totalité ouverte...Un "tout ouvert" n’est pas une totalité englobante.
C’est un ensemble non saturé, sans fermeture sur lui-même, qui n’a pas la prétention d’inclure "tout ce qui existe".
Il n’y a donc aucune auto-inclusion, aucun risque de régression, aucune contradiction de type Russell.
Le tout extensible, ouvert, correspond justement au tout absolu...Autrement dit :
un "tout ouvert" n’est pas un "Tout" qui engloberait tout, mais un ensemble extensible.
Et c’est exactement ce que je soutiens depuis le début :
dès que l’on renonce à l’idée d’un "Tout absolu", les paradoxes disparaissent.
C’est seulement l’idée d’un Tout fermé, complet, qui contient tout ce qui existe, qui engendre l’aporie.
L'Idée d'un ''tout absolu'' est incohérentre du fait que vous relativisez le sens du mot absolu... Et peut-être sommes-nous ici à la porte (fermée) du relatif... Pourtant semblant s'ouvrir sur le champ des possibles, mais dans des limites ne dépassant pas le relatif... Là où le possible s'arrête... Une autre aporie? Il semblerait bien...Donc oui, l’idée d’un "tout ouvert" est intéressante, mais elle montre exactement pourquoi l’idée d’un "Tout absolu" est incohérente :
dès qu’on veut fermer la totalité, la contradiction apparaît.
Dès qu’on laisse la totalité ouverte, la contradiction disparaît, mais précisément parce qu’on n’a plus affaire à une totalité stricte.
Je n'ai pas en mémoire que vous en avez parlé sur ce topic... Mais merci d'avoir éclairé le sujet...En résumé :
Le seul "tout" cohérent est un tout non-total au sens où il n'est pas conçu comme regroupant tout, mais comme ensemble ouvert.
Et c’est exactement ce que je dis depuis le début, et c'est précisément ce qui caractérise mon concept de champ des possibles.
Certes, en maths on peut s'amuser à poser "Soit E, l'ensemble de tous les ensembles sauf E lui-même".
Non. Ce n’est pas un élargissement de perspective, mais un simple changement de registre. La phrase de l’enfant ne crée pas d’ouverture conceptuelle, elle introduit simplement un énoncé affectif dans un débat logique.ronronladouceur a écrit : 14 nov.25, 03:47 En tout cas, elle présente l'avantage d'ouvrir la perspective et montre par le fait même le côté fermé de la raison qui agumente en circuit fermé. Pas étonnant que l'on n'en sorte pas...
Il n’y a pas de "saisie immédiate", ni d’essence révélée. Aérobase réagit à l’énoncé d’un enfant qui exprime un sentiment. Ce n’est pas un acte philosophique, ni une intuition conceptuelle.ronronladouceur a écrit : 14 nov.25, 03:47 Peut-être, mais pas seulement... Je dirais qu'aerobase voit plus loin que cette simple considération d'affectivité puisqu'il est question du mot 'Tout' qui fait passer à une autre dimension... Une saisie immédiate sans en appeler à la raison, mais l'incluant tout en la dépassant, celle-ci étant vite débordée par l'essence que porte le mot dans la déclaration de l'enfant...
Si tu admets que le concept d’un "Tout absolu" n’est pas cohérent, alors il faut en tirer les conséquences : la phrase de l’enfant, qui n’exprime pas un concept mais donne une image, ne peut pas illustrer ou éclairer un concept que tu reconnais toi-même comme incohérent.
Non. La phrase de l’enfant ne clarifie aucune limite de la réflexion. Elle ne montre pas un blocage conceptuel, elle n’éclaire aucun mécanisme logique, elle ne modifie en rien la structure du paradoxe. Elle introduit simplement un autre registre — affectif, métaphorique — qui n’est pas pertinent pour analyser un problème de clôture conceptuelle ou d’auto-inclusion.ronronladouceur a écrit : 14 nov.25, 03:47 Comme je le disais, il y a clarification quant à la limite de la réflexion se retrouvant tourner sur elle-même sans en sortir...
La distinction entre quantification universelle et totalité est effectivement standard en logique.ronronladouceur a écrit : 14 nov.25, 03:47 Poursuivant ma recherche, si j'ai bien compris, dans la logique formelle, on distinguerait quantification universelle (chaque élément pris séparément) et totalité (l’ensemble comme objet unique)? Bref, si c'est une question de polysémie, clarifions simplement...
C’est précisément ce que je réfute. Invoquer les émotions ne résout rien : cela ne permet en rien de traiter la contradiction logique qui naît d'un concept de "Tout englobant tout" absolu et clos.ronronladouceur a écrit : 14 nov.25, 03:47 Cette émotion fait partie du tout... Et le grand 'tout' sans limites les pointerait-il toutes, même si on ne peut en faire l'inventaire, tout comme pour les nombres réels...
Une "totalité ouverte" n’est pas une totalité absolue. C’est un ensemble extensible.
Non. C’est l’inverse.ronronladouceur a écrit : 14 nov.25, 03:47 Le tout extensible, ouvert, correspond justement au tout absolu...
Non. L’incohérence vient de la structure du concept, pas de mon interprétation.ronronladouceur a écrit : 14 nov.25, 03:47 L'Idée d'un ''tout absolu'' est incohérentre du fait que vous relativisez le sens du mot absolu... Et peut-être sommes-nous ici à la porte (fermée) du relatif... Pourtant semblant s'ouvrir sur le champ des possibles, mais dans des limites ne dépassant pas le relatif... Là où le possible s'arrête... Une autre aporie? Il semblerait bien...
Est-ce important si j'en ai parlé ici avant ou non ? J'en ai souvent parlé sur le Tchat.ronronladouceur a écrit : 14 nov.25, 03:47 Je n'ai pas en mémoire que vous en avez parlé sur ce topic... Mais merci d'avoir éclairé le sujet...
Cet exemple illustre exactement le cœur du problème : dès qu’on construit un "tout" censé rassembler l’ensemble des ensembles, on tombe sur la même difficulté que Russell. L’auto-inclusion n’est pas une option qu’on interdit arbitrairement : c’est un mécanisme structurel qui réapparaît immédiatement dès qu’on prétend définir une totalité englobante. Si E existe, alors son ensemble des parties existe. Et cet ensemble des parties inclut un objet qui, en un sens, "représente" E. Autrement dit, la contradiction revient parce qu’elle est inscrite dans la tentative même de fermer la totalité.pauline.px a écrit : 14 nov.25, 05:14 Certes, en maths on peut s'amuser à poser "Soit E, l'ensemble de tous les ensembles sauf E lui-même".
Tu soulèves toi-même la faiblesse de cette ligne de défense : elle ne résout rien. C’est simplement un déplacement du problème d’un niveau à l’autre. On évite la contradiction à un étage, mais elle réapparaît au-dessus. C’est exactement la dynamique des hiérarchies de types : on contient l’aporie en la repoussant, on ne l’élimine jamais. Ce n’est pas un défaut de compréhension : c’est une limite structurelle.pauline.px a écrit : 14 nov.25, 05:14 Néanmoins, si ce E existe alors existe aussi l'ensemble de toutes les parties de E, dont E est un élément.
Tu as raison d’en douter : cet argument n’est pas satisfaisant du tout.pauline.px a écrit : 14 nov.25, 05:14 Bon, bien sûr, on peut argüer que ce dernier E n'est pas un élément de E mais seulement un élément d'un élément de E mais je me demande si cet argument est vraiment satisfaisant.
Ah dommage, il y a eu un débat dans le débat, plutôt intéressant de mon point du vue.
C’est précisément la conclusion logique.pauline.px a écrit : 14 nov.25, 05:14 À quoi sert un TOUT qu'il soit petit ou gros, relatif ou absolu ? quand on ne peut pas avoir une idée assez précise de tout ce qu'il y a dedans, fût-ce par induction...
Vous le laissez entendre : ce qui est déterminant est le cadre...J'm'interroge a écrit : 14 nov.25, 08:02 Il n’y a pas de "saisie immédiate", ni d’essence révélée. Aérobase réagit à l’énoncé d’un enfant qui exprime un sentiment. Ce n’est pas un acte philosophique, ni une intuition conceptuelle.
Confondre cela avec une compréhension du concept de totalité, ou pire, avec un dépassement de la raison, revient à faire glisser la discussion hors de son cadre initial, dans un contexte discursif irrationnel et dans un cadre où il est possible d'affirmer tout et son contraire, autrement dit : tout et n'importe quoi.
Le cadre fermé ne peut être que relatif... Le voir, c'est le transcender...Si tu admets que le concept d’un "Tout absolu" n’est pas cohérent, alors il faut en tirer les conséquences : la phrase de l’enfant, qui n’exprime pas un concept mais donne une image, ne peut pas illustrer ou éclairer un concept que tu reconnais toi-même comme incohérent.
Je ne vois toujours pas le problème surtout quand on reconnaît le registre différent.Non. La phrase de l’enfant ne clarifie aucune limite de la réflexion. Elle ne montre pas un blocage conceptuel, elle n’éclaire aucun mécanisme logique, elle ne modifie en rien la structure du paradoxe. Elle introduit simplement un autre registre — affectif, métaphorique — qui n’est pas pertinent pour analyser un problème de clôture conceptuelle ou d’auto-inclusion. Ce que tu appelles "limite de la réflexion" n’est ici qu’un changement de sujet.
Les deux sont inclusifs du paradoxe...La distinction entre quantification universelle et totalité est effectivement standard en logique.
La quantification n’est pas une "ouverture" du sens du mot "tout".
C’est un opérateur formel.
La totalité, elle, est un objet.
Le paradoxe de Russell porte sur les objets, pas sur les quantificateurs.
Encore une fois, tu changes de sujet au lieu de traiter celui en question.
Non, il ne le peut pas... Il faut changer de vocabulaire vu que celui-ci porte à confusion. Le problème est imaginaire...C’est précisément ce que je réfute. Invoquer les émotions ne résout rien : cela ne permet en rien de traiter la contradiction logique qui naît d'un concept de "Tout englobant tout" absolu et clos.
Dire "cela fait partie du tout" ne répond pas aux questions : "Qu’est-ce qu’un tout qui contiendrait tout ?" et "Peut-il se contenir lui-même ?"
Totalité extensible à l'infini alors... Je ne vois pas le problème, j'énonce l'absolu de l'extension... Rien n'échappe à ce qui est...Une "totalité ouverte" n’est pas une totalité absolue. C’est un ensemble extensible.
C’est pourquoi il n’y a pas de contradiction.
Et c’est pourquoi ce que tu appelles "totalité ouverte" est exactement ce que la logique ne nomme pas un "Tout" comme tu le proposes.
C'est que l'incomplétude est relative... En d'autres mots, il faut regarder l'incomplétude même du concept d'incomplétude, et faire appel aux possibles...Le tout absolu, par définition, n’est pas extensible : s’il manque quelque chose, il n’est plus absolu.
Un ensemble ouvert n’est jamais absolu : il accepte l’incomplétude comme condition de cohérence.
L'auto-inclusion posant un problème ici, au nom de la cohérence, il n'y a qu'à l'éliminer... Déjà expliqué. Et si vous ne trouvez pas de solution qui vous satisfasse, peut-être devrez-vous considérer l'idée d'un faux problème...Un Tout absolu doit contenir tout ce qui existe.
Or, pour être cohérent, il ne doit pas se contenir lui-même. Mais s’il ne se contient pas lui-même, il n’est plus absolu.
La contradiction ne vient pas du langage, mais de l’exigence conceptuelle d’auto-inclusion.
Si c'est le langage trompeur qui qui bloque la perspective, disons plutôt ''ce qui est''...Tu affirmes que l’incohérence du "tout absolu" viendrait d’une mauvaise façon d’employer le mot absolu. Non : le problème vient du concept lui-même. Un "tout absolu" devrait inclure tout ce qui existe, donc rester ouvert à tout contenu possible. Mais il devrait aussi être une totalité close, achevée, sans rien à ajouter. Ces deux exigences se contredisent : on ne peut pas être à la fois ouvert et fermé.
Dans le cadre relatif...Une totalité close qui devrait se contenir elle-même est impossible : si elle s’inclut, elle cesse d’être distincte ; si elle ne s’inclut pas, elle cesse d’être totale.
Ce sont les niveaux qui se confrontent...L’idée d’un "tout ouvert" est cohérente, mais précisément parce qu’elle n’est plus une totalité au sens fort : c’est un ensemble extensible, indéfini. Cela n’a rien à voir avec un absolu. Parler d’un "Tout absolu ouvert" revient donc à combiner deux propriétés incompatibles.
Tout dépend du cadre et du regard...En bref :
– un "Tout absolu" est incohérent parce qu’il suppose une clôture impossible ;
– un "tout ouvert" est cohérent parce qu’il renonce à cette clôture ;
– l’ouverture sauve la cohérence, mais détruit l’absolu.
Bon. Et donc?Tu soulèves toi-même la faiblesse de cette ligne de défense : elle ne résout rien. C’est simplement un déplacement du problème d’un niveau à l’autre. On évite la contradiction à un étage, mais elle réapparaît au-dessus. C’est exactement la dynamique des hiérarchies de types : on contient l’aporie en la repoussant, on ne l’élimine jamais. Ce n’est pas un défaut de compréhension : c’est une limite structurelle.
L'absolu ici rend compte de tout... Et il ne peut en être autrement vu son caractère propre... Et il le faut absolument pour en rendre compte...Et inversement : le seul "tout" cohérent est un ensemble ouvert, extensible, non saturé.
Mais un "tout ouvert" n’est pas un "Tout" au sens strict : il ne prétend plus englober absolument tout. Il n’est qu’un domaine en expansion. Donc oui : la seule notion qui fonctionne est précisément celle qui renonce à l’absolu.
Aérobase, ton attaque personnelle ne vaut pas argument. Dire que je suis “vide et creux” ne répond à rien et n’éclaire rien. Si tu veux critiquer une idée, critique plutôt sa cohérence par des arguments logiques valables. Ici, ta remarque ne touche ni la logique de l’énoncé ni le problème conceptuel discuté. Tu tapes à côté.aerobase a écrit : 15 nov.25, 02:02 tu veux jouer au philosophe J'm'interroge mais tu est vide et creux
Comme tu ne sais pas ce qu'il y a dans le 'tout' de ta proposition "Il y a des touts mais pas un grand Tout qui engloberait tout" que soit disant tu aurai démontré
eh bien ta démonstration est aussi vide de sens que tous tes autres propos ici
Maintenant je te demande (une deuxième fois) vu que tu as parlé pour moi ici as tu regardé ce qu'il fallait voir dans cet épisode
"collection" de Starsky & Hutch https://pluto.tv/fr/on-demand/series/63 ... gI__vD_BwE
Est tu certain de savoir de quoi tu parles quand tu parles de moi dans tes derniers propos?
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