Et vous, qui dites vous qu'il est?
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Le dialogue interreligieux est une forme organisée de dialogue entre des religions ou spiritualités différentes. Ultérieurement, la religion a considéré l'autre comme n'étant pas la vérité révélée. C'est ainsi que les premiers contacts entre l'islam et le christianisme furent souvent difficiles, et donnèrent lieu à des guerres impitoyables comme les croisades.
Le dialogue interreligieux est une forme organisée de dialogue entre des religions ou spiritualités différentes. Ultérieurement, la religion a considéré l'autre comme n'étant pas la vérité révélée. C'est ainsi que les premiers contacts entre l'islam et le christianisme furent souvent difficiles, et donnèrent lieu à des guerres impitoyables comme les croisades.
- issa
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Ecrit le 25 avr.04, 06:25
d ou vient le hadith? j ai deja dit qu il y avait des hadith faible a lasquel on attache aucune importance,comme jean le dit chaque religion se dit etre dans la bonne voie et les autres dans l egarmement rien de nouveaux en cela ,par exemple je ne crois pas que le christianisme dit que les juifs sont dans la bonne voie il me semble? il faut savoir faire la part des choses
- nemo
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Ecrit le 25 avr.04, 06:46
Propos tenus par le pape JEAN-PAUL II durant l'AUDIENCE GÉNÉRALE
du Mercredi 28 avril 1999 :
... Il existe une longue période de l'histoire du salut que les chrétiens et les juifs ont parcourue ensemble. «A la différence des autres religions non chrétiennes - en effet - la foi juive est déjà une réponse à la révélation de Dieu dans l'Ancienne Alliance» (CEC, n. 839). Cette histoire est illuminée par une immense lignée de personnes saintes, dont la vie témoigne de la possession, dans la foi, des choses espérées. La Lettre aux Hébreux souligne précisément cette réponse de foi au cours de l'histoire du salut (cf. He 11) ...
du Mercredi 28 avril 1999 :
... Il existe une longue période de l'histoire du salut que les chrétiens et les juifs ont parcourue ensemble. «A la différence des autres religions non chrétiennes - en effet - la foi juive est déjà une réponse à la révélation de Dieu dans l'Ancienne Alliance» (CEC, n. 839). Cette histoire est illuminée par une immense lignée de personnes saintes, dont la vie témoigne de la possession, dans la foi, des choses espérées. La Lettre aux Hébreux souligne précisément cette réponse de foi au cours de l'histoire du salut (cf. He 11) ...
Ecrit le 25 avr.04, 06:55
Et moi je t'ai dit que les hadiths de Al Bukhari sont considéré comme Mouslim et Sahih. Tu as un problême avec? Tu vas voir l'imam du coin et tu te plains.
1) Voilà ce que les mouslimines disent de lui sur http://www.islamophile.org/spip/article141.html : L’Imâm Al-Bukhârî
La Citadelle du Hadith
Le vendredi 30 juin 2000.
L’Imâm des musulmans, l’Exemple des pieux, le Savant du Hadîth et la Référence des savants, Abû `Abdillah Muhammad Ibn Ismâ`îl Ibn Ibrâhîm Ibn Al-Mughîrah Ibn Bardizbah, surnommé Al-Bukhâri, en référence à sa ville natale, Bukhârah.
Sa jeunesse et le début de son apprentissage
L’Imâm Al-Bukhâri naquit en 194 AH, à Bukhârah, dans la région de Khorasân. Le père de l’Imâm Al-Bukhârî, un homme aisé, mourut alors que son fils était très jeune et c’est son épouse qui prit le plus grand soin de l’éducation de leur fils orphelin. Ahmad Ibn Al-Fadl Al-Balkhî rapporte au sujet de l’Imâm Al-Bukhârî : « Dans son enfance, il perdit la vue. [Un jour], sa mère vit le prophète Ibrahîm - que la paix soit sur lui - dans un rêve ; il lui annonça la bonne nouvelle : « Dieu a rendu la vue à ton fils grâce à tes nombreuses prières et invocations ». » Ainsi Dieu exauça les prières de sa mère et l’Imâm recouvrit sa vue.
Avide de science et doué d’une mémoire exceptionnelle, il commença à étudier les hadîths à l’âge de onze ans en mémorisant la compilation de hadîths de Ibn Al-Mubârak (soufi et grand juriste de son temps). Il finit la mémorisation du Coran avant l’âge de seize ans. On relate que dans sa jeunesse il connaissait déjà par cœur soixante-dix mille hadiths de notre prophète Muhammad - paix et bénédictions sur lui.
A l’âge de seize ans, après avoir appris le Hadîth par les spécialistes de cette science à Bukhârah, il voyagea avec sa mère et s’installèrent à la Mecque. Pendant leur séjour, il étudia le Hadith par d’éminents savants de la Mecque, notamment Al-Humaydî qui lui enseigna aussi la jurisprudence de l’Imâm Ash-Shâfi`î. À l’âge de 18 ans, il écrivit son premier livre sur les compagnons du prophète Muhammad - paix et bénédictions sur lui - et les successeurs (la génération qui suivit celle des compagnons), qu’Allah les agrée.
Il dit à Abû Ja`far Ibn Muhammad Abû Hâtim Al-Warrâq : « J’ai étudié les livres d’Ibn Al-Mubârak et Wakî` et je connaissais déjà leurs écrits par cœur à l’âge de seize ans. A dix-huit ans, j’ai commencé à compiler les comportements et les paroles des Compagnons et des Successeurs [en arabe : at-tâbi`ûn]. C’était au temps de `Ubayd Allah Ibn Mûsâ. J’ai rédigé Kitâb At-Târîkh [i.e. Le livre d’Histoire] près de la tombe du prophète - que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui - les nuits de lune. [...] ».
Abondance de son savoir
Dans l’espoir d’acquérir le savoir et de compiler des hadiths exacts (ou intègres) [en arabe : sahîh], il parcourut la terre à la recherche des savants du hadîth. Il fut le disciple de nombreux savants de la Mecque, de Médine, de Damas, de cAsqalân, de Hims, du Caire, de Baghdâd, de Bassora, de Kûfah et de nombreuses autres villes. Il acquit le savoir en compagnie de savants tels que : l’Imâm Ahmad Ibn Hanbal, Abu `Âsim An-Nabîl, Muhammad Ibn `Îsa At-Tabbâ` et Ishâq Ibn Mansûr. Parmi ses disciples, nous pouvons citer plusieurs grands noms comme : Muslim, Abû Zur`ah, Abû Hâtim, At-Tirmidhî, Al-Marwazi, Sâlih Ibn Muhammad Jazarah, Ibn Khuzaymah, As-Sarrâj.
Dieu dota l’Imâm d’une mémoire exceptionnelle et sa contribution aux sciences du Hadîth est sans pareil. cAbd Ar-Rahmân Ibn Muhammad Al-Bukhâri rapporte qu’il entendit Muhammad Ibn Ismâ`îl dire : « J’ai rencontré plus de mille hommes [de science] du Hidjâz [en Arabie] , Iraq, Syrie, Egypte et Khorasân » et il poursuivit jusqu’à ce qu’il dit : « Ils soutenaient sans exception le principe stipulant : « La Religion repose sur des actes et des paroles, et le Coran est la Parole d’Allah ». »
Ibn `Udayy dit : « Un nombre de savants apprirent qu’Al-Bukhâri serait prochainement de passage à Baghdâd. Ils choisirent cent hadiths dont ils brouillèrent les chaînes de transmission et les textes, donnant ainsi à chaque Hadîth une chaîne de transmission autre que la sienne. Chaque savant prit dix de ces hadiths et s’apprêta à mettre Al-Bukhâri à l’épreuve durant leur rencontre. Les gens s’assemblèrent et l’un des savants confronta Al-Bukhâri avec le premier de ses dix hadîths. Il répliqua « Je ne le connais pas ». Le savant lui cita un autre hadîth. Il répondit « Je ne le connais pas. » et ainsi de suite jusqu’au dixième hadîth. Les gens avertis [initiés à la science du hadith] parmi l’audience se regardèrent et dirent : « L’homme s’y connaît. », les autres pensèrent que c’est un ignorant. Puis un autre savant exposa à son tour ses dix hadîths, puis un autre, jusqu’au centième hadîth et Al-Bukhâri répondait invariablement « Je ne le connais pas. ». Quand il vit qu’ils avaient terminé, il se retourna vers le premier savant et dit « La chaîne authentique de ton premier hadîth est ceci, celle de ton deuxième hadîth est ainsi etc. » puis il fit de même avec le deuxième savant, puis le troisième, et il poursuivit avec chacun d’eux jusqu’au centième hadîth. A ce moment, tout le monde eut la certitude qu’il était un Hâfidh [i.e. ils reconnurent la qualité de sa mémorisation]. »
Al-Warrâq dit « j’ai entendu Sâlim Ibn Mujâhid dire : « Je rendais visite à Muhammad Ibn Sallâm Al-Bikandi et il me dit : « Si tu étais venu plus tôt, tu aurais vu un garçon qui connaît par cœur soixante-dix mille hadîths. ». Je suis sorti à sa recherche. Lorsque je l’ai trouvé, je demandais « Est-ce toi qui dit connaître par cœur soixante-dix mille hadîths ? », il [i.e. Al-Bukhâri] répondit « Oui, et plus encore, et jamais je ne te citerai un hadîth d’un Compagnon ou un Successeur sans que je sache la date et le lieu de leur naissance et de leur mort, et là où ils vécurent. Et je ne narre [de leurs hadîths] que ce qui est certain et fondé sur un principe de la religion de Dieu, dans le Livre de Dieu et La Sunnah de Son Messager ». Ainsi Al-Bukhâri fut non seulement un muhaddith d’exception [un spécialiste du Hadith] mais également un grand juriste (faqîh). D’ailleurs Al-Khozâci dit : « Al-Bukhâri est le faqîh de cette Ummah » ( faqih signifie spécialiste en jurisprudence.)
Ibn `Udayy dit : Muhammad Ibn Al-Qumîsi me rapporta : j’ai entendu Muhammad Ibn Hamdawayh dire : j’ai entendu Muhammad Ibn Ismâ`îl [Al-Bukhâri] dire : « je connais par cœur cent mille hadîths intègres [i.e. hadîth sahîh] et 200 000 hadîths d’authenticité questionnable. »
Témoignages des savants à son sujet
Les témoignages faits au sujet de la science de l’Imâm et de ses qualités sont très nombreux. Nous nous contenterons ici de quelques exemples :
L’Imâm Ibn Khuzaymah dit : « Je n’ai vu sur terre plus savant en Hadîth que Muhammad Ibn Ismâcîl Al-Bukhâri ».
Muhammad Bashshâr disait : "Les sommités en terme de mémorisation sont au nombre de quatre sur terre : Abû Zur`ah à Rayy, Muslim à Naysabûr, `Abd Allah Ad-Dârimî à Samarqand et Muhammad Ibn Ismâ`îl à Khorasân."
Qutaybah Ibn Sa`îd dit à son sujet : "il était à son époque ce que `Omar fut parmi les Compagnons, et si Muhammad Ibn Ismâ`îl vivait du temps des compagnons, il aurait été un phare.(ayah)."
Al-Khozâ`i dit : « Al-Bukhâri est le faqîh de cette Ummah ».
Piété et adoration
Il fut l’exemple du dévot et du savant éprouvant une crainte révérencielle envers Allah. C’est l’homme aux prières nombreuses et au cœur recueilli et éveillé. Pendant le mois du ramadan, il récitait le Noble Coran en entier dans la journée, et un tiers du Coran avant l’aube tous les jours.
Al-Farabari dit : Muhammad Ibn Ismâ`îl m’a dit « Je n’ai jamais écrit un hadîth dans le Sahih [son livre Sahîh Al-Bukhâri] sans avoir effectué al-ghusl [ablutions majeures] et prié deux rak`ah au préalable. »
Al-Warrâq rapporte : « Pendant mes voyages avec Abû `Abd Allâh, lorsqu’il arrivait que nous dormions dans la même maison, je le voyais se lever la nuit entre quinze et vingt fois. Chaque fois, il allumait sa lampe et il extrayait des hadîths en les annotant. Puis il s’allongeait de nouveau. A l’approche de l’aube, il avait l’habitude de prier trente rak`ah [2 par 2] et il ne me réveillait jamais. Je lui dis une fois : « Tu endures cela pour toi-même, pourquoi ne me réveilles-tu pas aussi [pour prier] ? Il répondit : « Tu es un homme jeune et je n’aime pas troubler ton sommeil. ». »
Son livre Al-Djâmi` As-Sahîh
L’Imâm rédigea différents ouvrages de hadîths. Dans son livre Al-Djâmi` As-Sahîh [littéralement : "La Somme Authentique"], après un examen minutieux et rigoureux, il enregistra des paroles du prophète - paix et bénédictions sur lui - dont la chaîne de transmission ne se compose que de transmetteurs justes et fiables, sans défaut ni brisure. Pendant seize ans, il scruta 600 000 hadîths et retint 7,275 hadîths dont l’authenticité est au-delà du moindre doute.
Dans l’étude des chaînes de transmission, il ne disait jamais d’un homme « c’est un menteur ! », il disait « telle personne l’a démenti », « telle personne l’a traité de menteur », « non digne de confiance ». Lorsqu’Al-Bukhâri qualifiait un homme de « non digne de confiance », il ne narrait pas de hadîth de lui.
Il y a un consensus parmi tous les savants de l’Islam au sujet de l’abondance exceptionnelle de son savoir, ses bonnes manières, son caractère noble et généreux. Son livre précieux Al-Djâmi` As-Sahîh est la meilleure référence de tous les temps en matière de hadîths authentiques.
La Citadelle du Hadîth, le maître des muhaddithînes, le Rempart des sciences de la tradition, le flambeau de la communauté, l’exemple du pieux, l’Imâm de l’Islam, Abû `Abd Allah Al-Bukhâri retourna auprès d’Allah en 256 AH, à Samarqand (v. d’Ouzbékistan, Asie centrale). Qu’Allah le récompense pour ce qu’il fit et ce qu’il fut pour l’islam et qu’Il lui fasse miséricorde. Âmîn.
2) Pour Al Tabari tu as :
Abu al-Hasan Casier Ali Sahl Rabban al-Tabari
(838 - 870 ap.jc)
1-PRESENTATION
Né en 838 ap.jc son père Sahl et issu d'une famille de Juifs respectable. Professionnellement Sahl était médecin trés connu. Il s'est intéresseé entre autre à l'art de la calligraphie. En plus il avait une perspicacité profonde dans les disciplines d'Astronomie, Philosophie, Mathématiques et Littérature. les compétences savantes lui ont permis de resoudre certains problèmes lors de la traduction du livre al magist de ptolémée. Ali a reçu son éducation dans les science Médicale et la calligraphie de son père Sahl. Il avait aussi maîtrisé le Syriac et des langues Grecques. Ali est issue d'une famille Israélite. Depuis qu'il s'est converti à l'Islam, il est classé parmi les Savants Musulmans. La célébrité acquise par Casier Ali Rabban n'a pas expliqué simplement parceque le grand médecin Razi était l'un de ses disciples. En fait la cause principale derrière sa célébrité se trouve dans son traité connu mondialement "Firdous al-Hikmat". comportant sept parties, Firdous al-Hikmat est l'encyclopédie Médicale toute première qui incorpore toutes les branches des science médicales. Ce travail a été publié au 20e siècle seulement. Avant cette publication seulement cinq de ses manuscrits étaient trouvés éparpillé dans les bibliothèques du monde. Dr. Mohammed Zubair Siddiqui a comparé et a étudié les manuscrits. Dans sa préface il a fourni une information extrêmement utile concernant le livre et l'auteur et les notes nécessaires explicatives pour faciliter la publication de ce travail dans une édition moderne. Plus tard ce travail unique a été publié avec la coopération des anglais et d'institutions Allemandes. en voici les sept parties: 1.1ère partie: "Kulliyat-e-Tibb". Cette partie jette lumière sur idéologie contemporaine de science médicale. Dans cette époque ces principes ont formé la base de science médicale. 2. 2ème partie: Élucidation des organes du corps humain, règles pour garder bonne santé et compte complet de certaines maladies du muscle. 3. 3ème partie: Description d'alimentation être pris dans conditions de santé et maladie. 4. 4ème partie: Toutes les maladies de la tête jusqu'a l'orteil. Cette partie est de signification profonde dans le livre entier et comprend douze lettres: i)les causes Générales concernant l'apparition des maladies. ii) Maladies de la tête et le cerveau. iii) Maladies concernant l'oeil,nez, oreille, bouche et les dents. iv) maladies du Muscle (paralysie et spasme). v) Maladies des régions de la poitrine, gorge et les poumons. vi) Maladies de l'abdomen. vii) Maladies du foie. viii) Maladies de la vésicule billiaire et, la rate. ix) maladies Intestinales. x) genres Différents de fièvre. xi) maladies Diverses--explication brève des organes du corps. xii) Examen des pulsations et des urines. Cette partie est la plus grande du livre et occupe presque la moitié de la dimension du livre entier. 5. 5ème partie: Description de la saveur, le goût et la couleur. 6. 6ème partie: Drogues et poisons. 7. P7ème partie: concerne des sujets divers. Discute le climat et l'astronomie. etcontient aussi une mention brève sur la médecine Indienne. Firdous al-Hikmat a été écrit en arabe et traduit en Syriac simultanément. Il a deux plus de compilations à son crédit Deen-o-Doulat et Hifz à savoir al-Sehhat. Le dernier est disponible dans manuscrit-forme dans la bibliothèque d'Université Oxford. En plus science Médicale, il était aussi un maître en Philosophie, mathématiques et en astronomie.
COMMENTAIRES
Le plus illustre des historiens arabes. L'Histoire des rois et des peuples d'al-Tabari relate, année par année, l'histoire du monde musulman (à l'exception de l'Occident) pendant les trois premiers siècles de l'hégire; elle procède, comme la plupart de ses devancières, par accumulation systématique, à propos de chaque fait, des diverses traditions, recueillies oralement ou figurant déjà dans des collections écrites, telle celle d'al-Madani; elle est à la fois la plus grosse somme, le chef-d'œuvre et la dernière représentante d'une méthode qui ne survivra plus ensuite que dans la littérature biographique. L'ampleur et la valeur de l'Histoire (le Moyen Âge musulman désigne ainsi l'œuvre d'al-Tabari) expliquent que l'on a trop souvent après lui renoncé à reproduire la documentation antérieure; du moins nous en conserve-t-elle une grande partie. L'Histoire a été, presque exclusivement, utilisée par les auteurs postérieurs, pour leur compte rendu des premiers siècles de l'Islam; elle a été abrégée et traduite en persan avec quelques modifications et additions par le vizir samanide (Iran du Nord-Est), Bal'ami, et ultérieurement d'après celui-ci en turc. Néanmoins elle n'a été publiée intégralement et par conséquent bien utilisée en Occident que dans la seconde moitié du XIXe siècle; la version persane, seule, a été traduite en français par Zotenberg. Pour ses contemporains, al-Tabari a été aussi illustre, malgré des contestations, par son monumental Tafsir (Commentaire du Coran ) expliqué pour une bonne part à l'aide des traditions hadith rapportées sur les faits et dits du Prophète. C'est aussi, en son genre, le premier ouvrage d'ensemble que d'autres sont venus par la suite concurrencer
Evidemment, toi et ton acolyte, vous êtes plus experts que ces deux là pour déterminer ce qui est un hadith fort ou pas, selon que ça vous arrange (.......) .
Al
1) Voilà ce que les mouslimines disent de lui sur http://www.islamophile.org/spip/article141.html : L’Imâm Al-Bukhârî
La Citadelle du Hadith
Le vendredi 30 juin 2000.
L’Imâm des musulmans, l’Exemple des pieux, le Savant du Hadîth et la Référence des savants, Abû `Abdillah Muhammad Ibn Ismâ`îl Ibn Ibrâhîm Ibn Al-Mughîrah Ibn Bardizbah, surnommé Al-Bukhâri, en référence à sa ville natale, Bukhârah.
Sa jeunesse et le début de son apprentissage
L’Imâm Al-Bukhâri naquit en 194 AH, à Bukhârah, dans la région de Khorasân. Le père de l’Imâm Al-Bukhârî, un homme aisé, mourut alors que son fils était très jeune et c’est son épouse qui prit le plus grand soin de l’éducation de leur fils orphelin. Ahmad Ibn Al-Fadl Al-Balkhî rapporte au sujet de l’Imâm Al-Bukhârî : « Dans son enfance, il perdit la vue. [Un jour], sa mère vit le prophète Ibrahîm - que la paix soit sur lui - dans un rêve ; il lui annonça la bonne nouvelle : « Dieu a rendu la vue à ton fils grâce à tes nombreuses prières et invocations ». » Ainsi Dieu exauça les prières de sa mère et l’Imâm recouvrit sa vue.
Avide de science et doué d’une mémoire exceptionnelle, il commença à étudier les hadîths à l’âge de onze ans en mémorisant la compilation de hadîths de Ibn Al-Mubârak (soufi et grand juriste de son temps). Il finit la mémorisation du Coran avant l’âge de seize ans. On relate que dans sa jeunesse il connaissait déjà par cœur soixante-dix mille hadiths de notre prophète Muhammad - paix et bénédictions sur lui.
A l’âge de seize ans, après avoir appris le Hadîth par les spécialistes de cette science à Bukhârah, il voyagea avec sa mère et s’installèrent à la Mecque. Pendant leur séjour, il étudia le Hadith par d’éminents savants de la Mecque, notamment Al-Humaydî qui lui enseigna aussi la jurisprudence de l’Imâm Ash-Shâfi`î. À l’âge de 18 ans, il écrivit son premier livre sur les compagnons du prophète Muhammad - paix et bénédictions sur lui - et les successeurs (la génération qui suivit celle des compagnons), qu’Allah les agrée.
Il dit à Abû Ja`far Ibn Muhammad Abû Hâtim Al-Warrâq : « J’ai étudié les livres d’Ibn Al-Mubârak et Wakî` et je connaissais déjà leurs écrits par cœur à l’âge de seize ans. A dix-huit ans, j’ai commencé à compiler les comportements et les paroles des Compagnons et des Successeurs [en arabe : at-tâbi`ûn]. C’était au temps de `Ubayd Allah Ibn Mûsâ. J’ai rédigé Kitâb At-Târîkh [i.e. Le livre d’Histoire] près de la tombe du prophète - que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui - les nuits de lune. [...] ».
Abondance de son savoir
Dans l’espoir d’acquérir le savoir et de compiler des hadiths exacts (ou intègres) [en arabe : sahîh], il parcourut la terre à la recherche des savants du hadîth. Il fut le disciple de nombreux savants de la Mecque, de Médine, de Damas, de cAsqalân, de Hims, du Caire, de Baghdâd, de Bassora, de Kûfah et de nombreuses autres villes. Il acquit le savoir en compagnie de savants tels que : l’Imâm Ahmad Ibn Hanbal, Abu `Âsim An-Nabîl, Muhammad Ibn `Îsa At-Tabbâ` et Ishâq Ibn Mansûr. Parmi ses disciples, nous pouvons citer plusieurs grands noms comme : Muslim, Abû Zur`ah, Abû Hâtim, At-Tirmidhî, Al-Marwazi, Sâlih Ibn Muhammad Jazarah, Ibn Khuzaymah, As-Sarrâj.
Dieu dota l’Imâm d’une mémoire exceptionnelle et sa contribution aux sciences du Hadîth est sans pareil. cAbd Ar-Rahmân Ibn Muhammad Al-Bukhâri rapporte qu’il entendit Muhammad Ibn Ismâ`îl dire : « J’ai rencontré plus de mille hommes [de science] du Hidjâz [en Arabie] , Iraq, Syrie, Egypte et Khorasân » et il poursuivit jusqu’à ce qu’il dit : « Ils soutenaient sans exception le principe stipulant : « La Religion repose sur des actes et des paroles, et le Coran est la Parole d’Allah ». »
Ibn `Udayy dit : « Un nombre de savants apprirent qu’Al-Bukhâri serait prochainement de passage à Baghdâd. Ils choisirent cent hadiths dont ils brouillèrent les chaînes de transmission et les textes, donnant ainsi à chaque Hadîth une chaîne de transmission autre que la sienne. Chaque savant prit dix de ces hadiths et s’apprêta à mettre Al-Bukhâri à l’épreuve durant leur rencontre. Les gens s’assemblèrent et l’un des savants confronta Al-Bukhâri avec le premier de ses dix hadîths. Il répliqua « Je ne le connais pas ». Le savant lui cita un autre hadîth. Il répondit « Je ne le connais pas. » et ainsi de suite jusqu’au dixième hadîth. Les gens avertis [initiés à la science du hadith] parmi l’audience se regardèrent et dirent : « L’homme s’y connaît. », les autres pensèrent que c’est un ignorant. Puis un autre savant exposa à son tour ses dix hadîths, puis un autre, jusqu’au centième hadîth et Al-Bukhâri répondait invariablement « Je ne le connais pas. ». Quand il vit qu’ils avaient terminé, il se retourna vers le premier savant et dit « La chaîne authentique de ton premier hadîth est ceci, celle de ton deuxième hadîth est ainsi etc. » puis il fit de même avec le deuxième savant, puis le troisième, et il poursuivit avec chacun d’eux jusqu’au centième hadîth. A ce moment, tout le monde eut la certitude qu’il était un Hâfidh [i.e. ils reconnurent la qualité de sa mémorisation]. »
Al-Warrâq dit « j’ai entendu Sâlim Ibn Mujâhid dire : « Je rendais visite à Muhammad Ibn Sallâm Al-Bikandi et il me dit : « Si tu étais venu plus tôt, tu aurais vu un garçon qui connaît par cœur soixante-dix mille hadîths. ». Je suis sorti à sa recherche. Lorsque je l’ai trouvé, je demandais « Est-ce toi qui dit connaître par cœur soixante-dix mille hadîths ? », il [i.e. Al-Bukhâri] répondit « Oui, et plus encore, et jamais je ne te citerai un hadîth d’un Compagnon ou un Successeur sans que je sache la date et le lieu de leur naissance et de leur mort, et là où ils vécurent. Et je ne narre [de leurs hadîths] que ce qui est certain et fondé sur un principe de la religion de Dieu, dans le Livre de Dieu et La Sunnah de Son Messager ». Ainsi Al-Bukhâri fut non seulement un muhaddith d’exception [un spécialiste du Hadith] mais également un grand juriste (faqîh). D’ailleurs Al-Khozâci dit : « Al-Bukhâri est le faqîh de cette Ummah » ( faqih signifie spécialiste en jurisprudence.)
Ibn `Udayy dit : Muhammad Ibn Al-Qumîsi me rapporta : j’ai entendu Muhammad Ibn Hamdawayh dire : j’ai entendu Muhammad Ibn Ismâ`îl [Al-Bukhâri] dire : « je connais par cœur cent mille hadîths intègres [i.e. hadîth sahîh] et 200 000 hadîths d’authenticité questionnable. »
Témoignages des savants à son sujet
Les témoignages faits au sujet de la science de l’Imâm et de ses qualités sont très nombreux. Nous nous contenterons ici de quelques exemples :
L’Imâm Ibn Khuzaymah dit : « Je n’ai vu sur terre plus savant en Hadîth que Muhammad Ibn Ismâcîl Al-Bukhâri ».
Muhammad Bashshâr disait : "Les sommités en terme de mémorisation sont au nombre de quatre sur terre : Abû Zur`ah à Rayy, Muslim à Naysabûr, `Abd Allah Ad-Dârimî à Samarqand et Muhammad Ibn Ismâ`îl à Khorasân."
Qutaybah Ibn Sa`îd dit à son sujet : "il était à son époque ce que `Omar fut parmi les Compagnons, et si Muhammad Ibn Ismâ`îl vivait du temps des compagnons, il aurait été un phare.(ayah)."
Al-Khozâ`i dit : « Al-Bukhâri est le faqîh de cette Ummah ».
Piété et adoration
Il fut l’exemple du dévot et du savant éprouvant une crainte révérencielle envers Allah. C’est l’homme aux prières nombreuses et au cœur recueilli et éveillé. Pendant le mois du ramadan, il récitait le Noble Coran en entier dans la journée, et un tiers du Coran avant l’aube tous les jours.
Al-Farabari dit : Muhammad Ibn Ismâ`îl m’a dit « Je n’ai jamais écrit un hadîth dans le Sahih [son livre Sahîh Al-Bukhâri] sans avoir effectué al-ghusl [ablutions majeures] et prié deux rak`ah au préalable. »
Al-Warrâq rapporte : « Pendant mes voyages avec Abû `Abd Allâh, lorsqu’il arrivait que nous dormions dans la même maison, je le voyais se lever la nuit entre quinze et vingt fois. Chaque fois, il allumait sa lampe et il extrayait des hadîths en les annotant. Puis il s’allongeait de nouveau. A l’approche de l’aube, il avait l’habitude de prier trente rak`ah [2 par 2] et il ne me réveillait jamais. Je lui dis une fois : « Tu endures cela pour toi-même, pourquoi ne me réveilles-tu pas aussi [pour prier] ? Il répondit : « Tu es un homme jeune et je n’aime pas troubler ton sommeil. ». »
Son livre Al-Djâmi` As-Sahîh
L’Imâm rédigea différents ouvrages de hadîths. Dans son livre Al-Djâmi` As-Sahîh [littéralement : "La Somme Authentique"], après un examen minutieux et rigoureux, il enregistra des paroles du prophète - paix et bénédictions sur lui - dont la chaîne de transmission ne se compose que de transmetteurs justes et fiables, sans défaut ni brisure. Pendant seize ans, il scruta 600 000 hadîths et retint 7,275 hadîths dont l’authenticité est au-delà du moindre doute.
Dans l’étude des chaînes de transmission, il ne disait jamais d’un homme « c’est un menteur ! », il disait « telle personne l’a démenti », « telle personne l’a traité de menteur », « non digne de confiance ». Lorsqu’Al-Bukhâri qualifiait un homme de « non digne de confiance », il ne narrait pas de hadîth de lui.
Il y a un consensus parmi tous les savants de l’Islam au sujet de l’abondance exceptionnelle de son savoir, ses bonnes manières, son caractère noble et généreux. Son livre précieux Al-Djâmi` As-Sahîh est la meilleure référence de tous les temps en matière de hadîths authentiques.
La Citadelle du Hadîth, le maître des muhaddithînes, le Rempart des sciences de la tradition, le flambeau de la communauté, l’exemple du pieux, l’Imâm de l’Islam, Abû `Abd Allah Al-Bukhâri retourna auprès d’Allah en 256 AH, à Samarqand (v. d’Ouzbékistan, Asie centrale). Qu’Allah le récompense pour ce qu’il fit et ce qu’il fut pour l’islam et qu’Il lui fasse miséricorde. Âmîn.
2) Pour Al Tabari tu as :
Abu al-Hasan Casier Ali Sahl Rabban al-Tabari
(838 - 870 ap.jc)
1-PRESENTATION
Né en 838 ap.jc son père Sahl et issu d'une famille de Juifs respectable. Professionnellement Sahl était médecin trés connu. Il s'est intéresseé entre autre à l'art de la calligraphie. En plus il avait une perspicacité profonde dans les disciplines d'Astronomie, Philosophie, Mathématiques et Littérature. les compétences savantes lui ont permis de resoudre certains problèmes lors de la traduction du livre al magist de ptolémée. Ali a reçu son éducation dans les science Médicale et la calligraphie de son père Sahl. Il avait aussi maîtrisé le Syriac et des langues Grecques. Ali est issue d'une famille Israélite. Depuis qu'il s'est converti à l'Islam, il est classé parmi les Savants Musulmans. La célébrité acquise par Casier Ali Rabban n'a pas expliqué simplement parceque le grand médecin Razi était l'un de ses disciples. En fait la cause principale derrière sa célébrité se trouve dans son traité connu mondialement "Firdous al-Hikmat". comportant sept parties, Firdous al-Hikmat est l'encyclopédie Médicale toute première qui incorpore toutes les branches des science médicales. Ce travail a été publié au 20e siècle seulement. Avant cette publication seulement cinq de ses manuscrits étaient trouvés éparpillé dans les bibliothèques du monde. Dr. Mohammed Zubair Siddiqui a comparé et a étudié les manuscrits. Dans sa préface il a fourni une information extrêmement utile concernant le livre et l'auteur et les notes nécessaires explicatives pour faciliter la publication de ce travail dans une édition moderne. Plus tard ce travail unique a été publié avec la coopération des anglais et d'institutions Allemandes. en voici les sept parties: 1.1ère partie: "Kulliyat-e-Tibb". Cette partie jette lumière sur idéologie contemporaine de science médicale. Dans cette époque ces principes ont formé la base de science médicale. 2. 2ème partie: Élucidation des organes du corps humain, règles pour garder bonne santé et compte complet de certaines maladies du muscle. 3. 3ème partie: Description d'alimentation être pris dans conditions de santé et maladie. 4. 4ème partie: Toutes les maladies de la tête jusqu'a l'orteil. Cette partie est de signification profonde dans le livre entier et comprend douze lettres: i)les causes Générales concernant l'apparition des maladies. ii) Maladies de la tête et le cerveau. iii) Maladies concernant l'oeil,nez, oreille, bouche et les dents. iv) maladies du Muscle (paralysie et spasme). v) Maladies des régions de la poitrine, gorge et les poumons. vi) Maladies de l'abdomen. vii) Maladies du foie. viii) Maladies de la vésicule billiaire et, la rate. ix) maladies Intestinales. x) genres Différents de fièvre. xi) maladies Diverses--explication brève des organes du corps. xii) Examen des pulsations et des urines. Cette partie est la plus grande du livre et occupe presque la moitié de la dimension du livre entier. 5. 5ème partie: Description de la saveur, le goût et la couleur. 6. 6ème partie: Drogues et poisons. 7. P7ème partie: concerne des sujets divers. Discute le climat et l'astronomie. etcontient aussi une mention brève sur la médecine Indienne. Firdous al-Hikmat a été écrit en arabe et traduit en Syriac simultanément. Il a deux plus de compilations à son crédit Deen-o-Doulat et Hifz à savoir al-Sehhat. Le dernier est disponible dans manuscrit-forme dans la bibliothèque d'Université Oxford. En plus science Médicale, il était aussi un maître en Philosophie, mathématiques et en astronomie.
COMMENTAIRES
Le plus illustre des historiens arabes. L'Histoire des rois et des peuples d'al-Tabari relate, année par année, l'histoire du monde musulman (à l'exception de l'Occident) pendant les trois premiers siècles de l'hégire; elle procède, comme la plupart de ses devancières, par accumulation systématique, à propos de chaque fait, des diverses traditions, recueillies oralement ou figurant déjà dans des collections écrites, telle celle d'al-Madani; elle est à la fois la plus grosse somme, le chef-d'œuvre et la dernière représentante d'une méthode qui ne survivra plus ensuite que dans la littérature biographique. L'ampleur et la valeur de l'Histoire (le Moyen Âge musulman désigne ainsi l'œuvre d'al-Tabari) expliquent que l'on a trop souvent après lui renoncé à reproduire la documentation antérieure; du moins nous en conserve-t-elle une grande partie. L'Histoire a été, presque exclusivement, utilisée par les auteurs postérieurs, pour leur compte rendu des premiers siècles de l'Islam; elle a été abrégée et traduite en persan avec quelques modifications et additions par le vizir samanide (Iran du Nord-Est), Bal'ami, et ultérieurement d'après celui-ci en turc. Néanmoins elle n'a été publiée intégralement et par conséquent bien utilisée en Occident que dans la seconde moitié du XIXe siècle; la version persane, seule, a été traduite en français par Zotenberg. Pour ses contemporains, al-Tabari a été aussi illustre, malgré des contestations, par son monumental Tafsir (Commentaire du Coran ) expliqué pour une bonne part à l'aide des traditions hadith rapportées sur les faits et dits du Prophète. C'est aussi, en son genre, le premier ouvrage d'ensemble que d'autres sont venus par la suite concurrencer
Evidemment, toi et ton acolyte, vous êtes plus experts que ces deux là pour déterminer ce qui est un hadith fort ou pas, selon que ça vous arrange (.......) .
Al
Modifié en dernier par Al le 25 avr.04, 07:03, modifié 1 fois.
- issa
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Ecrit le 25 avr.04, 07:01
je connait limam boukhari merci bien je ne repondrais pas tant que tu apprendra pas la politesse et le respect cependant sache que citer un hadith comme ca et dire c est boukhari ca prouve rien donne le numero du hadith (mais je le sahih a la maison donc je sait verifier aisement)
Ecrit le 25 avr.04, 07:12
Ahahaha! Tu me réponds pour me dire que tu ne me réponds pas?
Si tu connaissais bukhari, tu n'aurais pas besoin de mon aide pour retrouver la référence.
Je t'ajoute même en prime ceci :
« Combattez les gens du Livre (chrétiens et juifs) qui ne pratiquent pas la vraie religion (l'islam) jusqu'à ce qu'ils payent directement le tribut après s'être humiliés. » in Sourate 9.
« Ceux qui disent: 'Allah est, en vérité, le Messie, fils de Marie', sont impies.Dis: 'Qui donc pourrait s'opposer à Allah s'Il voulait anéantir le Messie, fils de Marie, ainsi que sa Mère, et tous ceux qui sont sur la terre?' La royauté des cieux et de la terre et de ce qui est entre les deux appartient à Allah. Il crée ce qu'Il veut, Il est puissant sur toute chose. » in Sourate 5
Alors, super ouvert d'esprit le Mohamed hein Issa?
Al
Si tu connaissais bukhari, tu n'aurais pas besoin de mon aide pour retrouver la référence.
Je t'ajoute même en prime ceci :
« Combattez les gens du Livre (chrétiens et juifs) qui ne pratiquent pas la vraie religion (l'islam) jusqu'à ce qu'ils payent directement le tribut après s'être humiliés. » in Sourate 9.
« Ceux qui disent: 'Allah est, en vérité, le Messie, fils de Marie', sont impies.Dis: 'Qui donc pourrait s'opposer à Allah s'Il voulait anéantir le Messie, fils de Marie, ainsi que sa Mère, et tous ceux qui sont sur la terre?' La royauté des cieux et de la terre et de ce qui est entre les deux appartient à Allah. Il crée ce qu'Il veut, Il est puissant sur toute chose. » in Sourate 5
Alors, super ouvert d'esprit le Mohamed hein Issa?
Al
Ecrit le 25 avr.04, 07:44
Je n'ai rien à contextualiser du tout mon cher : ou le coran est incrée, et dans ce cas, il est hors du temps et valable en tout temps, où il est un einvention datable, et il n'a rien d'universel. D'ailleurs question contexte, il ya toujours des musulmans attachés aux sourates qui veulent tuer les Juifs, et on en touve pas mal du côté de Peshawar et de Gaza.
Les paroles de Jésus ne sont pas limitées au contexte de l'an Zéro et de la Gallilée. C'est toute la différence.
En fait, j'ai l'impression en vous lisant tous (enfin tous les 4 Jean Bono, Septours, Eliaqim et toi), que ce site est avant tout un plate forme pour promouvoir l'islam. Il ya un soit disant espace judaique, mais pas un juif en vue. Ce forum est soit disant chrétien, mais on n'y voit rien de vraiment chrétien à par un Pasteur plus instruit et intelligent que les 4 en question. Je serais vous, j'appellerais ça Islamistes.com.
Tiens à propos jihad :
Daniel : " Jihaad par "effort" pour la croyance" !!!!
Pascal : "Je l'avais pas vu celle là plus haut! Mais bon sang! D'ou tu sorts celà ? Est-ce que par hasard c'esttonépicier du coin ? De quoi parlent -ils alosr sur ce site musulman!!! :
-"Le Jihaad contre les mécréants est de deux types
Texte de Cheikh 'Abdullah' Yussouf Azzam, qu'Allah accepte son martyr, "Défense des terres musulmanes", traduit par Assabyle.coM
Rappel sur les deux types de Fard (obligation ou devoir)...
Fard Ayn : C'est le Fard qui représente un devoir obligatoire à exécuter par chaque simple Musulman comme la prière ou le jeûne.
Fard Kifaya : C'est le Fard qui, s'il est exécuté par un groupe, l'obligation n'incombe plus au reste des Musulmans. La signification de Fard Kifaya est que, s'il n'y a pas assez de personnes qui y répondent, alors tous les Musulmans sont dans le péché. Si une quantité suffisante des gens y répond, le reste de la communauté Musulmane est exempté et n'est plus dans le péché. L'appel à pratiquer ce type d'obligation est dans le commencement comme l'appel à pratiquer un Fard Ayn qui est alors délié en un Fard Kifaya par la participation de certains des gens à cette pratique.
Mais un Fard Ayn n'est pas délié par un nombre précis de gens l'exécutant.
C'est pourquoi Fakhr ar Razi a défini le Fard Kifaya comme l'obligation qui est effectuée sans compter sur les âmes d'entre ceux qui l'exécutent.
L'Imam Shaffi'i (Rahimahou Allah) a dit : "un Fard Kifaya est un ordre adressée à chaque Musulman mais ne recherchant en réalité une réponse que de quelque volontaire".
La définition convenue par la majorité des savants, parmi eux Ibn Hajib, Amdi Al-et Ibn Abdu Shakur, déclare que le Fard Kifaya est obligatoire sur chaque Musulman, mais son exécution ne l'est plus lorsqu'une quantité suffisante répond à l'appel.
De nos jours, beaucoup de polémiquent tourne autour de la décision de partir au jihaad qui est considéré comme un Fard Kifaya, signifiant donc comme nous l'avons vu que c'est une obligation qui incombe à chaque Musulman, mais qui ne l'est plus sur la majorité lorsque certains l'exécutent.
Le cheikh AbdAllah Azzam (Rahimahullah) avaient éclairci cela comme suit :
Le Jihaad contre les impies est de deux types:
1) Le Jihaad offensif (lorsque l'ennemi est attaqué sur son propre territoire)
Dans ce type de jihaad, les mécréants ne se réunissent pas pour se battre contre les Musulmans. Le combat devient alors un Fard Kifaya avec l'exigence minimum de nommer des partisans pour garder les frontières et d'envoyer une armée au moins une fois par an pour terroriser les ennemis d'Allah. Il est un devoir de Foi que d'assembler et faire sortir une unité d'armée en territoire de guerre de temps en temps chaque année. De plus, il est de la responsabilité de la population Musulmane que de contribuer à cela et si aucune armée n'est envoyée, chaque musulman est dans le péché.
Les savants ont mentionné que ce type de jihaad est essentiel pour le maintien du paiement de la Jizya. Les savants de la jurisprudence islamique ont aussi dit : "Ce Jihaad est une Da'wah employant la force et il est obligatoire de l'exécuter avec toutes les capacités disponibles, jusqu'à ce qu'il ne restent que des Musulmans ou des gens qui se soumettent à l'Islam."
2) Le Jihaad défensif
Il consiste à expulser les mécréants de notre terre et c'est un Fard Ayn, un devoir obligatoire sur tous ! Il est la plus importante des obligations et surgit dans les conditions suivantes :
A) Si les impies entre sur une terre appartenant aux Musulmans.
B) Si les armées se rencontrent dans la bataille et s'ils commencent à s'approcher l'une de l'autre.
C) Si l'Imam appelle une personne ou des gens à marché en avant, alors ils doivent marcher.
D) Si les mécréants capture et emprisonne un groupe de Musulmans.
Concernant la première condition, les pieux prédécesseurs, ceux qui leur ont succédé, les Savants des quatre écoles de jurisprudences (Maliki, Hanafi, Shafi et Hanbali), les rapporteurs de Hadith (Muhadditheen) et les commentateurs du Coran (Moufassirine) ont consentis (Ijma') qu'à toutes les époques Islamiques, le Jihaad pouvait devenir Fard Ayn sur tous les Musulmans du Monde entier contre l'Ennemi (l'impie) qui entre en terre Musulmane.
Aussi (lors d'une invasion), les enfants du pays devront y participer sans la permission des parents, la femme sans la permission de son mari et l'élève (Taleb) sans la permission de son professeur. Et, si les Musulmans de cette terre ne peuvent pas expulser les Kouffars à cause du manque de forces, parce qu'ils diminuent, sont indolents ou n'agissent simplement pas, alors le Fard Ayn (l'obligation) se diffuse dans la forme d'un cercle touchant les plus proche puis les plus proche suivant. Et s'ils diminuent encore ou s'il y a de nouveau un manque de main d'oeuvre, alors il (le fard du jihaad) incombe sur les gens derrière eux et sur les gens derrière eux, et ainsi de suite... Ce processus continue jusqu'à ce que cela devienne un Fard Ayn sur le monde entier.
Le cheikh Ibn Tayymyah (Rahimahou Allah) dit à ce sujet : "À propos du jihaad défensif, visant à repousser un agresseur, c'est le plus gérable type de jihaad. Comme il a était convenu par tout le monde, il est obligatoire de protéger la religion et ce qui est sacré. La première obligation après la Foi est (le Jihad dans) le repoussement de l'ennemi agresseur qui assaille la religion et les affaires temporelles. Il n'est requis aucune exigence particulière comme les provisions ou le transport, et on combat plutôt avec lui en usant de toute la capacité immédiate. Les oulamas, nos égaux et d'autres ont parlé de cela."
Ibn Tayymyah développe son avis concernant l'absence de l'exigence de transport dans sa réponse au Juge qui a dit : "si le jihaad devient Fard Ayn sur les gens d'un pays, une des exigences, en comparaison au Hadj, est qu'il faut avoir des provisions et une monture si la distance est tel que l'on raccourcit la prière". Ibn Taymia a dit : "Ce que le Juge a dit en comparaison au Hadj n'a jamais été exposé auparavant par personne et est un argument faible. Le Jihaad est obligatoire parce qu'il est pour la répulsion du mal de l'ennemi, donc il a la priorité sur le Hijr. Or pour le Hijr aucun transport n'est considéré nécessaire. Lors du Jihaad, certaines choses prennent des priorités. On rapporte dans un hadith sahih relaté par Ibn Ebaad Asaamat que le Prophète a dit : "Il est (obligatoire) sur le Musulman d'écouter et d'obéir dans la privation comme dans la prospérité, dans ce qu'il aime comme dans ce qu'il déteste et même si on ne lui donne pas ses droits ". Donc, le pilier de la plus importante des obligations, est de marcher en avant dans les temps difficile aussi bien que prospère. Comme il a été exposé et contrairement au Hadj, l'obligation reste donc présente dans les temps de privation. Et cela est (mentionné) dans le Jihaad offensif. Il donc est clair que le jihaad défensif porte un plus grand degré d'obligation. Défendre les choses sacrées et la religion contre l'agresseur est obligatoire, comme c'était convenu par chacun. La première obligation après la foi (el Iman) est le repoussement de l'ennemi agresseur qui assaille la religion et les affaires temporelles".
A présent, voyons l'avis des quatre écoles de jurisprudence islamiques qui sont tous d'accord sur ce point :
Jurisprudence Hanafite
Ibn Aabidin a dit : "Le Jihaad devient un devoir obligatoire (Fard Ayn) si l'ennemi attaque une des frontières des Musulmans. Son obligation incombe également aux autres pays musulmans voisins qui sont les plus proches du pays attaqué. Pour ceux qui sont loin, c'est un devoir facultatif (Fard Kifaya), si leur aide n'est pas exigée. S'ils sont indispensables, peut-être parce que les voisins attaque l'ennemi mais ne peuvent pas résister, ou qu'ils sont indolents et ne participe pas au jihaad, alors cela devient Fard Ayn sur ceux derrière eux, comme l'obligation de prier et jeûner. Il n'y a aucune excuse pour eux à le délaisser. S'ils sont aussi incapables, alors cela devient Fard Ayn sur ceux derrière eux, et ainsi de suite jusqu'à ce que le jihaad ne devienne Fard Ayn sur toute la Oumma Islamique de l'Est à l'Ouest".
Et partage cet avis juridique : Al-Kassani, Ibn Najim et Ibn Hammam.
Jurisprudence Malikite
Dans la rissala Hashiyat de Dussuqi il est exposé : "Le Jihaad devient un devoir obligatoire (Fard Ayn) lors d'une attaque surprise par l'ennemi." Dussuqi a dit : "partout où cela arrive, le jihaad devient immédiatement Fard Ayn sur chaque personne, qu'elle soit femme, esclave ou enfant sans même avoir l'autorisation de son mari, maître ou parents".
Jurisprudence Shafihite
Il est dit dans Nihayat Al Mahtaj de Ramli : "s'ils s'approchent d'un de nos pays et que la distance entre eux et nous devient inférieur à la distance permettant de raccourcir la prière (prière de voyage), alors les gens de ce territoire doivent le défendre et cela devient un devoir obligatoire (Fard Ayn) même sur les gens pour qui il n'y a d'habitude aucune obligation de participer au jihaad; à savoir le pauvre, les enfants, les esclaves, le débiteur et les femmes."
Jurisprudence Hanbalite
Dans Al Mughni, Ibn Al Qudamah dit : "Le Jihaad devient un devoir obligatoire (Fard Ayn) dans trois situations :
1) Si les deux côtés se rencontrent dans la bataille et s'ils s'approchent l'un de l'autre.
2) Si le Kuffar entre en terre musulmane, le jihaad devient Fard Ayn sur ses habitants.
3) Si l'Imam appelle les gens à marcher en avant il est obligatoire pour eux d'obéir. "
Ibn Tayymyah (Que Dieu lui fasse miséricorde) a fait la remarques suivante concernant ceci : "Et si l'ennemi entre sur une terre Musulmane, il n'y a sans aucune doute qu'il devient obligatoire pour le pays le plus proche de participer au Jihaad et ensuite le suivant plus proche pour repousser l'ennemi, <a href="http://www.ntsearch.com/search.php?q=ca ... on">car</a> certes, les pays Musulmans sont comme une seule terre. Et il est obligatoire de participer au Jihaad sur le territoire attaqué, même sans la permission des parents ou du maître et les narrations annoncées par l'Imam Ahmad sont claires sur ce point."
Et cette situation est connue par la masse général.
auteur : Pascal cef.fr
Al
Les paroles de Jésus ne sont pas limitées au contexte de l'an Zéro et de la Gallilée. C'est toute la différence.
En fait, j'ai l'impression en vous lisant tous (enfin tous les 4 Jean Bono, Septours, Eliaqim et toi), que ce site est avant tout un plate forme pour promouvoir l'islam. Il ya un soit disant espace judaique, mais pas un juif en vue. Ce forum est soit disant chrétien, mais on n'y voit rien de vraiment chrétien à par un Pasteur plus instruit et intelligent que les 4 en question. Je serais vous, j'appellerais ça Islamistes.com.
Tiens à propos jihad :
Daniel : " Jihaad par "effort" pour la croyance" !!!!
Pascal : "Je l'avais pas vu celle là plus haut! Mais bon sang! D'ou tu sorts celà ? Est-ce que par hasard c'esttonépicier du coin ? De quoi parlent -ils alosr sur ce site musulman!!! :
-"Le Jihaad contre les mécréants est de deux types
Texte de Cheikh 'Abdullah' Yussouf Azzam, qu'Allah accepte son martyr, "Défense des terres musulmanes", traduit par Assabyle.coM
Rappel sur les deux types de Fard (obligation ou devoir)...
Fard Ayn : C'est le Fard qui représente un devoir obligatoire à exécuter par chaque simple Musulman comme la prière ou le jeûne.
Fard Kifaya : C'est le Fard qui, s'il est exécuté par un groupe, l'obligation n'incombe plus au reste des Musulmans. La signification de Fard Kifaya est que, s'il n'y a pas assez de personnes qui y répondent, alors tous les Musulmans sont dans le péché. Si une quantité suffisante des gens y répond, le reste de la communauté Musulmane est exempté et n'est plus dans le péché. L'appel à pratiquer ce type d'obligation est dans le commencement comme l'appel à pratiquer un Fard Ayn qui est alors délié en un Fard Kifaya par la participation de certains des gens à cette pratique.
Mais un Fard Ayn n'est pas délié par un nombre précis de gens l'exécutant.
C'est pourquoi Fakhr ar Razi a défini le Fard Kifaya comme l'obligation qui est effectuée sans compter sur les âmes d'entre ceux qui l'exécutent.
L'Imam Shaffi'i (Rahimahou Allah) a dit : "un Fard Kifaya est un ordre adressée à chaque Musulman mais ne recherchant en réalité une réponse que de quelque volontaire".
La définition convenue par la majorité des savants, parmi eux Ibn Hajib, Amdi Al-et Ibn Abdu Shakur, déclare que le Fard Kifaya est obligatoire sur chaque Musulman, mais son exécution ne l'est plus lorsqu'une quantité suffisante répond à l'appel.
De nos jours, beaucoup de polémiquent tourne autour de la décision de partir au jihaad qui est considéré comme un Fard Kifaya, signifiant donc comme nous l'avons vu que c'est une obligation qui incombe à chaque Musulman, mais qui ne l'est plus sur la majorité lorsque certains l'exécutent.
Le cheikh AbdAllah Azzam (Rahimahullah) avaient éclairci cela comme suit :
Le Jihaad contre les impies est de deux types:
1) Le Jihaad offensif (lorsque l'ennemi est attaqué sur son propre territoire)
Dans ce type de jihaad, les mécréants ne se réunissent pas pour se battre contre les Musulmans. Le combat devient alors un Fard Kifaya avec l'exigence minimum de nommer des partisans pour garder les frontières et d'envoyer une armée au moins une fois par an pour terroriser les ennemis d'Allah. Il est un devoir de Foi que d'assembler et faire sortir une unité d'armée en territoire de guerre de temps en temps chaque année. De plus, il est de la responsabilité de la population Musulmane que de contribuer à cela et si aucune armée n'est envoyée, chaque musulman est dans le péché.
Les savants ont mentionné que ce type de jihaad est essentiel pour le maintien du paiement de la Jizya. Les savants de la jurisprudence islamique ont aussi dit : "Ce Jihaad est une Da'wah employant la force et il est obligatoire de l'exécuter avec toutes les capacités disponibles, jusqu'à ce qu'il ne restent que des Musulmans ou des gens qui se soumettent à l'Islam."
2) Le Jihaad défensif
Il consiste à expulser les mécréants de notre terre et c'est un Fard Ayn, un devoir obligatoire sur tous ! Il est la plus importante des obligations et surgit dans les conditions suivantes :
A) Si les impies entre sur une terre appartenant aux Musulmans.
B) Si les armées se rencontrent dans la bataille et s'ils commencent à s'approcher l'une de l'autre.
C) Si l'Imam appelle une personne ou des gens à marché en avant, alors ils doivent marcher.
D) Si les mécréants capture et emprisonne un groupe de Musulmans.
Concernant la première condition, les pieux prédécesseurs, ceux qui leur ont succédé, les Savants des quatre écoles de jurisprudences (Maliki, Hanafi, Shafi et Hanbali), les rapporteurs de Hadith (Muhadditheen) et les commentateurs du Coran (Moufassirine) ont consentis (Ijma') qu'à toutes les époques Islamiques, le Jihaad pouvait devenir Fard Ayn sur tous les Musulmans du Monde entier contre l'Ennemi (l'impie) qui entre en terre Musulmane.
Aussi (lors d'une invasion), les enfants du pays devront y participer sans la permission des parents, la femme sans la permission de son mari et l'élève (Taleb) sans la permission de son professeur. Et, si les Musulmans de cette terre ne peuvent pas expulser les Kouffars à cause du manque de forces, parce qu'ils diminuent, sont indolents ou n'agissent simplement pas, alors le Fard Ayn (l'obligation) se diffuse dans la forme d'un cercle touchant les plus proche puis les plus proche suivant. Et s'ils diminuent encore ou s'il y a de nouveau un manque de main d'oeuvre, alors il (le fard du jihaad) incombe sur les gens derrière eux et sur les gens derrière eux, et ainsi de suite... Ce processus continue jusqu'à ce que cela devienne un Fard Ayn sur le monde entier.
Le cheikh Ibn Tayymyah (Rahimahou Allah) dit à ce sujet : "À propos du jihaad défensif, visant à repousser un agresseur, c'est le plus gérable type de jihaad. Comme il a était convenu par tout le monde, il est obligatoire de protéger la religion et ce qui est sacré. La première obligation après la Foi est (le Jihad dans) le repoussement de l'ennemi agresseur qui assaille la religion et les affaires temporelles. Il n'est requis aucune exigence particulière comme les provisions ou le transport, et on combat plutôt avec lui en usant de toute la capacité immédiate. Les oulamas, nos égaux et d'autres ont parlé de cela."
Ibn Tayymyah développe son avis concernant l'absence de l'exigence de transport dans sa réponse au Juge qui a dit : "si le jihaad devient Fard Ayn sur les gens d'un pays, une des exigences, en comparaison au Hadj, est qu'il faut avoir des provisions et une monture si la distance est tel que l'on raccourcit la prière". Ibn Taymia a dit : "Ce que le Juge a dit en comparaison au Hadj n'a jamais été exposé auparavant par personne et est un argument faible. Le Jihaad est obligatoire parce qu'il est pour la répulsion du mal de l'ennemi, donc il a la priorité sur le Hijr. Or pour le Hijr aucun transport n'est considéré nécessaire. Lors du Jihaad, certaines choses prennent des priorités. On rapporte dans un hadith sahih relaté par Ibn Ebaad Asaamat que le Prophète a dit : "Il est (obligatoire) sur le Musulman d'écouter et d'obéir dans la privation comme dans la prospérité, dans ce qu'il aime comme dans ce qu'il déteste et même si on ne lui donne pas ses droits ". Donc, le pilier de la plus importante des obligations, est de marcher en avant dans les temps difficile aussi bien que prospère. Comme il a été exposé et contrairement au Hadj, l'obligation reste donc présente dans les temps de privation. Et cela est (mentionné) dans le Jihaad offensif. Il donc est clair que le jihaad défensif porte un plus grand degré d'obligation. Défendre les choses sacrées et la religion contre l'agresseur est obligatoire, comme c'était convenu par chacun. La première obligation après la foi (el Iman) est le repoussement de l'ennemi agresseur qui assaille la religion et les affaires temporelles".
A présent, voyons l'avis des quatre écoles de jurisprudence islamiques qui sont tous d'accord sur ce point :
Jurisprudence Hanafite
Ibn Aabidin a dit : "Le Jihaad devient un devoir obligatoire (Fard Ayn) si l'ennemi attaque une des frontières des Musulmans. Son obligation incombe également aux autres pays musulmans voisins qui sont les plus proches du pays attaqué. Pour ceux qui sont loin, c'est un devoir facultatif (Fard Kifaya), si leur aide n'est pas exigée. S'ils sont indispensables, peut-être parce que les voisins attaque l'ennemi mais ne peuvent pas résister, ou qu'ils sont indolents et ne participe pas au jihaad, alors cela devient Fard Ayn sur ceux derrière eux, comme l'obligation de prier et jeûner. Il n'y a aucune excuse pour eux à le délaisser. S'ils sont aussi incapables, alors cela devient Fard Ayn sur ceux derrière eux, et ainsi de suite jusqu'à ce que le jihaad ne devienne Fard Ayn sur toute la Oumma Islamique de l'Est à l'Ouest".
Et partage cet avis juridique : Al-Kassani, Ibn Najim et Ibn Hammam.
Jurisprudence Malikite
Dans la rissala Hashiyat de Dussuqi il est exposé : "Le Jihaad devient un devoir obligatoire (Fard Ayn) lors d'une attaque surprise par l'ennemi." Dussuqi a dit : "partout où cela arrive, le jihaad devient immédiatement Fard Ayn sur chaque personne, qu'elle soit femme, esclave ou enfant sans même avoir l'autorisation de son mari, maître ou parents".
Jurisprudence Shafihite
Il est dit dans Nihayat Al Mahtaj de Ramli : "s'ils s'approchent d'un de nos pays et que la distance entre eux et nous devient inférieur à la distance permettant de raccourcir la prière (prière de voyage), alors les gens de ce territoire doivent le défendre et cela devient un devoir obligatoire (Fard Ayn) même sur les gens pour qui il n'y a d'habitude aucune obligation de participer au jihaad; à savoir le pauvre, les enfants, les esclaves, le débiteur et les femmes."
Jurisprudence Hanbalite
Dans Al Mughni, Ibn Al Qudamah dit : "Le Jihaad devient un devoir obligatoire (Fard Ayn) dans trois situations :
1) Si les deux côtés se rencontrent dans la bataille et s'ils s'approchent l'un de l'autre.
2) Si le Kuffar entre en terre musulmane, le jihaad devient Fard Ayn sur ses habitants.
3) Si l'Imam appelle les gens à marcher en avant il est obligatoire pour eux d'obéir. "
Ibn Tayymyah (Que Dieu lui fasse miséricorde) a fait la remarques suivante concernant ceci : "Et si l'ennemi entre sur une terre Musulmane, il n'y a sans aucune doute qu'il devient obligatoire pour le pays le plus proche de participer au Jihaad et ensuite le suivant plus proche pour repousser l'ennemi, <a href="http://www.ntsearch.com/search.php?q=ca ... on">car</a> certes, les pays Musulmans sont comme une seule terre. Et il est obligatoire de participer au Jihaad sur le territoire attaqué, même sans la permission des parents ou du maître et les narrations annoncées par l'Imam Ahmad sont claires sur ce point."
Et cette situation est connue par la masse général.
auteur : Pascal cef.fr
Al
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Ecrit le 25 avr.04, 08:24
issa a écrit :contxtualisent cher amis si tu en est capable et apprend les deifferentes sortes de jihad je t aide un peu y a le grand et le petit
Dans le petit jihad : guerre sainte menée pour le triomphe de l'islam. Il est intrinséquement liée au message de mahomet pour l'avoir pratiqué lui même la première fois à médine puis contre les tribus récalcitrante de la mecque. Mais il s'est diversifié : à l'origine mahomet a utilisé le jihad fardh kifayaqui est exigée de ceux dont les conditions leur permettent d'y participer. De nos jours, certains oulémas utilisent le terme de jihad fardh aïn obligation individuelle et impérative.
En 2002, les services de renseignements saoudiens estimaient à près de 200 le nombre d'oulémas prêchant ouvertement le djiad (cf Als quds Al Arabia 28-1-2002)
Ecrit le 25 avr.04, 08:40
Tu l'as dit MEDEK, c'est d'ailleurs l'origine de l'obligation de payer l'effort de guerre qu'est le Zakat, qui n'est pas la Sadaqah, elle véritablement aumone pour les pauvres musulmans. Le zakat est un des 5 piliers, mais pas la Sadaqah...
Mohamed de son vivant a mené entre 27 et 29 campagnes de Jihad (le chiffre variant selon les sources.
Al
Mohamed de son vivant a mené entre 27 et 29 campagnes de Jihad (le chiffre variant selon les sources.
Al
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Ecrit le 25 avr.04, 10:04
ah j'en apprends encore des bellesAl a écrit :Tu l'as dit MEDEK, c'est d'ailleurs l'origine de l'obligation de payer l'effort de guerre qu'est le Zakat, qui n'est pas la Sadaqah, elle véritablement aumone pour les pauvres musulmans. Le zakat est un des 5 piliers, mais pas la Sadaqah...
Mohamed de son vivant a mené entre 27 et 29 campagnes de Jihad (le chiffre variant selon les sources.
Al

En tout cas merci pour les précisions et les différents types de djiad selon les écoles juridiques

Ecrit le 25 avr.04, 22:09
Bravo l'argumentation de haut niveau du genre "Non c'est même pas vrai d'abord!"
Issa connait mieux l'islam que les experts d'El Azhar et de l'ensemble des membres de la Conférence Islamique qui ont déjà statué. Epatant!
Tu as peut être une autre explication sur le Jihad?
Vas-y, on attend avec impatience tes lumières.
Al
Issa connait mieux l'islam que les experts d'El Azhar et de l'ensemble des membres de la Conférence Islamique qui ont déjà statué. Epatant!
Tu as peut être une autre explication sur le Jihad?
Vas-y, on attend avec impatience tes lumières.
Al
- Mickael Keul
Ecrit le 25 avr.04, 23:09
heuu question impérrialisme, ton site de référence http://www.la-route-de-lislam.com/Mohammad4.htm se pose un peu là aussi !!!
Je n'ai jamais vu autant de contre-vérités rassemblées en aussi peu de pages !! De plus , sais tu qui est Malika ? c'est la veuve d'un des assassins de Massoud !! elle a la même IP quand elle poste sur Assabyle
La paille et la poutre, tu connais ???
Je n'ai jamais vu autant de contre-vérités rassemblées en aussi peu de pages !! De plus , sais tu qui est Malika ? c'est la veuve d'un des assassins de Massoud !! elle a la même IP quand elle poste sur Assabyle
La paille et la poutre, tu connais ???
- Jean
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