Non john pas non sourcé après si tu veux que je fasse une analyse poussée avec des scientifiques, tu vas te sentir tout con de ridiculiser les gens sensées, désolé si je gobe pas tout ce qu'on me donne sans un minimum d'assurance de la provenance etc.
Les petits malins dans ce genre me font bien rire, tiens va te renseigner sur les auditifs alimentaires, les vaccins et toute la merde après tu pourras parler de quelques chose que tu connais, pour les autres, chercher à résoudre un problème, ne va pas résoudre la solution car la société tout entière et son fonctionnement est le problème.
Quelqu'un qui grignote est aussi drogué qu'un fumeur de cigarette ou de cannabis, le sucre est une drogue encore plus dangereuse et notice que la cigarette mais cela personne n'en parle, pareil 80 pour cent du monde accroché à son téléphone alors qu'il est reconnu que les ondes sont cancérigènes.
Et le fluor est un poison à la base, présent dans le dentifrice ou dans l'eau, va te renseigner un peu, on verra qui est l'âne de nous deux.
Vous allez me dire; ben on peut plus rien faire maintenant ? ben si mais alors évitez de se plaindre en faisant l'autruche alors que tout le monde connait l'origine du problème mais préfère faire confiance jusqu'au bout, combien de médicament au traitement scandaleux et aux maladies rare ont été étouffés par le milieu médical ?
Hé oui c'est la chimio qui tue le patient et non la maladie, renseigne toi sur ce qu'il injecte de radioactif après tu pourras faire genre que tu es cultivé, parce que la culture c'est pas ce qui sort de ta TV gars, c'est des bouquins qui sont à portée ou des vrais scientifiques, pas ceux payer par les sociétés pharmaceutique pour vendre leurs remèdes miracles.
Bref sinon pour la clope c'est voulu, tu as coté où ça vend sans problème mais un coté où ça fait genre de faire de la répression dessus, le prix de vente d'un paquet de base est de 1.50 /70 , le reste c'est que de la taxe comme sur l'alcool et le reste donc demain il n'y a plus de fumeurs ou l'alcoolique, la France va piocher ou l'argent pour payer le RSA ?
Sachant que la plupart des mecs au RSA boit et fume, l'argent retourne directement à l'envoyeur, poudre de perlimpinpin donc ça solutionnera que dalle, tout est voulu.
Un métier ou une industre ...
Re: Un métier ou une industre ...
Ecrit le 09 mars16, 06:52- medico
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Ecrit le 27 mars16, 02:06Tabac : mieux vaut arrêter brutalement
MARION DEGEORGES / JOURNALISTE | LE 26/03 À 10:02
Tabac : mieux vaut arrêter brutalement
MARION DEGEORGES / JOURNALISTE | LE 26/03 À 10:02
Quelle méthode est la plus efficace ? Entre un arrêt progressif et un sevrage brutal du tabac, des chercheurs de l’université d’Oxford ont tranché.
Consumer son envie de nicotine ou l’éteindre brutalement ? Telle est la question. Si la plupart des experts recommandent d’arrêter d’un coup d’un seul, la plupart des fumeurs continue de préférer la méthode progressive. Dans une étude publiée la semaine dernière , des chercheurs de l’université d’Oxford ont tenté de répondre à deux questions : « quelle est la meilleure approche ? », et « permettent-elles toutes les deux d’arrêter sur le court et le long terme ? ».
Pour cette étude, « nous avons recruté 697 fumeurs qui avaient décidé d’arrêter de fumer. Nous les avons divisé en deux groupes. Le premier groupe - dit “d’arrêt brutal” - a choisi un jour J où tous les participants ont dû arrêter de fumer. Le second groupe - dit “d’arrêt progressif” - a également choisi un jour J pour arrêter de fumer, mais ils ont progressivement réduit leur consommation de tabac les deux semaines qui ont précédé », explique le Docteur Nicola Lindson-Hawley qui a dirigé cette étude.
Durant les 15 jours qui ont précédé le jour J, tous les participants bénéficiaient d’un soutien, de conseils, et avaient à leur disposition des substituts à la nicotine (patch, chewing-gum, spray buccal, etc.).
Le sevrage brutal, 25% plus efficace
Une fois le jour J passé, ils ont été évalués chaque semaine pendant quatre semaines, puis une fois au bout de six mois. Les chercheurs mesuraient notamment le taux de monoxyde de carbone expiré par ces ex-fumeurs supposés. Il s’agit d’une méthode objective pour déterminer s’ils avaient effectivement arrêté de fumer.
Après la première échéance, celle des quatre semaines, 39% des cobayes du groupe “d’arrêt progressif” n’avaient pas refumé, contre 49% pour le groupe “d’arrêt brutal”, soit dix points d’écart. En somme, arrêter d’un seul coup offre 25% plus de chances de réussir son sevrage.
A long terme, après l’échéance des six mois, les chercheurs ont observé un écart persistant (6,5 points). Les abstinents du groupe “d’arrêt progressif” étaient 15,5%, contre 22% dans le groupe “d’arrêt brutal”.
Le sevrage progressif reste préféré
Le Docteur Lindson-Hawley impute cette différence au fait que les membres du groupe “d’arrêt progressif” « ont eu du mal à réduire » leur consommation de nicotine. « Cela leur ajoutait une chose supplémentaire à faire, ce qui peut être la raison de leur découragement », analyse-t-elle.
Pour autant, « nous avons constaté que davantage de gens préféraient l’idée d’arrêter progressivement ». Mais « peu importe ce qu’ils pensaient, ils étaient toujours plus à même de réussir leur sevrage dans le groupe “d’arrêt brutal” ».
« Il est important de souligner que ces résultats ont été observés chez des personnes qui ont bénéficié d’un soutien psychologique et d’un traitement de substitution à la nicotine », rappelle le Docteur Lindson-Hawley.
En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/industrie-servic ... r=RSS-2055
MARION DEGEORGES / JOURNALISTE | LE 26/03 À 10:02
Tabac : mieux vaut arrêter brutalement
MARION DEGEORGES / JOURNALISTE | LE 26/03 À 10:02
Quelle méthode est la plus efficace ? Entre un arrêt progressif et un sevrage brutal du tabac, des chercheurs de l’université d’Oxford ont tranché.
Consumer son envie de nicotine ou l’éteindre brutalement ? Telle est la question. Si la plupart des experts recommandent d’arrêter d’un coup d’un seul, la plupart des fumeurs continue de préférer la méthode progressive. Dans une étude publiée la semaine dernière , des chercheurs de l’université d’Oxford ont tenté de répondre à deux questions : « quelle est la meilleure approche ? », et « permettent-elles toutes les deux d’arrêter sur le court et le long terme ? ».
Pour cette étude, « nous avons recruté 697 fumeurs qui avaient décidé d’arrêter de fumer. Nous les avons divisé en deux groupes. Le premier groupe - dit “d’arrêt brutal” - a choisi un jour J où tous les participants ont dû arrêter de fumer. Le second groupe - dit “d’arrêt progressif” - a également choisi un jour J pour arrêter de fumer, mais ils ont progressivement réduit leur consommation de tabac les deux semaines qui ont précédé », explique le Docteur Nicola Lindson-Hawley qui a dirigé cette étude.
Durant les 15 jours qui ont précédé le jour J, tous les participants bénéficiaient d’un soutien, de conseils, et avaient à leur disposition des substituts à la nicotine (patch, chewing-gum, spray buccal, etc.).
Le sevrage brutal, 25% plus efficace
Une fois le jour J passé, ils ont été évalués chaque semaine pendant quatre semaines, puis une fois au bout de six mois. Les chercheurs mesuraient notamment le taux de monoxyde de carbone expiré par ces ex-fumeurs supposés. Il s’agit d’une méthode objective pour déterminer s’ils avaient effectivement arrêté de fumer.
Après la première échéance, celle des quatre semaines, 39% des cobayes du groupe “d’arrêt progressif” n’avaient pas refumé, contre 49% pour le groupe “d’arrêt brutal”, soit dix points d’écart. En somme, arrêter d’un seul coup offre 25% plus de chances de réussir son sevrage.
A long terme, après l’échéance des six mois, les chercheurs ont observé un écart persistant (6,5 points). Les abstinents du groupe “d’arrêt progressif” étaient 15,5%, contre 22% dans le groupe “d’arrêt brutal”.
Le sevrage progressif reste préféré
Le Docteur Lindson-Hawley impute cette différence au fait que les membres du groupe “d’arrêt progressif” « ont eu du mal à réduire » leur consommation de nicotine. « Cela leur ajoutait une chose supplémentaire à faire, ce qui peut être la raison de leur découragement », analyse-t-elle.
Pour autant, « nous avons constaté que davantage de gens préféraient l’idée d’arrêter progressivement ». Mais « peu importe ce qu’ils pensaient, ils étaient toujours plus à même de réussir leur sevrage dans le groupe “d’arrêt brutal” ».
« Il est important de souligner que ces résultats ont été observés chez des personnes qui ont bénéficié d’un soutien psychologique et d’un traitement de substitution à la nicotine », rappelle le Docteur Lindson-Hawley.
En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/industrie-servic ... r=RSS-2055
(Isaïe 30:15) Votre force résidera en ceci : dans le fait de rester calmes et [aussi] dans la confiance . AM - JW - Les Témoins de Jéhovah
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Re: Un métier ou une industre ...
Ecrit le 08 mai16, 09:37(Isaïe 30:15) Votre force résidera en ceci : dans le fait de rester calmes et [aussi] dans la confiance . AM - JW - Les Témoins de Jéhovah
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Re: Un métier ou une industre ...
Ecrit le 25 mai16, 01:53Le tabagisme passif n'a pas disparu des lieux publics
Mots clés : tabagisme, tabac
Par figaro iconSoline Roy - le 25/05/2016
76,8 % des élèves et étudiants de plus de 15 ans disent avoir été exposés à la fumée des autres au sein de leur établissement.
Presque dix ans après sa parution, le décret interdisant de fumer dans les lieux collectifs ne semble pas avoir eu raison du tabagisme passif. Le Bulletin épidémiologique hebdomadaire publié ce 25 mai dresse le constat d'une «triste réalité », regrette l'éditorial du Pr Benoît Vallée, directeur général de la santé : selon les 15.635 personnes interrogées pour le Baromètre santé 2014, le tabagisme passif semble en augmentation là où fumer est censé être interdit. Lieux d'enseignement et de travail, bars ou restaurants… «Alors que les indicateurs dont nous disposions ces dernières années montraient un respect plutôt élevé de la loi», indique le Pr Vallée, ces «lieux d'usage collectifs» visés par le décret de novembre 2006 semblent appliquer moins parfaitement la législation.
Facteurs protecteurs
Ainsi, 76,8 % des élèves et étudiants de plus de 15 ans disent avoir été exposés à la fumée des autres au sein de leur établissement dans les 30 jours précédant l'enquête. En entreprise, cela concerne plus de 15 % des actifs, les ouvriers (28,2 %) plus que les cadres (7,2 %). Dans les bars et les restaurants, la situation n'est pas brillante : «La comparaison de la proportion d'individus fréquentant les lieux de convivialité et exposés à la fumée en 2012 (données ITC) et 2014 (données du Baromètre santé) fait apparaître une tendance à la hausse : de 6,9 % à 30,2 % dans les cafés et bars, de 1,5 % à 8,7 % dans les restaurants », précisent les auteurs, qui notent un lien avec l'âge, l'exposition «passant de 30,2% chez les 15-24 ans à 13,5% chez les 55-64 ans. (…) Il ne s'agit pas seulement d'une baisse de fréquentation mais aussi d'une différence dans les lieux fréquentés et les comportements.» Être diplômé, avoir un bon revenu ou résider hors agglomération parisienne semblent être des facteurs protecteurs.
«L'interprétation précise de ces résultats doit rester prudente », nuance Benoît Vallée. L'enquête ne permet notamment pas toujours de distinguer une exposition dans les lieux où fumer est interdit (à l'intérieur des locaux) de ceux où c'est autorisé (abords du lycée, terrasse non fermée…). Les auteurs espèrent cependant que «l'élargissement du nombre de corps de contrôle habilités inscrit dans la loi de modernisation du système de santé permettra probablement d'assurer un meilleur respect de la législation ».
Mots clés : tabagisme, tabac
Par figaro iconSoline Roy - le 25/05/2016
76,8 % des élèves et étudiants de plus de 15 ans disent avoir été exposés à la fumée des autres au sein de leur établissement.
Presque dix ans après sa parution, le décret interdisant de fumer dans les lieux collectifs ne semble pas avoir eu raison du tabagisme passif. Le Bulletin épidémiologique hebdomadaire publié ce 25 mai dresse le constat d'une «triste réalité », regrette l'éditorial du Pr Benoît Vallée, directeur général de la santé : selon les 15.635 personnes interrogées pour le Baromètre santé 2014, le tabagisme passif semble en augmentation là où fumer est censé être interdit. Lieux d'enseignement et de travail, bars ou restaurants… «Alors que les indicateurs dont nous disposions ces dernières années montraient un respect plutôt élevé de la loi», indique le Pr Vallée, ces «lieux d'usage collectifs» visés par le décret de novembre 2006 semblent appliquer moins parfaitement la législation.
Facteurs protecteurs
Ainsi, 76,8 % des élèves et étudiants de plus de 15 ans disent avoir été exposés à la fumée des autres au sein de leur établissement dans les 30 jours précédant l'enquête. En entreprise, cela concerne plus de 15 % des actifs, les ouvriers (28,2 %) plus que les cadres (7,2 %). Dans les bars et les restaurants, la situation n'est pas brillante : «La comparaison de la proportion d'individus fréquentant les lieux de convivialité et exposés à la fumée en 2012 (données ITC) et 2014 (données du Baromètre santé) fait apparaître une tendance à la hausse : de 6,9 % à 30,2 % dans les cafés et bars, de 1,5 % à 8,7 % dans les restaurants », précisent les auteurs, qui notent un lien avec l'âge, l'exposition «passant de 30,2% chez les 15-24 ans à 13,5% chez les 55-64 ans. (…) Il ne s'agit pas seulement d'une baisse de fréquentation mais aussi d'une différence dans les lieux fréquentés et les comportements.» Être diplômé, avoir un bon revenu ou résider hors agglomération parisienne semblent être des facteurs protecteurs.
«L'interprétation précise de ces résultats doit rester prudente », nuance Benoît Vallée. L'enquête ne permet notamment pas toujours de distinguer une exposition dans les lieux où fumer est interdit (à l'intérieur des locaux) de ceux où c'est autorisé (abords du lycée, terrasse non fermée…). Les auteurs espèrent cependant que «l'élargissement du nombre de corps de contrôle habilités inscrit dans la loi de modernisation du système de santé permettra probablement d'assurer un meilleur respect de la législation ».
(Isaïe 30:15) Votre force résidera en ceci : dans le fait de rester calmes et [aussi] dans la confiance . AM - JW - Les Témoins de Jéhovah
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