Dis moi... les enseignements musulmans qui justifient les changements de la Loi .... sont valables seulement pour Mohammed ?El Mahjouba-Marie a écrit :Jésus a enseigné les lois de Moise . . .Tu ne tuera pas . . .QUI?
.../....
Deux poids... deux mesures ?

http://www.maison-islam.com/article.php?sid=398
Car moi je lis ceci :
Ou bien alors... il y aurait de l'hypocrisie dans l'air ?Un exemple d'abrogation apportée par Jésus : selon la Loi que suivaient les Fils d'Israël, une forte interdiction était liée au Sabbat (voir par exemple Exode 31/13-17). Or Jésus vint assouplir non pas l'institution même du sabbat – puisqu'il s'adressait à des fils d'Israël – mais la très stricte façon par laquelle elle était appliquée : "Le sabbat a été fait pour l'homme et non l'homme pour le sabbat, de sorte que le Fils de l'homme est maître du sabbat" (Marc 2/27-28). N'est-ce pas de l'abrogation ?
Un autre exemple : selon la loi mosaïque, il était licite pour le mari de répudier sa femme sans raison ; or Jésus vint dire que la répudiation n'était autorisée qu'en cas d'adultère : "C'est à cause de la dureté de vos cœurs que Moïse vous a permis de répudier vos femmes. Mais il n'en était pas ainsi au commencement" (Matthieu 5/19) : d'après ce propos, la répudiation faite sans raison constitue une faute sur le plan moral (sans qu'apparemment il y ait pour autant invalidité) ; toujours d'après ce propos, si Moïse avait rendu entièrement licite – sans qu'il y ait même une faute morale – ce genre de répudiation, c'était à cause de la dureté de cœur de ses contemporains : de deux maux, le moindre avait été choisi : une répudiation injuste était certes mauvaise, mais moins mauvaise que des coups. La règle que Moïse avait énoncée était donc due à un contexte particulier, et ce contexte ayant disparu, Jésus modifia la règle, en tant que Messager de Dieu venu ultérieurement. Voyez : il s'agit bien de l'abrogation d'une règle dictée par un Messager – Moïse – par un Messager plus récent – Jésus.

Abrogation musulmane HALLAL.... chrétienne ? HARAM

Marie... Marie...


