petite fleur a écrit :ouin ok je ne partage pas ton point de vue sur les problêmes courant de la vie,car chaque chose a sa raison d'être et dans l'épreuve nous devenons plus fort....
qui a parler de problême courant ?
J'ai dit:
une terrible nouvelle
et quand il m'arrive un obstacle je ne me dit pas ha non pas vrai , sa s'peut pas je fais avec,il n'y a pas de problême mais des solutions pour y remidier aussi,j'ai probablement connu trop de tempête pour commencé a baisser les bras...la lumière est toujours au bout du tunel...je prends la vie du bon côté je me casse pas la tête avec ce qui n'est pas sur mon chemin....donc ce que tu apportes comme argument ne me vises aucunement ....
Tu vois ici la terrible nouvelle (c'est terrible parce que ça ampute ton courage et tes rêves)
c'est que j'ai dit que l'on évolue pas, on ne change pas, on s'adapte... Ce que j'ai justifier par le denis.
Tu n'as pas changer donc pris la peine d'étudier mes propos et de te remettre en cause.
Comme tu pouvais pas dirent non, puisque c'est du dénis et que ça m'aurais donner raison.
Tu t'est adapter et t'a préfére crois que je m'était mal exprimé ou que tu avais mal compris plutôt que de t'écouter.
Donc t'as pas évoluer, t'as pas changé, (t'auras pu le prendre avec humour ou sagesse) tu t'es adapté.
et oui malheureusement il est venue apporter l'épée la division,c'est un fait!
Non la division il ne l'a pas apporté c'est ses contemporains qui ont choisis de faitre cission, lui n'avait pas le pouvoir de choisir pour eux.
mais seul les vrais vont pouvoir résisté au bout de la ligne...j'ai appris au fil du temps que même si tu te casse la tête cela ne règle en rien la situation donc rester calme et voir comment nous pouvons y remédié a ce problême plutot que de sombrer dans le négatif qui a mon avis ne changera rien a la situation! il faut voir positif...
Mais tu vois ça c'est la base de la philosophie depuis 8000 ans au moins.
Tout les parents apprends ça à leur enfants et on te le rabache sens cesse partout.
Mais malgrés ça t'a fallut passer par tes propres expériences pour le réalisé par toi-même.
Bravo c'était le moment... lol
Mais si tu avais refléchis jusqu'au bout, tu a compris que chaque choses avais deux côtés et que chaque médaille avais son revers et malgrés celà
tu a accepter l'optimiste sans en mesure les contre-indication.
Parce que l'effet pervers de cette doctrine troc le réalisme contre le romantisme.
Donc si tu as des gens qui accepte les fatalités d'ont il ne sont pas responsable sous pretexte que ça va les renforcer spirituellement,
il oublie que ça les affaiblis dans la réalité physique de l'aspect pratique.
Donc il finiront par nourrir ceux qui on décidé qu'il y avait des limites à voir la vie toujours du côté optimiste.
Ce qui a engendre un confusion entre le nihiliste et le réaliste.
Comme dans ta tête tu es entrain de te dirent que je suis un pessimiste alors que j'essaie d'être réaliste.
Tu aurais plutot du te rendre compte que l'utilisation de la dualité et utile pour le raisonnement (negativisme/positivisme), mais qu'elle est contre productive pour le jugement.(il est pessimiste/il est optimiste)
Ce d'autant que tu utilise positivisme pour ne pas écouter, ta douleur
et que cette état de fait ne fait pas de toi une personne positive.
C'est la compréhension et l'acceptation qui crée l'optimiste.
Tout ça, parce que dans ta tête tu as le dénis de la complexité du monde et tu préfére encore te raccrocher à des principes simples que l'on pourrais utilisé partout. Pourtant tu sais que la simplicité et une chose trés compliqué.
En d'autre termes, croire n'est pas savoir et on peux savoir sans pour autant croire et croire sans savoir, dans la vie tout est possible.
Parce que les dualités ne sont pas forcement opposable elle sont aussi combinatoire c'est ça qui engendre l'évolution.
Ce n'est pas en parlant avec un personne qui aquiece à tout ce que tu dis, c'est quand tu tombe sur une personne avec qui tu n'est pas d'accord que tu en apprends le plus, mais en générale on a tendance à choisir le dénis et la fuite plutot que l'acceptation de l'autre et le surpassement de soi.