younes a écrit :voici chrétien un verset de paul vous disant qu'il est pour l'épée dans certains cas et pourtant il est chrétien, alors vous chrétiens qui dites , non pas d'épée , eh bien vous comdamnez paul, alors essayez de comprendre que l'épée est parfois utile dans certains cas et je dirai même obligatoire, pour effacer le mal et faire resplendir le bien
voici donc le verset en question
romains ch 13:4
car le magistrat est serviteur de DIEU pour ton bien,
mais si tu fais le mal crains car il ne porte pas l'épée en vain car il est serviteur de DIEU vengeur pour exécuter la colère sur celui qui fait le mal
paul est t'il contre le christ ou bien avait t'il compris que le christ était pour l'épée dans certains cas???
je sais je sais chrétiens voilà un grand dilemme pour vous, et surtout voilà l'évidence que vous avez tord sur l'épée

J'ai toujours du mal à comprendre où veulent en venir les mahométans. Evidemment que les chrétiens permettent l'épée. Les magistrats et les militaires ne sont pas excommuniés. C'est quoi le problème ?
http://www.clerus.org/clerus/dati/2001- ... andKT.html
Que nous défend le cinquième commandement : Tu ne tueras pas ?
Le cinquième commandement : Tu ne tueras pas, défend de donner la mort au prochain, de le battre, de le frapper, ou de lui faire quelque autre mal dans son corps, soit par soi-même, soit par les autres. Il défend encore de l’offenser par des paroles injurieuses et de lui vouloir du mal. Dans ce commandement Dieu défend aussi de se donner la mort, ce qui est le suicide.
Pourquoi est-ce un péché grave de tuer son prochain ?
Parce que celui qui tue usurpe témérairement le droit sur la vie de l’homme qui n’appartient qu’à Dieu seul, parce qu’il détruit la sécurité de la société humaine, et parce qu’il enlève au prochain la vie, qui est le plus grand bien naturel qu’il ait sur la terre.
Y a-t-il des cas où il soit permis de tuer son prochain ?
Il est permis de tuer son prochain quand on combat dans une guerre juste ; quand, par ordre de l’autorité suprême, on exécute une condamnation à mort, châtiment de quelque crime, et enfin quand on est en cas de nécessaire et légitime défense contre un injuste agresseur.