Possible que ce soit le panthéisme de Spinoza qui commence à sentir le cadavre ou à un moindre degré le vieux papier jauni.l_leo a écrit :Vous êtes dans la norme, Tout bon generateur aléatoire mystifie un texte pour en faire un cadavre exquis.

Possible que ce soit le panthéisme de Spinoza qui commence à sentir le cadavre ou à un moindre degré le vieux papier jauni.l_leo a écrit :Vous êtes dans la norme, Tout bon generateur aléatoire mystifie un texte pour en faire un cadavre exquis.
Par chance, le bouddhisme n'est qu'une croyance parmi d'autres. Comme c'est la voie médiane, ce n'est donc ni une vérité, ni une non vérité. Tu n'as donc ni raison, ni pas raison.bic a écrit :Dans le bouddhisme qui est une vision spirituelle , ce "hors temps " n'a pas de sens .
Le temps est simplement perçu comme étant relatif dans le bouddhisme , mais jamais cette idée de "hors temps " et même d'âme du reste n'a de sens pour un bouddhiste . Du reste le bouddhisme c'est le principe de la voie médiane , et dans ce principe il n'existe ni temps ni non temps dans l'absolu , les deux n'existent que sur un plan relatif et relativement l'un à l'autre .
vic a écrit :Si l'âme siège dans un monde où les lois physiques sont différentes des notres alors la thèse de l'âme est indémontrable , hors J'minterroge nous dit qu'il la démontre , hors je ne vois pas où il la démontre .
Moi mon postulat c'est qu'essayer de parler d'un dieu ou d'une âme qui existerait dans un monde parralèle c'est une voix de garage puisque nous ne pouvons qu’appréhender que ce qui demeure dans notre monde à nous , avec les lois physiques de notre monde .
C'est pour cette raison que pour moi les religions sont de la masturbation intellectuelle sans intêret . Personne ne peut essayer de se représenter ce qui se passerait dans un monde parraléle avec des lois physiques différentes des notres , et étudier un dieu qui vivrait dans un monde parralèle c'est n'importe quoi dans ce cas .La théologie c'est du n'importe quoi .
Soit l'âme et dieu ne sont pas surnaturels et sont dans la nature , suivant les mêmes lois physiques que les notres , soit il est vain de tenter d'en parler ou des les étuder ou même d'y croire ou pas .
Quand je fais des conjectures je le signale soit en spécifiant qu'il s'agit d'hypothèses que je fais, soit en utilisant le conditionnel.BenFis a écrit :En effet, J'M ne démontre rien. Il ne fait que conjecturer comme nous le faisons tous.
Il ne s'agit pas ici d'être d'accord sur une définition il s'agit dans un premier temps de donner une définition.BenFis a écrit :De toutes façons, tant qu'il n'y a pas d'accord sur la définition de l'âme, la discussion reste un passe-temps stérile.
J'm'interroge a écrit :Un apparaître n'a aucune durée ni espace.
Bien écoute, tu as l'air sûr de toi, je vais te démontrer déjà que tu es incapable de me présenter un apparaître qui aurait une durée ou un espace.vic a écrit :C'est impossible ce que tu dis . Et tu le démontres pas .
J'm'interroge a écrit :Selon toi. Mais tu ne sais pas définir "concret", et tu ne maîtrises pas les concepts de temps et d'espaces tels qu'abordés en physique (la science).
Alors explique moi comment ce qui n'est ni local ni temporel pourrait-il être dans l'espace ou dans le temps, sachant qu'une réalité causale d'un apparaître (y compris donc d'un phénomène physique abordé en labo) est nécessairement (c'est un fait scientifique établit en 1982) non locale et de facto non temporelle.vic a écrit :Ton invention du "hors temps " est abracadanbantesque . Ne donne pas de leçons s'il te plait . Tu ne démontres rien et tu inventes des trucs new age à tout bout de champs .
Il n'y a pas à accéder à un "hors temps" ou à un "hors espace" pour comprendre que l'espace et le temps sont des réalités conceptuelles, scientifiques bien entendues, mais conceptuelles, liées à notre représentation du monde et qu'il n'y a pas eu besoin de sortir de l'espace et du temps pour prouver l'absence de variable cachée locale et de facto de variable cachée temporelle.vic a écrit :Le "hors temps" n'est pas un concept scientifique , comment veux tu que la science puisse accéder à un hors temps éventuel pour en faire la démonstration puisqu'aucun instrument scientifique ne peut mesurer quoi que ce soit dans un environnement " hors temps " si il existait .
MonstreLePuissant a écrit :Le temps et l'espace sont une caractéristique de notre monde physique. Au niveau du spirituel (les 3 plans supérieurs), l'espace et le temps n'existent pas.
Le bouddhisme selon vic....vic a écrit :Dans le bouddhisme qui est une vision spirituelle , ce "hors temps " n'a pas de sens .
Le temps est simplement perçu comme étant relatif dans le bouddhisme , mais jamais cette idée de "hors temps " et même d'âme du reste n'a de sens pour un bouddhiste .
Tu ne comprends même pas ce que tu dis, puisqu'en disant ce que tu dis : tu te contredis. Or si c'est bien ce que le bouddhime enseigne, sache que dans une logique qui affirme une chose et son contraire l'on peut démontrer tout et son contraire.vic a écrit :Du reste le bouddhisme c'est le principe de la voie médiane , et dans ce principe il n'existe ni temps ni non temps dans l'absolu , les deux n'existent que sur un plan relatif et relativement l'un à l'autre .
Tu généralises trop .
On n'a pas encore vu ta spiritualité bouddhique vic, par contre on a vu (en tout cas j'ai vu) ta nullité philosophique.vic a écrit :Les philosophes occidentaux sur le plan de la spiritualité sont nuls , ils sont conditionnés par un aspect culturel de croyance dont il n'arrivent pas à se détacher .
Lol ! Il ne part par d'un principe, il part de définitions et de postulats (on lit axiomes, mais ce sont des postulats) et ?vic a écrit :Hors une personne libre de penser ne part pas du principe que dieu existe pour tenter de le démontrer...
bic a écrit :Dans le bouddhisme qui est une vision spirituelle , ce "hors temps " n'a pas de sens .
Le temps est simplement perçu comme étant relatif dans le bouddhisme , mais jamais cette idée de "hors temps " et même d'âme du reste n'a de sens pour un bouddhiste . Du reste le bouddhisme c'est le principe de la voie médiane , et dans ce principe il n'existe ni temps ni non temps dans l'absolu , les deux n'existent que sur un plan relatif et relativement l'un à l'autre .
MonstreLePuissant a écrit :Par chance, le bouddhisme n'est qu'une croyance parmi d'autres. Comme c'est la voie médiane, ce n'est donc ni une vérité, ni une non vérité. Tu n'as donc ni raison, ni pas raison.
quand le cerveau se forme , et prend conscience d'etrevic a écrit :
Et quand cette âme apparait elle alors dans cet ensemble d'apparaitres liés ?
1) Dans le passé qui est mort ?
2) Dans le futur qui n'est pas encore né ?
3) Dans le présent qui n'a pas de durée ?
Comme c'est étrange et moi qui parle d'onanisme intellectuelbenfis a dit De toutes façons, tant qu'il n'y a pas d'accord sur la définition de l'âme, la discussion reste un passe-temps stérile.
Tu as parlé de masturbation intellectuelle. C'est moi qui a embelli de " onanisme intellectuel". Mais tu participes à la séance collective. Vas y c'est thérapeutique!dan26 a écrit :Comme c'est étrange et moi qui parle d'onanisme intellectuel
Amicalement
normal par principe l'occident et matérialiste; l'orient spiritualistevic a écrit :
Les philosophes occidentaux sur le plan de la spiritualité sont nuls , ils sont conditionnés par un aspect culturel de croyance dont il n'arrivent pas à se détacher .
dis plutot que tu es attiré par le merveilleux , l’irréel , l'imaginaire . C'est bien si cela te convient .Pour moi leur démonstrations résultent plus d'un lavage de cerveau que de l'objectivité du penseur libre.
C'est du reste pour cela que je me suis plutôt éloigné de leurs thèses cousues de fil blanc pour m"intéresser aux philosophies orientales , bien qu'aujourd"hui je ne sois plus bouddhiste
Lorsque j’ai suggéré plus haut une définition de l’âme tu as dit textuellement que c’était de ma part une conjecture. C’en était une, effectivement.J'm'interroge a écrit : Quand je fais des conjectures je le signale soit en spécifiant qu'il s'agit d'hypothèses que je fais, soit en utilisant le conditionnel.
Mais dire que je ne démontrerais rien sans montrer en quoi je ne le démontrerais pas, est une affirmation gratuite.
Quant à ce que dit vic que je ne démontre pas, c'est vrai, même que je ne l'affirme ni le suppose. Il n'a rien compris à mes propos et pour être d'accord avec lui sans le corriger je suppose que toi non plus.
J'm'interroge a écrit :Quand je fais des conjectures je le signale soit en spécifiant qu'il s'agit d'hypothèses que je fais, soit en utilisant le conditionnel.
Mais dire que je ne démontrerais rien sans montrer en quoi je ne le démontrerais pas, est une affirmation gratuite.
Quant à ce que dit vic que je ne démontre pas, c'est vrai, même que je ne l'affirme ni le suppose. Il n'a rien compris à mes propos et pour être d'accord avec lui sans le corriger je suppose que toi non plus.
Réponse :BenFis a écrit :Lorsque j’ai suggéré plus haut une définition de l’âme tu as dit textuellement que c’était de ma part une conjecture. C’en était une, effectivement.
Par contre tu réfutes le terme de conjecture qua j’ai donné à ton affirmation : « Donc, l'âme c'est simplement la vie consciente, une âme c'est un ensemble d'apparaîtres liés.
1 âme = 1 psyché.
C'est une définition qui ne laisse aucune place à quelque croyance que ce soit. ».
Si cette affirmation n’est ni une conjecture, ni une croyance, ni une hypothèse, qu’est-ce donc alors ?
D'accord!J'm'interroge a écrit :Réponse :
C'est une définition qui ne laisse aucune place à quelque croyance que ce soit.
Ce n'est pas conjecturel, ce n'est pas une croyance, ce n'est pas une hypothèse, c'est une défnition.
Après, tu as le droit de me dire que je me trompe parce que dans le dictionnaire ceci, ou dans la bible cela, mais cela n'empêchera pas que je ne me tromperais pas forcément pour autant quant à ce que je conclus à partir de ce que j'ai ici défini, sinon dis moi quoi.
A la limite, qu'importe le mot. Je suis en droit de définir à peu près comme il me plait, vu que ce mot est défini de 36 manières différentes et que pratiquement personne n'entend la même choche quand il utilise ce mot.
En réalité c'est plus un mot que j'ai choisi pour nommer un concept, qu'un mot que j'aurais cherché à définir.
C'est plus un concept que je définis qu'un mot que je définirais.
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Bien, non, pas forcément. Ce n'est pas déductible de cette définition en tout cas.BenFis a écrit :Une définition, si elle doit servir de base, et je ne suis pas contre, a besoin d’être explicitée. Par ex. Un homme profondément endormi, et donc inconscient, n’a plus d’âme d’après ta définition. Est-ce qu'on peut la comprendre comme ça ?
Ce n'est pas directement déductible, mais la question se pose. Puisque tu définis que "l'âme est la vie consciente", est-ce qu'une vie inconsciente est une âme ? Oui? non? dans certains cas seulement ?J'm'interroge a écrit :Bien, non, pas forcément. Ce n'est pas déductible de cette définition en tout cas.
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J'm'interroge a écrit :Bien, non, pas forcément. Ce n'est pas déductible de cette définition en tout cas.
Dans mes termes, "la vie consciente" ne désigne pas "une forme de vie dans sa définition biologique qui serait consciente".BenFis a écrit :Ce n'est pas directement déductible, mais la question se pose. Puisque tu définis que "l'âme est la vie consciente", est-ce qu'une vie inconsciente est une âme ? Oui? non? dans certains cas seulement ?
J'ai ma propre idée de définition de l'âme, mais je n'ai encore rien conclu de la tienne.J'm'interroge a écrit : Dans mes termes, "la vie consciente" ne désigne pas "une forme de vie dans sa définition biologique qui serait consciente".
La vie dans sa définition biologique ne peut être dite a priori consciente que dans un autre sens que celui de la vie consciente tel que je définis la conscience. En effet, telle que je la définis : soit comme "un ensemble d'apparaîtres liés", elle ne peut pas être abordées comme une fonction biologique, elle est tout au plus liée à une ou plusieurs fonctions de cette nature, sans pouvoir jamais s'y réduire.
C'est là qu'il faut beaucoup de logique pour ne pas conclure trop rapidement à partir d'une définition.
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De vie, non , mais d'existence dont la conscience est réduite à son premier degré, celui régissant le fonctionnement d'un rhéostat, répondant à un stimuli prédéfini.BenFis a écrit :
Cette « vie consciente » est cependant le fait de fonctions biologiques. Que se passe-t-il lorsque ces dernières sont en veille, peut-on encore parler de « vie consciente » ?
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