Philosophie ou cartésianisme

[prisca]

Ou l'un ou l'autre, ou alors les deux, mais, intelligemment.

Ce que je veux dire est qu'on ne peut pas analyser avec philosophie car ce serait aborder un verset avec une approche approximative qui laisse la porte ouverte à de multiples voies ou interprétations, autant valables les unes que les autres quelquefois, mais il y a toujours possibilité d'erreur si en amont l'étude cartésienne du verset n'a pas été établie, et à la fois analyser un verset avec cartésianisme, c'est à dire avec la rigueur de la science cartésienne, l'équation qui ne supporte aucune inconnue.

C'est ce verset qui doit nous éclairer, car un homme en utilisant "la philosophie" pour s'exprimer doit obligatoirement tenir son discours philosophique sur l'équation dans la dialectique qui est née avant l'élaboration d'un laius explicatif pour combiner les mathématiques avec le langage.

Proverbes 15:14
"Un coeur intelligent cherche la science, Mais la bouche des insensés se plaît à la folie."

Réellement, c'est une méthode infaillible, d'abord comprendre l'énoncé d'un ou plusieurs versets par petits groupes, et analyser les mots d'une manière isolée car les mots ont des homonymes, et puis les intégrer dans le contexte, et surtout surveiller les césures car si des mots de liaisons comme "puisque" ou "donc" ou "en conséquence" sont en cours de chapitre ou d'Epitre, il faut tenir compte du début de l'Epitre jusqu'à la fin, et ne pas exploiter un verset d'une manière isolée.


C'est le cas pour l'Epitre aux Romains 1 où tous ont pris un verset pour dire : idolatrie alors qu'il n'est nullement question d'idolatrie des paiens dans ce verset, mais intentionnellement ce verset a été isolé car cette Epitre là est cruciale, elle implique la malversation, et preuve en est, même cette Epitre là fait l'objet de malversation elle qui dénonce la malversation.


Soyez perspicaces.