Nous fleurissons

[prisca]

Le propre du vivant c'est de croitre.

Tout croit, tout est croissance, tout sans exception.

L'homme croit mais cela ne se voit pas à l'oeil nu.

Psaumes 103:15
L'homme ! ses jours sont comme l'herbe, Il fleurit comme la fleur des champs.

Nous fleurissons c'est l'esprit poétique qui se dégage de cette réalité "notre croissance".

Non pas que nous grandissons pour grandir, mais nous croissons pour nous embellir.

La floraison c'est le summum, la grâce, la beauté, le moment le plus beau dans la vie de la plante.

Nous, chaque jour nous sommes "une fleur nouvelle" ; chaque jour nous nous embellissons, jamais nous ne nous enlaidissons.

[ronronladouceur]

Le propre du vivant c'est de croitre.

Tout croit, tout est croissance, tout sans exception.

L'homme croit mais cela ne se voit pas à l'oeil nu.

Psaumes 103:15
L'homme ! ses jours sont comme l'herbe, Il fleurit comme la fleur des champs.

Nous fleurissons c'est l'esprit poétique qui se dégage de cette réalité "notre croissance".

Non pas que nous grandissons pour grandir, mais nous croissons pour nous embellir.

La floraison c'est le summum, la grâce, la beauté, le moment le plus beau dans la vie de la plante.

Nous, chaque jour nous sommes "une fleur nouvelle" ; chaque jour nous nous embellissons, jamais nous ne nous enlaidissons.

Je ne sais pas d'où vous vient cette intuition, mais très joli texte...

[Trivier-Fix]

Le propre du vivant c'est de croitre.

Tout croit, tout est croissance, tout sans exception.

L'homme croit mais cela ne se voit pas à l'oeil nu.

Psaumes 103:15
L'homme ! ses jours sont comme l'herbe, Il fleurit comme la fleur des champs.

Nous fleurissons c'est l'esprit poétique qui se dégage de cette réalité "notre croissance".

Non pas que nous grandissons pour grandir, mais nous croissons pour nous embellir.

La floraison c'est le summum, la grâce, la beauté, le moment le plus beau dans la vie de la plante.

Nous, chaque jour nous sommes "une fleur nouvelle" ; chaque jour nous nous embellissons, jamais nous ne nous enlaidissons.

Cela n a rien à voir avec un "embellissement" ni "une fleur nouvelle" puisque le texte des psaumes évoque davantage l effacement de l homme , jusqu à sa mémoire :
Psaumes 103:16
"Lorsqu'un vent passe sur elle, elle n'est plus, Et le lieu qu'elle occupait ne la reconnaît plus."

Ou encore "Lorsqu'un vent passe sur l homme, il n'est plus, Et le lieu qu'il occupait ne le reconnaît plus."

[prisca]

Cela n a rien à voir avec un "embellissement" ni "une fleur nouvelle" puisque le texte des psaumes évoque davantage l effacement de l homme , jusqu à sa mémoire :
Psaumes 103:16
"Lorsqu'un vent passe sur elle, elle n'est plus, Et le lieu qu'elle occupait ne la reconnaît plus."

Ou encore "Lorsqu'un vent passe sur l homme, il n'est plus, Et le lieu qu'il occupait ne le reconnaît plus."

C'est vrai que c'est pour exprimer l'éphémère mais d'avoir pris la fleur qui est le symbole de la beauté, pour égrener les jours de l'homme, c'est aussi dire que chaque jour c'est la beauté renouvelée.