On en retourne au problème de la convention , si l'objet existe , la relation existe alors que c'est illogique puisque la relation n'est pas un objet . Sinon on parlerait d'objet et pas de relation . C'est exactement ce que je te dis , les conventions de langage , le fait de parler de quelque chose ne prouve rien en ceci ou en cela . Ca ne clarifie pas d'avantage le problème posé sur l'existence ou non des choses .
a écrit :d6p7 a dit : Je vais aller plus loin, on se trompe tous sur ce qu'on voit, on est tous manipulés ; on a tous de grosses hallucinations.
Il n'empêche qu'il existe quand même hallucination, donc on peut affirmer qu'il existe quelque chose.
Justement , une hallucination est ni existante ni non existante .
Il est purement conventionnel et arbitraire de prétendre qu'une hallucination serait quelque chose .
a écrit :d6p7 a dit :
Toi tu ne sais rien ni quelque chose parce que tu n'as pas l'absolu.
Il n'existe aucune forme absolu vic.
Il n'existe ni forme ni absence de forme .
La présence , c'est l'absence de l'absence , l'absence absolue .
Remarque :
On peut s'amuser avec le langage et les concepts comme on veut , parce que ce sont juste des conventions posées .
Tu sais , les maitres zen peuvent s'amuser par exemple par des kouans à inverser tout le sens des conventions , au point que tu ne saurais même plus où tu es et où tu habites .
'"Un arbre quoi un arbre ? Comment ça un non arbre" ?