Qu'on soit soumis à des lois, dites pour notre bien, ou à des règles de sécurité, dites aussi pour notre bien, ou pire encore, se faire agenouiller devant X personne ou d'un état, la seule personne qui peut vous faire plier est vous-même et avec votre accord.
Plus les gens laisse les autres prétendre être là pour vous et travailler pour vous, plus vous leur donner du pouvoir sur vous;
Que se soit par raisonnement ou par les sentiments, il ne demeure pas moins que vous serez dans l'Obligation de vous conformer.
On utilisera les lois, qui elle, sont monté sur les tendances populaires ou pire encore, sur la voix du plus grand nombre qui parle.
On utilisera la propagande pour vous faire marteler que X pensée est la bonne et encore la propagande pour vous faire croire que la pensée X est non seulement louable mais désirée.
Bref ! On est soumis !!!
On peut dire, mais c'est pour le bien de tous !
Ou brandir l'étendard X pour qualifier notre soumission. Mais dans les faits, on est soumis.
Vous me direz, jamais je ne me soumettrai !! Mais dans les fait...vous l'êtes et non seulement vous l'êtes, mais vous défendrez votre soumission.
Se faire diviser pour que mieux nous serons mené, est la doctrine avancée et bien huilée.
Se laisser diviser est la preuve de notre incapacité de réflexion sur tout sujet qui nous divise.
Bref, Le peuple se laisse diviser pour ne pas à avoir à faire face a ses propres responsabilités.
Qui pense être responsable ?
Qui pense ne pas être soumis ?
Je vais seulement vous lire...
L'acceptation de notre servitude.
- dragon blanc
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L'acceptation de notre servitude.
Ecrit le 05 mars22, 08:12Re: L'acceptation de notre servitude.
Ecrit le 12 juin22, 15:31On est tous soumis a des principes
Des principes biologiques (je ne vais pas en parler car je suis nul en biologie)
Des principes physiques (je ne vais pas en parler car je suis nul en physique)
Des principes économiques (je ne devrai pas en parler car je suis nul en économie mais par chance j'ai trouvé un texte d'un type qui connait son sujet mais voilà je ne connais pas son nom)
Donc allons-y et voyons ce qu'il en dit (certainement des banalités je l'admet mais au moins il en sait plus que moi):
Le capitalisme on y est soumis mais comment s'en défaire quand on ne sait pas ce qu'il est au moment où l'on veut s'en défaire?
Il faudrait d'abord l'identifier et si possible regarder un peu à quoi il carbure:
Ok donc le capitalisme c'est un truc qu'on aime pas quand il nous laisse dans une mauvaise situation
Je cite les propos d'un type (c'est pas moi car moi je suis nul en économie) mais il conviendrait d'expliquer toute cette situation mauvaise avec un changement fondamental du capitalisme.
Celui-ci a effectivement changé qualitativement quand les 100 premières sociétés financières eurent un CA 1.000 fois supérieur aux 100 premières sociétés industrielles (Bernard Maris, manuel d'anti-économie, tome 1).
Et nous savons, et bien avant Lénine, que "les changements quantitatifs entrainent des changements qualitatifs".
Autrement dit c'en était fini du capitalisme keynésien (ou fordiste) où le producteur était en même temps un consommateur. Auquel cas il lui fallait un salaire correct et des congés pour consommer (ne fut-ce que les Ford T). Et dans tout conflit du travail il fallait garder "du grain à moudre" pour ne pas bloquer la machine économique.
Plus rien de cela dans le capitalisme financier ! Les travailleurs n'existent plus (ils ne sont rien, a dit Macron) ou alors ne valent pas mieux que des esclaves. D'ailleurs on les préfère dans les fins fonds du tiers-monde. Ceux qui restent sont ratiboisés, les postes de travail supprimés, la misère est de plus en plus importante.
Toutefois une énorme propagande liée à une passivité psychopathologique difficilement explicable a fait qu'il n'y a plus eu un mouvement social (hormis l'éphémère des gilets jaunes). Une passivité morbide s'empara des pays comme la France et la jeunesse ne fut pas l'exception, au contraire.
Des principes biologiques (je ne vais pas en parler car je suis nul en biologie)
Des principes physiques (je ne vais pas en parler car je suis nul en physique)
Des principes économiques (je ne devrai pas en parler car je suis nul en économie mais par chance j'ai trouvé un texte d'un type qui connait son sujet mais voilà je ne connais pas son nom)
Donc allons-y et voyons ce qu'il en dit (certainement des banalités je l'admet mais au moins il en sait plus que moi):
Le capitalisme on y est soumis mais comment s'en défaire quand on ne sait pas ce qu'il est au moment où l'on veut s'en défaire?
Il faudrait d'abord l'identifier et si possible regarder un peu à quoi il carbure:
Ok donc le capitalisme c'est un truc qu'on aime pas quand il nous laisse dans une mauvaise situation
Je cite les propos d'un type (c'est pas moi car moi je suis nul en économie) mais il conviendrait d'expliquer toute cette situation mauvaise avec un changement fondamental du capitalisme.
Celui-ci a effectivement changé qualitativement quand les 100 premières sociétés financières eurent un CA 1.000 fois supérieur aux 100 premières sociétés industrielles (Bernard Maris, manuel d'anti-économie, tome 1).
Et nous savons, et bien avant Lénine, que "les changements quantitatifs entrainent des changements qualitatifs".
Autrement dit c'en était fini du capitalisme keynésien (ou fordiste) où le producteur était en même temps un consommateur. Auquel cas il lui fallait un salaire correct et des congés pour consommer (ne fut-ce que les Ford T). Et dans tout conflit du travail il fallait garder "du grain à moudre" pour ne pas bloquer la machine économique.
Plus rien de cela dans le capitalisme financier ! Les travailleurs n'existent plus (ils ne sont rien, a dit Macron) ou alors ne valent pas mieux que des esclaves. D'ailleurs on les préfère dans les fins fonds du tiers-monde. Ceux qui restent sont ratiboisés, les postes de travail supprimés, la misère est de plus en plus importante.
Toutefois une énorme propagande liée à une passivité psychopathologique difficilement explicable a fait qu'il n'y a plus eu un mouvement social (hormis l'éphémère des gilets jaunes). Une passivité morbide s'empara des pays comme la France et la jeunesse ne fut pas l'exception, au contraire.
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