Sur lesquels tu n'as pas de doute ? Qui serait donc très possible ?
Tu verrais bien un éveillé tueur pour un cartel mexicain par exemple ?
Pour quelle(s) raison(s) précise(s) ce n'est pas gagné ?gzabirji a écrit :Mais "tordu", ça, c'est pas gagné
Sur lesquels tu n'as pas de doute ? Qui serait donc très possible ?
Pour quelle(s) raison(s) précise(s) ce n'est pas gagné ?gzabirji a écrit :Mais "tordu", ça, c'est pas gagné
J'ai du mal à le voir, effectivement, mais pas au point de prétendre que ce soit impossible.
Oh, c'est très simple. Avant l'éveil, le personnage subit un conditionnement permanent qui est équivalent à une "programmation" mentale/corporelle profonde.Pour quelle(s) raison(s) précise(s) ce n'est pas gagné ?
Dans les faits, ce sont des propos très utiles, bien qu'erronés.J'm'interroge a écrit : ↑30 nov.24, 08:54 Si tu l'affirmes, tu dis bien une erreur et c'est une erreur.
Je ne suis pas plus sensible aux compliments qu'aux insultes, mais merci quand-même.Ah, là je note que tu fais un effort de formulation. Je t'en félicite.
Juste pour information, l'enseignement "en silence" se fait quand-même en présentiel.Ce n'est pas un "niveau de langage". Pour moi le silence n'exprime rien.
La parabole du sage à l'entrée du village atteste qu'on peut dire une chose et son contraire, tout en tenant des propos parfaitement cohérents.Là je ne peux pas du tout acquiescer. Si dans un contexte tu dis une chose et dans un autre le contraire, il y a un problème de cohérence.
Tous ces traits de caractère sont pourtant entièrement le produit d'un profond conditionnement. Ils ne sont pas innés, mais ils sont acquis.
En effet.
J'm'interroge a écrit : ↑30 nov.24, 08:54 Si tu l'affirmes, tu dis bien une erreur et c'est une erreur.
Mais non de dieu ! La méthode du neti neti, dire "je ne suis pas le corps", "je ne suis pas mes émotions", "je ne suis pas ce que je vois dans le miroir"... n'est pas en cause.
J'm'interroge a écrit : ↑30 nov.24, 08:54 Ce n'est pas un "niveau de langage". Pour moi le silence n'exprime rien.
Là tu parles d'autre chose que du silence. Dans la communication non verbale, ce qui est exprimé ne passe pas par le silence mais par autre chose, elle passe par des gestes, des réactions corporelles, des attitudes. Et la communication non verbale, qui est un vrai langage du corps, existe même quand on s'exprime verbalement. Elle ne s'interrompt pas quand on ouvre la bouche.gzabirji a écrit : ↑30 nov.24, 23:05 Juste pour information, l'enseignement "en silence" se fait quand-même en présentiel.
Si l'élève n'entend pas le maître, il peut néanmoins l'observer.
C'est donc une forme particulière de communication non verbale.
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Communi ... on_verbale
J'm'interroge a écrit : ↑30 nov.24, 08:54 Là je ne peux pas du tout acquiescer. Si dans un contexte tu dis une chose et dans un autre le contraire, il y a un problème de cohérence.
Je ne suis pas du tout d'accord. On ne peut pas dire une chose et son contraire, tout en tenant des propos parfaitement cohérents. En logique soit c'est cohérent, soit c'est incohérent, soit c'est indécidable.
Il n'y a personne pour se prendre pour quoi que ce soit.J'm'interroge a écrit : ↑30 nov.24, 23:27 .Mais non de dieu ! La méthode du neti neti, dire "je ne suis pas le corps", "je ne suis pas mes émotions", "je ne suis pas ce que je vois dans le miroir"... n'est pas en cause.
Derrière ton affirmation qu'elle le serait, erronée, se cache une réel erreur que tu commets : celle de te prendre pour le Tout, le Grand tout ou tout.
Il n'y a pas de "je" pour être quoi que soit d'autre qu'une simple construction mentale illusoire.Tu aurais du poursuivre, ne pas t'arrêter en si bon chemin, par "je ne suis pas le Tout, ni le Grand tout, ni tout".
L'éveil spirituel est l'affranchissement de toute croyance.Tu y crois dur comme fer
Le neti-neti est très utile au chercheur d'éveil car il lui permet de se dissocier radicalement de son personnage, d'en être le témoin privilégié.Tu dis que ce sont des propos très utiles, mais en quoi cela le serait ?
... et des choses bien plus subtiles encore, comme cela était mentionné dans le lien Wikipedia que j'ai indiqué.Là tu parles d'autre chose que du silence. Dans la communication non verbale, ce qui est exprimé ne passe pas par le silence mais par autre chose, elle passe par des gestes, des réactions corporelles, des attitudes.
Une affirmation peut être jugée exacte dans un référentiel donné, mais être jugée fausse dans un autre référentiel.Je ne suis pas du tout d'accord. On ne peut pas dire une chose et son contraire, tout en tenant des propos parfaitement cohérents. En logique soit c'est cohérent, soit c'est incohérent, soit c'est indécidable.
Excellente interprétation de cette parabole du sage à l'entrée du village.Notre perception des autres reflète souvent nos propres attitudes et attentes. Ceux qui cultivent la bienveillance voient la bonté autour d’eux, tandis que ceux qui portent des jugements négatifs trouvent des défauts partout. Les relations humaines dépendent davantage de notre disposition intérieure que des circonstances extérieures. L’environnement social s’adapte à l’état d’esprit que nous projetons.
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J'm'interroge a écrit : ↑30 nov.24, 23:27 Mais non de dieu ! La méthode du neti neti, dire "je ne suis pas le corps", "je ne suis pas mes émotions", "je ne suis pas ce que je vois dans le miroir"... n'est pas en cause.
Derrière ton affirmation qu'elle le serait, erronée, se cache une réel erreur que tu commets : celle de te prendre pour le Tout, le Grand tout ou tout.
Quel que soit le niveau de langage, nous ne sommes pas le Tout, ni le Grand tout, ni tout.
J'm'interroge a écrit : ↑30 nov.24, 23:27 Tu aurais du poursuivre, ne pas t'arrêter en si bon chemin, par "je ne suis pas le Tout, ni le Grand tout, ni tout".
Tu as une façon de t'exprimer qui n'est pas claire.
C'est un aboutissement qui n'est qu'un début.
J'm'interroge a écrit : ↑30 nov.24, 23:27 Tu dis que ce sont des propos très utiles, mais en quoi cela le serait ?
Je ne parlais pas de la méthode du "neti-neti", je connais sont bien fondé.
Peu importe comment ils l'appellent, je les laisse à leurs appréciations personnelles. Il serait plus pertinent de la décrire.
Il y a toute sortes de théories à ce sujet.gzabirji a écrit : ↑30 nov.24, 23:46 Mais c'est seulement ensuite que survient une autre phase que certains appellent la "Réalisation".
Cette phase est comme une réconciliation entre le Témoin et ce dont il témoigne.
Plutôt qu'une dissociation, c'est alors plutôt un Accueil inconditionnel de tout ce qui est.
J'm'interroge a écrit : ↑30 nov.24, 23:27 Là tu parles d'autre chose que du silence. Dans la communication non verbale, ce qui est exprimé ne passe pas par le silence mais par autre chose, elle passe par des gestes, des réactions corporelles, des attitudes.
Je n'ai pas lu.
J'm'interroge a écrit : ↑30 nov.24, 23:27 Je ne suis pas du tout d'accord. On ne peut pas dire une chose et son contraire, tout en tenant des propos parfaitement cohérents. En logique soit c'est cohérent, soit c'est incohérent, soit c'est indécidable.
Non. Je t'ai expliqué dans les posts précédents, en quoi ce que tu dis là est faux.
Non.
gzabirji a écrit : ↑30 nov.24, 23:46 Notre perception des autres reflète souvent nos propres attitudes et attentes. Ceux qui cultivent la bienveillance voient la bonté autour d’eux, tandis que ceux qui portent des jugements négatifs trouvent des défauts partout. Les relations humaines dépendent davantage de notre disposition intérieure que des circonstances extérieures. L’environnement social s’adapte à l’état d’esprit que nous projetons.
Tu vois, on peut dire la même chose clairement, sans ambiguïté, ni paradoxe apparent. Autrement dit : SANS INDUIRE EN ERREUR INUTILEMENT.
Tu as totalement le droit de le croire.J'm'interroge a écrit : ↑01 déc.24, 01:11 Quel que soit le niveau de langage, nous ne sommes pas le Tout, ni le Grand tout, ni tout.
Le maintenir, quel que soit le niveau de langage où c'est maintenu, est une erreur qui induit en erreur.
C'est vrai dans le référentiel No3, mais pas forcément dans les autres.Tu dis qu'il n'y a personne pour se rendre compte de quoi que ce soit. Ce n'est pas forcément vrai non plus.
Capacité il y a, oui, bien sûr, mais elle n'est pas "personnelle".Il y a bien une capacité de se rendre compte de ce dont nous nous rendons compte. Cette capacité existe, et est bien individuelle, personnelle l'on peut dire. Toi-même tu ne peux que le reconnaître, puisque tu déclares souvent que certains "ne seraient pas conscients" de "Ce" qu'ils sont réellement.
En effet, et c'est justement Ce que Nous Sommes réellement.Il y a bien "quelque chose" qui ne se réduit pas à une construction mentale (imaginale ou notionnelle) ou intellectuelle (conceptuelle ou théorique), un "quelque chose" qui comprend, qui perçoit, ressent et a ces constructions (imaginales ou notionnelles) ou intellectuelles (conceptuelles ou théoriques).
C'est simplement exprimer avec des mots Ce que Nous Sommes au plus intime de Nous-même.Et le déclarer impersonnel ou non individuel, c'est aller un peut vite en interprétations.
Aucun propos n'est exempt d'erreur dès lors qu'il s'agit de parler de Ce que Nous Sommes réellement.Je ne parlais pas de la méthode du "neti-neti", je connais sont bien fondé.
Il était question des propos erronés comme "je suis le Tout, le Grand tout ou le tout" ou "il y a un support aux perceptions qui est inaffecté par ces dernières".
En quoi ce serait des propos utiles, et d'avantage utiles que des propos corrects qui ne comportant pas ces erreurs ?
Avec l'éveil 2.0 tout est possible
C'est pratique : "je suis un éveillé (car je le proclame) mais soumis (enfin pas moi, l'autre) tout de même aux conditionnements de mon personnage. C'est étanche. Mais j'en ai conscience tout de même, heingzabirji a écrit :Tous ces traits de caractère sont pourtant entièrement le produit d'un profond conditionnement. Ils ne sont pas innés, mais ils sont acquis.
Ils peuvent donc resurgir à n'importe quel moment, en fonction des circonstances.
La différence, c'est que nous sommes parfaitement conscients qu'il s'agit-là des attributs d'un personnage totalement illusoire que Nous ne Sommes pas.
Ça me semble un peu étrange pour ne pas dire douteux que Krishnamurti soit l'auteur de cette citation. Bien sûr la possibilité est là, mais pourquoi le simple fait de dire ce qui est pourrait-il nécessairement correspondre à de la vanité?
Non pas "soumis à", mais témoin de, c'est tout à fait différent.
J'm'interroge a écrit : ↑01 déc.24, 01:11 Quel que soit le niveau de langage, nous ne sommes pas le Tout, ni le Grand tout, ni tout.
Le maintenir, quel que soit le niveau de langage où c'est maintenu, est une erreur qui induit en erreur.
Je n'ai pas à le croire, puisque je le sais. Ni toi ni moi ne sommes le Tout, ni le Grand tout, ni tout.
Tu dis ça, comme si toi tu en faisais l'expérience, alors que ce n'est qu'une croyance que tu entretiens parmi d'autres auxquelles tu t'accroches, et que tu prends pour des réalités.
J'm'interroge a écrit : ↑01 déc.24, 01:11 Tu dis qu'il n'y a personne pour se rendre compte de quoi que ce soit. Ce n'est pas forcément vrai non plus.
Evoquer "tes niveaux de langage" ou de tes "référentiels" en donnant un numéro, sans préciser de quoi il s'agit, n'est rien d'autre qu'un subterfuge conscient ou inconscient l'ami.
J'm'interroge a écrit : ↑01 déc.24, 01:11 Il y a bien une capacité de se rendre compte de ce dont on se rend compte. Cette capacité existe, et est bien individuelle, personnelle l'on peut dire. Toi-même tu ne peux que le reconnaître, puisque tu déclares souvent que certains "ne seraient pas conscients" de "Ce" qu'ils sont réellement.
J'aurais plutôt dit que c'est là où ça coince dans ton système de croyances personnelles gzabirji.
Ce que je dis est très clair, c'est dans ton esprit que c'est confus.
J'm'interroge a écrit : ↑01 déc.24, 01:11 Il y a bien "quelque chose" qui ne se réduit pas à une construction mentale (imaginale ou notionnelle) ou intellectuelle (conceptuelle ou théorique), un "quelque chose" qui comprend, qui perçoit, ressent et a ces constructions (imaginales ou notionnelles) ou intellectuelles (conceptuelles ou théoriques).
Mais non. C'est simplement ce que tu crois. Contrairement à ce que tu affirmes, ce que nous sommes réellement est tout à fait personnel dans le sens que c'est bien individuel. En effet, ta capacité de te rendre compte de ce dont tu te rends compte, est propre à toi, ce n'est pas la même d'un individu à l'autre. Donc, non dualité oblige, c'est bien d'une capacité personnelle ou individuelle dont il s'agit, même si effectivement, je suis d'accord avec toi là dessus : nous ne sommes pas le personnage défini comme ce que nous nous représentons de nous-mêmes, lequel n'est évidemment qu'un ensemble de constructions mentales (imaginales ou notionnelles) ou intellectuelles (conceptuelles ou théoriques), comme je l'affirme moi-même.
J'm'interroge a écrit : ↑01 déc.24, 01:11 Et le déclarer impersonnel ou non individuel, c'est aller un peut vite en interprétations.
Non, comme je viens de l'expliquer, tu n'expérimentes pas cette impersonnalité. Tu la conjectures sur une base de croyances et dans une certaine incohérence logique comme je l'ai montré.
J'm'interroge a écrit : ↑01 déc.24, 01:11 Je ne parlais pas de la méthode du "neti-neti", je connais son bien fondé.
Il était question des propos erronés comme "je suis le Tout, le Grand tout ou le tout" ou "il y a un support aux perceptions qui est inaffecté par ces dernières".
En quoi ce serait des propos utiles, et d'avantage utiles que des propos corrects qui ne comportant pas ces erreurs ?
Tu ne réponds pas à ma question, tu l'éludes.
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