M'en voulez pas, mais je ne peux pas. J'ai tout lu cela dit. Ouais ça je le fais encore

La première chose que fera un esclave après avoir quitté son maître, c'est s'en trouver un autre encore pire que le précédent. Et il n'y a pas pire maître que soi-même. - "Principe d’élévation - Réalité ou Illusionnisme pervers ?" G. C. Endrifel
Mais je ne t'en veux pas, je comprends très bien.Gérard C. Endrifel a écrit : ↑13 déc.24, 09:01 Je n'ai pas la force de vous répondre. Quand je vois que vous décortiquez phrases par phrases, morceaux de phrases par morceaux de phrases... Je préfère l'esprit à la lettre et puis ce genre de procédé rend lourd le débat et moi j'ai plus la force de tenir des débats comme il y a quelques années. J'ai choisi de rester simple, de concentrer mon potentiel sur autre chose que sur des discussions super longues ! Faudrait que je réponde à tout point par point, je suis déjà fatigué rien que d'y penser.
M'en voulez pas, mais je ne peux pas. J'ai tout lu cela dit. Ouais ça je le fais encore![]()
Encore faut-il que l'interlocuteur soit disposé à en tenir compte.
En dialectique c'est un mot pour un concept et un concept pour un mot.gzabirji a écrit : ↑13 déc.24, 23:17 Encore faut-il que l'interlocuteur soit disposé à en tenir compte.
Par exemple, cela fait presque deux ans que je répète à J'm'interroge que dans mon lexique je ne fais aucune différence entre les termes "personne" et "personnage".
Cependant, dans son lexique à lui, il a élaboré une définition totalement singulière du terme "personnage" qui le distingue de manière fondamentale du terme "personne".
En effet, ton lexique manque de nuance et de définition conceptuelle. Ainsi, effectivement tu en arrives à raconter n'importe quoi, ce que je te signifie à chaque fois.
Absolument pas. Du moment que les définitions sont clairement présentées et qu'elles sont cohérentes, cela ne me pose aucun problème.
Mes conditions ? Mes conditions c'est la logique gzabirji.
Evidemment, les dictionnaires ne sont pas des bibles. Mais si je critiques certaines définitions de dictionnaires, en revanche je les considères et pars toujours d'elles. J'ai expliqué tout ça à Gérard un peu plus haut.
La rigueur intellectuelle n'a rien d'une pathologie.
C'est une base pour pour éviter les malentendus et enrichir le débat.
Oui et pire, elles confondent spiritualité et croyances idiotes, le mysticisme étant uniquement pour elles une manière de mystifier.
Je te réponds à la page suivante.J'm'interroge a écrit : ↑13 déc.24, 23:32Du moment que les définitions sont clairement présentées et qu'elles sont cohérentes, cela ne me pose aucun problème.
J'm'interroge a écrit : ↑11 déc.24, 09:12 - Selon toi, la déclaration que la Terre est plutôt une sphère qu'un disque, est-elle objective ou subjective ?
Ok. Arrêtons de parler de points de vue alors. Parlons de déclarations ou de propos. Car de toutes façons, ici, nous n'avons affaire qu'à des propos. N'est-ce pas ?ronronladouceur a écrit : ↑11 déc.24, 12:10 Il ne s'agit pas d'un point de vue. Et oui, la déclaration correspond aux faits : donc objectif.
Important de bien comprendre que je fais ici une distinction entre point de vue (subjectif) et déclaration...
J'm'interroge a écrit : ↑11 déc.24, 09:12 Ok. Je note par conséquent que selon toi, un point de vue est nécessairement subjectif. Si je me trompes, signale le moi.
Ok.
J'm'interroge a écrit : ↑11 déc.24, 09:12 - Reconnais-tu qu'il y aurait des points de vue faux ? Oui ou non ?
Voilà. Il y a des propos vrais, des propos faux, des propos indécidables et des propos vides de sens.
La science n'a pas le monopole de l'objectivité.ronronladouceur a écrit : ↑11 déc.24, 12:10 Vous voulez dire des propos, déclarations qui correspondent aux faits? Certes et alors? Cela suffirait-il à prouver que vos propos sur le libre arbitre correspondraient à un fait, au même titre qu'un fait scientifique le serait?
Encore une fois, la science n'a pas le monopole de l'objectivité.ronronladouceur a écrit : ↑11 déc.24, 12:10 Mais attention, si nous sortons de la sphère des faits scientifiques, nous ne sommes plus dans la sphère objective... Par exemple, pour le libre arbitre, je ne vois toujours pas le côté objectif... Mais je comprends qu'on veuille le voir ainsi, car je le veux moi aussi [...
Propos subjectif.ronronladouceur a écrit : ↑11 déc.24, 12:10 ...], mais j'ai toujours cette impression d'un vouloir à vide, d'un vouloir creux, que c'est un concept creux justement..
J'm'interroge a écrit : ↑11 déc.24, 09:12 En tant qu'on y est, nous devrions plutôt parler de positions intellectuelles que de points de vue. Ce serait moins général et donc plus précis.
Une position intellectuelle qui peut tenir de l'opinion, de l'hypothèse et de la théorie ou du propos objectif.ronronladouceur a écrit : ↑11 déc.24, 12:10 Bien d'accord...
D'ailleurs l'IA dit : En résumé, le libre arbitre comme idée subjective peut être un point de vue, mais lorsqu’il est exploré rationnellement ou philosophiquement, il devient une position intellectuelle.
J'm'interroge a écrit : ↑11 déc.24, 09:12 Je ne juge jamais par avance. Je connaissais le contenu de la vidéo.
Le défi reste lancé.
Tu retires alors ce que tu disais ?ronronladouceur a écrit : ↑11 déc.24, 12:10 Désolé, mais je ne vois plus très bien l'objet du défi... Ou en tout cas, ce qui pourrait encore vous aider à comprendre mon point de vue, pas nécessairement évidemment à l'adopter...
Tu maintiens ?ronronladouceur a écrit : ↑07 déc.24, 07:39 Il [Balsekar] appuie ses dires sur un raisonnement qui tient plutôt la route... Question de point de vue...
J'm'interroge a écrit : ↑11 déc.24, 09:12 C'est toi qui dis que c'était apriorique, mais en réalité ça ne l'était en rien. Après, c'est sûr que si tu orientes l'IA en lui suggérant que je ne savais pas de quoi il en retournait et lui demande de développer sur l'impertinence de la démarche, mais aussi l'arrogance intellectuelle, l'autoritarisme argumentatif et la posture dogmatique elle-même dont elle témoignerait, ainsi que de détailler les biais, sophismes et faiblesses qui s'en dégagerait, il n'y a rien d'étonnant à sa réponse.
Là tu l'avais simplement induite en erreur.ronronladouceur a écrit : ↑11 déc.24, 12:10 C'était effectivement parti de mon point de vue... Preuve, comme je l'ai déjà dit qu'IA va dans le sens qu'on lui demande, quitte ensuite à demander à l'outil de contester ce même point de vue. Biais de confirmation, comme je l'ai assez souvent constaté...
J'm'interroge a écrit : ↑11 déc.24, 09:12 ronronladouceur a écrit : ↑08 déc.24, 10:59
J'ajouterai que j'ai remarqué que certaines de vos questions contiennent l'adverbe 'nécessairement' entraînant dans la réponse la contrepartie 'pas nécessairement', ce qui laisse en suspens une conclusion définitive...
J'm'interroge a écrit : ↑11 déc.24, 09:12 Oui, c'est la bonne manière de procéder, qui permet d'introduire de la nuance.
Pas du tout. Tu confonds relativité et relativisme.ronronladouceur a écrit : ↑11 déc.24, 12:10 De la nuance = du relativisme, du subjectivise, du désobjectivisme...
J'm'interroge a écrit : ↑11 déc.24, 09:12 Ton "c'est pas moi mais toi", sans autre argumentation, est ridicule.
Il n'y avait pas symétrie.ronronladouceur a écrit : ↑11 déc.24, 12:10 Jeu de miroir... Je soulignais le côté caricature... (Déjà expliqué...)
J'm'interroge a écrit : ↑11 déc.24, 09:12 As-tu peut-être donné des raisons à tes affirmations, montré que ta conception du libre-arbitre ne serait pas biaisée ou que ma démonstration qu'elle l'était en ce que j'ai dit et expliqué serait fausse ? La réponse est non.
C'est une opinion, autrement dit un propos subjectif, basé que une interprétation et une extrapolation de faits scientifiques. Nous en avions déjà parlé, je t'avais expliqué en quoi, objectivement, c'était interprétatif et extrapolatif.ronronladouceur a écrit : ↑11 déc.24, 12:10 Ma conception est aussi soutenue par le regard scientifique (causalité, structures cognitives échafaudées au fil des ans, inconscient, cf : expérience de Libet).
J'm'interroge a écrit : ↑11 déc.24, 09:12 Ta conception est donc bien un présupposé biaisé, gratuit et incohérent, et elle constitue bien un homme de paille qui repose sur des spéculations biens plus infondées et irrationnelles que celles que tu déconsidères en refusant de les considérer, prétextant cet homme de paille.
Le fait que nous soyons conditionnés n'est pas remis en question.. Ce n'est pas un problème ni un argument, comme je l'ai montré.ronronladouceur a écrit : ↑11 déc.24, 12:10 Bof!
Pour votre info, j'avais d'ailleurs réfléchi au libre arbitre en parallèle avec le concept de hasard qui fait aussi entrer en jeu les causes ou données inconnues, enchaînements et ramifications incalculables certes, mais néanmoins logiquement présentes... En somme, tout est en place, dans une conjoncture parfaite pour que quiconque en soit à penser ou être ce qu'il est...
Tout se tient, tout est lié, même si on ne peut pas voir tous les liens... Ma position s'appuie sur le fait des conditionnements multiples, conscients et inconscients, sur l'histoire de la personne (contextes, études, réflexions, etc. ). Tout se tient dans un enchevêtrement complexe et dynamique... Loi de causalité à fond la caisse...
J'm'interroge a écrit : ↑11 déc.24, 09:12 Non, je juge sur des faits, en toute objectivité.
C'est donc bien en toute objectivité que je te le dis Ronron, mais tu ne peux certainement pas le comprendre, si tu ignores par déni ce dont il s'agit quand on parle d'objectivité.
Il ne ne s'agit pas de croire quoi que ce soit.ronronladouceur a écrit : ↑11 déc.24, 12:10 Pour le libre arbitre, je dis simplement que les points de vue, positions intellectuelles, comme vous voudrez, ne sont effectivement que de simples postures. Et je n'ai pas trop de difficulté à considérer que je spéculerais, puisque j'ai même tenté de sauver le libre arbitre par l'introduction du concept de marge de manœuvre, que vous avez laissé en suspens, si je me souviens bien, mais honnêtement, j'a ide la difficulté à y croire, la posture de 'pas de libre' arbitre' s'imposant de soi...
Oui, donc les définitions du CNRTL ou de Philosophie Magazine ne sont ni cohérentes à tes yeux, ni clairement présentées...J'm'interroge a écrit : ↑13 déc.24, 23:32Du moment que les définitions sont clairement présentées et qu'elles sont cohérentes, cela ne me pose aucun problème.
Oui et c'est bien le problème. Quel que soit le mot employé, il ira réadapter la définition, prétextant vouloir l'enrichir et aller plus loin, et oh miracle ! cette nouvelle définition coïncidera pile poil avec ses points de vue. Au lieu de s'adapter aux définitions, il force les définitions à s'adapter à lui et c'est comme ça tout le temps. Je vois pas comment on peut discuter sainement avec quelqu'un comme ça. A chaque fois ça vire en bataille sur des mots et ça rend tout débat complètement stérile.
La première chose que fera un esclave après avoir quitté son maître, c'est s'en trouver un autre encore pire que le précédent. Et il n'y a pas pire maître que soi-même. - "Principe d’élévation - Réalité ou Illusionnisme pervers ?" G. C. Endrifel
J'm'interroge a écrit : ↑13 déc.24, 23:32Du moment que les définitions sont clairement présentées et qu'elles sont cohérentes, cela ne me pose aucun problème.
Pas les, mais certaines, et c'est objectivement le cas, même pour certaines définitions que l'on trouve dans les dictionnaires, dont le CNRTL. Certaines ne s'accordent pas, et parmi elles, certaines sont même contradictoires entre elles.
Et ?
Il n'y a pas de définition officielle. Toute définition est toujours discutable, même en mathématique.
Au contraire toute discussion intelligente et cohérente avec moi est non seulement possible, mais exigée.
Rien n'est vrai dans ce que tu dis là.
Je ne déclare jamais rien pour vrai sans en avoir fait la démonstration ou sans pouvoir la présenter à la demande.
Si l'on me montre en quoi j'aurais commis une erreur je serais heureux de la reconnaître. En attendant, tu parles dans le vide, en effet.
Non.
Tu es incapables de répondre de manière argumentée à la réponse que je t'ai faite plus haut, alors tu affirmes n'importe quoi à mon sujet. C'est bien plus facile en effet, mais ça ne présente aucun intérêt, ne s'agissant que te ton opinion.Gérard C. Endrifel a écrit : ↑14 déc.24, 01:31 Oui et c'est bien le problème. Quel que soit le mot employé, il ira réadapter la définition, prétextant vouloir l'enrichir et aller plus loin, et oh miracle ! cette nouvelle définition coïncidera pile poil avec ses points de vue. Au lieu de s'adapter aux définitions, il force les définitions à s'adapter à lui et c'est comme ça tout le temps. Je vois pas comment on peut discuter sainement avec quelqu'un comme ça. A chaque fois ça vire en bataille sur des mots et ça rend tout débat complètement stérile. [...
Ya qu'a lire vos pavés de 15 kilomètres pour s'en convaincre ! Votre réécriture du mot esprit c'est moi qui l'invente ? Vos propos disant que vous voulez pousser les définitions plus loin jusqu'à les faire correspondre à vos vues c'est moi qui l'invente ? Vous vous grillez tout seul et c'est moi le calomniateur ? Mais enlevez donc vos œillères !J'm'interroge a écrit : ↑14 déc.24, 02:56 Tu es incapables de répondre de manière argumentée à la réponse que je t'ai faite plus haut, alors tu affirmes n'importe quoi à mon sujet. C'est bien plus facile en effet, mais ça ne présente aucun intérêt, ne s'agissant que te ton opinion.
Apporte-t-elle quelque chose au débat ? La réponse est évidente : elle n'apporte que de la médisance infondée.
Tu ne peux pas me répondre de manière argumentée, alors tu me calomnies..
La première chose que fera un esclave après avoir quitté son maître, c'est s'en trouver un autre encore pire que le précédent. Et il n'y a pas pire maître que soi-même. - "Principe d’élévation - Réalité ou Illusionnisme pervers ?" G. C. Endrifel
Ma réécriture du mot esprit ? Oui tu inventes.Gérard C. Endrifel a écrit : ↑14 déc.24, 03:07 Ya qu'a lire vos pavés de 15 kilomètres pour s'en convaincre ! Votre réécriture du mot esprit c'est moi qui l'invente ? Vos propos disant que vous voulez pousser les définitions plus loin jusqu'à les faire correspondre à vos vues c'est moi qui l'invente ? Vous vous grillez tout seul et c'est moi le calomniateur ? Mais enlevez donc vos œillères !
Ça fait un moment déjà que je l'attends...J'm'interroge a écrit : ↑14 déc.24, 00:26 La question n'est pas tant de savoir si ma conception du libre-arbitre est objective, d'autant plus que je ne l'ai pas encore vraiment exposée, mais déjà de savoir si une définition objective du libre-arbitre est impossible, auquel cas nier qu'il en existe un n'est pas fondé.
Balsekar compare le cerveau [l'esprit] à un ordinateur programmé...Tu retires alors ce que tu disais ?
Rappel : Balsekar
Tu maintiens ? Quel est précisément ce raisonnement que tu déclares tenir la route ?
La formulation de la requête (prompt) à l'IA partait d'une perception, d'un ressenti, d'une compréhension, peut-être même d'un biais, allez savoir. Comme je l'ai dit, je me doutais que l'IA allait aller dans mon sens...Là tu l'avais simplement induite en erreur.
Mettons que je ne prendrai pas ça comme un argument...Il n'y avait pas symétrie.
L'intentionnalité n'échappe donc pas au processus...Le choix c'est dès qu'il y a intentionnalité et délibération, et c'est l'orientation que cette dernière prend, jusqu'à sa conclusion et exécution. Quand il y a seulement intentionnalité, c'est aussi sa concrétisation.
Tout à fait dans l'esprit de ce que dit Balsekar.Oui, le processus décisionnel est déjà enclenché et c'est intentionnel, la "machine" délibérative se met en marche, et le choix est aussi dans ce processus et son orientation intentionnelle, processus auquel évidemment le cerveau a sa part.
Ou plus exactement : nos décisions (intentionnelles) se font avant qu'elles soient actées "consciemment", et notamment par des processus qui peuvent être observés au niveau de notre cerveau, comme dans ces expériences.
Ce qui est considéré ici comme une décision consciente, c'est en réalité seulement le processus cognitif qui prend acte d'un autre processus déjà lancé, celui de la délibération et de la décision elle-même avant qu'elle soit actée, et qui n'en est pas moins intentionnel pour autant.
La question revenant à se demander jusqu'où?Le fait que nous soyons conditionnés n'est pas remis en question.. Ce n'est pas un problème ni un argument, comme je l'ai montré.
Allez, il serait temps que vous nous mettiez au parfum!Il ne ne s'agit pas de croire quoi que ce soit.
Les positions défendant la possibilité d'un authentique libre-arbitre sur des définitions non biaisées ne sont en rien subjectives a priori. Autremement dit : il ne s'agit pas d'opinions ou de croyances.
Me semble qu'il l'a déjà fait, et pas qu'une fois...
C'est ne pas considérer que chacun est en route, à son heure ou que le fruit est à mûrir...C'est pourtant le premier pas vers l'éveil spirituel...
Voilà un exemple parfait de ce que j'appelle des propos abscons.J'm'interroge a écrit : ↑14 déc.24, 02:56En ce qu'un concept n'est pas réductible à une représentation ou un ensemble de représentations mentales, lesquelles sont toujours nécessairement particulières, singulières et propres à soi, mais consiste précisément en une définition en compréhension par nature abstraite et générale, en effet, il ne peut pas être logiquement qualifié de mental.
J'm'interroge a écrit : ↑14 déc.24, 02:56En ce qu'un concept n'est pas réductible à une représentation ou un ensemble de représentations mentales, lesquelles sont toujours nécessairement particulières, singulières et propres à soi, mais consiste précisément en une définition en compréhension par nature abstraite et générale, en effet, il ne peut pas être logiquement qualifié de mental.
Mais non, c'est toi qui es con. Ce n'est pas du tout abscons pour moi. Tu as juste un problème de compréhension.
Si tu étais moins con, tu comprendrais ce que je t'explique et tu ne le déclarerais pas du tout ridicule. C'est ton propre propos que tu trouverais ridicule.
Non, c'est tout à fait intelligible et clair comme je l'ai formulé. Demande à ChatGPT.
Je sais tu as du mal avec les concepts. En fait tu ne sais pas de quoi il s'agit, tu n'as que des notions.gzabirji a écrit : ↑14 déc.24, 06:59 Mais l'explication de ces expressions complexes nécessiteraient à leur tour des expressions tout aussi absconses qui nécessiteraient à leur tour d'autres explications et définitions complexes nécessitant à leur tour des explications tout aussi complexes, etc, si bien qu'on a à la fin une arborescence d'explications exponentielles et inextricables, parfaites pour bien noyer le poisson.
Et tout ça pour tenter désespérément de justifier une affirmation franchement ridicule, puisque n'importe qui saura très bien que tout concept est forcément mental, comme l'affirment noir sur blanc le Psychologie Magazine ou le CNRTL.
J'ai déjà répondu. C'était une mauvaise formulation de ma part. Les concepts ne sont pas mentaux mais langagiers et intellectuels.
Intellectuel.
Non avec certaines de mes facultés COGNITIVES.
En effet. Comme je l'ai dit plus haut je reconnais volontiers mes erreurs. Mais il est excessivement rare que je me trompe dans ce que j'affirme. Sauf erreurs de formulation par inadvertance. Comme dans le cas cité plus haut par gzabirji. Je suis humain..
Pourquoi devrais-je changer d'idée du moment que j'ai raison ?ronronladouceur a écrit : ↑14 déc.24, 06:25 Mais il est vrai que quand il tient un morceau entre les dents, difficile effectivement de l'amener à changer d'idée. Ça doit faire partie de sa spécificité, et ça alimente ce fil, ce qui n'est pas sans faire ton affaire!
Rien à voir. Quand j'affirme un truc je sais de quoi je parle.ronronladouceur a écrit : ↑14 déc.24, 06:25 C'est d'ailleurs comme toi [gzabirji] avec le vaccin, la défense d'une citation, un propos erroné [...
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