Les juifs immigraient en Palestine depuis l’expulsion d'Espagne déjà, c’était tolérable de tradition on va dire. Et la Palestine c'est juste une province de tout l'empire Ottomans où les juifs pouvaient y circuler librement. C'est la règle de base, car les musulmans ont toujours été cléments face à la misère juive (et ces derniers savent toujours comment les remercier). Mais lorsque le projet sioniste commence à se profiler à l'horizon c'est là que les choses commencent à changer, notamment avec le Calife Abdulhamid II. C'est pour cela qu'il fallait à tout prix le déchoir plus tard, mais surtout, abolir le Califat.spin a écrit : ↑16 avr.25, 18:31 Caricature. Si les autorités ottomanes avaient jugé cette immigration globalement négative, néfaste, elles avaient tous les moyens pour l'arrêter. Et remplacer progressivement un élevage extensif par une agriculture intensive, c'est un processus qu'on a vu en beaucoup d'endroits... y compris par des Arabes, mais là il se trouve que les Juifs y ont plus contribué.
Une illustration idiote et faussea écrit :Le cas personnel d'Arafat était juste une illustration.
Pour ce qui est de l'immigration de l’Égypte et la Jordanie, s'il y avait une immigration c'est bien dans l'autre sens. Car la Jordanie c’était absolument rien, un désert, un walou, avant que les Britanniques y installèrent le roi Abdallah 1er juste pour calmer sa petite crise de colère, cela avant que les Palestiniens expulsés de chez eux s'y installent. Maintenant la Jordanie est composé majoritairement de Palestiniens naturalisés jordaniens.
L'Egypte, c’était le pole migratoire par excellence de l'époque, pas seulement des pays arabes mais de l'Europe et le monde entier. Et ne me dit pas qu'un paysan égyptien va laisser la vallée du Nil pour aller apprendre comment semer une graine chez un juif en Palestine.