J'ai trouvé quelque chose qui tout en étant une illusion n'est ni une réalité, ni une erreur d'interprétation.J'm'interroge a écrit : ↑14 juil.25, 03:59 Les discussions entre certains membres ne volent vraiment pas haut..
==> Le cinéma.

J'ai trouvé quelque chose qui tout en étant une illusion n'est ni une réalité, ni une erreur d'interprétation.J'm'interroge a écrit : ↑14 juil.25, 03:59 Les discussions entre certains membres ne volent vraiment pas haut..
Et en quoi le cinéma serait une illusion ?
Il est une illusion car il nous fait vivre des choses qui ne sont pas réelles. On y croit tout en sachant que c'est faux mais on y croit quand même.
Comment ça des choses qui ne seraient pas réelles ?
Qu'est-ce qui serait faux exactement ? Je ne comprends pas trop ce que tu veux dire.
Voyons donc, J'm'interroge... Tout cela est subjectif... Accoler le mot 'objectif' ne colle donc pas, et n'est ni plus ni moins que de la poudre aux yeux et une façon d'éviter d'argumenter...J'm'interroge a écrit : ↑14 juil.25, 03:37 Non. Ce n'est pas une question de point de vue. Objectivement, vous n'avez pas besoin de moi pour vous emmêler les crayons.
Quand à mes explications, il faut déjà en tenir compte et les comprendre, pour qu'elles vous soient utiles.
Subjectif... Façon de noyer le poisson qui survit malgré votre généralité...Certes, mais les distinctions que j'introduis sont essentielles à faire, si l'on veut éviter vos grossiers contresens, et en arriver à dire tout et n'importe quoi, ce qui se produit habituellement ici.
À ce compte-là, tout aussi foireuse votre affirmation... D'ailleurs en ne faisant appel qu'au sens commun... Ce qui signifie qu'une pensée de type logique formelle se bute ici à son propre cadre...Une flamme n'est consciente de rien. (Analogie foireuse.)
Ce que je ne prétends pas non plus... (Si vous le pouvez, remettez dans la juste perspective...)Ils peuvent être liés à l'activité cérébrale, mais le fait qu'ils soient éléments de conscience phénoménale ne fait pas de cette dernière quelque chose qui leur soit réductible.
Il y a un rapprochement neuronique à faire (analogie)... Et ce qui peut en sortir d'extraordinaire (sans dire que tout l'est, évidemment)...Évidemment, mais quel est le rapport avec la conscience phénoménale ?
En regardant le film le spectateur est dans l'action, dans l'histoire, il y croit. Cela lui fait vivre quelque chose, il a des ressentis qui lui renvoient des impressions en rapport avec sa propre vie. Sinon, il ne resterait paw à regarder pendant 2 h un écran.J'm'interroge a écrit : ↑14 juil.25, 04:12 Comment ça des choses qui ne seraient pas réels ?
Tu pourrais préciser de quels vécus il s'agirait et en quoi ils ne seraient pas réels ?
Ce n'est pas réel car tout est faux, les personnages sont dew acteur qui ne vivent pas ce qu'ils jouent, (s'il y a un mort, l n'est pas mort), tout est fabriqué y compris le décor.
Qu'est-ce qui serait faux exactement ? Je ne comprends pas trop ce que tu veux dire.
Cette analogie avec le cinéma est intéressante.
J'm'interroge a écrit : ↑14 juil.25, 03:37 Non. Ce n'est pas une question de point de vue. Objectivement, vous n'avez pas besoin de moi pour vous emmêler les crayons.
Quand à mes explications, il faut déjà en tenir compte et les comprendre, pour qu'elles vous soient utiles.
Non, tout n'est pas subjectif ronron. Les propos tenus sont bien objectivement tenus, et objectivement, certains trahissent des confusions conceptuelles. Est objectif ce qui peut se démontrer formellement.ronronladouceur a écrit : ↑14 juil.25, 04:21 Voyons donc, J'm'interroge... Tout cela est subjectif... Accoler le mot 'objectif' ne colle donc pas, et n'est ni plus ni moins que de la poudre aux yeux et une façon d'éviter d'argumenter...
Il ne suffit pas de dire qu'elles sont contestables, il faut le montrer. Il faut présenter des arguments, proposer mieux. Sinon tu ne fais que l'affirmer sans raison valable. Or, je ne lis rien de tel. Aucun argument, aucune proposition censément plus pertinente.ronronladouceur a écrit : ↑14 juil.25, 04:21 Je ne dis pas que vos explications ne sont pas utiles, mais elles sont contestables et je ne suis pas le seul à les mettre en cause.
J'm'interroge a écrit : ↑14 juil.25, 03:37 Certes, mais les distinctions que j'introduis sont essentielles à faire, si l'on veut éviter vos grossiers contresens, et en arriver à dire tout et n'importe quoi, ce qui se produit habituellement ici.
Il n'y a strictement rien de subjectif dans mes définitions, et cela même si le terme "subjectif" peut s'y trouver employé. Car objectivement, il y a de la subjectivité. Tout vécu, toute donnée élément de conscience phénoménale est nécessairement subjectif. Toute notion donc - à ne pas confondre avec un concept - est nécessairement subjective, puisqu'une notion consiste précisément en des ensembles d'associations de représentations imaginales. Mais il me semble que tu n'as pas encore compris de quoi il s'agit, ni en quoi la subjectivité consiste, notamment puisque tu confonds encore les concepts de point de vue et de position théorique.ronronladouceur a écrit : ↑14 juil.25, 04:21 Subjectif... Façon de noyer le poisson qui survit malgré votre généralité...
J'm'interroge a écrit : ↑14 juil.25, 03:37 Une flamme n'est consciente de rien. (Analogie foireuse.)
N'importe quoi.. Mes propos ne reposent ni sur des analogies, ni sur le sens commun.ronronladouceur a écrit : ↑14 juil.25, 04:21 À ce compte-là, tout aussi foireuse votre affirmation... D'ailleurs en ne faisant appel qu'au sens commun...
Pourrais-tu développer ce point en des termes clairs ?ronronladouceur a écrit : ↑14 juil.25, 04:21 Ce qui signifie qu'une pensée de type logique formelle se bute ici à son propre cadre...
J'm'interroge a écrit : ↑14 juil.25, 03:37 Ils peuvent être liés à l'activité cérébrale, mais le fait qu'ils soient éléments de conscience phénoménale ne fait pas de cette dernière quelque chose qui leur soit réductible.
Quel était le sens de ta remarque alors ?ronronladouceur a écrit : ↑14 juil.25, 04:21 Ce que je ne prétends pas non plus... (Si vous le pouvez, remettez dans la juste perspective...)
J'm'interroge a écrit : ↑14 juil.25, 03:37 Évidemment, mais quel est le rapport avec la conscience phénoménale ?
Elle reste ouverte, mais elle est tranchée notamment sur la question que le simple fait que les données immédiates subjectives soient liées à l'activité cérébrale, ne fait pas de la conscience phénoménale quelque chose qui soit réductible à cette dernière.ronronladouceur a écrit : ↑14 juil.25, 04:21 Il y a un rapprochement neuronique à faire (analogie)... Et ce qui peut en sortir d'extraordinaire (sans dire que tout l'est, évidemment)...
L'hypothèse à faire ici, c'est que l'interaction entre les neurones pourrait suffire à expliquer la conscience... Assez difficile à prouver, j'en conviens, vu le mystère inhérent au sujet...
Conclusion simple : La question demeure ouverte...
Non, il suffit de ne pas conclure trop vite ce que l'on est pas logiquement en droit de faire à partir de ce que l'on sait objectivement.ronronladouceur a écrit : ↑14 juil.25, 04:21 Note : Et de ce fait, l'objectivité y patauge tant bien que mal ou s'y noie carrément...[/color]
J'm'interroge a écrit : ↑14 juil.25, 04:12 Comment ça des choses qui ne seraient pas réelles ?
Tu pourrais préciser de quels vécus il s'agirait et en quoi ils ne seraient pas réels ?
Remarques :'mazalée' a écrit : ↑14 juil.25, 04:23 En regardant le film le spectateur est dans l'action, dans l'histoire, il y croit. Cela lui fait vivre quelque chose, il a des ressentis qui lui renvoient des impressions en rapport avec sa propre vie. Sinon, il ne resterait paw à regarder pendant 2 h un écran.
J'm'interroge a écrit : ↑14 juil.25, 04:12 Qu'est-ce qui serait faux exactement ? Je ne comprends pas trop ce que tu veux dire.
Les acteurs sont réels, les meilleurs d'entre eux vivent les émotions qu'ils jouent, les décors sont réels, même s'ils sont factices et même s'ils sont générés par ordinateurs.
Il ne s'agit encore pas d'une illusion à proprement parler. Un bon réalisateur fait tout pour rendre son film le plus réaliste possible.
Il n'y a aucune supercherie en cela. Perso, je ne crois rien quand je vois un film. Je joue le jeu en oubliant qu'il s'agisse d'un film, mais c'est tout. Et c'est amplement suffisant pour s'immerger dans n'importe quel bon film.
Conclusion :
Je ne suis pas d'accord. C'est essentiel pour s'y immerger, mais non pour vivre les émotions que certaines de ses scènes peuvent susciter ou pour pleinement apprécier l'histoire.
S'illusionner d'être plus intelligent que les autres. C'est une erreur de jugement de soi même, c'est se voir supérieur aux autres.J'm'interroge a écrit : ↑04 juin25, 00:00 .
Quelqu'un pourrait-il me citer une "illusion" qui ne serait pas une réalité ou une erreur de jugement, interprétation ou impression ?
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J'm'interroge a écrit :Quelqu'un pourrait-il me citer une "illusion" qui ne serait pas une réalité ou une erreur de jugement, interprétation ou impression ?
Ce n'est pas nécessairement une erreur de jugement, cela peut être une vérité tout à fait objective.
Ne pas être d'accord se produit librement, et ce n'est ni bien, ni mal.
L'intelligence justement, chez quelqu'un, offre la perspective de rester humbleJ'm'interroge a écrit : ↑14 juil.25, 05:44 Ce n'est pas nécessairement une erreur de jugement, cela peut être une vérité tout à fait objective.
Ceci dit, s'il s'agit d'une erreur de jugement, ce n'est pas un exemple qui répond à ma question.
C'est précisément ce que tu ne cherches pas à trop explorer.
Bonne question.
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