J'm'interroge a écrit :chaque terme que j'emploie l'est dans un sens unique, clairement défini. Toujours.
Il n'y a rien d'ambigu, je les ai défini clairement. C'est juste que tu n'es pas outillé intellectuellement pour comprendre une définition claire lorsqu'on t'en présente une.
En effet, car il n'y a pas de "tu" pour pouvoir comprendre quoi que ce soit.
Excellent !vic a écrit : ↑22 juil.25, 20:22 La distinction même entre réalité et illusion est un acte mental , un geste de séparation posé par la conscience réflexive.
Il n’y a pas deux mondes "réel et illusion", mais un seul flux d’expérience, que le mental découpe en oppositions.
C’est le couteau qui sépare la soupe et la cuillère... dans un bol vide.
Oui, d'après ta théorie déficiente. Tout à fait.Didjey a écrit :En effet, car il n'y a pas de "tu" pour pouvoir comprendre quoi que ce soit.
Le "tu" illusoire n'est que la projection logique d'un "je" lui-même totalement imaginaire.
Bien entendu. Prenons un exemple concret :
Lol, voilà le type d'âneries ou de propos péremptoires que l'on peut formuler dans le cadre d'une théorie déficiente et réductrice comme celle que tu soutiens.
Ai-je parlé d'une identité personnelle ? Pas que je sache..
Un raisonnement ou plutôt un gros raccourci intellectuel.
Tu mélanges tout, il ne s'agit pas du tout de cela.
Eh bien en tout cas, l'expression "identité personnelle" est facilement comprise par un peu "tout le monde".J'm'interroge a écrit : ↑23 juil.25, 01:53
Ai-je parlé d'une identité personnelle ? Pas que je sache..
Tu confonds sujet conscient et identité personnelle.
Si c'est aussi clairement compris de tout-le monde que tu le dis, alors pourquoi n'en présentes-tu pas une définition claire ?
Déjà dit. Le truc c'est juste qu'il s'agit de quelque chose que ta théorie déficiente ne permet ni de comprendre, ni même d'envisager en tant que simple hypothèse.
C'est beaucoup plus intuitif qu'une définition formelle et purement intellectuelle comme "tu" les affectionnes (au point d'en inventer des tonnesJ'm'interroge a écrit : ↑23 juil.25, 02:11 Si c'est aussi clairement compris de tout-le monde que tu le dis, alors pourquoi n'en présentes-tu pas une définition claire ?
Vas-y qu'on rigole.
). Si on prend une vieille photo comme dans ton exemple, on s'apercevra surement qu'on a bien changé avec le temps. A tel point qu'on pourrait se demander si c'est bien nous sur cette photo et se dire que le moi n'existe pas puisque l'identité physique est changeante. Et que dire de l 'identité psychique ? Les goûts changent, le caractère change, toute la personnalité peut changer. Il est meme possible qu'on perde la mémoire suite à un accident et qu'on ne reconnaisse plus celui qu'on etait censé être. Alors, à quoi bon parler de "moi" ? La reponse c 'est que le sujet conscient, le sujet de la conscience phénoménale, lui, ne varie pas d'un pouce. C'est lui le je, le moi, le me.Didjey a écrit : ↑23 juil.25, 02:23
L'identité personnelle, c'est simplement le fait de "s"identifier à ce fameux "je-me-moi".
Par exemple, en regardant une vielle photo, un individu dira quelque chose comme : " C'est moi quand j'avais 20 ans".
Cet exemple est très banal.
Pour le dire autrement, l'identité personnelle, c'est "s"identifier à une ''personne'', c'est à dire à ''quelqu'un''.
C'est ce qui pousse l'individu à déclarer : ''Je suis une personne" ou encore "Je suis quelqu'un".
Voilà un bel exemple très concret de ce qui a été affirmé dans le message précédent.
Ce n'est pas une définition claire. Ton fameux "je-me-moi" on ne sait pas ce que c'est.
Non. C'est bien plus objectif que ça. Et cela ne consiste pas en une action. Tu parles ici d' "identification" et non de ce en quoi consisterait une "identité personnelle".
Je qualifierais plutôt ce que tu dis de simpliste.
Quand on parle de se reconnaître sur une photo l'on parle de son individualité physique en effet, pas forcément de soi en tant que sujet.
Voilà encore autre chose oui. Il n'est plus question ici de l'individualité physique.
Voilà. Ici il est question de l'individualité psychique, autrement dit : de la personnalité.
Je ne dirais pas qu'il ne varierait pas. En tout cas il s'agit d'autre chose que de l'individualité psychique ou de l'individualité psychique.Mic a écrit : ↑23 juil.25, 02:48 Il est meme possible qu'on perde la mémoire suite à un accident et qu'on ne reconnaisse plus celui qu'on etait censé être. Alors, à quoi bon parler de "moi" ? La reponse c 'est que le sujet conscient, le sujet de la conscience phénoménale, lui, ne varie pas d'un pouce. C'est lui le je, le moi, le me.
Bah oui, forcément, puisqu'il n'existe pas, hormis dans l'imagination du primate Homo Sapiens.
Il n'y a pas deux fourmis identiques, et pourtant il serait incongru d'affirmer que les fourmis s'identifient à un "soi" personnel, ce qui leur donnerait le statut de "personnes" au même titre que l'être humain.J'm'interroge a écrit : ↑23 juil.25, 03:14 L'identité personnelle c'est plutôt - et je pense que la plupart des gens seront d'accord cette définition - ce qui distingue un individu humain d'un autre par ses trais physiques et/ou comportementaux ou ce qui distingue une personnalité d'une autre par ses trais de caractère.
C'est le serpent qui se mord la couille..
C'est comme si "tu me" demandais de fournir la composition de l'eau dans un mirage.
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