Le pardon, confusion
Le pardon, confusion
Ecrit le 16 sept.25, 03:52Le pardon est un acte qui te protège, pas les autres, s'ils ne regrettent pas leurs fautes avant leur mort ils en subissent les conséquences.
En pardonnant une faute qu'une personne commet envers moi, je me protège, je ne protège pas celui qui a commis la faute. J'ai l'obligation d'aimer mon prochain comme moi même, mon agresseur a aussi cette obligation, s'il ne s'y conforme pas et ne regrette pas sa faute il en subit la conséquence.
En pardonnant une faute qu'une personne commet envers moi, je me protège, je ne protège pas celui qui a commis la faute. J'ai l'obligation d'aimer mon prochain comme moi même, mon agresseur a aussi cette obligation, s'il ne s'y conforme pas et ne regrette pas sa faute il en subit la conséquence.
Re: Le pardon, confusion
Ecrit le 16 sept.25, 04:09Pardonner, tout comme aimer, vient du cœur. Ça ne peut aucunement être un commandement, ni une obligation.Gaetan a écrit : 16 sept.25, 03:52 Le pardon est un acte qui te protège, pas les autres, s'ils ne regrettent pas leurs fautes avant leur mort ils en subissent les conséquences.
En pardonnant une faute qu'une personne commet envers moi, je me protège, je ne protège pas celui qui a commis la faute. J'ai l'obligation d'aimer mon prochain comme moi même, mon agresseur a aussi cette obligation, s'il ne s'y conforme pas et ne regrette pas sa faute il en subit la conséquence.
Dire à un être humain : "Tu dois aimer / tu dois pardonner" est aussi stupide que de dire à un enfant : "Tu dois aimer les épinards ! ".
Aimer ne se commande pas, et pardonner non plus. C'est quelque chose de totalement naturel et spontané qui vient du cœur.
Si ça vient d'ailleurs, c'est que c'est "forcé " et donc simulé.
Dire à quelqu'un : "Je te pardonne", ce ne sont que des paroles. Si le pardon n'est pas naturel, spontané et désintéressé, alors ce n'est pas un véritable pardon, mais du fake.
Cordialement.
Pour toute question concernant la non-dualité : gzabirji@gmail.com
Chaîne YouTube : https://youtube.com/@gzabirji
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Re: Le pardon, confusion
Ecrit le 16 sept.25, 05:14Si ton pardon n'est pas spontané c'est un travail que tu dois faire sur toi comme en lâchant prise. J'employais ce terme dans le sens de ne pas chercher vengeance, de ne pas faire de tort aux autres parce qu'ils t'ont fait du tort, je t'ai fait part du commandement d'aimer ton prochain comme toi même qui veut dire de traiter ton prochain comme toi même. J'ai dit que j'aie cette obligation mais les autres aussi, je dois me comporter avec justice mais les autre aussi.Didjey a écrit : 16 sept.25, 04:09 Pardonner, tout comme aimer, vient du cœur. Ça ne peut aucunement être un commandement, ni une obligation.
Dire à un être humain : "Tu dois aimer / tu dois pardonner" est aussi stupide que de dire à un enfant : "Tu dois aimer les épinards ! ".
Aimer ne se commande pas, et pardonner non plus. C'est quelque chose de totalement naturel et spontané qui vient du cœur.
Si ça vient d'ailleurs, c'est que c'est "forcé " et donc simulé.
Dire à quelqu'un : "Je te pardonne", ce ne sont que des paroles. Si le pardon n'est pas naturel, spontané et désintéressé, alors ce n'est pas un véritable pardon, mais du fake.
Cordialement.![]()
Re: Le pardon, confusion
Ecrit le 16 sept.25, 05:33Je trouve ça aussi ridicule que de dire à quelqu'un qui déteste les épinards : "Fais un travail sur toi-même, lâche prise, et alors tu vas les aimer, les épinards"...Gaetan a écrit : 16 sept.25, 05:14 Si ton pardon n'est pas spontané c'est un travail que tu dois faire sur toi comme en lâchant prise.
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Re: Le pardon, confusion
Ecrit le 16 sept.25, 06:06Je vais te répondre par ce qu'un professeur a dit: Elle avait le marie d'une cliente qui n'aimait pas manger des légumes et elle a dit à son épouse de mettre des suppléments de légumes dans un smootie sans le lui dire et de lui en faire boire, peu de temps après il s'est mis à aimer les légumes et en demander. Aimer et pardonner quand on y goute on ne peux plus s'en passer.Didjey a écrit : 16 sept.25, 05:33 Je trouve ça aussi ridicule que de dire à quelqu'un qui déteste les épinards : "Fais un travail sur toi-même, lâche prise, et alors tu vas les aimer, les épinards"...![]()
Re: Le pardon, confusion
Ecrit le 25 sept.25, 21:47Pour Spinoza pardonner est absurde pour une raison simple.
L'autre n'ayant pas de libre arbitre, il n'a pas été libre de faire ce qu'il a fait donc il n'est pas responsable.
Du coup il n'y a rien à pardonner.
L'autre n'ayant pas de libre arbitre, il n'a pas été libre de faire ce qu'il a fait donc il n'est pas responsable.
Du coup il n'y a rien à pardonner.

Chaque jour suffit.
Re: Le pardon, confusion
Ecrit le 25 sept.25, 22:29Je suis d'accord avec Didjey, le pardon, s'il n'est pas naturel, spontané et désintéressé, il est forcé, parce que obligé, et donc simulé.
Le pardon, ne doit pas être une chose à sens unique, il requiert certaines conditions, premièrement, que la faute soit réparée, c'est-à-dire que parfois les choses ne peuvent être réparées, mais au moins que le fauteur ait posé son péché au pied de la croix qui a réparé pour lui, qu'un chrétien ne pardonne qu'à un chrétien finalement, qui a, au moins, trouvée rançon à sa faute, ou à une personne qui a réellement pu réparer sa faute. Et de deux, il faut qu'il y ait demande de pardon à la victime et une demande sincère, qu'il ait conscience de la nature de sa faute.
Puisque le pardon, obligatoire, n'est incombé qu'aux chrétiens, qu'il y ait au moins ces conditions requises pour obtenir leur pardon. Sinon, pardonner à un fauteur qui n'a ni réparé sa faute et encore moins demandé pardon, c'est simplement lui donner raison, à lui et à son crime, qu'il dorme sur ses deux oreilles donc. Et un chrétien qui le pardonne quand même, ne le fait que pour sa propre paix et la bienséance devant Dieu. Car si l'autre n'en a pas la conscience ni la gratitude, ça lui fait une belle jambe d'avoir été pardonné.
Le pardon, ne doit pas être une chose à sens unique, il requiert certaines conditions, premièrement, que la faute soit réparée, c'est-à-dire que parfois les choses ne peuvent être réparées, mais au moins que le fauteur ait posé son péché au pied de la croix qui a réparé pour lui, qu'un chrétien ne pardonne qu'à un chrétien finalement, qui a, au moins, trouvée rançon à sa faute, ou à une personne qui a réellement pu réparer sa faute. Et de deux, il faut qu'il y ait demande de pardon à la victime et une demande sincère, qu'il ait conscience de la nature de sa faute.
Puisque le pardon, obligatoire, n'est incombé qu'aux chrétiens, qu'il y ait au moins ces conditions requises pour obtenir leur pardon. Sinon, pardonner à un fauteur qui n'a ni réparé sa faute et encore moins demandé pardon, c'est simplement lui donner raison, à lui et à son crime, qu'il dorme sur ses deux oreilles donc. Et un chrétien qui le pardonne quand même, ne le fait que pour sa propre paix et la bienséance devant Dieu. Car si l'autre n'en a pas la conscience ni la gratitude, ça lui fait une belle jambe d'avoir été pardonné.
Je vous propose mes compositions musicales sur Jamendo Music https://www.jamendo.com/artist/551714/l ... ign/albums (libre écoute, sans insrciption).
Re: Le pardon, confusion
Ecrit le 25 sept.25, 23:00Je comprends ce que tu veux dire.Gaetan a écrit : 16 sept.25, 03:52 Le pardon est un acte qui te protège, pas les autres, s'ils ne regrettent pas leurs fautes avant leur mort ils en subissent les conséquences.
En pardonnant une faute qu'une personne commet envers moi, je me protège, je ne protège pas celui qui a commis la faute. J'ai l'obligation d'aimer mon prochain comme moi même, mon agresseur a aussi cette obligation, s'il ne s'y conforme pas et ne regrette pas sa faute il en subit la conséquence.
Lorsque quelqu'un dit "je te pardonne" en fait il s'en lave les mains en quelque sorte.
Lui (le pardonneur) il a une conscience tranquille, il a observé le conseil de Jésus de pardonner, mais à côté de cela il n'a rien solutionné car l'offenseur a entendu de l'offensé "le pardon" mais au bout du compte l'offenseur jamais il ne saura qu'il peut avoir tort d'avoir mal parlé, mal agi.
Par conséquent avant de dire "je te pardonne" à quelqu'un il faut lui dire "ses quatre vérités" comme l'on dit et après on lui dit "je te pardonne" de cette manière l'offenseur pourra réfléchir à la faute qu'il a commise.
Sur le plan humain si tu défends des gens qui salissent le Nom de D.IEU tu te confrontes donc à D.IEU (facile à comprendre)
Les prêtres catholiques, s'ils avaient été honorables envers l'ETERNEL, donnant donnant, ils auraient été désinhibés de toutes leurs pulsions perverses dévastatrices.
Les prêtres catholiques, s'ils avaient été honorables envers l'ETERNEL, donnant donnant, ils auraient été désinhibés de toutes leurs pulsions perverses dévastatrices.
Re: Le pardon, confusion
Ecrit le 25 sept.25, 23:47Je trouve vos échanges intéressants parce qu’ils montrent bien la complexité du pardon.
Pour ma part, je pense que le pardon n’efface pas forcément la faute, ni la responsabilité de celui qui l’a commise. Mais il peut permettre à la victime d’avancer, de ne pas rester figée dans la douleur. Ça ne veut pas dire qu’on cautionne, ni qu’on oublie, mais plutôt qu’on se libère d’un poids.
En somme, le pardon ne devrait pas être une injonction extérieure mais une démarche intime, parfois longue, qui se fait quand on est prêt.
Pour ma part, je pense que le pardon n’efface pas forcément la faute, ni la responsabilité de celui qui l’a commise. Mais il peut permettre à la victime d’avancer, de ne pas rester figée dans la douleur. Ça ne veut pas dire qu’on cautionne, ni qu’on oublie, mais plutôt qu’on se libère d’un poids.
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Re: Le pardon, confusion
Ecrit le 26 sept.25, 03:16Je dois dire que je suis assez dans cette pensée...'mazalée' a écrit : 25 sept.25, 21:47 Pour Spinoza pardonner est absurde pour une raison simple.
L'autre n'ayant pas de libre arbitre, il n'a pas été libre de faire ce qu'il a fait donc il n'est pas responsable.
Du coup il n'y a rien à pardonner.
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Re: Le pardon, confusion
Ecrit le 26 sept.25, 06:06Coucou shalom à toutes & tous,
Mon expérience est que depuis que je m'attelle à apprendre à marcher dans l'humilité en tout lieu et tout moment,
J'apprends à aimer DIEU et mon prochain ...
Et comme je l'ai lu un peu plus haut, j'y prends goût et ne veux plus m'en passer.
L'humilité donc serait -si je dis pas de bêtise- la mère des vertus, terrain propice à la culture de l'amour 'inconditionnel',
qui lui-même entraîne le pardon ...
Sinon pourquoi tant de versets et de passages de la Bible parlent d'humilité ??
Humain humus et humilité n'ont-il pas la même origine étymologique ??
Au plaisir de suivre cette conversation,
Mon expérience est que depuis que je m'attelle à apprendre à marcher dans l'humilité en tout lieu et tout moment,
J'apprends à aimer DIEU et mon prochain ...
Et comme je l'ai lu un peu plus haut, j'y prends goût et ne veux plus m'en passer.
L'humilité donc serait -si je dis pas de bêtise- la mère des vertus, terrain propice à la culture de l'amour 'inconditionnel',
qui lui-même entraîne le pardon ...
Sinon pourquoi tant de versets et de passages de la Bible parlent d'humilité ??
Humain humus et humilité n'ont-il pas la même origine étymologique ??
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PROPHETIES Ici: http://amightywind.fr/
Re: Le pardon, confusion
Ecrit le 26 sept.25, 08:20Bonsoir mohaso45,mohaso45 a écrit : 25 sept.25, 23:47 Je trouve vos échanges intéressants parce qu’ils montrent bien la complexité du pardon.
Pour ma part, je pense que le pardon n’efface pas forcément la faute, ni la responsabilité de celui qui l’a commise. Mais il peut permettre à la victime d’avancer, de ne pas rester figée dans la douleur. Ça ne veut pas dire qu’on cautionne, ni qu’on oublie, mais plutôt qu’on se libère d’un poids.
En somme, le pardon ne devrait pas être une injonction extérieure mais une démarche intime, parfois longue, qui se fait quand on est prêt.
Bienvenue.
Il faut pardonner 77 fois a dit Jésus et si on montre une nature affable, ça permet de faire avancer l'offenseur qui va être pétri de remord devant une personne qui pardonne si tendrement.
L'offenseur va en tirer une leçon bénéfique.
Quant à l'offensé s'il pardonne ça signifie qu'il ne ressent aucune douleur puisque pardonner avec une douleur au coeur c'est un pardon avec les lèvres, mais une absence de pardon avec le coeur.
Par conséquent pardonner quelqu'un c'est vraiment lui pardonner, avec les mots mais surtout avec un coeur aimant.
Ensuite comme je l'ai dit plus haut, si l'offenseur fait une faute grave, qu'il cause un préjudice, qu'il est fautif de graves blessures, avant de pardonner il faut lui dire à cet offenseur la portée de son manquement afin qu'il apprenne à comprendre la dimension de sa faute dans le but qu'il puisse la regretter sa faute, et après donc intervient le pardon de l'offensé.
Sur le plan humain si tu défends des gens qui salissent le Nom de D.IEU tu te confrontes donc à D.IEU (facile à comprendre)
Les prêtres catholiques, s'ils avaient été honorables envers l'ETERNEL, donnant donnant, ils auraient été désinhibés de toutes leurs pulsions perverses dévastatrices.
Les prêtres catholiques, s'ils avaient été honorables envers l'ETERNEL, donnant donnant, ils auraient été désinhibés de toutes leurs pulsions perverses dévastatrices.
Re: Le pardon, confusion
Ecrit le 26 sept.25, 18:36Justelent le pardon n'est ni naturel ni spontané, ni désintéresséDidjey a écrit : 16 sept.25, 04:09 Si le pardon n'est pas naturel, spontané et désintéressé, alors ce n'est pas un véritable pardon, mais du fake.
S'il était naturel comme manger des epinards parce que le goût nous plaît (perso, j'adore) les animaux eux mêmes se pardonneraient, or c'est un truc humain donc pas très simple à tous les coups.
Ainsi c'est de l'ordre de l'attitude morale envers autrui qui nous a offensé ou fait du mal, qu'il le sache ou pas. Le pardon est quelque chose qui nous concerne surtout nous en tant que victime, comme le precise bien Gaetan dans son premier post. Ainsi on pardonne parce que ça nous a fait mal.
Et pardonner c'est à nous d'abord que ça fait du bien même si à l'autre aussi si c'est ça qu'il attend, mais ça c'est son problème.
Il peut même arriver qu'un autre nous demande pardon pour quelque chose qu'on n'a même pas remarqué, c'est dire...
Si ce n'est pas naturel ce n'est pas non plus spontané et ça ne vient pas du cœur car alors ce ne serait pas du pardon car le pardon est un tantinet plus sophistiqué. Par ex : si ça venait du cœur comme l'amour on serait des machines à pardonner donc des êtres offensables à souhait par une armée d'offenseurs en puissance. Or le pardon est appelé à la rescousse en cas d'offense, il n'est pas là en permanence.
C'est sophistiqué car s'il y a pardon il y a d'abord ressentiment. Ce qu'il ou elle a fait là m'a fait mal. Du coup je souffre et trouve la solution de lui pardonner. Ce qui fait que le pardon n'est pas non plus désintéressé.
Mais le problème c'est que le pardon a l'air d'effacer la faute alors que non en réalité puisque qu'on y reste liés par cette action de pardonner. Et qui plus est on reste liés aussi à la personne qui nous fait du mal en lui pardonnant. Car on aurait pu tout aussi bien ne pas lui pardonner. Du coup est-on sûr de ne plus souffrir de la faute commise et d'avoir pardonné ?
J'avais lu un article il y a très longtemps où 2 femmes, une la mère d'un assassin et l'autre la mère de la victime devenues les 2 meilleures amies du monde et passer leur temps ensemble parce que l'une a pardonné l'assassinat de sa fille...
Chaque jour suffit.
Re: Le pardon, confusion
Ecrit le 26 sept.25, 20:44@ 'mazalée'
De toute manière, toute cette histoire d'offense et de pardon ne se produit qu'en apparence et uniquement dans le cadre de l'illusion du je-me-moi.
Dans tout l'univers observable, le primate Homo Sapiens est le seul être vivant qui se casse la tête à songer à pardonner ou à demander pardon.
Tout cela se déroule "dans le film" et n'est que le pur produit de l'imagination fertile de l'être humain.
De toute manière, toute cette histoire d'offense et de pardon ne se produit qu'en apparence et uniquement dans le cadre de l'illusion du je-me-moi.
Dans tout l'univers observable, le primate Homo Sapiens est le seul être vivant qui se casse la tête à songer à pardonner ou à demander pardon.
Tout cela se déroule "dans le film" et n'est que le pur produit de l'imagination fertile de l'être humain.
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Re: Le pardon, confusion
Ecrit le 26 sept.25, 21:41Les animaux ne se pardonnent pas puisqu'à la différence de l'humain les animaux sont mus uniquement par l'instinct.
Tandis que nous qui certes partageons la chair et le sang et quelque fois une apparentée au point de vue de la morphologie, je pense aux grands singes, et bien par rapport à eux (les singes) nous ne sommes pas des animaux mais des humains avec la caractéristique d'unir notre geste à la parole selon les circonstances, et d'avoir la caractéristique de développer une intelligence alors que les animaux eux restent à leur intelligence sans possibilité de développement.
Par conséquent autant nous qui évoluons savons pardonner avec la parole et avec le coeur aimant, que l'animal lui ne cherche qu'à s'alimenter et à se reproduire.
Si des humains ne cherchent qu'à s'alimenter et à se reproduire cela signifie qu'ils n'ont pas évolué et qu'il faudra qu'ils puissent profiter des vies successives qui leur sont offertes pour se donner l'occasion de le faire, la réincarnation étant non pas un concept mais une réalité bien positionnée pour qu'elle puisse faire accroitre l'humain au fur et à mesure de ses incarnations successives.
Je me demandais si d'une vie à l'autre l'humain garde du souvenir de la vie passé pour mettre à profit des corrections sur la vie d'après, or jamais personne ne se rappelle de ses vies passées mais lorsqu'un humain dans une vie présente a une réelle volonté de respecter D.IEU l'ETERNEL donne à l'esprit de cet homme du grade et c'est ainsi que l'esprit lui évolue de fil en aiguille et acquiert de la connaissance, de l'évolution dans tous les domaines, et surtout dans le domaine qui touche de près le coeur dans son pardon pour autrui puisque pardonner est un signe d'abnégation de soi au profit de l'autre.
Tandis que nous qui certes partageons la chair et le sang et quelque fois une apparentée au point de vue de la morphologie, je pense aux grands singes, et bien par rapport à eux (les singes) nous ne sommes pas des animaux mais des humains avec la caractéristique d'unir notre geste à la parole selon les circonstances, et d'avoir la caractéristique de développer une intelligence alors que les animaux eux restent à leur intelligence sans possibilité de développement.
Par conséquent autant nous qui évoluons savons pardonner avec la parole et avec le coeur aimant, que l'animal lui ne cherche qu'à s'alimenter et à se reproduire.
Si des humains ne cherchent qu'à s'alimenter et à se reproduire cela signifie qu'ils n'ont pas évolué et qu'il faudra qu'ils puissent profiter des vies successives qui leur sont offertes pour se donner l'occasion de le faire, la réincarnation étant non pas un concept mais une réalité bien positionnée pour qu'elle puisse faire accroitre l'humain au fur et à mesure de ses incarnations successives.
Je me demandais si d'une vie à l'autre l'humain garde du souvenir de la vie passé pour mettre à profit des corrections sur la vie d'après, or jamais personne ne se rappelle de ses vies passées mais lorsqu'un humain dans une vie présente a une réelle volonté de respecter D.IEU l'ETERNEL donne à l'esprit de cet homme du grade et c'est ainsi que l'esprit lui évolue de fil en aiguille et acquiert de la connaissance, de l'évolution dans tous les domaines, et surtout dans le domaine qui touche de près le coeur dans son pardon pour autrui puisque pardonner est un signe d'abnégation de soi au profit de l'autre.
Sur le plan humain si tu défends des gens qui salissent le Nom de D.IEU tu te confrontes donc à D.IEU (facile à comprendre)
Les prêtres catholiques, s'ils avaient été honorables envers l'ETERNEL, donnant donnant, ils auraient été désinhibés de toutes leurs pulsions perverses dévastatrices.
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