aux musulmans "exités"
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Le dialogue interreligieux est une forme organisée de dialogue entre des religions ou spiritualités différentes. Ultérieurement, la religion a considéré l'autre comme n'étant pas la vérité révélée. C'est ainsi que les premiers contacts entre l'islam et le christianisme furent souvent difficiles, et donnèrent lieu à des guerres impitoyables comme les croisades.
Le dialogue interreligieux est une forme organisée de dialogue entre des religions ou spiritualités différentes. Ultérieurement, la religion a considéré l'autre comme n'étant pas la vérité révélée. C'est ainsi que les premiers contacts entre l'islam et le christianisme furent souvent difficiles, et donnèrent lieu à des guerres impitoyables comme les croisades.
- ostervald
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aux musulmans "exités"
Ecrit le 06 juin04, 01:53Bonjour à tous,
Premièrement je trouve que certains musulmans vis à vis de moi sont agressif alors que je ne l'ai jamais été envers eux.
Il me semble que l'islam ne leurs a apporté aucune sérénité ni même aucune certitude et qu'ils cherches plus à se persuader eux-même qu'ils ne sont pas dans l'erreur.
C'est une impression personnelle.
Je constate aussi qu'ils ne donnent jamais de réponses directes aux questions posés. Au plus ils les transforment, les reformules autrement pour y répondre selon leur convenance, et ce à côté, POURQUOI?
Mais j'aimerai qu'ils répondent simplement à cette simple question:
Si mahomet est le dernier et le plus important des prophètes, pourquoi allah enverra t'il Jésus à la fin des temps et pas mahomet?
Amitié et A+
Premièrement je trouve que certains musulmans vis à vis de moi sont agressif alors que je ne l'ai jamais été envers eux.
Il me semble que l'islam ne leurs a apporté aucune sérénité ni même aucune certitude et qu'ils cherches plus à se persuader eux-même qu'ils ne sont pas dans l'erreur.
C'est une impression personnelle.
Je constate aussi qu'ils ne donnent jamais de réponses directes aux questions posés. Au plus ils les transforment, les reformules autrement pour y répondre selon leur convenance, et ce à côté, POURQUOI?
Mais j'aimerai qu'ils répondent simplement à cette simple question:
Si mahomet est le dernier et le plus important des prophètes, pourquoi allah enverra t'il Jésus à la fin des temps et pas mahomet?
Amitié et A+
- ostervald
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Ecrit le 06 juin04, 08:51
Bonjour Issa,
NON!
Connaissant le coran et mahomet et la place qui leur est réservée j'attendait mieux et ta réponse ne me satisfait pas.
Que le coran et mahomet qui rélèguent Jésus au rôle de simple prophète annoncent que c'est Jésus qui reviendra à la fin des temps ne peut se contenter d'une explication trop simpliste.
amitié et A+
NON!
Connaissant le coran et mahomet et la place qui leur est réservée j'attendait mieux et ta réponse ne me satisfait pas.
Que le coran et mahomet qui rélèguent Jésus au rôle de simple prophète annoncent que c'est Jésus qui reviendra à la fin des temps ne peut se contenter d'une explication trop simpliste.
amitié et A+
Ecrit le 06 juin04, 22:27
ostervald a besoin qu'on l'aide! je vais t'aider mon ami!!!
DIEU dit dans le coran:
a chaque messager nous avons donner un privilège il en est a qui DIEU a parler face a face, d'autre il a envoyer son esprit, mais nous ne faisons de difference entre aucun d'eux!
ecoute bien!
nous ne faisons de difference entre aucun d'eux
donc mohammed sws n'est pas plus grand que jésus ou même de jonas!!!
si DIEU a privilégié jésus pour le retour de la fin des temps, nous en somme heureux car je considère jésus au même rang que mohammed sws car aucune difference entre eux!
sache une chose, jésus n'est pas le seul qui reviendra a la fin des temps!
aurais tu oublié le prophète elie qui est monté au ciel comme jésus!!!
et que DIEU a dit qu'il viendra dans la période finale des jours!!!
donc ce n'est pas exclusivement un privilège pour jésus mais aussi pour élie!!!
comprendé!!!
DIEU dit dans le coran:
a chaque messager nous avons donner un privilège il en est a qui DIEU a parler face a face, d'autre il a envoyer son esprit, mais nous ne faisons de difference entre aucun d'eux!
ecoute bien!
nous ne faisons de difference entre aucun d'eux
donc mohammed sws n'est pas plus grand que jésus ou même de jonas!!!
si DIEU a privilégié jésus pour le retour de la fin des temps, nous en somme heureux car je considère jésus au même rang que mohammed sws car aucune difference entre eux!
sache une chose, jésus n'est pas le seul qui reviendra a la fin des temps!
aurais tu oublié le prophète elie qui est monté au ciel comme jésus!!!
et que DIEU a dit qu'il viendra dans la période finale des jours!!!
donc ce n'est pas exclusivement un privilège pour jésus mais aussi pour élie!!!
comprendé!!!
- ostervald
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Ecrit le 07 juin04, 07:46
Bonsoir Nasser,
Je n'ai besoin que de l'aide de Christ, vrai Dieu et pas de la tienne.
allah est un faux dieu inventé par un bédoin en mal de reconnaissance.
C'est ce que je pense et jamais je ne reconnaitrai un "pseudo prophète" pervers.
Maintenant, plains toi si ta te chantes, petite victime, mais si du veux lire ceci:
amitié et A+
=======================
Débauches de Mahomet. Aveuglement de ses Disciples.
«texte en françois »
Mahomet idolâtra les femmes : la beauté eut sur lui plus d'empire qu'il n'en avoit lui-même sur ses stupides sectateurs. Il ne fut ni inconstant dans ses amours, ni perfide avec ses Maîtresse ; mais il lui en fallut plusieurs, & il les aima toutes éperdument & d'une égale ardeur. Si ce qu'on assure de lui à cet égard, est vrai, Mahomet fut un homme fort rare, fort extraordinaire. Les Docteurs Musulmans prétendent d'après lui, & ce qu'il y a bien plus surprenant, d'après ses femmes, qu'il avoit reçu de la nature la force & la vigueur de cent hommes robustes : on seroit tenté de le croire aux exploits étonnans dans ce genre qu'on raconte de lui.
Quoiqu'il en soit, il eut, selon quelques Historiens Mahometans, 13 femmes légitimes, quelques autres disent 15 ; Abbulseda & Gentius assurent qu'il en épousa 26. On n'en connoit que 12, & chacune des 12 eut en lui l'amant le plus impétueux, le mari le plus riche des dons de la nature. Aucune d'elles n'eut le tems ni la liberté d'être jalouse ; on prétend qu'il les voyoit toutes dans une même nuit, comme s'il n'en eut vû qu'une.
J'ai parlé de Khadija. Sawda fut la seconde femme du Prophète ; Ayesha, fille d'Abubecr, fut la troisième ; Mahomet eut toujours pour elle la plus vive passion, elle regnoit dans son cœur, elle occupoit son âme toute entière ; dans les bras de ses autres épouses il soupiroit pour Ayesha ; elle étoit son amie, sa maîtresse, son idole, son dieu. Ghozia fut sa quatrième femme ; il l'aima par caprice, l'épousa par amour, & la répudia par dégoût. Hassa, fille d'Omar, sa cinquième épouse, eut tour-à-tour sa haine & son amour, sa confiance & ses mépris ; il finit par la respecter, & même par la consulter dans les difficultés les plus pénibles à résoudre. Il épousa la belle Zeinab, qui des bras du Prophète passa dans le tombeau, & laissa à son époux des regrets éternels ; car Zeinab étoit aimable, vive & voluptueuse. Omm Salma fut l'épouse chérie de l'Apôtre, & elle eut été peut-être celle qu'il eut le plus constamment adorée, s'il n'eut pas vû par hazard la belle Zénobie, femme de Zeid, son affranchi & son fils adoptif : il ne pouvoit se marier avec elle ; la loi le défendoit ; c'étoit même, suivant sa doctrine, un sacrilège irrémissible que de convoiter la femme de son fils adoptif.
Mais quand Mahomet avoit publié cette loi il ne connoissoit pas les grâces de Zénobie : il la vit, son cœur soupira ; Zeid s'apperçut de la passion naissante de son pere adoptif ; il y alloit de sa vie ; il feignit de n'avoir plus que du dégoût pour son épouse, & la répudia. Mahomet fit descendre du ciel un verset de l'Alcoran qui le dispensant de la loi, lui permettoit d'épouser Zénobie ; il l'épousa, remercia le ciel, & idolâtra sa nouvelle conquête.
Mahomet vit en Ethiopie la jeune Habiba, femme d'Obeid'hallah ; ses attraits le touchèrent ; il s'éloigna de cette femme, le cœur blessé ; il apprit à Médine la mort d'Obeid'hallah ; & il envoya aussitôt un Courier au Roi d'Ethiopie, pour le prier de lui donner Habiba en mariage. Le Roi y consentit, & Habiba vint à Médine, où elle vécut en Souveraine auprès de son amant, époux tendre pour elle, & toujours éperdu. Joweira, de l'état de captive,, passa, grâce à ses charmes & à l'amour qu'elle avoit inspiré au Prophète, au glorieux état de femme de Mahomet : il la chérit beaucoup, & les années ne firent qu'augmenter sa tendresse pour elle. Mahomet épousa aussi Safiya, Juive d'une beauté parfaite, remplie de talens, & à qui Mahomet découvroit chaque jour quelques grâces nouvelles. Maimuna fut la douzième femme du Prophète ; c'est la dernière de celles dont on connoît le nom : elle avoit sur ses compagnes cet avantage, que Mahomet la respectoit jusqu'à la vénération, même dans des momens qui paroissent exclure toute espèce de respect.
Toutes ces femmes étoient on ne peut pas plus satisfaites de leur époux ; jamais elles ne s'apperçurent d'aucun ralentissement. Toujours idolâtrées, elles ne concevoient pas comment le Prophète pouvoit suffire à des travaux plus réels & plus pénibles que ceux de l'ancien Alcide : les Musulmans ne le comprenoient pas non plus ; & cet excès de forces ne contribuoit pas peu à leur faire regarder Mahomet comme un être tout extraordinaire, & visiblement protégé du ciel.
On fut d'abord un peu surpris que Mahomet violât aussi ouvertement la loi qu'il avoit faite ; & que n'ayant permis à ses Sectateurs, sous peine d'anathème, que quatre femmes ou concubines au plus, il grossit chaque jour d'une nouvelle épouse, le nombre de ses femmes. Cet exemple scandalisoit ; mais le Prophète fit bientôt cesser le scandale. Il se fit accorder par le ciel un privilège exclusif de prendre tout autant d'épouses qu'il le jugeroit à propos ; & le même verset de l'Alcoran qui lui donnoit ce privilège, défendoit à qui que ce fut, de blâmer sa conduite, & de se scandaliser de son incontinence.
Mais envain Mahomet fit-il intervenir le ciel & l'Ange Gabriel; envain profita-t'il des forces plus qu'humaines qu'il tenoit de la nature ; envain chercha-t'il par les preuves les plus convaincantes, à faire accroire à ses femmes qu'il les adoroit toutes, & que chacune d'elles étoit plus heureuse & plus favorisée que si elle n'eut été que la femme unique d'un autre : ni ses rares talens, ni ses visions, ni ses travaux, ni ses caresses ; rien ne put le mettre a l'abri du sort qu'éprouve communément tout époux adultère. Sa tête fut couverte d'opprobre, si c'en est un d'avoir une épouse volage, infidèle, débordée.
La plus chérie de ses femmes, celle qu'il idolâtroit pardessus tout, l'amie de son cœur, Ayesha, eut plus d'un amant ; & sot qu'elle fut irritée des infidélités de Mahomet, soit qu'elle ne put résister à l'ardeur du penchant qui l'entraînoit, elle combla de ses faveurs beaucoup de Musulmans. Ses aventures devinrent publiques ; sa réputation fut flétrie. On l'accusa ouvertement d'adultère & de débauche outrée.
Mahomet adoroit Ayesha ; il ne pouvoit douter de ses infidélités : la punir, la répudier, c'eut été s'exposer à des ressentimens ; & d'ailleurs, il eut été dangereux à un Prophète, d'avouer qu'il avoit ignoré l'inconduite de sa femme, lui qui se vantoit de lire dans les replis les plus cachés des cœurs.
Considérant combien cette accusation donneroit de l'avantage à ses ennemis, qui la regarderoient comme une tâche à son honneur, & qui par-là pourroient affoiblir son autorité, il entreprit de justifier sa femme, malgré la publicité de ses débordemens. Il assembla ses Sectateurs, & leur rendit compte d'une révélation toute particulière & par laquelle Dieu l'avertissoit expressément de ne jamais rien croire des calomnies que l'on pourroit répandre contre l'honneur & la pureté d'Ayesha. Cette révélation qu'on lit dans le 24e chapitre de l'Alcoran, fit tant d'impression sur les esprits, qu'Ayesha passa dès cet instant pour un modèle de vertu ; & quelque tems après un Musulman indiscret ayant osé se vanter des bontés de cette femme, il reçut par ordre de Mahomet quatre-vingt coups de fouet, ainsi que le ciel l'avoit ordonné, suivant la loi insérée dans le même chapitre.
Mahomet fut moins heureux avec le jeune Zénobie, cette belle Zénobie, qui étoit l'idole de son âme, & à laquelle il n'eut pas renoncé pour l'Empire de l'Orient. Ali avoit tué ès combat singulier le frere de Zénobie. Mahomet refusa de punir le meurtrier. Zénobie, irritée, résolut de venger sur son époux, le sang de son frere. Elle empoisonna une épaule de mouton, & invita le Prophète à venir souper chez elle. Mahomet, qui préféroit les épaules de mouton aux mets les plus délicieux, mangea avec avidité de celle qui lui étoit servie. Bashar, son favori, en mangea aussi, mais il tomba au même instant dans d'affreuses convulsions, & expira sur la place. Mahomet éprouva les mêmes convulsions, & parvint, à force de secours, à rendre le poison ; mais le coup mortel étoit porté ; il mourut trois ans après Bashar.
Les Mahometans assurent que l'épaule de mouton parla à Mahomet, dès le second morceau qu'il en mangea ; mais le miracle étoit inutile, le poison avoit opéré.
Mahomet demandant à Zénobie quel motif l'avoit portée à cette atrocité ?
-J'ai pensée, répondit Zénobie, que si vous étiez véritablement Prophète, vous vous apercevriez aisément du poison, & que si vous ne l'étiez pas, nous serions bientôt délivrées de votre tyrannie.
Ce raisonnement étoit fort, & surtout dans la bouche d'une amante adorée. Mahomet en fut pétrifié ; il soupira de rage, & n'osa se venger ; cruellement offensé, mais éperdument amoureux, il se contenta de renvoyer Zénobie à ses parens. Quelque tems après, & peu de jours avant que de mourir, Mahomet apercevant la mere de Bashar, il lui dit : Hélas ! mère Bashar, le poison de Zénobie, qui fut si fatal à ton fils, n'a pas cessé de me visiter de tems en tems depuis ; mais à présent, je sens les veines de mon cœur se rompre par sa violence.
L'activité de ce poison, ni les tourmens qu'éprouva Mahomet, ne l'empêchèrent pourtant pas de joindre à ses vingt-six épouses, un essain de concubines qu'il aima, qu'il idolâtra aussi passionnément qu'il adoroit ses femmes. Elles lui furent toutes fidèles & soumises. Aucune d'elles ne lui donna ni de rival ni de poison. Les plus distinguées, & celles que les Mahometans révèrent comme les confidentes & les dépositaires des secrets les plus intimes de Mahomet, furent, la séduisante Ribana, Juive d'une grande beauté, qui persista quelque-tems dans le Judaïsme, mais qui persuadée enfin par l'éloquence, l'énergie & les grandes actions de son amant, embrassa l'Islamisme, & devint un des Interprêtes les plus éclairés du divin Alcoran ; Shirim, belle Copte, dont les tendres baisers retiroient Mahomet de la profonde léthargie où l'avoit enseveli la présence soudaine de l'Ange Gabriel. Marie la Copte, plus radieuse que l'aurore, & dont les premières faveurs avoient donné tant de chagrin à Mahomet ; car ayant défendu la fornication par un chapitre exprès de l'Alcoran,, & ayant vu ensuite la belle Marie, il ne put résister au pouvoir de ses charmes, & malgré l'Alcoran, il coucha avec elle, une nuit qu'il avoit promis de donner à Ayesha & à Hassa. Celles-ci, inquiètes de n'avoir pas vu le Prophète, découvrirent la cause qui l'avoit retenu, on prétend même que Hassa le surprit couché avec Marie. Elles lui firent des reproches si vifs, que Mahomet leur promit de ne plus voir Marie, & de la renvoyer ; mais sa passion lui fit bientôt oublier ses sermens. Il revint à Marie, & passa un mois tout entier avec elle ; ensuite, pour se justifier auprès des Musulmans & de ses femmes, qui murmuroient hautement de son inconduite, il fit descendre du ciel le chapitre 66e de l'Alcoran, par lequel dieu approuvant ses actions & ses amours, lui permet de se dégager de ses sermens, pour si peu qu'ils contraignent ses inclinations.
Outre la belle Ribana, Shirim & la Copte Marie, Mahomet fut encore l'amant de deux jeunes Egyptiennes, & d'une quantité prodigieuse d'autres concubines, que sa main droite posséda, selon le stile de l'Alcoran, & qui régnèrent tour-à-tour dans son cœur.
Tant de femmes, tant de maîtresses, tant d'excès scandaleux, & que le Prophète lui-même eut puni dans tout autre, ne purent éclairer ses imbéciles Sectateurs.
Il leur paroissoit étonnant, à la vérité, qu'un Prophète, un Apôtre, l'ami de Gabriel, le confident de Dieu, eut des mœurs, en apparence aussi corrompues, qu'il enlevât à ses disciples, à ses amis, à ses esclaves, toute femme ou toute jeune fille qu'il trouvoit à son gré : mais ses révélations les arrêtoient, ses visions les désarmoient ;
les chapitres de l'Alcoran, que le ciel envoyoit exprès pour le justifier, éloignoient d'eux toute idée prophâne, tout jugement trop libre, & ils disoient : il vaut beaucoup mieux croire que la concupiscence n'est pas un mal, l'impudicité un vice, l'adultère & l'inceste des crimes, puisque notre grand Prophète y est sujet, que de penser que puisqu'il est impudique, adultère, incestueux, il n'est pas un grand Prophète.
Je n'ai besoin que de l'aide de Christ, vrai Dieu et pas de la tienne.
allah est un faux dieu inventé par un bédoin en mal de reconnaissance.
C'est ce que je pense et jamais je ne reconnaitrai un "pseudo prophète" pervers.
Maintenant, plains toi si ta te chantes, petite victime, mais si du veux lire ceci:
amitié et A+
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Débauches de Mahomet. Aveuglement de ses Disciples.
«texte en françois »
Mahomet idolâtra les femmes : la beauté eut sur lui plus d'empire qu'il n'en avoit lui-même sur ses stupides sectateurs. Il ne fut ni inconstant dans ses amours, ni perfide avec ses Maîtresse ; mais il lui en fallut plusieurs, & il les aima toutes éperdument & d'une égale ardeur. Si ce qu'on assure de lui à cet égard, est vrai, Mahomet fut un homme fort rare, fort extraordinaire. Les Docteurs Musulmans prétendent d'après lui, & ce qu'il y a bien plus surprenant, d'après ses femmes, qu'il avoit reçu de la nature la force & la vigueur de cent hommes robustes : on seroit tenté de le croire aux exploits étonnans dans ce genre qu'on raconte de lui.
Quoiqu'il en soit, il eut, selon quelques Historiens Mahometans, 13 femmes légitimes, quelques autres disent 15 ; Abbulseda & Gentius assurent qu'il en épousa 26. On n'en connoit que 12, & chacune des 12 eut en lui l'amant le plus impétueux, le mari le plus riche des dons de la nature. Aucune d'elles n'eut le tems ni la liberté d'être jalouse ; on prétend qu'il les voyoit toutes dans une même nuit, comme s'il n'en eut vû qu'une.
J'ai parlé de Khadija. Sawda fut la seconde femme du Prophète ; Ayesha, fille d'Abubecr, fut la troisième ; Mahomet eut toujours pour elle la plus vive passion, elle regnoit dans son cœur, elle occupoit son âme toute entière ; dans les bras de ses autres épouses il soupiroit pour Ayesha ; elle étoit son amie, sa maîtresse, son idole, son dieu. Ghozia fut sa quatrième femme ; il l'aima par caprice, l'épousa par amour, & la répudia par dégoût. Hassa, fille d'Omar, sa cinquième épouse, eut tour-à-tour sa haine & son amour, sa confiance & ses mépris ; il finit par la respecter, & même par la consulter dans les difficultés les plus pénibles à résoudre. Il épousa la belle Zeinab, qui des bras du Prophète passa dans le tombeau, & laissa à son époux des regrets éternels ; car Zeinab étoit aimable, vive & voluptueuse. Omm Salma fut l'épouse chérie de l'Apôtre, & elle eut été peut-être celle qu'il eut le plus constamment adorée, s'il n'eut pas vû par hazard la belle Zénobie, femme de Zeid, son affranchi & son fils adoptif : il ne pouvoit se marier avec elle ; la loi le défendoit ; c'étoit même, suivant sa doctrine, un sacrilège irrémissible que de convoiter la femme de son fils adoptif.
Mais quand Mahomet avoit publié cette loi il ne connoissoit pas les grâces de Zénobie : il la vit, son cœur soupira ; Zeid s'apperçut de la passion naissante de son pere adoptif ; il y alloit de sa vie ; il feignit de n'avoir plus que du dégoût pour son épouse, & la répudia. Mahomet fit descendre du ciel un verset de l'Alcoran qui le dispensant de la loi, lui permettoit d'épouser Zénobie ; il l'épousa, remercia le ciel, & idolâtra sa nouvelle conquête.
Mahomet vit en Ethiopie la jeune Habiba, femme d'Obeid'hallah ; ses attraits le touchèrent ; il s'éloigna de cette femme, le cœur blessé ; il apprit à Médine la mort d'Obeid'hallah ; & il envoya aussitôt un Courier au Roi d'Ethiopie, pour le prier de lui donner Habiba en mariage. Le Roi y consentit, & Habiba vint à Médine, où elle vécut en Souveraine auprès de son amant, époux tendre pour elle, & toujours éperdu. Joweira, de l'état de captive,, passa, grâce à ses charmes & à l'amour qu'elle avoit inspiré au Prophète, au glorieux état de femme de Mahomet : il la chérit beaucoup, & les années ne firent qu'augmenter sa tendresse pour elle. Mahomet épousa aussi Safiya, Juive d'une beauté parfaite, remplie de talens, & à qui Mahomet découvroit chaque jour quelques grâces nouvelles. Maimuna fut la douzième femme du Prophète ; c'est la dernière de celles dont on connoît le nom : elle avoit sur ses compagnes cet avantage, que Mahomet la respectoit jusqu'à la vénération, même dans des momens qui paroissent exclure toute espèce de respect.
Toutes ces femmes étoient on ne peut pas plus satisfaites de leur époux ; jamais elles ne s'apperçurent d'aucun ralentissement. Toujours idolâtrées, elles ne concevoient pas comment le Prophète pouvoit suffire à des travaux plus réels & plus pénibles que ceux de l'ancien Alcide : les Musulmans ne le comprenoient pas non plus ; & cet excès de forces ne contribuoit pas peu à leur faire regarder Mahomet comme un être tout extraordinaire, & visiblement protégé du ciel.
On fut d'abord un peu surpris que Mahomet violât aussi ouvertement la loi qu'il avoit faite ; & que n'ayant permis à ses Sectateurs, sous peine d'anathème, que quatre femmes ou concubines au plus, il grossit chaque jour d'une nouvelle épouse, le nombre de ses femmes. Cet exemple scandalisoit ; mais le Prophète fit bientôt cesser le scandale. Il se fit accorder par le ciel un privilège exclusif de prendre tout autant d'épouses qu'il le jugeroit à propos ; & le même verset de l'Alcoran qui lui donnoit ce privilège, défendoit à qui que ce fut, de blâmer sa conduite, & de se scandaliser de son incontinence.
Mais envain Mahomet fit-il intervenir le ciel & l'Ange Gabriel; envain profita-t'il des forces plus qu'humaines qu'il tenoit de la nature ; envain chercha-t'il par les preuves les plus convaincantes, à faire accroire à ses femmes qu'il les adoroit toutes, & que chacune d'elles étoit plus heureuse & plus favorisée que si elle n'eut été que la femme unique d'un autre : ni ses rares talens, ni ses visions, ni ses travaux, ni ses caresses ; rien ne put le mettre a l'abri du sort qu'éprouve communément tout époux adultère. Sa tête fut couverte d'opprobre, si c'en est un d'avoir une épouse volage, infidèle, débordée.
La plus chérie de ses femmes, celle qu'il idolâtroit pardessus tout, l'amie de son cœur, Ayesha, eut plus d'un amant ; & sot qu'elle fut irritée des infidélités de Mahomet, soit qu'elle ne put résister à l'ardeur du penchant qui l'entraînoit, elle combla de ses faveurs beaucoup de Musulmans. Ses aventures devinrent publiques ; sa réputation fut flétrie. On l'accusa ouvertement d'adultère & de débauche outrée.
Mahomet adoroit Ayesha ; il ne pouvoit douter de ses infidélités : la punir, la répudier, c'eut été s'exposer à des ressentimens ; & d'ailleurs, il eut été dangereux à un Prophète, d'avouer qu'il avoit ignoré l'inconduite de sa femme, lui qui se vantoit de lire dans les replis les plus cachés des cœurs.
Considérant combien cette accusation donneroit de l'avantage à ses ennemis, qui la regarderoient comme une tâche à son honneur, & qui par-là pourroient affoiblir son autorité, il entreprit de justifier sa femme, malgré la publicité de ses débordemens. Il assembla ses Sectateurs, & leur rendit compte d'une révélation toute particulière & par laquelle Dieu l'avertissoit expressément de ne jamais rien croire des calomnies que l'on pourroit répandre contre l'honneur & la pureté d'Ayesha. Cette révélation qu'on lit dans le 24e chapitre de l'Alcoran, fit tant d'impression sur les esprits, qu'Ayesha passa dès cet instant pour un modèle de vertu ; & quelque tems après un Musulman indiscret ayant osé se vanter des bontés de cette femme, il reçut par ordre de Mahomet quatre-vingt coups de fouet, ainsi que le ciel l'avoit ordonné, suivant la loi insérée dans le même chapitre.
Mahomet fut moins heureux avec le jeune Zénobie, cette belle Zénobie, qui étoit l'idole de son âme, & à laquelle il n'eut pas renoncé pour l'Empire de l'Orient. Ali avoit tué ès combat singulier le frere de Zénobie. Mahomet refusa de punir le meurtrier. Zénobie, irritée, résolut de venger sur son époux, le sang de son frere. Elle empoisonna une épaule de mouton, & invita le Prophète à venir souper chez elle. Mahomet, qui préféroit les épaules de mouton aux mets les plus délicieux, mangea avec avidité de celle qui lui étoit servie. Bashar, son favori, en mangea aussi, mais il tomba au même instant dans d'affreuses convulsions, & expira sur la place. Mahomet éprouva les mêmes convulsions, & parvint, à force de secours, à rendre le poison ; mais le coup mortel étoit porté ; il mourut trois ans après Bashar.
Les Mahometans assurent que l'épaule de mouton parla à Mahomet, dès le second morceau qu'il en mangea ; mais le miracle étoit inutile, le poison avoit opéré.
Mahomet demandant à Zénobie quel motif l'avoit portée à cette atrocité ?
-J'ai pensée, répondit Zénobie, que si vous étiez véritablement Prophète, vous vous apercevriez aisément du poison, & que si vous ne l'étiez pas, nous serions bientôt délivrées de votre tyrannie.
Ce raisonnement étoit fort, & surtout dans la bouche d'une amante adorée. Mahomet en fut pétrifié ; il soupira de rage, & n'osa se venger ; cruellement offensé, mais éperdument amoureux, il se contenta de renvoyer Zénobie à ses parens. Quelque tems après, & peu de jours avant que de mourir, Mahomet apercevant la mere de Bashar, il lui dit : Hélas ! mère Bashar, le poison de Zénobie, qui fut si fatal à ton fils, n'a pas cessé de me visiter de tems en tems depuis ; mais à présent, je sens les veines de mon cœur se rompre par sa violence.
L'activité de ce poison, ni les tourmens qu'éprouva Mahomet, ne l'empêchèrent pourtant pas de joindre à ses vingt-six épouses, un essain de concubines qu'il aima, qu'il idolâtra aussi passionnément qu'il adoroit ses femmes. Elles lui furent toutes fidèles & soumises. Aucune d'elles ne lui donna ni de rival ni de poison. Les plus distinguées, & celles que les Mahometans révèrent comme les confidentes & les dépositaires des secrets les plus intimes de Mahomet, furent, la séduisante Ribana, Juive d'une grande beauté, qui persista quelque-tems dans le Judaïsme, mais qui persuadée enfin par l'éloquence, l'énergie & les grandes actions de son amant, embrassa l'Islamisme, & devint un des Interprêtes les plus éclairés du divin Alcoran ; Shirim, belle Copte, dont les tendres baisers retiroient Mahomet de la profonde léthargie où l'avoit enseveli la présence soudaine de l'Ange Gabriel. Marie la Copte, plus radieuse que l'aurore, & dont les premières faveurs avoient donné tant de chagrin à Mahomet ; car ayant défendu la fornication par un chapitre exprès de l'Alcoran,, & ayant vu ensuite la belle Marie, il ne put résister au pouvoir de ses charmes, & malgré l'Alcoran, il coucha avec elle, une nuit qu'il avoit promis de donner à Ayesha & à Hassa. Celles-ci, inquiètes de n'avoir pas vu le Prophète, découvrirent la cause qui l'avoit retenu, on prétend même que Hassa le surprit couché avec Marie. Elles lui firent des reproches si vifs, que Mahomet leur promit de ne plus voir Marie, & de la renvoyer ; mais sa passion lui fit bientôt oublier ses sermens. Il revint à Marie, & passa un mois tout entier avec elle ; ensuite, pour se justifier auprès des Musulmans & de ses femmes, qui murmuroient hautement de son inconduite, il fit descendre du ciel le chapitre 66e de l'Alcoran, par lequel dieu approuvant ses actions & ses amours, lui permet de se dégager de ses sermens, pour si peu qu'ils contraignent ses inclinations.
Outre la belle Ribana, Shirim & la Copte Marie, Mahomet fut encore l'amant de deux jeunes Egyptiennes, & d'une quantité prodigieuse d'autres concubines, que sa main droite posséda, selon le stile de l'Alcoran, & qui régnèrent tour-à-tour dans son cœur.
Tant de femmes, tant de maîtresses, tant d'excès scandaleux, & que le Prophète lui-même eut puni dans tout autre, ne purent éclairer ses imbéciles Sectateurs.
Il leur paroissoit étonnant, à la vérité, qu'un Prophète, un Apôtre, l'ami de Gabriel, le confident de Dieu, eut des mœurs, en apparence aussi corrompues, qu'il enlevât à ses disciples, à ses amis, à ses esclaves, toute femme ou toute jeune fille qu'il trouvoit à son gré : mais ses révélations les arrêtoient, ses visions les désarmoient ;
les chapitres de l'Alcoran, que le ciel envoyoit exprès pour le justifier, éloignoient d'eux toute idée prophâne, tout jugement trop libre, & ils disoient : il vaut beaucoup mieux croire que la concupiscence n'est pas un mal, l'impudicité un vice, l'adultère & l'inceste des crimes, puisque notre grand Prophète y est sujet, que de penser que puisqu'il est impudique, adultère, incestueux, il n'est pas un grand Prophète.
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Ecrit le 07 juin04, 08:05
ostervald je me voit dans l obligation de te demander d enlever certains phrases fortement irrespectueuse ,tu sais certainement lesquel je n en doute ,tu lm avais habitué a mieux
pour ton texte qui est l auteur? un orientalistes n est pas,? les historiens moderne ne s occupe pas du travail des orientalistes c est comme si je penanis des textes tirés de l ecce hommo (magazine "libre peuseur" pour parler du christianisme cela ne tient pas la route et est malhonnete
n oublie pas svp d enlever ou d editer les phrase du debut qui sont tres irrespectueuse(nous ne manquons pas de respect par rapport au personnage phare de ta croyance) je ne voudrais pas devoir le faire moi meme ,je t en remercie d avance

pour ton texte qui est l auteur? un orientalistes n est pas,? les historiens moderne ne s occupe pas du travail des orientalistes c est comme si je penanis des textes tirés de l ecce hommo (magazine "libre peuseur" pour parler du christianisme cela ne tient pas la route et est malhonnete
n oublie pas svp d enlever ou d editer les phrase du debut qui sont tres irrespectueuse(nous ne manquons pas de respect par rapport au personnage phare de ta croyance) je ne voudrais pas devoir le faire moi meme ,je t en remercie d avance
- Mickael Keul
Ecrit le 07 juin04, 10:11
Qu'est ce que c'est que cete fixation sur les orientalistes ???
Pourrquoi n'aurait on pas le droit de citer des gens "spécialistes" de l'Islam ??
Simplement parce qu'ils vont mettre le doigt, comme AM. Delcambre sur des choses irréfutables et étayées d'arguments pêchés la même ou vous prennez les vôtes c-à-d dans la lecture du coran en arabe
Aurais tu peur de ce que peuvent révéler ces gens ??
Pourrquoi n'aurait on pas le droit de citer des gens "spécialistes" de l'Islam ??
Simplement parce qu'ils vont mettre le doigt, comme AM. Delcambre sur des choses irréfutables et étayées d'arguments pêchés la même ou vous prennez les vôtes c-à-d dans la lecture du coran en arabe
Aurais tu peur de ce que peuvent révéler ces gens ??
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Ecrit le 07 juin04, 10:38
Même Dieu y mit un frein alors !
et les autres ben....
« Il ne t’est plus permis désormais de prendre d’autres femmes, ni de changer d’épouses, même si leur beauté te plaît ; - à l’exception de ceque possède ta dextre. Et Dieu observe toute chose. » (sourate 33, les Coalisés, Al-Ahzâb, verset 52).

Kate....à bon entendeur salut !« Allah rend chaste quiconque cherche à l’être ; rend riche quiconque se satisfait de ce qu’il a et aide à demeurer patient quiconque cherche à s’imposer la patience. Nul n’a reçu un don meilleur et plus ample que la patience ». (rapporté par Boukhari, Fateh, n° 1469)
Ecrit le 07 juin04, 22:47
ostervald a ecrit:
le christ vrai DIEU
se sont que tes paroles mon vieux! ecoute celle de jésus celui dont tu te reclames!
jean ch 17 v 3
or la vie eternelle c'est qu'il te connaisse toi le seul vrai DIEU et celui que tu as envoyé jésus christ
kjésus te dit que le vrai DIEU c'est YAHWE toi tu dis le contraire!
qui a raison toi ou jésus???
moi je prends le chemin de jésus!
et toi???
ostervald ne te met pas en colère contre mohammed sws, mohammed a eu des privilèges vis a vis de DIEU, tout comme david et salomon en en eu vis a vis de DIEU!!!
tu sais je te renvoies au prophète samuel, quand les juifs demandèrent un roi, samuel etait triste, que les juifs ne voulaient pas de YAHWE comme roi! alors il s'en plaignit a DIEU, et DIEU lu dit qu'il va leur choisir un roi, mais a certaines conditions!
connais tu ses conditions???
va voir le prophète samuel, dans la bible et tu verras ce que DIEU ordonne come privilège a ce roi!
après tu veindras m'en parler!
en plus pour toi c'est jésus qui a demander ses privilèges pour le roi!
regarde jette un coup d'oeil, tu comprendras !!!
le christ vrai DIEU
se sont que tes paroles mon vieux! ecoute celle de jésus celui dont tu te reclames!
jean ch 17 v 3
or la vie eternelle c'est qu'il te connaisse toi le seul vrai DIEU et celui que tu as envoyé jésus christ
kjésus te dit que le vrai DIEU c'est YAHWE toi tu dis le contraire!
qui a raison toi ou jésus???
moi je prends le chemin de jésus!
et toi???
ostervald ne te met pas en colère contre mohammed sws, mohammed a eu des privilèges vis a vis de DIEU, tout comme david et salomon en en eu vis a vis de DIEU!!!
tu sais je te renvoies au prophète samuel, quand les juifs demandèrent un roi, samuel etait triste, que les juifs ne voulaient pas de YAHWE comme roi! alors il s'en plaignit a DIEU, et DIEU lu dit qu'il va leur choisir un roi, mais a certaines conditions!
connais tu ses conditions???
va voir le prophète samuel, dans la bible et tu verras ce que DIEU ordonne come privilège a ce roi!
après tu veindras m'en parler!
en plus pour toi c'est jésus qui a demander ses privilèges pour le roi!
regarde jette un coup d'oeil, tu comprendras !!!
Ecrit le 10 juin04, 23:11
ce n'est pas un appel a la haine, mais un appel a la défense de nos vies et de nos biens, quoi de plus juste!ostervald a écrit :Bonsoir Nasser,
Tu veux que je cite les paroles de haine et d'appel au meurtre du dieu dont tu te réclames?
à ce jeu, tu es gagnant![]()
amitié et A+
s'ils cessent cessez nous dit les seigneur
que la haine d'un peuple ne vous incite pas a etre injuste
donc tu n'as rien a dire, et tu sais très bien que le coran c'est la justice ou il n'ya aucune place pour l'injustice!
si vous reheter mohammed sws ce n'est que par jalousie de votre part, et le seigneur l'a très bien prophétisé:
deutéronome:
ils ont excité ma jalousie par leurs vaines idoles et moi j'exciterai leur jalousie par un autre peuple
et jésus de vous dire:
c'est pour ca je vous le dis en, le royaume des cieux vous sera enlevé et donner a un peuple qui en produira les fruits
les juifs en entendant cà, dirent: qu'ils n'en soient jamais ainsi!
donc tu es jaloux de mohammed sws comme l'a déclarer YAHWE et jésus!
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Ecrit le 11 juin04, 06:54
28:18 Jésus, s`étant approché, leur parla ainsi: Tout pouvoir m`a été donné dans le ciel et sur la terre.
28:19 Allez, faites de toutes les nations des disciples, les baptisant au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit,
28:20 et enseignez-leur à observer tout ce que je vous ai prescrit. Et voici, je suis avec vous tous les jours, jusqu`à la fin du monde.
Je lis la Bible aussi !

28:19 Allez, faites de toutes les nations des disciples, les baptisant au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit,
28:20 et enseignez-leur à observer tout ce que je vous ai prescrit. Et voici, je suis avec vous tous les jours, jusqu`à la fin du monde.
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Ecrit le 11 juin04, 16:04
cela est des paroles raportes et sans suite inninterrompu de raporteur sur n oublie pas et nous disons que ces paroles nt ete ajoute tardivement,en tout ou en partie
de plus l on pourrait dire que le dernier verset signifie que celui qui suit la loi de dieu a jesus dans son coeur car lui aussi suit la loi de dieu
et pour les pere fils saint esprit l on peux penser que cela fut ajoute par les tenant de la trinite vu que l on a retrouve bon nombre de manuscrit dont quelques choses figurait en marge en guise de note et qui ,quelques copie plus tard se retrouve incorpore directement au textes ,cela s est vu sur des manuscrit donc pourquoi pas dans ce cas present?
de plus l on pourrait dire que le dernier verset signifie que celui qui suit la loi de dieu a jesus dans son coeur car lui aussi suit la loi de dieu
et pour les pere fils saint esprit l on peux penser que cela fut ajoute par les tenant de la trinite vu que l on a retrouve bon nombre de manuscrit dont quelques choses figurait en marge en guise de note et qui ,quelques copie plus tard se retrouve incorpore directement au textes ,cela s est vu sur des manuscrit donc pourquoi pas dans ce cas present?
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