Avant toute chose n'essaye pas de me conduire vers tes réponse préfabriquer ILANFGR, c'est le verset qui nous interresse alors décortiquons ce verset étape par étape !
Je leur susciterai du milieu de leurs frères un prophète comme toi (Moise), je mettrai mes paroles dans sa bouche, et il leur dira tout ce que je lui commanderai. Deuteronome 18:18
1) De qui Dieu parle-t-il quand Il dit "leurs frères" ?
Les musulmans atteste que "leur fréres" désignerais les frères des Israélites, par conséquent les Ismaélites alors quand réalité le therme "leur frére" se réfère aux onze tribus restantes d’Israël.
Pour preuve nous voyons que dans beaucoup de verset de l'AT le therme "leurs frères" se réfère aux onze tribus restantes d’Israël :
- " Mais les enfants de Benjamin n'écoutaient pas la voix de leurs frères, les enfants d'Israël" Juges 20 :13
- Ou encore en Nombres 8:26 où la tribu de Lévi est commandée d'aider "leurs frères", c’est à dire, les tribus restantes d’Israël :
"il aidera pourtant ses frères à assurer l'observance dans la Tente du Rendez-vous, mais il n'aura plus de service. Ainsi feras-tu en ce qui concerne les observances des Lévites"
- D’autre part dans nous lisons que Moïse à une occasion déclara à Israël :
"Tu mettras sur toi un roi que choisira l'Éternel, ton Dieu, tu prendras un roi du milieu de tes frères, tu ne pourras pas te donner un étranger, qui ne soit pas ton frère... afin qu'il prolonge ses jours dans son royaume, lui et ses enfants, au milieu d'Israël" Deutéronome 17 :15-20
Seulement un Israélite pouvait être nommé roi d'Israël "du milieu de tes frères" aucun Étranger : soit les Ismaélites, les Edomites ou autre personne n’étant pas d’Israël, ne pouvait être fait roi d’Israël car ils n’était pas un de "leurs frères", c’est à dire un membre d'une des tribus d'Israël
- "Les sacrificateurs, les Lévites, c’est a dire toute la tribu de Lévi, n'auront ni part ni héritage avec Israël … Ils n'auront point d'héritage au milieu de leurs frères" Deutéronome 18 :1-2.
Deutéronome 18:18 concorde avec tout l’Ancien Testament, où nous découvrons fréquemment cette expression
"leurs frères" qui désignent les tribus restantes d'Israël
PS : Comme tu le vois j'ai argumenter que le therme "leur frére" désigner leur frére parmie les tribus restante d'israel !
Merci ILANGFR pour commencer de rester sur le therme "leur fréres" ont verra le reste du verset aprés sinon on sen sortira pas
J'attendais depuis le début que tu me la sorte celle là
"leur fréres"(Enfin !), je peux encore dire que tu as
FAUX, FAUX, FAUX ET ENCORE FAUX ...
Pour Commencer :
Au Nom De Dieu, Le Clément, Le Miséricordieux !
Or la prophétie ne s'arrête pas à ce stade. Il y a d'autres phrases :
"Je leur susciterais d'entre leur frères un prophète, tel que toi"
La phrase qu'on va examiner maintenant est
"d'entre leurs frères".
Dans ce texte, Dieu, qu'il soit glorifié, s'adresse à Moïse. Les juifs étant une même race, leurs frères ne peuvent êtres que les Arabes.
Nous lisons dans la Bible qu'Abraham avait deux femmes, Sarah et Agar. Agar lui a enfanté un fils. Ce fut le premier né d'Abraham. On retrouve dans la Genèse (16/15) :
"Agar enfanta un fils Abram. (Et Abram donna le nom d'Ismaël à l'enfant qu'Agar lui avait enfanté)."
et dans la Genèse (17/23) :
"Abraham pris Ismaël, son fils"
Un autre passage dans la Genèse :
"Et Ismaël, son fils, avait treize ans lorsqu'il avait été circoncis"
Et jusqu'à ses treize ans, Ismaël était le premier fils ou le fils unique d'Abraham. Lorsque l'alliance entre Dieu et Abraham fut établie, Dieu lui a donné un second fils Isaac, de son autre épouse Sarah. Naturellement Isaac était plus jeune qu'Ismaël.
Si Ismaël et Isaac étaient les fils d'Abraham, ils étaient donc frères. Et les enfants de chacun d'entre eux sont les frères des enfants de l'autre.
Les enfants d'Issac sont juifs. Les enfants d'Ismaël sont les Arabes. C'est ce que dit la Bible lorsqu'en parlant d'Isaac et de ses enfants, elle les désigne frères d'Ismaël. On lit dans le Genèse (16/12) :
"Et il (Ismaël) habitera à l'encontre de tous ses frères."
et ailleurs, dans la Genèse (25/18) :
"Il s'était établit à la face de tous ses frères."
Le prophète Muhammed est (effectivement) descendant d'Ismaël fils d'Abraham (puisque toute la tribu des Qoreish à laquelle appartenait le Prophète Muhammed est descendante d'Ismaël).
Pour en revenir à la prophétie : Elle identifie bien la généalogie du prophète attendu, et qui est tel que Moïse, qu'il serait
"de parmi leurs frères."
La prophétie ne s'arrête pas à ce stade. elle poursuit en disant :
"Je mettrais mes paroles dans sa bouche."
Que pourrai bien vouloir dire la phrase
"Je mettrai mes paroles dans sa bouche" ?
Supposez que maintenant je vous demande d'ouvrir la Bible sur le deutéronome (18/18) et que je vous demande de lire le paragraphe. Aurai-je de cette façon mis mes paroles dans votre bouche ?
Je suppose certainement que non
Supposez alors au contraire que je veuille vous apprendre une langue qui vous soit étrangère, comme la langue arabe par exemple, de laquelle vous ne connaissez rien, et que je vous demande de répéter après moi les mots que je vais prononce (en écrit).
"Qul huwa-llâhu ahad, allâhu-ssamad, lam yalid wa lam yûlad wa lam yakun lahû kufu'an ahad"
Aurais-je ainsi mis mes paroles dans votre bouche ?
Vous serriez d'accord, qu'avec cette façon je mettrai mes paroles dans votre bouche.
Bref, c'est de cette façon que le Coran fut révélé au Prophète Muhammed.
Les livres d'histoire et ceux relatant la vie du Prophète nous apportent que ce dernier se retirait dans une caverne située dans une montagne au voisinage de la Mecque. A la veille du 27ème jour du mois de Ramadan, alors que le Prophète avait quarante ans, l'archange Gabriel lui apparut et lui parla en lui disant :
"Lis !" Le Prophète répondait :
"Je ne sais pas lire." Puis l'archange lui réitéra l'ordre de lire. La troisième fois, l'archange lui dit :
"Lis, au nom de ton Seigneur qui a créé, qui a créé l'homme d'une adhérence. Lis! Ton Seigneur est le Très Noble, qui a enseigné par la plume, a enseigné à l'homme ce qu'il ne savait pas."
C'est-à-dire :
"Lis au nom du Dieu créateur. Il forma l'homme en réussissant les sexes. Lis au nom du Dieu adorable. Il apprit à l'homme à se servir de la plume. Il mit dans son âme le rayon de la science."
Tels sont les cinq versets que Le Seigneur A Fait Descendre sur Son serviteur et ils figurent tel quel dans le chapitre AL-ALAQ (L'ADHÉRENCE) du Coran.
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Cette expérience qu'a connue le prophète Muhammed dans la caverne de Hirâ'(aujourd'hui connue sous le nom du mont de la lumière) et ses réponses aux ordres de lecture de l'archance Gabriel représente la réalisation d'une autre prophétie que l'on retrouve dans la Bible, dans le livre d'Isaïe (29/12) et qui énonce :
"On présente le livre à un homme qui ne sait pas lire (c à d un prophète illettré)"
Pareillement cité dans le Coran :
"Embrassez l'Islam. Suivez le prophète que n'éclaire point la science". (Coran VI, 158)
C'est absolument ce qui s'est passé dans la caverne de Hirâ' quand l'archange Gabriel ordonna au prophète Muhammed de lire en lui disant :
"Lis !", et lui qui répondait :
"Je ne sais pas lire", c'est à dire
"Je suis illettré et ne connais point ni la lecture ni l'écriture."
Le texte de la prophétie, tel qu'énoncé dans le livre d'Isaïe (29/12) dit :
"On présente le livre à un homme qui ne sait pas lire, en lui disant : Lis donc cela ! Et lui dit : Je ne sais pas lire."
Il est important de se rappeler que ce dont nous sommes en train de parler a eu lieu au sixième siècle, au moment ou nulle traduction de la Bible en arabe n'existait, et qu'en plus le Prophète Muhammed était illettré et n'avait point reçu un quelconque enseignement. C'est Dieu qui a inspiré le savoir (comme pour Adam). C'est ainsi qu'il est dit dans le Coran :
"Il ne suit point ses propres lumières ; Tout ce qu'il dit est une inspiration divine. Celui qui possède la force (Gabriel) l'a instruit".
Voyez vous comment cette prophétie s'adapte à l'histoire du prophète comme un gant, sans avoir recours à aucune forme de manipulation dans l'explication des choses, et sans lui créer une interprétation loin d'en être un possible.
Donc le révérend
Van Hiten répond à
Ahmed Deedat par ceci :
"Tous ces propos et idées que vous avez émis semblent excellents ! Cependant, ils ne sont pas d'une grande importance pour nous chrétiens car nous avons une foi ferme en Jésus, le Dieu personnifié qui nous a libéré du joug du pêché."
Ahmed Deedat étonné lui dit :
"Vous dites : ce sont des choses sans importance ! Cependant, Dieu Ne les voit pas avec une pareille simplicité, et c'est parce qu'Il savait qu'il y aurait des gens, comme vous, a qui importent peu Ses paroles et qui se détournent d'elles, qu'Il Les a avertis dans la prophétie même. Dans le Deutéronome (18/19) nous lisons :"
"Et, si quelqu'un n'écoute pas les paroles qu'il dit en mon nom, c'est moi qui lui en demanderai compte."
Dans d'autre Bibles, le texte se termine par :
"Je serai moi le vengeur"
C'est à dire, c'est moi qui me vengerai de lui.
Il (Ahmed Deedat) reprit en lui disant :
"Ne craignez-vous pas ce terrible avertissement de Dieu ?"
Nous, nous tremblons de peur pour peu que nous nous sentions menacé par autrui, et vous, vous ne craignez pas l'avertissement de Dieu !
La prophétie la plus étonnante est celle du Déteuronome (18/19) ou il est dit :
"Mes paroles qu'il dira en mon nom"
Au Nom de qui parle le prophète Muhammed ?
A ce moment, Ahmed Deedat ouvra une traduction du Coran, celle de cheikh Yûsuf`Alî (peut importe), sur la sourate CXIV. En haut de la sourate figurait la phrase
"Au Nom De Dieu, Le Clément, Le Miséricordieux". De mêmes, toutes les sourates, exception faite de la sourate IX, commencent par
"Au Nom De Dieu, Le Clément, Le Miséricordieux".
La prophétie dit bien :
"mes paroles qu'il dira en mon nom". Mais au nom de qui parlait Muhammed ? Il parle
"Au Nom De Dieu, Le Clément, Le Miséricordieux". Cette même phrase précède même les gestes et paroles de tous les musulmans, chose qui n'est pas le cas chez les chrétiens, par exemple, qui accompagnent généralement leurs actes ou leurs paroles par :
"Au nom du père, du fils et du saint esprit"
En recherchant dans un Evangile enrichis de quelques explications, de notes et de commentaires, on retrouve un signet sur le mot
"Prophète" dans la question
"es-tu le prophète ?" On retrouve dans l'explication correspondante :
"Il s'agit d'un prophète dépeint dans le Deutéronome (18/18) et qui est tel que Moïse" (l'annotateur des textes du Nouveau Testament de la Bible de Crampon fait la même remarque).
Nous avons prouvé par des preuves évidentes que ce prophète en question n'est autre que Muhammed et qu'il ne s'agit nullement du Messie.
Nous ne nions pas, nous autres musulmans, le caractère prophétique de Jésus, ni les milliers de prophéties qui annoncent la venue de Jésus. Cependant, ce que nous affirmons avec force, c'est que la prophétie du Deutéronome (18/18) ne fait guère allusion à Jésus et qu'elle désigne clairement Muhammed.
Le révérend mit fin à cette discussion avec beaucoup de correction et de considération en disant :
"Votre discussion nous a été très appréciée et nous souhaitons que vous veniez dans notre église pour faire une allocution sur ce sujet même."
Ahmed Deedat répondit :
"J'ai attendu vainement l'invitation pendant quinze ans !"
Il pense d'ailleurs que le révérend était sincère dans son intention de l'inviter, mais qu'il est très difficile de vaincre sa fierté et il n'existe pas de berger qui accepte de perdre quelques-unes de ses brebis.
L'examen catégorique :
Aux adeptes de la religion de Jésus, j'adresse cette parole :
Pourquoi ne pas appliquer l'examen catégorique que Jésus veut que vous appliquiez à toute personne qui se prétend être un prophète ? Ce test que nous retrouvons dans l'Evangile de Mathieu (7/15-20) :
"Gardez-vous des faux prophètes. Ils viennent à vous en vêtement de brebis, mais au dedans ce sont des loups ravisseurs. Vous les reconnaîtrez à leurs fruits. Cueille-t-on des raisins sur des épines, ou des figues sur des chardons ? Tout bon arbre porte de bons fruits, mais le mauvais arbre porte de mauvais fruits. Un bon arbre ne peut porter de mauvais fruits, ni un mauvais arbre porter de bons fruits. Tout arbre qui ne porte pas de bons fruits est coupé et jeté au feu. C'est donc à leurs fruits que vous les reconnaîtrez."
Pourquoi craignez-vous d'appliquer ce test aux enseignements de Muhammed ?
Nous retrouvons dans le dernier testament, c'est à dire le Saint Coran, que Dieu à fait descendre, un message parfait complétant ce qui avait été révélé à Moïse et à Jésus, et qui donne au monde la paix et le bonheur tellement recherché. Ainsi constate Bernard Shaw
(Georges-Bernard Shaw, écrivain irlandais, né à Dublin en 1856 et mort en 1950, prix Nobel en 1925 => Larousse) :
"Si un individu comme Muhammed avait pris le pouvoir absolu sur le monde, il aurait réussi à résoudre les problèmes dont souffre l'humanité, et lui aurait fourni la paix et le bonheur dont elle a tant besoin."