Il est ainsi interdit de faire état en temps réel des lieux d'impact exacts des missiles, de frappes sur les bases militaires israéliennes, les cibles stratégiques ou de tirs manqués, ou de révéler à quelle heure les habitants sont autorisés à sortir des abris pour le ravitaillement. Les journalistes n'ont pas le droit non plus de livrer des détails sur les déplacements de hauts responsables israéliens dans le nord du pays, où s'abattent les roquettes du Hezbollah, tant que la visite est en cours, ni de signaler le manque d'abris ou les faiblesses de la défense civile en certains lieux.
Je ne vois pas là dedans ce qu'il y a de préjudiciable. Ils ne font rien pour censurer ce que les journalistes pourraient écrire à propos de leurs frappes, mais des frappes ennemies, afint de protéger leur population. Dans ce sens, c'est même louable.