![Very Happy :D](./images/smilies/icon_biggrin.gif)
Dans le language de la "rue", il y aurait apparement un language de "vrai". C'est un language "dur" ! Moi qui suis quelque fois un peu naive sur les bords, ça m'a prise l'apprentissage de la terminologie du commun des mortels pour faire l'assimilation du language de l'esprit au lieu de selui du corps.
Dans le language du commun des mortels, le language du corps, l'on dirait que "la loi du retour" t'arriverais lorsque l'on envoie quelque chose dans l'univers et que l'univers nous le renverrais en retour. En language d'imagerie, moi je visualise celà comme étant un espèce de boomerang qu'on retrouve en Australie, l'on le lance, et il nous revient.
En traduisant ce language de la "rue", language du corps, en language de l'esprit, ça ferait du bon sens bibliquement parlant aussi. Il est écrit dans Matthiew 5 verset 7 : *Bienheureux sont les miséricordieux : car miséricorde leur sera faite. *chap.6:14. Marc11:25. Jacq.2:13.
Quel merveilleux verset de la bible ! Il est écrit pourtant simplement, n'est-ce pas ! Tellement simple, que même le commun des mortels le comprennent. À savoir, que ce ne serait même pas nécessaire d'avoir recours à un bachaloriat, ni à un doctorat en théologie pour en comprendre sa signification. Ce n'est même pas nécessaire d'être un érudit pour interpréter celà, non !
Celui qui est dur de coeur envers son prochain, par exemple, sera traité avec dureté de coeur à son. C'est une loi naturelle.
Celui qui manque de compassion envers son prochain, par exemple, ne recevera point de compassion. C'est la loi naturelle.
Tandis que celui qui se comporterait en tant que bon Samaritain à l'égard de son prochain, sera considéré sous forme de miséricorde à son tour.
Par respect à l'anonyma d'un homme que je connais, je ne nommerai donc pas son nom. Mais j'oserais tout de même de vous raconter ici, parcontre, et je croierais que celà je pourrais bien vous raconter les faits à son sujet sans toutefois l'identifer. Cet homme, un Chrétien, vie une exhistence substantiel selon les normes de la pauvreté du niveau de vie établie par le Gouvernement Fédéral Canadien. En tant que "gars de la rue", il essaie tant bien que mieux à vivre selon l'Esprit de Dieu.
Souvent, il lui arrive que lorsqu'il fait la rencontre de homme ou d'une femme, ou encore d'une jeune mère dans la misère de la "rue", et je vous assure que cette misère est difficile à endurer, qu'il va sortire soit un cinq, soit un dix, ou encore soit un petit vingt dollar pour que partager ce que le Seigneur lui a donné avec son prochain. Et ce afin de soulager quelque peu sa misère de façon momentanée. Peut-être ainsi, pourrait-elle s'acheter un pain, ou bien une pinte de lait, ou bien un café, ou bien un repas chaud à la piaûle (la soupe communautaire du quartier). Très souvent, l'on le voit entrain de donner à un jeune enfant un "loony", le dollar Canadien, pour des bon-bons qu'il n'aurait pas souvent. Ou bien encore aller livrer du pain et du lait à une jeune moment, sans pour autant lui manquer de respect à sa dignité propre.
Mais comment ses gestes de charité Chrétienne s'appliquerait-ils à la loi du retour, à la miséricorde attendu du Chrétien? Bien, ainsi que ce monsieur vit ceci. Lorsque le Seigneur lui met quelque pitances dans la poche, il le partage. Et incontestablement, d'une façon ou d'une autre, ça lui reviendrait même.
Par exemple flagrant. Une bonne journée, notre monsieur était dans le besoin. Il s'inquiétait guère pour lui-même, ou bien pour sa femme, puisqu'il avait confié sa vie, et elle aussi, au soin de Dieu. Mais il s'inquiétait pour sa propre fille, de son sang comme l'on dirait. Parce qu'elle n'a pas donné sa vie à Jésus. Elle n'avait pas de mangè chez-elle, donc son bébé à elle n'avait rien à manger non-plus. Que faire lorsqu'il n'avait pas le sous, se demanda t-il? Il confia donc ce problème précis à son merveilleux Seigneur Jésus, pour qu'Il s'en occupe.
La même journée, en se promenant avec son épouse, une jeune mère leur fit signe de s'approcher vers elle, de l'autre bord de la rue. Le couple la reconnaissant comme étant une connaissance de longue date traversa la rue pour aller la retrouvée. Et la jeune mère, dans la misère elle-même depuis des années déjà, et se tenant avec les gens de la "rue", sortie de sa poche un montant de 100 $, cent dollar. Et avec un grand sourire aux lèvre le remis à l'homme, en le remerciant de son aide lorsqu'en avait eu tant de besoin pour ses enfant à elle. Ce fut acqueillit comme étant un vrait miracle de la part du Seigneur ! Alléluia, Seigneur Jésus !!!