Le seul homme-singe crédible c'est Tarzan ! Malheureusement, comme chacun sait, ce n'est qu'un personnage de romans ! Quand aux autres (homo habilis, erectus, ergaster, etc) ce sont des singes dans lesquels certains, scientifiques ou non, voient des hommes. L'Arlésienne te dis-je, l'Arlésienne !Ryuujin a écrit :homo habilis ne te convient pas comme homme-singe ?
L'homme-singe toujours manquant
- maurice le laïc
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Ecrit le 03 mars07, 13:35
Ecrit le 03 mars07, 15:08
L’analyse complète du génome du chimpanzé révèle une différence génétique plus grande avec les humains
Le chimpanzé fait partie du groupe d’animaux dont les génomes ont été déchiffrés par les scientifiques. Les données du génome du chimpanzé ont été comparées à leurs équivalents du génome humain par un consortium de recherche international, dont les études ont été publiées dans la revue Nature. Selon les résultats de ce consortium, les humains partagent beaucoup de gènes avec le chimpanzé, mais il existe aussi des différences très importantes. En fait, cette première comparaison génétique complète triple le pourcentage des différences suggérées par les précédentes analyses génomiques partielles. Le pourcentage de ressemblances génétiques le plus récent est de 96%, par rapport aux pourcentages précédents qui étaient de 98,5%.
Le chimpanzé a été le quatrième mammifère dont le génome a été séquencé génétiquement après le génome humain, et ceux de la souris et du rat, enrichissant le trésor de génomes des scientifiques. 67 scientifiques, venant de pays tels que les Etats-Unis, l’Allemagne, Israël, l’Italie et l’Espagne, ont participé au consortium. "En poursuivant sur les bases établies par le Projet du Génome Humain, il est devenu évident que la comparaison du génome humain avec ceux d’autres organismes est un outil extrêmement puissant pour comprendre notre propre biologie", a déclaré Francis S. Collins, directeur de l’Institut National de Recherche sur le Génome Humain.
Une raison importante de la diminution du nombre de ressemblances génétiques est la prise en compte par les scientifiques de plusieurs types de différences génétiques. Dans les études précédentes, les scientifiques n’avaient retenu que les polymorphismes à nucléotide unique (SPN) comme étant des variations, ce qui a donné des taux de 1,2% de différence. Un SPN représente une différence d’une seule paire de base entre les deux séquences d’ADN comparées. Dans leur dernière étude, les scientifiques ont également pris en compte d’autres types de variations génétiques, tels que les insertions et délétions (indels). Ces dernières étant des vides correspondants aux séquences de nucléotides non appariées entre les séquences humaines et celles des chimpanzés, pouvant mesurer de un à plusieurs milliers de nucléotides de long. Celui qui est montré ci-dessous est un indel à 3 nucléotides.
La différence de 4% représente 35 millions de SPN et 5 millions d’indels.
SNP Indel
A G T C G T A C C A G T C G T A C C
A G T C A T A C C A G T C C C
Le chimpanzé fait partie du groupe d’animaux dont les génomes ont été déchiffrés par les scientifiques. Les données du génome du chimpanzé ont été comparées à leurs équivalents du génome humain par un consortium de recherche international, dont les études ont été publiées dans la revue Nature. Selon les résultats de ce consortium, les humains partagent beaucoup de gènes avec le chimpanzé, mais il existe aussi des différences très importantes. En fait, cette première comparaison génétique complète triple le pourcentage des différences suggérées par les précédentes analyses génomiques partielles. Le pourcentage de ressemblances génétiques le plus récent est de 96%, par rapport aux pourcentages précédents qui étaient de 98,5%.
Le chimpanzé a été le quatrième mammifère dont le génome a été séquencé génétiquement après le génome humain, et ceux de la souris et du rat, enrichissant le trésor de génomes des scientifiques. 67 scientifiques, venant de pays tels que les Etats-Unis, l’Allemagne, Israël, l’Italie et l’Espagne, ont participé au consortium. "En poursuivant sur les bases établies par le Projet du Génome Humain, il est devenu évident que la comparaison du génome humain avec ceux d’autres organismes est un outil extrêmement puissant pour comprendre notre propre biologie", a déclaré Francis S. Collins, directeur de l’Institut National de Recherche sur le Génome Humain.
Une raison importante de la diminution du nombre de ressemblances génétiques est la prise en compte par les scientifiques de plusieurs types de différences génétiques. Dans les études précédentes, les scientifiques n’avaient retenu que les polymorphismes à nucléotide unique (SPN) comme étant des variations, ce qui a donné des taux de 1,2% de différence. Un SPN représente une différence d’une seule paire de base entre les deux séquences d’ADN comparées. Dans leur dernière étude, les scientifiques ont également pris en compte d’autres types de variations génétiques, tels que les insertions et délétions (indels). Ces dernières étant des vides correspondants aux séquences de nucléotides non appariées entre les séquences humaines et celles des chimpanzés, pouvant mesurer de un à plusieurs milliers de nucléotides de long. Celui qui est montré ci-dessous est un indel à 3 nucléotides.
La différence de 4% représente 35 millions de SPN et 5 millions d’indels.
SNP Indel
A G T C G T A C C A G T C G T A C C
A G T C A T A C C A G T C C C
Ecrit le 04 mars07, 06:14
ah, tient, 96% finalement ?
sur deux copies de 200 mots, ça fait donc une différence de 8 mots...personne n'a copie donc, c'est naturel ?
homo erectus était un singe ?
J'y croirais le jour où tu m'amènera un singe sauvage sculpteur.
cf les sculptures de Berekhat Ram et de Tan-Tan, qui en plus de cela n'ont aucun aspect utilitaire ( en gros, là on peut vraiment parler d'art ).
sur deux copies de 200 mots, ça fait donc une différence de 8 mots...personne n'a copie donc, c'est naturel ?
homo erectus était un singe ?
J'y croirais le jour où tu m'amènera un singe sauvage sculpteur.
cf les sculptures de Berekhat Ram et de Tan-Tan, qui en plus de cela n'ont aucun aspect utilitaire ( en gros, là on peut vraiment parler d'art ).
Ecrit le 04 mars07, 08:47
L'Homo Erectus: une ancienne race humaine
Homo Erectus signifie "l'homme qui se tient droit". Tous les fossiles inclus dans cette espèce appartiennent à des races humaines particulières. Puisque la majorité des fossiles des Homo Erectus ne partage pas la même caractéristique, il est assez difficile de définir ces hommes selon leurs crânes. C'est la raison pour laquelle divers chercheurs évolutionnistes ont établi plusieurs classifications et appellations. Ci-dessus sur la gauche, nous pouvons voir un crâne qui a été découvert à Koobi Fora, en Afrique en 1975. Il définit globalement l'Homo Erectus. Sur la droite, un crâne: Homo Ergaster KNM-ER 3733, est celui qui recouvre les mystères en question.
Les capacités crâniennes de tous ces fossiles Homo Erectus sont de 900 à 1100 cm3. Ces chiffres correspondent aux limites des capacités crâniennes contemporaines.
KNM-WT 15000 ou le squelette de l'enfant de Turkana sur la droite est probablement le plus vieux et le plus complet des fossiles humains trouvés à ce jour. Les recherches menées sur ce fossile, supposé être vieux de 1,6 millions d'années, démontrent qu'il appartient à un enfant de 12 ans dont la taille aurait atteint 1,80 m s'il avait vécu jusqu'à l'adolescence. Ce fossile, qui ressemble largement à la race du Neandertal, est la preuve par excellence qui réfute la thèse évolutionniste.
L'évolutionniste Donald Johnson décrit ce fossile en ces termes: "Il était grand et mince. Sa forme corporelle et ses membres ressemblent largement à ceux des Africains équatoriaux. La taille de ses membres était parfaitement adaptée à celle des adultes blancs d'Amérique du Nord."
Tout le monde s'accorde sur le fait que la différence de la capacité crânienne ne signifie pas nécessairement une différence dans le niveau d'intelligence ou dans les capacités. L'intelligence dépend plus de l'organisation interne du cerveau que du volume de celui-ci.
Une conférence a été tenue à ce propos en 2000:
"La majorité des participants à la conférence de Senckenberg ont été impliqués dans un débat enflammé, lancé par Milford Wolpoff de l'Université du Michigan, Alan Thorne de l'Université de Canberra et leurs collègues, sur le statut taxonomique de l'Homo Erectus. Ils ont appuyé avec force que l'Homo Erectus n'était pas valide en tant qu'espèce et que celle-ci devait ainsi être éliminée. Tous les membres du genre Homo, depuis 2 millions d'années jusqu'à nos jours, n'étaient finalement qu'une seule grande espèce variée, Homo Sapiens, sans interruptions ni subdivisions naturelles. Le sujet de la conférence: l'Homo Erectus n'existait pas."
Homo Erectus signifie "l'homme qui se tient droit". Tous les fossiles inclus dans cette espèce appartiennent à des races humaines particulières. Puisque la majorité des fossiles des Homo Erectus ne partage pas la même caractéristique, il est assez difficile de définir ces hommes selon leurs crânes. C'est la raison pour laquelle divers chercheurs évolutionnistes ont établi plusieurs classifications et appellations. Ci-dessus sur la gauche, nous pouvons voir un crâne qui a été découvert à Koobi Fora, en Afrique en 1975. Il définit globalement l'Homo Erectus. Sur la droite, un crâne: Homo Ergaster KNM-ER 3733, est celui qui recouvre les mystères en question.
Les capacités crâniennes de tous ces fossiles Homo Erectus sont de 900 à 1100 cm3. Ces chiffres correspondent aux limites des capacités crâniennes contemporaines.
KNM-WT 15000 ou le squelette de l'enfant de Turkana sur la droite est probablement le plus vieux et le plus complet des fossiles humains trouvés à ce jour. Les recherches menées sur ce fossile, supposé être vieux de 1,6 millions d'années, démontrent qu'il appartient à un enfant de 12 ans dont la taille aurait atteint 1,80 m s'il avait vécu jusqu'à l'adolescence. Ce fossile, qui ressemble largement à la race du Neandertal, est la preuve par excellence qui réfute la thèse évolutionniste.
L'évolutionniste Donald Johnson décrit ce fossile en ces termes: "Il était grand et mince. Sa forme corporelle et ses membres ressemblent largement à ceux des Africains équatoriaux. La taille de ses membres était parfaitement adaptée à celle des adultes blancs d'Amérique du Nord."
Tout le monde s'accorde sur le fait que la différence de la capacité crânienne ne signifie pas nécessairement une différence dans le niveau d'intelligence ou dans les capacités. L'intelligence dépend plus de l'organisation interne du cerveau que du volume de celui-ci.
Une conférence a été tenue à ce propos en 2000:
"La majorité des participants à la conférence de Senckenberg ont été impliqués dans un débat enflammé, lancé par Milford Wolpoff de l'Université du Michigan, Alan Thorne de l'Université de Canberra et leurs collègues, sur le statut taxonomique de l'Homo Erectus. Ils ont appuyé avec force que l'Homo Erectus n'était pas valide en tant qu'espèce et que celle-ci devait ainsi être éliminée. Tous les membres du genre Homo, depuis 2 millions d'années jusqu'à nos jours, n'étaient finalement qu'une seule grande espèce variée, Homo Sapiens, sans interruptions ni subdivisions naturelles. Le sujet de la conférence: l'Homo Erectus n'existait pas."
- maurice le laïc
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Ecrit le 05 mars07, 02:50
D'après ton exemple l'homme et le singe sont les copies ou plus exactement l'un est l'original et l'autre la copie. Mais qui en sont les auteurs ?Ryuujin a écrit :ah, tient, 96% finalement ?
sur deux copies de 200 mots, ça fait donc une différence de 8 mots...personne n'a copie donc, c'est naturel ?
Un singe ou un homme, mais pas un homme-singe !Ryuujin a écrit :homo erectus était un singe ?
Sculptures de qui ? Homo erectus, homo sapiens, le hasard ?Ryuujin a écrit : J'y croirais le jour où tu m'amènera un singe sauvage sculpteur.
cf les sculptures de Berekhat Ram et de Tan-Tan, qui en plus de cela n'ont aucun aspect utilitaire ( en gros, là on peut vraiment parler d'art ).
Ecrit le 05 mars07, 09:44
on a deux copies de deux provenances différente, mais on en sait pas plus.D'après ton exemple l'homme et le singe sont les copies ou plus exactement l'un est l'original et l'autre la copie. Mais qui en sont les auteurs ?
Qui a copié sur qui, ça restera peut être même un mystère.
L'un peut avoir copié sur l'autre ( descendre de l'autre ), ou les deux peuvent avoir copié le même bouquin ( avoir un ancètre commun ).
Toujours est-il que deux génomes aussi semblables, on ne sait l'expliquer rationnellement qu'ainsi.
Et pourquoi pas ?Un singe ou un homme, mais pas un homme-singe !
un cerveau de 850 et 1100 cm3 contre 1350 à 1500 chez nous, un art et un artisanat encore pauvre, un squelette beaucoup plus massif que le notre, un front bas, pas de menton...
Si tu le croisais dans la rue, tu le trouverais on ne peut plus simiesque.
Homo erectus ; il s'agit bien de scultures, malgrès leur aspect peu travaillées ; elles portent des traces d'outils.Sculptures de qui ? Homo erectus, homo sapiens, le hasard ?
- patlek
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Ecrit le 05 mars07, 10:36
L' un et l' autre ont un ancètre commun, et cet ancetre commun , en remontant plus loin, a un ancetre commun a vec d' autres especes, etc... etc... jusqu' a la première cellule, jusqu' a la "premiére vie".maurice le laïc a écrit : D'après ton exemple l'homme et le singe sont les copies ou plus exactement l'un est l'original et l'autre la copie. Mais qui en sont les auteurs ?
Nous avons un ancétre commun avec les vaches; les mouton, les éléphants, les chiens... nous sommes des mammifères entre autres, des vertébrés, çà nous mets automatiquement des ancètres communs avec les espéces de mammiféres et de vertebrés. C' est le le principe de l' arbre phylogénique.
De là, on partage des patrimoines génétiques commun avec toute les espéces. Le fait que l' on sioit des mamiféres est inscrit dans notre patrimoine génétique.
Ecrit le 05 mars07, 14:55
Comment un petit nombre de différences génétiques peut-il envoyer les
chimpanzés dans la forêt, alors que d’autre part, il rassemble des scientifiques dans un groupe de recherche pour étudier le génome du chimpanzé ? Il est évident que les êtres humains, qui ont une raison et des sentiments, ne peuvent être réduits à des gènes. Ceci laisse les évolutionnistes sans réponse. On a rapporté que Svante Pääbo, de l’Institut Max Plank de l’Anthropologie Evolutive à Leipzig, en Allemagne, et co-auteur d’un article dans Nature, avait déclaré :
Nous ne pouvons pas voir en cela pourquoi notre phénotype est si différent de celui du chimpanzé. Une partie du secret est cachée là, mais nous ne la comprenons pas encore.
Collins, de l’Institut National pour la Recherche sur le Génome Humain souligne qu’il est inexact de rechercher au seul niveau moléculaire une réponse à la question "Qu’est ce qui fait de nous des êtres humains ?" :
La véritable question concernant ce qui rend humain est plus qu’une question biologique, c’est aussi une question théologique. L’ADN ne peut nous expliquer "comment sait-on ce qui est bien ou mal ?" ni "qu’est-ce que l’esprit humain ?".
Que devons-nous comprendre du projet sur le génome du chimpanzé ?
Le chemin vers une véritable compréhension des génétiques de l’humain et du chimpanzé est long. Cette dernière étude de comparaison a seulement fourni aux scientifiques des données de base. Comme l’explique Ajit Varki, de l’Université de Californie à San Diego :
[Un] génome est comme le tableau périodique des éléments… A lui seul, il ne vous dit pas comment fonctionnent les choses ; c’est le premier pas sur un long chemin.
Tout d’abord, en tant que principe général, les données ne parlent pas d’elles-mêmes ; elles sont interprétées. Supposez que l’on vous demande si un cube bleu donné ressemble plus à une pyramide bleue, ou à un cube rouge plus grand. Votre réponse sera différente, selon que vous vous basez sur le critère de la couleur, ou celui de la forme. Ce qu’il faut retenir concernant cette étude, c’est que les différences génétiques sont beaucoup plus complexes que ce que les propagandistes de l’évolution veulent nous faire croire dans des descriptions telles que la "ressemblance à 99%". Une fois que l’on tient compte des autres types de variations génétiques, ce pourcentage diminue de manière importante. Pourtant, cette dernière interprétation semble elle aussi être assombrie par les parti pris évolutionnistes. Un biochimiste internationalement respecté, Fazale Rana, PhD, rejette même la ressemblance à 96%, comme suit :
Ce que nous voyons là est un jeu des coquilles scientifiques. Les chercheurs manipulent les résultats pour faire apparaître plus de ressemblances qu’il n’y en a réellement entre les chimpanzés et les humains. Et cela en se focalisant sur un seul type de différences génétiques. Lorsque les scientifiques prennent en compte tous les types de différences génétiques et font une comparaison plus générale, le taux de ressemblances passe de 96% à 85%.
chimpanzés dans la forêt, alors que d’autre part, il rassemble des scientifiques dans un groupe de recherche pour étudier le génome du chimpanzé ? Il est évident que les êtres humains, qui ont une raison et des sentiments, ne peuvent être réduits à des gènes. Ceci laisse les évolutionnistes sans réponse. On a rapporté que Svante Pääbo, de l’Institut Max Plank de l’Anthropologie Evolutive à Leipzig, en Allemagne, et co-auteur d’un article dans Nature, avait déclaré :
Nous ne pouvons pas voir en cela pourquoi notre phénotype est si différent de celui du chimpanzé. Une partie du secret est cachée là, mais nous ne la comprenons pas encore.
Collins, de l’Institut National pour la Recherche sur le Génome Humain souligne qu’il est inexact de rechercher au seul niveau moléculaire une réponse à la question "Qu’est ce qui fait de nous des êtres humains ?" :
La véritable question concernant ce qui rend humain est plus qu’une question biologique, c’est aussi une question théologique. L’ADN ne peut nous expliquer "comment sait-on ce qui est bien ou mal ?" ni "qu’est-ce que l’esprit humain ?".
Que devons-nous comprendre du projet sur le génome du chimpanzé ?
Le chemin vers une véritable compréhension des génétiques de l’humain et du chimpanzé est long. Cette dernière étude de comparaison a seulement fourni aux scientifiques des données de base. Comme l’explique Ajit Varki, de l’Université de Californie à San Diego :
[Un] génome est comme le tableau périodique des éléments… A lui seul, il ne vous dit pas comment fonctionnent les choses ; c’est le premier pas sur un long chemin.
Tout d’abord, en tant que principe général, les données ne parlent pas d’elles-mêmes ; elles sont interprétées. Supposez que l’on vous demande si un cube bleu donné ressemble plus à une pyramide bleue, ou à un cube rouge plus grand. Votre réponse sera différente, selon que vous vous basez sur le critère de la couleur, ou celui de la forme. Ce qu’il faut retenir concernant cette étude, c’est que les différences génétiques sont beaucoup plus complexes que ce que les propagandistes de l’évolution veulent nous faire croire dans des descriptions telles que la "ressemblance à 99%". Une fois que l’on tient compte des autres types de variations génétiques, ce pourcentage diminue de manière importante. Pourtant, cette dernière interprétation semble elle aussi être assombrie par les parti pris évolutionnistes. Un biochimiste internationalement respecté, Fazale Rana, PhD, rejette même la ressemblance à 96%, comme suit :
Ce que nous voyons là est un jeu des coquilles scientifiques. Les chercheurs manipulent les résultats pour faire apparaître plus de ressemblances qu’il n’y en a réellement entre les chimpanzés et les humains. Et cela en se focalisant sur un seul type de différences génétiques. Lorsque les scientifiques prennent en compte tous les types de différences génétiques et font une comparaison plus générale, le taux de ressemblances passe de 96% à 85%.
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Ecrit le 05 mars07, 21:09
Et l'auteur c'est qui, Dieu ou le hasard ?Ryuujin a écrit : on a deux copies de deux provenances différente, mais on en sait pas plus.
Qui a copié sur qui, ça restera peut être même un mystère.
L'un peut avoir copié sur l'autre ( descendre de l'autre ), ou les deux peuvent avoir copié le même bouquin ( avoir un ancètre commun ).
Toujours est-il que deux génomes aussi semblables, on ne sait l'expliquer rationnellement qu'ainsi.
C'est ce que je disais, pas un homme en tout cas !Ryuujin a écrit : Et pourquoi pas ?
un cerveau de 850 et 1100 cm3 contre 1350 à 1500 chez nous, un art et un artisanat encore pauvre, un squelette beaucoup plus massif que le notre, un front bas, pas de menton...
Si tu le croisais dans la rue, tu le trouverais on ne peut plus simiesque.
Ouais, pas très convaincant !Ryuujin a écrit : Homo erectus ; il s'agit bien de scultures, malgrès leur aspect peu travaillées ; elles portent des traces d'outils.
Ecrit le 06 mars07, 14:24
1) c'est complètement hors sujet : que le peu de différence ait des conséquences importantes du point de vue anatomique ne hange rien à la grande similitude entre les génomes du chimpanzé et de l'homme.Comment un petit nombre de différences génétiques peut-il envoyer les
chimpanzés dans la forêt, alors que d’autre part, il rassemble des scientifiques dans un groupe de recherche pour étudier le génome du chimpanzé ? Il est évident que les êtres humains, qui ont une raison et des sentiments, ne peuvent être réduits à des gènes. Ceci laisse les évolutionnistes sans réponse.
2) les évolutionnistes n'ont aucun mal à y répondre : à l'époque où la théorie de l'évolution est née, le concept même de génome n'existait pas.
La réponse est simple : un péhnotype est le résultat de l'action d'un génome DANS UN ENVIRONNEMENT DONNE !! en gros, des facteurs génétiques sur lesquels viennent se superposer, interagir des facteurs environnementaux, culturels, sociaux...
Cela s'intègre d'ailleurs très bien à la théorie de l'évolution : on a aujourd'hui de très joli modèles qui incorporent une sélection sociale, et qui donnent des résultats pas mauvais.
absoluement pas, il n'est rien de plus simple : on a deux panels de séquences d'ADN, et on les compare, nucléotide par nucléotide.Ce qu’il faut retenir concernant cette étude, c’est que les différences génétiques sont beaucoup plus complexes que ce que les propagandistes de l’évolution veulent nous faire croire dans des descriptions telles que la "ressemblance à 99%".
Ce travail est aujourd'hui en cours. En attendant, la grande similitude entre ces deux génomes n'est plus à prouver ; on ne peux pas encore annoncer un pourcentage exact de différences, mais on sait qu'il sera mince.
tout le reste de ton propos n'est que minable propagande créationniste.
Par exemple la référence à Fazale Rana.
Lui un illustre biochimiste ?!? un expert en séquencage de génome ?!?
Et puis quoi encore ? Il est un illustre inconnu, qui sort de chez Procter et Gamble ( absolument rien à voir avec les génomes de l'homme et du chimpanzé ) et qui n'est connu que pour ses positions créationnistes.
Tu aurais aussi bien pu citer un prêtre, cela aurtait été tout aussi crédible.
Le singe et l'homme. Ce sont leur copie respective.Et l'auteur c'est qui, Dieu ou le hasard ?
Tu ne comprends toujours pas l'exemple ? cela commence à devenir désespérant.
Pour ton info, de ce principe de similitude ( similitude de séquences explicable par un lien de parenté si elle ne l'est pas par convergence ) est la base même de toute une science : la phylogénétique.
Tu devrais t'informer sur cette science, ses résultats, et ceux qui la pratique avant de sous-entendre qu'ils sont tous cons comme leurs pieds.
mets toi donc d'acord avec bercam : lui dis que c'est un homme, et contrairement à toi, il a des arguments tout a fait pertinents pour le faire.'est ce que je disais, pas un homme en tout cas !
C'est pourtant pas compliqué : il se tient debout, maitrise le feu, sculpte des objets d'arts, a un cerveau bien plus volumineux que celui des singes... c'est bien un homme.
Mais un homme qui ressemble énormément à un singe ; il fabrique des outils, des sculptures, mais est maladroit, son squelette est bien plus massif que le notre, un cerveau plus gros que celui des singes, mais plus petit que le notre, un facies qui n'est plus non plus celui d'un singe, mais qui n'est pas non plus celui d'un homme...
Comme intermédiaire entre par exemple le bonobo, et l'homo sapiens, tu peux difficilement mieux.
de toute façon, toi rien ne te convaincra ; tu es déjà conbvaincu.Ouais, pas très convaincant !
http://donsmaps.com/tantanvenus.html
http://donsmaps.com/ukrainevenus.html
http://en.wikipedia.org/wiki/Venus_of_Berekhat_Ram
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Ecrit le 06 mars07, 20:40
J'ai parfaitement compris ton exemple et toi tu n'as pas compris qu'il est complètement inapproprié !Ryuujin a écrit : Le singe et l'homme. Ce sont leur copie respective.
Et comment on sait qu'il sculptait et qu'il maîtrisait le feu ? Dis plutôt on pense, on suppose, parceque les scientifiques, contrairement à toi, c'est comme ça qu'ils parlent, parcequ'ils ne sont pas certains du tout de ce genre de choses ! Tu sembles en savoir plus qu'eux !Ryuujin a écrit : mets toi donc d'acord avec bercam : lui dis que c'est un homme, et contrairement à toi, il a des arguments tout a fait pertinents pour le faire.
C'est pourtant pas compliqué : il se tient debout, maitrise le feu, sculpte des objets d'arts, a un cerveau bien plus volumineux que celui des singes... c'est bien un homme.
Mais un homme qui ressemble énormément à un singe ; il fabrique des outils, des sculptures, mais est maladroit, son squelette est bien plus massif que le notre, un cerveau plus gros que celui des singes, mais plus petit que le notre, un facies qui n'est plus non plus celui d'un singe, mais qui n'est pas non plus celui d'un homme...
Comme intermédiaire entre par exemple le bonobo, et l'homo sapiens, tu peux difficilement mieux.
Et il y a une question qui semble te faire très peur car tu n'y réponds pas : Dieu ou le hasard ?
invitation a la vérité
Ecrit le 07 mars07, 05:36bonjour
l'homme n'est pas un singe voir les epreuves :
Le scénario de l'évolution humaine
Dans les chapitres précédents, nous avons vu qu'il n'existe aucun mécanisme naturel qui permet aux êtres vivants d'évoluer et que les espèces vivantes sont apparues, non pas grâce à un processus évolutif mais plutôt de manière soudaine dans leur structure parfaite que nous connaissons aujourd'hui. Cela signifie, qu'elles ont été créées individuellement et que par conséquent "l'évolution humaine" n'a jamais eu lieu.
Que proposent donc les évolutionnistes comme base pour cette histoire?
Cette base c'est l'existence de nombreux fossiles que les évolutionnistes utilisent pour fabriquer leurs interprétations imaginaires. Tout au long de l'histoire, plus de 6.000 espèces de singes ont vécu et plusieurs d'entre elles se sont éteintes. Aujourd'hui, seul 120 espèces vivent encore sur terre. Ces 6.000 espèces environ, dont la majorité s'est éteinte, constituent une mine intarissable pour les évolutionnistes.
Les évolutionnistes ont rédigé le scénario de l'évolution humaine en arrangeant dans l'ordre croissant, du plus petit au plus grand, quelques crânes adaptés à leur objectif; ils ont également mis des crânes de certaines races humaines éteintes depuis longtemps. Conformément à ce scénario, les hommes et les singes modernes ont les mêmes ancêtres. Ces créatures ont évolué dans le temps et certaines d'entre elles sont devenues les singes que l'on connaît aujourd'hui alors qu'un autre groupe est devenu l'homme d'aujourd'hui, suivant une autre branche de l'évolution.
Toutefois, toutes les découvertes paléontologiques, anatomiques et biologiques ont démontré que cette prétendue évolution n'est que fiction comme toutes les autres. Aucune preuve irréfutable n'a été présentée pour prouver qu'il existe une relation entre l'homme et le singe, exception faite des contrefaçons, distorsions, dessins et commentaires trompeurs.
Les archives fossiles nous indiquent que tout au long de l'histoire, les hommes ont toujours été des hommes et les singes toujours des singes. Les fossiles présentés par les évolutionnistes comme ancêtres des hommes, appartiennent en fait à des races humaines ayant vécu jusqu'à environ 10.000 années plus tôt, puis ont fini par disparaître. En outre, plusieurs communautés humaines vivant aujourd'hui ont les mêmes traits physiques que ces races éteintes, que les évolutionnistes prétendent être les ancêtres de l'homme. Ces faits sont des preuves tangibles que l'homme n'est jamais passé par un processus évolutif quelle que soit l'époque historique.
Le plus important dans tout cela, c'est qu'il existe de nombreuses différences anatomiques entre les singes et les hommes et qu'aucune d'entre elles n'est du genre à survenir à travers un processus évolutif. Par exemple, le fait d'être un "bipède" est une caractéristique propre à l'homme et constitue le trait principal qui distingue celui-ci des autres animaux.
L'arbre généalogique imaginaire de l'homme
Selon ce que prétend Darwin, l'homme moderne a évolué à partir de créatures qui ressembleraient à des singes. Pendant ce prétendu processus évolutif, qui aurait débuté 4 à 5 millions d'années auparavant, des "formes transitionnelles" auraient existé; elles constituent la transition entre l'homme moderne et ses ancêtres. Selon ce scénario complètement imaginaire, quatre "catégories" élémentaires sont établies:
1- Australopithèques
2- Homo Habilis
3- Homo Erectus
4- Homo Sapiens
Les évolutionnistes appellent le prétendu premier ancêtre commun de l'homme et du singe, "l'Australopithèque". Ce nom signifie "singe d'Afrique du Sud". L'Australopithèque, qui n'est autre qu'une ancienne espèce de singe disparue depuis longtemps, existait sous différents types. Certains sont forts, alors que d'autres sont plus petits de taille et plus minces.
UN SEUL OS DE MACHOIRE COMME LE DEBUT DE L'INSPIRATION
Le premier fossile de Ramapithèques trouvé: une mâchoire manquante composée de deux parties (sur la droite). Les évolutionnistes ont osé dessiner les Ramapithèques, leurs familles et l'environnement dans lequel ils ont vécu, sur la seule base de ces deux os de mâchoires.
Les évolutionnistes classifient l'étape suivante de l'évolution humaine sous l'appellation "Homo" c'est-à-dire "homme". Selon ce que prétendent les évolutionnistes, les être vivants de la série Homo sont plus développés que l'Australopithèque et pas très différents de l'homme moderne. Celui-ci, en l'occurrence l'Homo Sapiens, est supposé s'être développé lors de la dernière étape de l'évolution de cette espèce.
Les fossiles comme "l'homme de Java", "l'homme de Pékin" et "Lucy", qui apparaissent dans les médias de temps à autre et dont regorgent les ouvrages et manuels évolutionnistes, font partie de l'une des quatre espèces mentionnées plus haut. On pense également que ces espèces se divisent en sous-espèces.
Certaines formes transitionnelles du passé, tels les Ramapithèques, ont dû être exclues de l'arbre généalogique imaginaire de l'évolution après que l'on s'est rendu compte qu'il ne s'agissait que de singes très ordinaires.69
En établissant la chaîne de relation sous cette forme "Australopithèques> Homo Habilis> Homo Erectus> Homo Sapiens", les évolutionnistes sous-entendent que chacune de ces espèces est l'ancêtre de l'autre. Toutefois, les récentes découvertes effectuées par les paléoanthropologues ont révélé que l'Australopithèque, l'Homo Habilis, l'Homo Erectus existaient dans différentes parties du monde à la même époque. De plus, une certaine partie des humains classifiés en tant que Homo Erectus ont vécu jusqu'à une période proche des temps modernes. L'Homo Sapiens Néandertalien et l'Homo Sapiens (l'homme moderne) ont existé côte à côte dans la même région. Cette situation indique l'infondé des allégations évolutionnistes, en l'occurrence que les uns sont les ancêtres des autres.
Intrinsèquement, toutes les découvertes et recherches scientifiques ont révélé que les fossiles n'indiquent pas qu'un processus évolutif a eu lieu comme le prétendent les évolutionnistes. Les fossiles, que les évolutionnistes considèrent comme les ancêtres de l'humanité, appartiennent en fait à diverses espèces d'hommes ou de singes.
Par conséquent, quels sont les fossiles humains et quels sont ceux des singes? Est-il possible d'en considérer quelques-uns comme des formes transitionnelles? Pour avoir les réponses, il va falloir examiner de plus près chaque catégorie.
L'Australopithèque: une espèce de singe
L'Australopithèque, c'est-à-dire la première catégorie, signifie "le singe du sud". On croit que ces créatures sont apparues pour la première fois en Afrique il y a 4 millions d'années de cela et qu'elles auraient vécu jusqu'à 1 million d'années avant notre époque. Il existe quelques catégories au sein des Australopithèques. Les évolutionnistes croient que la plus ancienne espèce d'Australopithèque est l'Australopithèque Afarensis. Après cela l'A. Africanus, qui a des os plus minces, puis l'A. Robustus, dont les os sont relativement plus robustes. En ce qui concerne l'A. Boisei, quelques chercheurs l'acceptent en tant qu'espèce différente alors que d'autres le considèrent comme une sous-espèce de l'A. Robustus.
Toutes les espèces d'Australopithèques sont des singes qui n'existent plus mais qui ressemblent à ceux que l'on connaît aujourd'hui. Leurs capacités crâniennes sont similaires voire plus faibles que celles des chimpanzés que l'on connaît aujourd'hui. Leurs mains et leurs pattes sont dotées d'organes en saillie qui leur permettent de s'accrocher et d'escalader les arbres exactement comme le font les chimpanzés de nos jours. Leurs pieds leur permettent de s'accrocher aux branches d'arbres. Ils sont de petite taille (maximum 130 cm) et à l'instar des chimpanzés d'aujourd'hui, les Australopithèques mâles sont plus grands que les femelles. Plusieurs traits comme leur crâne, le rapprochement des yeux, la molaire tranchante, la structure mandibulaire, les mains longues et les pieds de petite taille sont autant de preuves qui démontrent que ces êtres vivants n'étaient pas différents des singes actuels.
Les évolutionnistes prétendent que même si les Australopithèques ont l'anatomie d'un singe, ils marchaient debout comme les humains et non pas comme les singes.
"Marcher debout" comme le prétendent les évolutionnistes est en réalité une opinion soutenue depuis des décennies par les paléoanthropologues tels Richard Leakey et Donald C. Johanson. Toutefois, plusieurs scientifiques ont mené des recherches sur les structures squelettiques des Australopithèques et ont réfuté cet argument. Des recherches poussées effectuées sur des spécimens d'Australopithèque par deux anatomistes anglais et américain de renommée mondiale, en l'occurrence Lord Solly Zuckerman et le Professeur Charles Oxnard, ont prouvé que ces créatures n'étaient pas des bipèdes et qu'elles avaient la même démarche que celle des singes d'aujourd'hui. Après avoir étudié les os de ces fossiles pendant 15 ans grâce au financement accordé par le gouvernement britannique, Lord Zuckerman assisté d'une équipe de 5 spécialistes est arrivé à la conclusion suivante: les Australopithèques n'étaient qu'une espèce ordinaire de singes et n'étaient absolument pas des bipèdes, malgré le fait que Zuckerman est lui-même un évolutionniste.70 De plus, Charles E. Oxnard, un autre évolutionniste connu pour les recherches qu'il a menées sur la question, a également établi la relation entre le squelette de l'Australopithèque et les orangs-outans modernes.71 Enfin, en 1994 une équipe de l'Université de Liverpool a inauguré une recherche d'une grande ampleur afin d'aboutir à une décision finale. L'équipe a conclu que "les Australopithèques sont des quadrupèdes".72
Bref, les Australopithèques n'ont aucun lien avec les humains et ne sont qu'une espèce de singes qui s'est éteinte depuis longtemps.
Homo Habilis: le singe qui fut présenté comme un humain
La grande similitude qui existe entre les structures squelettiques et crâniennes des Australopithèques et des chimpanzés en plus de la preuve établie que ces créatures ne marchaient pas debout, a causé d'énormes difficultés aux paléoanthropologues. Car, selon la machination imaginée par les évolutionnistes, l'Homo Erectus vient après l'Australopithèque. Comme le préfixe "homo" (c'est-à-dire humain) l'indique, Homo Erectus est une catégorie humaine et son squelette est droit. Sa capacité crânienne est deux fois plus grande que celle de l'Australopithèque. Une transition directe à partir de l'Australopithèque, qui est un singe ressemblant au chimpanzé, vers l'Homo Erectus qui a un squelette similaire à celui de l'homme de nos jours, est tout à fait invraisemblable même selon la théorie de l'évolution. Par conséquent, "les liens" en l'occurrence les "formes transitionnelles" sont nécessaires. C'est de cette nécessité qu'est né l'Homo Habilis.
L'Australopithèque Afarensis: un singe dont l'espèce est éteinte
Le premier fossile trouvé en Ethiopie, Hadar, supposé appartenir à l'espèce Australopithecus Afarensis: AL 288-1 ou "Lucy". Pendant longtemps, les évolutionnistes ont tout essayé pour prouver que "Lucy" était capable de marcher debout; toutefois les dernières recherches ont établi que celle-ci était un singe ordinaire qui ne pouvait pas marcher debout.
Le fossile Australopithèque Afarensis AL 333-105 ci-dessous appartient à un jeune membre de cette espèce. C'est la raison pour laquelle la saillie n'apparaît pas encore sur son crâne.
UN AUSTRALOPITHEQUE UN CHIMPANZE MODERNE
Ci-dessus, nous voyons le crâne du fossile Australopithèque Afarensis AL 444-2, et ci-dessous le crâne d'un singe contemporain. La similitude évidente prouve que A. Afarensis est une espèce de singe ordinaire sans la moindre caractéristique "humaine".
C'est durant les années 60 que la classification de l'Homo Habilis a été avancée par la famille Leakeys, qui est une famille de "chasseurs de fossiles". Selon les Leakeys, cette nouvelle espèce qu'ils ont classifiée comme Homo Habilis est dotée d'une capacité crânienne assez large, de la possibilité de marcher debout et d'utiliser des instruments fabriqués en pierre ou en bois. Ainsi, cette espèce aurait pu être l'ancêtre de l'homme.
Les fossiles de cette même espèce, découverts au cours des années 80 allaient complètement changer cette donne. Certains chercheurs tels que Bernard Wood et C. Loring Brace se basaient sur ces fossiles trouvés récemment pour déclarer que l'Homo Habilis, qui signifie "l'homme capable d'utiliser des outils" devait être classé parmi les Australopithèques Habilis, en l'occurrence "le singe sud-africain capable d'utiliser des outils". Car l'Homo Habilis partageait plusieurs caractéristiques avec les singes appelés Australopithèques. Il avait les mains longues, les jambes courtes et un squelette similaire à celui des Australopithèques. Ses doigts et orteils étaient parfaitement adaptés à l'escalade. Sa structure mandibulaire était très similaire à celle des singes de nos jours. La capacité crânienne moyenne de l'Homo Habilis était de 600 cm3 ce qui indique qu'il s'agissait bien d'un singe. Bref, l'Homo Habilis, qui fut présenté comme une espèce différente par certains évolutionnistes, était en fait une espèce de singe comme tous les autres Australopithèques.
L'Homo Habilis: une autre espèce de singe éteinte
Pendant longtemps, les évolutionnistes ont soutenu que les créatures appelées Homo Habilis pouvaient marcher debout. Ils pensaient avoir trouvé le lien entre le singe et l'homme. Toutefois, les nouveaux fossiles Homo Habilis que Tim White a découverts en 1986 et baptisés OH 62 réfutaient cette assertion. Ces fragments de fossiles ont démontré que l'Homo Habilis avait de longs bras et de petites jambes, exactement comme les singes contemporains. Ce fossile a mis fin à l'affirmation que l'Homo Habilis était un bipède capable de marcher droit. En réalité, Homo Habilis n'était rien d'autre qu'un membre d'une espèce de singes.
"OH 7 Homo Habilis" ci-dessous à gauche a été le fossile qui décrivait le mieux les caractéristiques mandibulaires des espèces Homo Habilis. Ce fossile est doté de grandes dents incisives. Ses molaires sont petites. La forme de la mandibule est carrée. Toutes ces caractéristiques rendent ces mandibules très similaires à celles des singes contemporains. Autrement dit, la mandibule de l'Homo Habilis confirme une fois de plus que ce vivant est en réalité un singe.
Les recherches effectuées plus tard ont en effet indiqué que l'Homo Habilis n'était pas différent des Australopithèques. Les fossiles du crâne et du squelette OH62 trouvés par Tim White ont démontré que ces espèces avaient une capacité crânienne réduite, des mains longues et des jambes courtes, ce qui leur permettait d'escalader les arbres exactement comme le font les singes aujourd'hui.
Les analyses détaillées, conduites par l'anthropologue américaine Holly Smith en 1994, indiquent que l'Homo Habilis n'était pas un "homo", c'est-à-dire "humain" mais plutôt un "singe". A propos des analyses effectuées sur les dents des Australopithèques, Homo Habilis, Homo Erectus et Homo Néandertalien, Smith a déclaré ce qui suit:
"Si l'on se restreint dans les analyses fossiles aux spécimens qui remplissent ces critères, les modèles du développement dentaire des Australopithèques graciles et Homo Habilis restent classifiés parmi les singes africains. Ceux des Homo Erectus et du Néandertalien sont classés avec les humains." 73
Au cours de la même année, Fred Spoor, Bernard Wood et Frans Zooneveld, des spécialistes en anatomie, sont arrivés à la même conclusion par le biais d'une méthode complètement différente. Celle-ci était basée sur une analyse comparative des canaux semi-circulaires dans l'oreille interne des humains et des singes qui permettent de se tenir en équilibre. Les canaux des humains, qui marchent droits, différaient considérablement de ceux des singes, qui marchaient courbés. Les canaux des oreilles internes des Australopithèques, pour ne citer que ceux-là, et les spécimens des Homo Habilis analysés par Spoor, Wood et Zonneveld étaient similaires aux singes actuels. Les canaux des oreilles internes des Homo Erectus étaient les mêmes que ceux de l'homme d'aujourd'hui.74
Cette découverte a donné deux résultats importants:
1- Les fossiles connus sous l'appellation Homo Habilis n'appartenaient pas à la catégorie "homo", c'est-à-dire, la catégorie humaine, mais plutôt à celle des Australopithèques, en l'occurrence les singes.
2- L'Homo Habilis et l'Australopithèque avaient tous les deux une démarche courbée et par conséquent le squelette d'un singe. Ils n'avaient aucune relation avec les humains.
Homo Rudolfensis: le visage articulé incorrectement
Le terme Homo Rudolfensis est le nom donné à quelques fragments fossiles déterrés en 1972. La catégorie que ce fossile est sensé représenter était appelée Homo Rudolfensis puisque ces fragments fossiles avaient été trouvés à Rudolf River au Kenya. La majorité des paléoanthropologues a accepté l'idée que ces fossiles n'appartenaient pas à une espèce distincte mais qu'en réalité l'être vivant appelé Homo Rudolfensis était un Homo Habilis.
Richard Leakey, qui a déterré les fossiles, présenta le crâne qu'il avait appelé "KNM-ER 1470" et déclara que celui-ci était vieux de 2,8 millions d'années. C'était la plus grande découverte de l'histoire de l'anthropologie. Elle eut un effet considérable. Selon Leakey, cet être, qui avait une capacité crânienne réduite comme les Australopithèques mais également le visage d'un homme, était le lien manquant entre l'Australopithèque et l'être humain. Cependant après un court laps de temps, on a découvert que le visage quasi-humain du crâne KNM-ER 1470 qui apparaissait fréquemment sur les couvertures des revues scientifiques résultait en fait d'une articulation défectueuse des fragments crâniens. Ceci aurait pu être un acte délibéré. Le Professeur Tim Bromage, qui a mené des études sur le visage humain, a dévoilé en 1992 ce fait à l'aide d'une simulation assistée par ordinateur:
"Lorsqu'il (KNM-ER 1470) a été reconstitué pour la première fois, le visage a été adapté à la boîte crânienne de manière presque verticale, presque comme les visages plats des humains modernes. Or, les études effectuées récemment sur les relations anatomiques démontrent que le visage devait être largement saillant, créant ainsi un aspect de singe, plutôt comme les visages des Australopithèques." 75
Le paléoanthropologue évolutionniste J. E. Cronin commente ce fait de la manière suivante:
"…son visage construit de manière relativement robuste, son clivus naso-alvéolaire plutôt plat, (rappelant les faces plates des Australopithèques), une largeur crânienne maximale réduite (au niveau des temporales), des canines solides et de larges molaires (comme l'indiquent les racines qui restent) sont des traits relativement primitifs qui allient le spécimen aux membres du taxon Australopithèque Africanus." 76
C. Loring Brace de l'Université du Michigan est arrivé à la même conclusion après les analyses qu'il a réalisées sur la mâchoire et la structure dentaire du crâne 1470 et a déclaré que la taille de la mâchoire et de la partie contenant les molaires ont démontré que ER 1470 avait exactement le visage et les dents d'un Australopithéque.77
Le professeur Alan Walker, un paléoanthropologue de l'Université de John Hopkins qui a effectué des recherches sur KNM-ER 1470 comme Leakey, défend l'idée que cet être vivant ne doit pas être classifié en tant que "homo", c'est-à-dire une espèce humaine comme Homo Habilis ou Homo Rudolfensis, mais plutôt inclut parmi l'espèce Australopithèque.
Pour résumer, les classifications comme Homo Habilis ou Homo Rudolfensis qui sont présentées comme des liens transitionnels entre les Australopithèques et les Homo Erectus sont totalement imaginaires. Comme beaucoup de chercheurs l'ont confirmé récemment, ces êtres vivants sont membres de la série Australopithèque. Toutes leurs caractéristiques anatomiques démontrent qu'ils sont tous membres d'une espèce de singe ou d'une autre. 78
Ce fait a été confirmé par une étude de deux anthropologues évolutionnistes, Bernard Wood et Mark Collard, publiée en 1999 dans la revue Science. Wood et Collard ont expliqué que les catégories de l'Homo Habilis et de l'Homo Rudolfensis (le crâne 1470) étaient imaginaires et que les fossiles qui leur ont été attribués doivent correspondre au genre Australopithèque:
"Plus récemment, des espèces fossiles ont été attribuées à l'Homo sur la base d'une similitude absolue de la taille du cerveau, les interférences au niveau de la capacité linguistique et de la fonction des mains, ainsi que leur capacité à façonner des outils en pierre. Sauf rares exceptions, la définition et l'utilisation du genre dans le cadre de l'évolution humaine et la délimitation de l'Homo n'ont jamais été considérées comme des notions problématiques. Toutefois, les données récentes, les nouvelles interprétations des preuves disponibles, et les limites des archives 2paléoanthropologiques réfutent les critères actuels qui régissent l'attribution des taxa à l'Homo… En pratique, les fossiles des hominidés sont classés en tant qu'Homo sur la base d'un critère ou plus sur quatre… Il est évident maintenant qu'aucun de ces critères n'est satisfaisant. Le "Rubicon cérébral" pose problème car la capacité crânienne absolue n'a pas beaucoup de sens sur le plan biologique. De même, il existe des preuves irréfutables que la capacité du langage ne saurait être déduite de l'apparence grossière du cerveau et que les parties cérébrales dont dépend le langage ne sont pas si bien localisées comme l'avaient laissé entendre les études précédentes…
…En d'autres termes, avec les hypodigmes de Homo Habilis et Homo Rudolfensis qui lui sont attribués, le genre Homo n'est pas un bon genre. Ainsi, H. Habilis et H. Rudolfensis (ou Homo Habilis au sens large pour ceux qui n'adhèrent pas à la subdivision taxonomique du "premier Homo" DOIVENT ETRE RETIRES du genre Homo. L'alternative taxonomique évidente, en l'occurrence le transfert d'une ou des deux taxa à l'un des premiers hominidés (hominin genera) existants, n'est sûrement pas dénuée de problèmes. Mais, NOUS RECOMMANDONS QUE, POUR LE MOMENT, HOMO HABILIS ET HOMO RUDOLFENSIS SOIENT TRANSFERES AU GENRE DES AUTRALOPITHEQUES." 79
Les conclusions tirées par Wood et Collard confirment ce que nous venons d'expliquer. Il n'y a jamais eu d'"ancêtres humains" à travers l'histoire. Les créatures présentées en tant que tels sont en réalité des singes qui doivent être classés dans le genre Australopithèque. Les archives fossiles démontrent qu'il n'existe aucune relation évolutive entre les singes disparus et l'Homo, l'être humain, qui apparaît soudainement dans les archives fossiles.
Homo Erectus, puis par la suite, les êtres humains
Selon les plans imaginés par les évolutionnistes, l'évolution interne de l'espèce Homo s'est effectuée dans l'ordre suivant: premièrement, l'Homo Erectus, puis l'Homo Sapiens archaïque et l'homme de Neandertal, plus tard l'homme de Cro-Magnon et après l'homme moderne. Cependant, toutes ces classifications ne sont en réalité que des races humaines originales. La différence entre elles n'est pas plus grande que celle entre un inuit et un noir ou un pygmée et un Européen.
Examinons alors en premier chef l'Homo Erectus, qui est présenté comme l'espèce la plus primitive. Comme le sous-entend le terme "erect", "Homo Erectus" signifie "l'homme marchant droit". Les évolutionnistes ont dû distinguer ces hommes des précédents en ajoutant la qualité de "droiture" car tous les fossiles d'Homo Erectus disponibles sont droits à un point qui n'a pas été observé chez les spécimens d'Australopithèques ou d'Homo Habilis. Il n'existe aucune différence entre le squelette de l'homme moderne et celui de l'Homo Erectus.
La raison principale qu'invoquent les évolutionnistes pour définir l'Homo Erectus en tant que "primitif" est sa capacité crânienne (900-1.100 cm3), plus réduite que la moyenne chez l'homme moderne, ainsi que ses sourcils épais. Cependant, il y a de nombreuses personnes de nos jours qui ont la même capacité crânienne que l'Homo Erectus (par exemple, les pygmées) et il existe d'autres races qui ont des sourcils saillants (les aborigènes australiens à titre d'exemple).
L'Homo Erectus: une ancienne race humaine
Homo Erectus signifie "l'homme qui se tient droit". Tous les fossiles inclus dans cette espèce appartiennent à des races humaines particulières. Puisque la majorité des fossiles des Homo Erectus ne partage pas la même caractéristique, il est assez difficile de définir ces hommes selon leurs crânes. C'est la raison pour laquelle divers chercheurs évolutionnistes ont établi plusieurs classifications et appellations. Ci-dessus sur la gauche, nous pouvons voir un crâne qui a été découvert à Koobi Fora, en Afrique en 1975. Il définit globalement l'Homo Erectus. Sur la droite, un crâne: Homo Ergaster KNM-ER 3733, est celui qui recouvre les mystères en question.
Les capacités crâniennes de tous ces fossiles Homo Erectus sont de 900 à 1100 cm3. Ces chiffres correspondent aux limites des capacités crâniennes contemporaines.
KNM-WT 15000 ou le squelette de l'enfant de Turkana sur la droite est probablement le plus vieux et le plus complet des fossiles humains trouvés à ce jour. Les recherches menées sur ce fossile, supposé être vieux de 1,6 millions d'années, démontrent qu'il appartient à un enfant de 12 ans dont la taille aurait atteint 1,80 m s'il avait vécu jusqu'à l'adolescence. Ce fossile, qui ressemble largement à la race du Neandertal, est la preuve par excellence qui réfute la thèse évolutionniste.
L'évolutionniste Donald Johnson décrit ce fossile en ces termes: "Il était grand et mince. Sa forme corporelle et ses membres ressemblent largement à ceux des Africains équatoriaux. La taille de ses membres était parfaitement adaptée à celle des adultes blancs d'Amérique du Nord."
Tout le monde s'accorde sur le fait que la différence de la capacité crânienne ne signifie pas nécessairement une différence dans le niveau d'intelligence ou dans les capacités. L'intelligence dépend plus de l'organisation interne du cerveau que du volume de celui-ci.80
Les fossiles qui ont fait connaître l'Homo Erectus au monde entier sont ceux de l'homme de Pékin et l'homme de Java trouvés en Asie. Toutefois, on s'est rendu compte après que ces deux fossiles n'étaient pas une source solide. L'homme de Pékin consistait d'éléments faits en plâtre puisque les originaux étaient perdus, alors que l'homme de Java se "composait" d'un fragment de squelette en plus d'un os de pelvis trouvé à quelques mètres du squelette sans la moindre indication que cet os de pelvis a bel et bien appartenu à ce même être humain. C'est pour cette raison que les fossiles de l'Homo Erectus trouvés en Afrique ont eu cette importance grandissante. (Il y a lieu de précser que certains fossiles appartenant prétendument à l'Homo Erectus ont été inclus dans une seconde catégorie appelée "Homo Ergaster" par certains évolutionnistes. Il existe un désaccord entre eux à ce sujet. Nous considérerons tous ces fossiles comme faisant partie de l'Homo Erectus.)
DES MARINS DE SEPT CENT MILLE ANS
"Les premiers humains étaient plus intelligents que nous le pensons…"
Publié dans le New Scientist, le 14 mars 1998. Selon cette information, les humains appelés Homo Erectus par les évolutionnistes étaient des marins habiles 700 milles ans auparavant. Ces humains, qui détenaient suffisamment de connaissances et de technologie et possédaient une culture qui leur permettait d'utiliser les voies marines pour le transport, ne sauraient être considérés "primitifs".
Le spécimen le plus célèbre parmi les Homo Erectus trouvés en Afrique est celui de "Narikotome Homo Erectus" ou l'"Enfant de Turkana" trouvé à proximité du lac Turkana, Kenya. Il a été confirmé que ce fossile était celui d'un enfant de 12 ans, qui aurait mesuré 1,83 m lorsqu'il était adolescent. La structure droite du squelette est similaire à celle de l'homme moderne. A ce propos, le paléoanthropologue Alan Walker a déclaré qu'il doutait qu'un "pathologiste moyen puisse faire la différence entre le squelette du fossile et celle d'un homme moderne".81 En ce qui concerne le crâne, Walker a déclaré "qu'il ressemblait beaucoup à celui d'un homme de Neandertal".82 Comme nous allons le voir dans le prochain chapitre, le Neandertal est une race d'homme moderne. Aussi, l'Homo Erectus est-il lui aussi une race d'homme moderne.
Même l'évolutionniste Richard Leakey affirme que les différences entre Homo Erectus et l'homme moderne ne sont pas plus qu'une variété raciale:
"Nous devons également voir la différence dans la forme du crâne, le degré de saillie du visage, la robustesse des arcades, etc… Ces différences ne sont plus prononcées que celles qui existent de nos jours entre les races géographiquement distinctes des humains modernes. Cette différence biologique se manifeste lorsque les populations sont séparées géographiquement les unes des autres pendant un laps de temps considérable." 83
Le Professeur William Laughlin de l'Université du Connecticut a effectué des examens anatomiques très poussés sur les inuits et les populations des îles Aleut. Il a constaté qu'ils étaient très similaires à l'Homo Erectus. Il en a conclu que ces races disparues étaient en fait diverses races d'Homo Sapiens (homme moderne).
"Lorsque l'on observe les grandes différences qui séparent des groupes éloignés tels que les eskimos et les aborigènes, qui appartiennent à la catégorie Homo Sapiens, il nous parait justifié de conclure que le Sinanthrope (un spécimen erectus - ALC) appartient à cette même espèce diverse." 84
Nous avons souvent entendu ces derniers temps au sein de la communauté scientifique que l'Homo Erectus est une classification superflue et que les fossiles attribués à la catégorie Homo Erectus ne sont pas si différents des Homo Sapiens au point de les considérer comme une espèce à part. La revue American Scientist a résumé les discussions à propos de cette question. Une conférence a été tenue à ce propos en 2000:
"La majorité des participants à la conférence de Senckenberg ont été impliqués dans un débat enflammé, lancé par Milford Wolpoff de l'Université du Michigan, Alan Thorne de l'Université de Canberra et leurs collègues, sur le statut taxonomique de l'Homo Erectus. Ils ont appuyé avec force que l'Homo Erectus n'était pas valide en tant qu'espèce et que celle-ci devait ainsi être éliminée. Tous les membres du genre Homo, depuis 2 millions d'années jusqu'à nos jours, n'étaient finalement qu'une seule grande espèce variée, Homo Sapiens, sans interruptions ni subdivisions naturelles. Le sujet de la conférence: l'Homo Erectus n'existait pas." 85
Le Neandertal: des hommes robustes
Ci-dessus, un Homo Sapiens Neanderthalenssis, Amud, un crâne découvert en Israël. Le Neandertal est connu pour sa robustesse tout en étant de petite taille. Il n'en demeure pas moins que le propriétaire de ce crâne devait mesurer 1,80 de taille. Sa capacité crânienne est le plus grande jamais découverte: 1740 cm3. Pour toutes ces raisons, ce fossile figure parmi les preuves principales qui réfutent la thèse que le Neandertal était une espèce primitive.
Dire que "l'Homo Erectus n'existait pas" signifie que "l'Homo Erectus n'est pas une espèce différente de l'Homo Sapiens, mais plutôt qu'elle fait partie intégrante de celle-ci".
Par ailleurs, il existe une grande faille entre l'Homo Erectus, la race humaine et les singes qui précèdent l'Homo Erectus dans le scénario de "l'évolution humaine", (Australopithèque, Homo Habilis, Homo Rudolfensis). Ceci signifie que les premiers hommes sont apparus soudainement dans les archives fossiles et directement sans une histoire évolutive. Il ne peut y avoir d'indication plus claire sur le fait qu'ils ont été créés.
Or admettre ce fait va à l'encontre de toute la philosophie dogmatique et l'idéologie prônées par les évolutionnistes. Ainsi, ils tentent de présenter l'Homo Erectus, qui est une véritable race humaine, en tant que créature à moitié singe. Dans leurs reconstitutions d'Homo Erectus, ils persistent à dessiner des traits simiens. Par ailleurs, avec des méthodes de dessins similaires, ils humanisent les singes tels que les Australopithèques ou Homo Habilis. Grâce à cette méthode, ils cherchent à "dresser une approximation" entre les singes et les humains et combler ainsi la faille entre ces deux catégories vivantes distinctes.
Le Neandertal
DE FAUX MASQUES: Même si le Neandertal n'était pas différent de l'homme moderne, il est toujours représenté comme un homme-singe par les évolutionnistes.
Les hommes de Neandertal sont des êtres humains qui sont apparus soudainement 100 mille années auparavant en Europe puis ils sont disparus - ou ont été assimilés en se mélangeant à d'autres races - doucement mais rapidement il y a de cela 35 mille ans. Leur unique différence en comparaison avec l'homme moderne est leur squelette qui est plus robuste et leur capacité crânienne qui est légèrement plus grande.
Les hommes de Neandertal sont une race humaine et ce fait est admis par presque tous aujourd'hui. Les évolutionnistes ont tous essayé pour les faire paraître comme des "espèces primitives". Or, toutes les découvertes démontrent qu'ils n'étaient pas si différents d'un homme "robuste" qui remonterait une rue de nos jours. Une des autorités dans le domaine, Erik Trinkaus, un paléoanthropologue de l'Université du Nouveau Mexique écrit:
"Les comparaisons détaillées effectuées entre les restes de squelette du Neandertal et ceux d'hommes modernes ont démontré qu'il n'existe aucune indication claire dans l'anatomie du Neandertal qui montre que les capacités locomotives, manipulatrices, intellectuelles ou linguistiques de celui-ci sont inférieures à celles des hommes d'aujourd'hui." 86
Plusieurs chercheurs contemporains définissent l'homme du Neandertal comme une sous-espèce de l'homme moderne et l'appellent "Homo Sapiens Neandertalensis". Les découvertes prouvent que les hommes du Neandertal enterraient leurs morts, fabriquaient des instruments de musique et partageaient des affinités culturelles avec l'Homo Sapiens qui vivait à cette même époque. Pour être plus précis, l'homme du Neandertal est quelqu'un de "robuste" dont la race est tout simplement disparue avec le temps.
Homo Sapiens archaïque, Homo Heilderbergensis et l'homme Cro-Magnon
L'Homo Sapiens archaïque est la dernière étape avant l'homme contemporain selon le scénario imaginé par les évolutionnistes. A vrai dire, les évolutionnistes n'ont pas grand-chose à dire à propos de ces hommes. Car, il n'existe que des différences très mineures entre eux et les hommes modernes. Certains chercheurs vont même jusqu'à dire que les représentants de cette race sont encore vivants à ce jour, en l'occurrence les aborigènes d'Australie par exemple. A l'instar de l'Homo Sapiens, les aborigènes ont des sourcils épais et saillants, une structure mandibulaire inclinée vers l'intérieur et une capacité crânienne légèrement réduite. De plus, d'importantes découvertes ont été faites indiquant que ce genre d'homme a vécu en Hongrie et dans certains villages d'Italie jusqu'à très récemment.
Le groupe qualifié de Homo Heilderbergensis dans les ouvrages évolutionnistes est en réalité le même que l'Homo Sapiens archaïque. La raison pour laquelle deux termes sont utilisés pour la même race humaine émane de la différence conceptuelle qui règne chez les évolutionnistes. Tous les fossiles inclus dans la classification d'Homo Heilderbergensis indiquent que les populations qui étaient anatomiquement similaires aux Européens modernes ont vécu 500 mille ans, voire 740 mille ans auparavant, premièrement en Angleterre puis en Espagne.
On estime que l'homme Cro-Magnon a vécu 30.000 années auparavant. Il a un crâne en forme de dôme et un front large. Son crâne de 1.600 cm3 est au dessus de la moyenne de l'homme contemporain. Son crâne est doté de sourcils épais et saillants en plus d'une saillie arrière qui caractérise tant l'homme du Neandertal que l'Homo Erectus.
Même si l'homme de Cro-Magnon est considéré une race européenne, la structure et le volume de sa boite crânienne ressemblent davantage à ceux que l'on trouve chez des races vivant en Afrique ou dans les Tropiques de nos jours. Partant de cette similitude, il est supposé que le Cro-Magnon est une race africaine archaïque. Certaines découvertes paléoanthropologiques ont démontré que les races d'homme Cro-Magnon et Neandertal se sont mélangées l'une à l'autre pour former les bases des races d'aujourd'hui. En outre, on s'accorde aujourd'hui à dire que les représentants de la race Cro-Magnon vivent encore dans diverses régions du continent africain et certaines régions françaises, comme la Salute ou la Dordogne. On peut également trouver des populations similaires en Pologne et en Hongrie.
Les espèces vivant au même âge que leurs ancêtres
Nos investigations jusque là nous ont permis d'avoir une idée assez claire: le scénario de "l'évolution humaine" est une fiction pure et simple. Pour qu'un tel arbre généalogique puisse exister, une évolution progressive du singe vers l'homme aurait dû avoir lieu et des archives fossiles auraient dû être trouvés. Cependant, il existe une brèche énorme entre les singes et les humains. Les structures squelettiques, les capacités crâniennes, et les critères tels que la démarche droite ou légèrement inclinée vers l'avant distinguent les hommes des singes. (Nous avons mentionné que lors d'une recherche menée en 1994 sur les canaux d'équilibre de l'oreille interne, l'Australopithèque et Homo Habilis étaient classifiés en tant que singes, alors que Homo Erectus était classifié comme humain.)
Une autre découverte de taille prouvant qu'aucun arbre généalogique ne peut exister entre ces espèces différentes, c'est que ces espèces présentées comme étant les ancêtres les unes des autres ont vécu simultanément. Si, comme le prétendent les évolutionnistes, l'Australopithèque s'est transformé en Homo Habilis, qui à son tour s'est transformé en Homo Erectus, les périodes où ces espèces ont vécu auraient dû se suivre. Or, un tel ordre chronologique n'existe pas.
UNE AIGUILLE VIEILLE DE 26 MILLES ANNEES
Un fossile intéressant qui prouve que le Neandertal utilisait les vêtements: une aiguille vielle de 26 milles ans. (D. Johanson, B. Edgar, From Lucy to Language, p. 99)
Selon les estimations des évolutionnistes, les Australopithèques auraient vécu il y a 40 millions d'années jusqu'à 1 million d'années auparavant. Les êtres vivants classés comme Homo Habilis, en revanche, auraient vécu jusqu'à 1,7-1,9 millions d'années auparavant. L'Homo Rudolfensis, supposé avoir été plus "développé" que l'Homo Habilis, est vieux d'entre 2,5 à 2,8 millions d'années. C'est-à-dire que l'Homo Rudolfensis est plus vieux que l'Homo Habilis de presque 1 million d'années, dont il est supposé être "l'ancêtre". En revanche, l'âge de l'Homo Erectus remonte à 1,6-1,8 millions d'années auparavant, ce qui signifie que les spécimens d'Homo Erectus sont apparus sur terre à la même époque que son supposé ancêtre, en l'occurrence l'Homo Habilis.
Alan Walker confirme cet état de fait en affirmant qu'"il existe des preuves en Afrique de l'Est d'une survie tardive d'Australopithèques contemporains premièrement de Homo Habilis puis de Homo Erectus."87 Louis Leakey a trouvé des fossiles d'Australopithèques, d'Homo Habilis et d'Homo Erectus presque à proximité les uns des autres dans la gorge Olduvai, la couche Bed II.88
Il est très peu probable que cet arbre généalogique ait pu exister. Un paléontologue de Harvard, Stephen Jay Gould explique cette impasse de l'évolution même si lui-même est un évolutionniste:
"Qu'est devenue notre échelle s'il existe trois lignées d'hominidés qui coexistent (A. Africanus, le robuste Australopithèque et H. Habilis), aucun n'étant de toute évidence descendu de l'autre? En outre, aucun d'eux ne fait preuve de tendances évolutives durant leur existence sur terre." 89
Lorsque l'on passe de l'Homo Erectus à l'Homo Sapiens, nous observons encore qu'il n'existe pas d'arbre généalogique. Il existe des preuves démontrant que l'Homo Erectus et l'Homo Sapiens archaïques ont continué à vivre jusqu'à 27.000 ans voire 10.000 ans avant notre ère. Dans les marais de Kow en Australie, des crânes d'Homo Erectus ont été découverts. Ils seraient âgés d'environ 13.000 ans. Dans l'île de Java, un crâne vieux de 27.000 ans appartenant à un Homo Erectus a été découvert.90
L'histoire secrète des Homo Sapiens
L'un des principaux périodiques évolutionnistes, Discover, a choisi comme couverture de l'un des numéros un visage humain vieux de 800 milles ans. On pouvait lire comme titre la question suivante: "Ce visage est-il notre passé?"
Le fait le plus célèbre et le plus intéressant qui réfute la base même de cet arbre généalogique imaginaire conçu par la théorie de l'évolution, c'est l'histoire humaine que l'on ne croyait pas si ancienne. Les données paléontologiques ont révélé que les Homo Sapiens qui nous ressemblaient exactement ont vécu il y un million d'années.
C'est grâce à Louis Leakey, le célèbre paléoanthropologue évolutionniste, que l'on a réalisé les premières découvertes à ce sujet. En 1932, dans la région de Kanjera autour du lac Victoria au Kenya, Leakey a découvert plusieurs fossiles appartenant à l'âge Pléistocène moyen. Ces fossiles n'étaient pas si différents de l'homme actuel. Ceci dit, l'âge Pléistocène moyen équivaut à un million d'années auparavant.91 Depuis que ces découvertes ont été réalisées, l'arbre généalogique de l'évolution a été complètement bouleversé, ce qui a poussé certains paléoanthropologues évolutionnistes à ne pas tenir compte de ces découvertes. Or, Leakey a toujours affirmé que ses estimations étaient correctes.
Juste au moment où cette controverse commençait à baisser d'intensité, un fossile découvert en Espagne en 1995 a remarquablement révélé que l'histoire des Homo Sapiens était plus ancienne que ne l'on ne le croyait. Ledit fossile a été découvert dans une grotte appelée Gran Dolina dans la région d'Atapuerca, par trois paléoanthropologues espagnols de l'Université de Madrid. Le fossile en question appartenait au visage d'un enfant de 11 ans qui ressemblait exactement à n'importe quel homme moderne. Ceci dit, cet enfant était mort depuis 800.000 ans. La revue Discover a relaté en détail cet épisode dans son numéro de décembre 1997.
Ce fossile a même fait douter Ferreras, qui dirigeait les travaux d'excavation à Gran Dolina. Il a affirmé:
"Nous nous attendions à quelque chose de grand, quelque chose de large… je veux dire, quelque chose de "primitif"… un peu comme l'enfant de Turkana. Or, ce que l'on a trouvé c'est un visage tout à fait moderne… C'est très étonnant à mon sens. Cela fait partie des choses qui vous bouleversent. Trouver quelque chose d'aussi imprévisible que ça. Non pas trouver de fossiles; trouver des fossiles est tout aussi imprévisible, mais là n'est pas le problème. Ce qui est le plus surprenant c'est de trouver dans le passé quelque chose qui selon vous appartient au présent. C'est comme trouver… un lecteur de cassette dans la Gran Dolina. Ce serait surprenant. On ne s'attend pas à trouver des cassettes et des lecteurs de cassettes à l'âge Pléistocène inférieur. Trouver un visage moderne c'est exactement pareil. Nous étions très surpris lorsque nous l'avons aperçu." 92
Le fossile a souligné le fait que l'histoire de l'Homo Sapiens devait remonter à 800 mille ans auparavant. Après avoir retrouvé leurs esprits suite au premier choc, les évolutionnistes qui ont découvert le fossile ont décidé que celui-ci appartenait à une espèce différente. Car, selon l'arbre généalogique des évolutionnistes, aucun Homo Sapiens n'a pu avoir vécu il y a 800 mille ans. Par conséquent, ils ont créé une espèce imaginaire baptisée "Homo Antecessor" et ont inclus le crâne d'Atapuerca sous cette classification.
La découverte d'une hutte vielle de 1,7 millions d'années avait choqué la communauté scientifique. Cette hutte ressemblait à celle utilisée par certains Africains de nos jours.
Une hutte vielle de 1,7 millions d'années
Il y a eu plusieurs découvertes qui dé-montrent que l'Homo Sapiens remonte à une époque plus ancienne que 800 mille années. L'un d'entre elles c'est la découverte réalisée par Louis Leakey durant les années 1970 dans la gorge d'Olduvai. Dans cet endroit, au niveau de la couche Bed II, Leakey a découvert que l'Australopithèque, l'Homo Habilis et l'Homo Erectus sont des espèces qui ont existé à la même période. Ce qui est d'autant plus intéressant c'est la structure que Leakey a trouvée dans cette même couche (Bed II). En effet, Leakey avait trouvé les restes d'une hutte en pierre. Ce qui était étonnant, c'est que ce type même de construction que l'on retrouve aujourd'hui dans certaines régions d'Afrique ne pouvait être construit que par des Homo Sapiens! Selon les découvertes de Leakey, l'Australopithèque, l'Homo Habilis, l'Homo Erectus, et l'homme moderne ont dû coexister il y a environ 1,7 millions d'années auparavant.93 Cette découverte sape certainement les fondements de la théorie évolutionniste qui prétend que l'homme moderne a évolué à partir d'une créature qui ressemble au singe, comme l'Australopithèque.
Empreintes de pas de l'homme moderne vieilles de 3,6 millions d'années!
En effet, quelques autres découvertes font remonter les origines de l'homme moderne à environ 1,7 millions d'années. L'une des plus importantes d'entre elles consiste dans la découverte des empreintes de pas à Laetoli en Tanzanie par Mary Leakey en 1977. Ces empreintes ont été découvertes dans une couche qui serait, selon les calculs, vieille de 3,6 millions d'années, voire plus. Ces empreintes n'étaient pas différentes de celles de l'homme moderne.
Ces empreintes découvertes par Mary Leakey ont été examinées ensuite par de nombreux paléoanthropologues célèbres, tels Don Johanson et Tim White. Les résultats étaient les mêmes. White a écrit:
"Soyez-en sûrs… Elles sont similaires aux empreintes des pas des humains mo-dernes. Si l'on trouvait une dans le sable d'une plage californienne et que l'on demandait à un enfant de 4 ans ce que c'est, celui-ci dirait immédiatement que quelqu'un a marché ici. Ni lui ni vous ne seriez capable de déterminer la différence entre cette empreinte et des centaines d'autres sur la plage." 94
Les traces de pas de Laetoli appartenaient aux hommes modernes, même s'ils étaient vieux de plusieurs millions d'années.
Après examen des empreintes, Louis Robbins de l'Université de Californie a fait le commentaire suivant:
"La cambrure est surélevée - l'individu de petite taille avait une voûte plantaire plus élevée que la mienne - et le gros orteil est grand et aligné avec le second… Les orteils adhèrent au sol comme le font les orteils humains. Cela n'existe pas chez les autres formes animales." 95
Les examens effectués sur la forme morphologique des empreintes ont démontré encore une fois que ces empreintes étaient humaines, voire plus: elles étaient celles d'un homme moderne (Homo Sapiens). Rusell Tuttle qui a procédé à cet examen a écrit:
"Un Homo Sapiens de petite taille aux pieds nus pouvait avoir laissé ces traces… Dans toutes les caractéristiques morphologiques visibles, il est impossible de différencier les pieds qui ont laissé ces marques de ceux des hommes modernes." 96
Une étude objective de ces empreintes a révélé à qui elles appartenaient réellement. En réalité, ces empreintes consistaient en 20 empreintes fossilisées d'un humain âgé de 10 ans et 27 autres appartenant à un humain encore plus jeune. Ils étaient certainement des individus modernes comme nous-mêmes.
Cette situation a mis les empreintes de Laetoli au centre des discussions pendant des années. Les paléontologues évolutionnistes ont tenté vainement de trouver une explication. Car, il leur était difficile d'accepter l'idée qu'un homme moderne marchait sur terre il y a 3,6 millions d'années. Durant les années 1990, cette "explication" commençait à prendre forme. Les évolutionnistes ont décidé que ces empreintes étaient certainement celles d'un Australopithèque. Car, selon leur théorie, il était impossible qu'une espèce Homo existe 3,6 millions d'années auparavant. Russell H. Tuttle a écrit ce qui suit dans son article publié en 1990:
"En somme, les caractéristiques de l'empreinte vieille de 3,5 millions d'années, trouvée sur le site G à Laetoli ressemblent à celles d'humains modernes déchaussés. Aucune de ces caractéristiques n'indique que les hominidés de Laetoli étaient des bipèdes moins capables que nous autres. Si l'on ne savait pas que les empreintes G étaient si vieilles, nous aurions conclu certainement que ces empreintes ont été laissées par des membres de notre genre Homo… Quoi qu'il en soit, nous devons mettre en suspens la légère supposition que les empreintes de Laetoli ont été laissées par les semblables de Lucy, l'Australopithèque Afarensis." 97
Pour résumer, ces empreintes supposées vieilles de 3,6 millions d'années ne pouvaient pas appartenir à l'Australopithèque. La seule raison pour penser qu'elles auraient pu appartenir à celui-ci c'est qu'elles ont été trouvées dans une couche volcanique vielle de 3,6 millions d'années. Elles ont été attribuées à l'Australopithèque partant du principe que les humains n'auraient pas existé à cette époque si lointaine.
Ces interprétations des empreintes de Laetoli nous démontrent une réalité très importante. Les évolutionnistes consolident leur théorie non pas à travers une réflexion scientifique mais malgré celle-ci. Nous sommes ici devant une théorie défendue de manière aveugle à n'importe quel prix soit en ignorant, soit en manipulant toutes ces découvertes pour servir le dessein des évolutionnistes.
Enfin, la théorie de l'évolution n'est pas de la science, mais plutôt un dogme que l'on soutient en dépit de la science.
La bipédie, impasse de l'évolution
Un autre exemple qui réfute la thèse de l'arbre généalogique établi par les évolutionnistes: une mandibule humaine moderne (Homo Sapiens) vielle de 2,3 millions d'années. Cette mandibule, qui porte le code A.L. 666-1, fut découverte à Hadar en Ethiopie. Les évolutionnistes la qualifie de "découverte très surprenante". (D. Johanson, Blake Edgar, From Lucy to Language, p. 169)
Hormis les archives fossiles que nous avons traitées jusque là, des différences gigantesques distinguent les hommes des singes, ce qui réfute cette fiction qui est l'évolution humaine. L'une de ces différences consiste dans la démarche.
Les humains marchent droit, debout sur leurs deux jambes. C'est une manière très spéciale de se mouvoir que l'on ne connaît pas chez les autres espèces. D'autres animaux ont une capacité limitée de bouger lorsqu'ils se mettent debout sur deux pattes. Les animaux comme les ours, les singes ne peuvent bouger ainsi que très rarement, et pas pour très longtemps, comme lorsqu'ils veulent atteindre une source de nourriture. Normalement, leurs squelettes penchent vers l'avant et ils marchent sur quatre pattes.
Alors, est ce que les bipèdes ont évolué des quadrupèdes comme le prétendent les évolutionnistes?
Bien évidemment non. Les recherches ont démontré que l'évolution de la bipédie n'a jamais eu lieu et qu'elle n'était pas possible de toute manière. Premièrement, la bipédie n'est pas un avantage évolutif. La manière dont bougent les singes est de loin plus facile, plus rapide et plus efficace que la démarche de l'homme. L'homme ne peut pas bouger ni en sautant d'arbre en arbre sans toucher le sol comme le font les chimpanzés, ni courir à 125 km/heure comme un guépard des Indes. Au contraire, puisque l'homme marche sur ses jambes, il se déplace plus lentement sur le sol. De même, et également pour cette raison l'espèce humaine est la moins protégée dans la nature en terme de mouvement et de défense. Selon la logique de l'évolution, les singes n'auraient pas dû évoluer et adopter la démarche des bipèdes: les humains auraient dû en revanche évoluer en quadrupèdes.
Les évolutionnistes se trouvent dans une autre impasse. La bipédie ne sert pas le modèle de "développement progressif" du darwinisme. Celui-ci, qui constitue la base de l'évolution, exige l'existence d'une démarche "hybride" entre celle des bipèdes et des quadrupèdes. Or, avec les recherches assistées par ordinateur menées en 1996 par la pa-léoanthropologue anglais Robin Crompton, celui-ci a démontré qu'une telle démarche "hybride" ne pouvait exister. Crompton a alors déduit ce qui suit: un être vivant peut soit marcher debout ou à quatre pattes.98 Une démarche intermédiaire entre ces deux manières ne peut être possible à cause d'une exigence démesurée en énergie. C'est pour cela qu'il est impossible pour un mi-bipède d'exister.
La gigantesque différence entre l'homme et le singe ne se limite pas uniquement à la bipédie. Plusieurs autres questions restent à ce jour sans réponses. Par exemple, la capacité cérébrale, la parole et ainsi de suite. A ce propos, la paléoanthropologue évolutionniste, Elaine Morgan, avoue ce qui suit:
"Quatre des mystères les plus extraordinaires à propos des humains sont: 1) Pourquoi marchent-ils sur deux jambes? 2) Pourquoi ont-ils perdu leurs fourrures? 3) Pourquoi ont-ils développé des cerveaux aussi grands? 4) Pourquoi ont-ils appris à parler?
Les réponses orthodoxes à ces questions sont: 1) "Nous n'en savons toujours rien" 2) "Nous n'en savons toujours rien" 3) "Nous n'en savons toujours rien" 4) "Nous n'en savons toujours rien". La liste des questions peut être largement plus longue sans pour autant que les réponses n'en deviennent moins monotones." 99
L'évolution: une croyance éloignée de la science
Lord Solly Zuckerman est l'un des scientifiques les plus célèbres et les plus respectés du Royaume Uni. Il a étudié pendant des années les archives fossiles et a conduit plusieurs recherches détaillées. Il a reçu le titre honorifique de "Lord" pour ses contributions à la science. Zuckerman est un évolutionniste. Par conséquent, ses commentaires sur la théorie de l'évolution ne peuvent pas être considérés comme des remarques perverses. Toutefois, après des années de recherches menées sur les archives fossiles incluses dans le scénario de l'évolution humaine, il est arrivé à la conclusion qu'un tel arbre généalogique ne peut exister en réalité.
Zuckerman a également effectué un "éventail scientifique" intéressant. Il a constitué un éventail de disciplines partant de celles qu'il considère scientifiques à celles qu'il ne considère pas en tant que telles. Selon cet éventail, les disciplines les plus "scientifiques" - sur la base de données concrètes - sont la chimie et la physique. Après, figurent la biologie et les sciences sociales. A la fin de la liste, parmi les disciplines "les moins scientifiques", on trouve les conceptions à "perception extrasensorielle" -des concepts comme la télépathie et le sixième sens- puis à la fin "l'évolution humaine". Zukcerman explique ce raisonnement:
"Nous divergeons donc du sentier de la vérité objective vers ceux des sciences biologiques présumées, comme la perception extrasensorielle ou l'interprétation de l'histoire fossile de l'homme, où tout est possible pour celui qui y croit - et où le fervent croyant arrive parfois à croire plusieurs choses contradictoires en même temps." 100
Les recherches récentes ont établi qu'il était impossible pour un quadrupède, à la démarche inclinée, d'évoluer en bipède.
Dans un article rédigé par Robert Lee, l'éditeur de Discovering Archeology, une revue importante qui traite des origines de l'homme, on peut lire: "La recherche des ancêtres humains donne plus de chaleur que de lumière". Il cite les propos d'un paléoanthropologue évolutionniste célèbre, Tim White:"Nous sommes tous frustrés par toutes ces questions auxquelles nous n'arrivons pas à trouver de réponses." 101
L'article traite de l'impasse de la théorie de l'évolution sur les origines de l'homme et l'infondé de la propagande à ce sujet:
"Il n'y a probablement aucun domaine scientifique aussi controversé que la recherche des origines de l'homme. Les grands paléontologues ne s'accordent même pas sur les détails les plus élémentaires de l'arbre généalogique humain. A chaque fois que de nouvelles branches apparaissent, un grand tapage médiatique s'en suit pour que tout cela se révèle faux à la découverte d'un nouveau fossile." 102
Ce même fait a été récemment accepté par l'éditeur de la célèbre revue Nature, Henry Gee. Dans son livre In Search of Deep Time, publié en 1999, Gee considère que les schémas évolutionnistes à propos de l'évolution humaine sont des "inventions humaines créées après les faits et adaptées aux préjugés humains". Il ajoute:
"Prendre une série de fossiles et prétendre que ces derniers représentent une lignée n'est pas une hypothèse scientifique vérifiable, mais plutôt une affirmation dont la validité n'est pas supérieure à celle d'un conte que l'on raconte au lit - amusant peut-être, même instructif, mais sûrement pas scientifique." 103
Pourquoi donc autant de scientifiques s'accrochent-ils à ce dogme? Pourquoi essaient-ils depuis si longtemps de maintenir leur théorie en vie, même au prix de devoir admettre un nombre incalculable de conflits et d'ignorer les preuves qu'ils ont trouvées?
La seule réponse c'est qu'ils craignent le fait qu'ils vont devoir affronter s'ils renoncent à la théorie de l'évolution. Ce fait c'est que l'homme fut créé par Dieu. Ce fait est inacceptable pour eux étant donné les présuppositions et la philosophie matérialiste à laquelle ils croient.
Ainsi, ils racontent des mensonges au monde et à eux-mêmes, en utilisant les médias avec qui ils collaborent. S'ils n'arrivent pas à trouver les fossiles adaptés, ils en "fabriquent" sous forme de dessins imaginaires ou de modèles fictifs afin de tenter de donner l'impression que des fossiles, prouvant la théorie de l'évolution, existent réellement. Une partie des médias qui partage leurs opinions matérialistes tente également de tromper le public en instillant l'histoire de l'évolution dans l'inconscient des individus.
Quoi qu'ils fassent, la vérité est claire: l'homme n'est pas arrivé dans cette existence à travers un processus d'évolution mais plutôt suite à la création divine. Ainsi, celui-ci est responsable envers le Créateur même s'il ne veut pas l'assumer.
le lien http://www.harunyahya.com/fr/evolution09.php
l'homme n'est pas un singe voir les epreuves :
Le scénario de l'évolution humaine
Dans les chapitres précédents, nous avons vu qu'il n'existe aucun mécanisme naturel qui permet aux êtres vivants d'évoluer et que les espèces vivantes sont apparues, non pas grâce à un processus évolutif mais plutôt de manière soudaine dans leur structure parfaite que nous connaissons aujourd'hui. Cela signifie, qu'elles ont été créées individuellement et que par conséquent "l'évolution humaine" n'a jamais eu lieu.
Que proposent donc les évolutionnistes comme base pour cette histoire?
Cette base c'est l'existence de nombreux fossiles que les évolutionnistes utilisent pour fabriquer leurs interprétations imaginaires. Tout au long de l'histoire, plus de 6.000 espèces de singes ont vécu et plusieurs d'entre elles se sont éteintes. Aujourd'hui, seul 120 espèces vivent encore sur terre. Ces 6.000 espèces environ, dont la majorité s'est éteinte, constituent une mine intarissable pour les évolutionnistes.
Les évolutionnistes ont rédigé le scénario de l'évolution humaine en arrangeant dans l'ordre croissant, du plus petit au plus grand, quelques crânes adaptés à leur objectif; ils ont également mis des crânes de certaines races humaines éteintes depuis longtemps. Conformément à ce scénario, les hommes et les singes modernes ont les mêmes ancêtres. Ces créatures ont évolué dans le temps et certaines d'entre elles sont devenues les singes que l'on connaît aujourd'hui alors qu'un autre groupe est devenu l'homme d'aujourd'hui, suivant une autre branche de l'évolution.
Toutefois, toutes les découvertes paléontologiques, anatomiques et biologiques ont démontré que cette prétendue évolution n'est que fiction comme toutes les autres. Aucune preuve irréfutable n'a été présentée pour prouver qu'il existe une relation entre l'homme et le singe, exception faite des contrefaçons, distorsions, dessins et commentaires trompeurs.
Les archives fossiles nous indiquent que tout au long de l'histoire, les hommes ont toujours été des hommes et les singes toujours des singes. Les fossiles présentés par les évolutionnistes comme ancêtres des hommes, appartiennent en fait à des races humaines ayant vécu jusqu'à environ 10.000 années plus tôt, puis ont fini par disparaître. En outre, plusieurs communautés humaines vivant aujourd'hui ont les mêmes traits physiques que ces races éteintes, que les évolutionnistes prétendent être les ancêtres de l'homme. Ces faits sont des preuves tangibles que l'homme n'est jamais passé par un processus évolutif quelle que soit l'époque historique.
Le plus important dans tout cela, c'est qu'il existe de nombreuses différences anatomiques entre les singes et les hommes et qu'aucune d'entre elles n'est du genre à survenir à travers un processus évolutif. Par exemple, le fait d'être un "bipède" est une caractéristique propre à l'homme et constitue le trait principal qui distingue celui-ci des autres animaux.
L'arbre généalogique imaginaire de l'homme
Selon ce que prétend Darwin, l'homme moderne a évolué à partir de créatures qui ressembleraient à des singes. Pendant ce prétendu processus évolutif, qui aurait débuté 4 à 5 millions d'années auparavant, des "formes transitionnelles" auraient existé; elles constituent la transition entre l'homme moderne et ses ancêtres. Selon ce scénario complètement imaginaire, quatre "catégories" élémentaires sont établies:
1- Australopithèques
2- Homo Habilis
3- Homo Erectus
4- Homo Sapiens
Les évolutionnistes appellent le prétendu premier ancêtre commun de l'homme et du singe, "l'Australopithèque". Ce nom signifie "singe d'Afrique du Sud". L'Australopithèque, qui n'est autre qu'une ancienne espèce de singe disparue depuis longtemps, existait sous différents types. Certains sont forts, alors que d'autres sont plus petits de taille et plus minces.
UN SEUL OS DE MACHOIRE COMME LE DEBUT DE L'INSPIRATION
Le premier fossile de Ramapithèques trouvé: une mâchoire manquante composée de deux parties (sur la droite). Les évolutionnistes ont osé dessiner les Ramapithèques, leurs familles et l'environnement dans lequel ils ont vécu, sur la seule base de ces deux os de mâchoires.
Les évolutionnistes classifient l'étape suivante de l'évolution humaine sous l'appellation "Homo" c'est-à-dire "homme". Selon ce que prétendent les évolutionnistes, les être vivants de la série Homo sont plus développés que l'Australopithèque et pas très différents de l'homme moderne. Celui-ci, en l'occurrence l'Homo Sapiens, est supposé s'être développé lors de la dernière étape de l'évolution de cette espèce.
Les fossiles comme "l'homme de Java", "l'homme de Pékin" et "Lucy", qui apparaissent dans les médias de temps à autre et dont regorgent les ouvrages et manuels évolutionnistes, font partie de l'une des quatre espèces mentionnées plus haut. On pense également que ces espèces se divisent en sous-espèces.
Certaines formes transitionnelles du passé, tels les Ramapithèques, ont dû être exclues de l'arbre généalogique imaginaire de l'évolution après que l'on s'est rendu compte qu'il ne s'agissait que de singes très ordinaires.69
En établissant la chaîne de relation sous cette forme "Australopithèques> Homo Habilis> Homo Erectus> Homo Sapiens", les évolutionnistes sous-entendent que chacune de ces espèces est l'ancêtre de l'autre. Toutefois, les récentes découvertes effectuées par les paléoanthropologues ont révélé que l'Australopithèque, l'Homo Habilis, l'Homo Erectus existaient dans différentes parties du monde à la même époque. De plus, une certaine partie des humains classifiés en tant que Homo Erectus ont vécu jusqu'à une période proche des temps modernes. L'Homo Sapiens Néandertalien et l'Homo Sapiens (l'homme moderne) ont existé côte à côte dans la même région. Cette situation indique l'infondé des allégations évolutionnistes, en l'occurrence que les uns sont les ancêtres des autres.
Intrinsèquement, toutes les découvertes et recherches scientifiques ont révélé que les fossiles n'indiquent pas qu'un processus évolutif a eu lieu comme le prétendent les évolutionnistes. Les fossiles, que les évolutionnistes considèrent comme les ancêtres de l'humanité, appartiennent en fait à diverses espèces d'hommes ou de singes.
Par conséquent, quels sont les fossiles humains et quels sont ceux des singes? Est-il possible d'en considérer quelques-uns comme des formes transitionnelles? Pour avoir les réponses, il va falloir examiner de plus près chaque catégorie.
L'Australopithèque: une espèce de singe
L'Australopithèque, c'est-à-dire la première catégorie, signifie "le singe du sud". On croit que ces créatures sont apparues pour la première fois en Afrique il y a 4 millions d'années de cela et qu'elles auraient vécu jusqu'à 1 million d'années avant notre époque. Il existe quelques catégories au sein des Australopithèques. Les évolutionnistes croient que la plus ancienne espèce d'Australopithèque est l'Australopithèque Afarensis. Après cela l'A. Africanus, qui a des os plus minces, puis l'A. Robustus, dont les os sont relativement plus robustes. En ce qui concerne l'A. Boisei, quelques chercheurs l'acceptent en tant qu'espèce différente alors que d'autres le considèrent comme une sous-espèce de l'A. Robustus.
Toutes les espèces d'Australopithèques sont des singes qui n'existent plus mais qui ressemblent à ceux que l'on connaît aujourd'hui. Leurs capacités crâniennes sont similaires voire plus faibles que celles des chimpanzés que l'on connaît aujourd'hui. Leurs mains et leurs pattes sont dotées d'organes en saillie qui leur permettent de s'accrocher et d'escalader les arbres exactement comme le font les chimpanzés de nos jours. Leurs pieds leur permettent de s'accrocher aux branches d'arbres. Ils sont de petite taille (maximum 130 cm) et à l'instar des chimpanzés d'aujourd'hui, les Australopithèques mâles sont plus grands que les femelles. Plusieurs traits comme leur crâne, le rapprochement des yeux, la molaire tranchante, la structure mandibulaire, les mains longues et les pieds de petite taille sont autant de preuves qui démontrent que ces êtres vivants n'étaient pas différents des singes actuels.
Les évolutionnistes prétendent que même si les Australopithèques ont l'anatomie d'un singe, ils marchaient debout comme les humains et non pas comme les singes.
"Marcher debout" comme le prétendent les évolutionnistes est en réalité une opinion soutenue depuis des décennies par les paléoanthropologues tels Richard Leakey et Donald C. Johanson. Toutefois, plusieurs scientifiques ont mené des recherches sur les structures squelettiques des Australopithèques et ont réfuté cet argument. Des recherches poussées effectuées sur des spécimens d'Australopithèque par deux anatomistes anglais et américain de renommée mondiale, en l'occurrence Lord Solly Zuckerman et le Professeur Charles Oxnard, ont prouvé que ces créatures n'étaient pas des bipèdes et qu'elles avaient la même démarche que celle des singes d'aujourd'hui. Après avoir étudié les os de ces fossiles pendant 15 ans grâce au financement accordé par le gouvernement britannique, Lord Zuckerman assisté d'une équipe de 5 spécialistes est arrivé à la conclusion suivante: les Australopithèques n'étaient qu'une espèce ordinaire de singes et n'étaient absolument pas des bipèdes, malgré le fait que Zuckerman est lui-même un évolutionniste.70 De plus, Charles E. Oxnard, un autre évolutionniste connu pour les recherches qu'il a menées sur la question, a également établi la relation entre le squelette de l'Australopithèque et les orangs-outans modernes.71 Enfin, en 1994 une équipe de l'Université de Liverpool a inauguré une recherche d'une grande ampleur afin d'aboutir à une décision finale. L'équipe a conclu que "les Australopithèques sont des quadrupèdes".72
Bref, les Australopithèques n'ont aucun lien avec les humains et ne sont qu'une espèce de singes qui s'est éteinte depuis longtemps.
Homo Habilis: le singe qui fut présenté comme un humain
La grande similitude qui existe entre les structures squelettiques et crâniennes des Australopithèques et des chimpanzés en plus de la preuve établie que ces créatures ne marchaient pas debout, a causé d'énormes difficultés aux paléoanthropologues. Car, selon la machination imaginée par les évolutionnistes, l'Homo Erectus vient après l'Australopithèque. Comme le préfixe "homo" (c'est-à-dire humain) l'indique, Homo Erectus est une catégorie humaine et son squelette est droit. Sa capacité crânienne est deux fois plus grande que celle de l'Australopithèque. Une transition directe à partir de l'Australopithèque, qui est un singe ressemblant au chimpanzé, vers l'Homo Erectus qui a un squelette similaire à celui de l'homme de nos jours, est tout à fait invraisemblable même selon la théorie de l'évolution. Par conséquent, "les liens" en l'occurrence les "formes transitionnelles" sont nécessaires. C'est de cette nécessité qu'est né l'Homo Habilis.
L'Australopithèque Afarensis: un singe dont l'espèce est éteinte
Le premier fossile trouvé en Ethiopie, Hadar, supposé appartenir à l'espèce Australopithecus Afarensis: AL 288-1 ou "Lucy". Pendant longtemps, les évolutionnistes ont tout essayé pour prouver que "Lucy" était capable de marcher debout; toutefois les dernières recherches ont établi que celle-ci était un singe ordinaire qui ne pouvait pas marcher debout.
Le fossile Australopithèque Afarensis AL 333-105 ci-dessous appartient à un jeune membre de cette espèce. C'est la raison pour laquelle la saillie n'apparaît pas encore sur son crâne.
UN AUSTRALOPITHEQUE UN CHIMPANZE MODERNE
Ci-dessus, nous voyons le crâne du fossile Australopithèque Afarensis AL 444-2, et ci-dessous le crâne d'un singe contemporain. La similitude évidente prouve que A. Afarensis est une espèce de singe ordinaire sans la moindre caractéristique "humaine".
C'est durant les années 60 que la classification de l'Homo Habilis a été avancée par la famille Leakeys, qui est une famille de "chasseurs de fossiles". Selon les Leakeys, cette nouvelle espèce qu'ils ont classifiée comme Homo Habilis est dotée d'une capacité crânienne assez large, de la possibilité de marcher debout et d'utiliser des instruments fabriqués en pierre ou en bois. Ainsi, cette espèce aurait pu être l'ancêtre de l'homme.
Les fossiles de cette même espèce, découverts au cours des années 80 allaient complètement changer cette donne. Certains chercheurs tels que Bernard Wood et C. Loring Brace se basaient sur ces fossiles trouvés récemment pour déclarer que l'Homo Habilis, qui signifie "l'homme capable d'utiliser des outils" devait être classé parmi les Australopithèques Habilis, en l'occurrence "le singe sud-africain capable d'utiliser des outils". Car l'Homo Habilis partageait plusieurs caractéristiques avec les singes appelés Australopithèques. Il avait les mains longues, les jambes courtes et un squelette similaire à celui des Australopithèques. Ses doigts et orteils étaient parfaitement adaptés à l'escalade. Sa structure mandibulaire était très similaire à celle des singes de nos jours. La capacité crânienne moyenne de l'Homo Habilis était de 600 cm3 ce qui indique qu'il s'agissait bien d'un singe. Bref, l'Homo Habilis, qui fut présenté comme une espèce différente par certains évolutionnistes, était en fait une espèce de singe comme tous les autres Australopithèques.
L'Homo Habilis: une autre espèce de singe éteinte
Pendant longtemps, les évolutionnistes ont soutenu que les créatures appelées Homo Habilis pouvaient marcher debout. Ils pensaient avoir trouvé le lien entre le singe et l'homme. Toutefois, les nouveaux fossiles Homo Habilis que Tim White a découverts en 1986 et baptisés OH 62 réfutaient cette assertion. Ces fragments de fossiles ont démontré que l'Homo Habilis avait de longs bras et de petites jambes, exactement comme les singes contemporains. Ce fossile a mis fin à l'affirmation que l'Homo Habilis était un bipède capable de marcher droit. En réalité, Homo Habilis n'était rien d'autre qu'un membre d'une espèce de singes.
"OH 7 Homo Habilis" ci-dessous à gauche a été le fossile qui décrivait le mieux les caractéristiques mandibulaires des espèces Homo Habilis. Ce fossile est doté de grandes dents incisives. Ses molaires sont petites. La forme de la mandibule est carrée. Toutes ces caractéristiques rendent ces mandibules très similaires à celles des singes contemporains. Autrement dit, la mandibule de l'Homo Habilis confirme une fois de plus que ce vivant est en réalité un singe.
Les recherches effectuées plus tard ont en effet indiqué que l'Homo Habilis n'était pas différent des Australopithèques. Les fossiles du crâne et du squelette OH62 trouvés par Tim White ont démontré que ces espèces avaient une capacité crânienne réduite, des mains longues et des jambes courtes, ce qui leur permettait d'escalader les arbres exactement comme le font les singes aujourd'hui.
Les analyses détaillées, conduites par l'anthropologue américaine Holly Smith en 1994, indiquent que l'Homo Habilis n'était pas un "homo", c'est-à-dire "humain" mais plutôt un "singe". A propos des analyses effectuées sur les dents des Australopithèques, Homo Habilis, Homo Erectus et Homo Néandertalien, Smith a déclaré ce qui suit:
"Si l'on se restreint dans les analyses fossiles aux spécimens qui remplissent ces critères, les modèles du développement dentaire des Australopithèques graciles et Homo Habilis restent classifiés parmi les singes africains. Ceux des Homo Erectus et du Néandertalien sont classés avec les humains." 73
Au cours de la même année, Fred Spoor, Bernard Wood et Frans Zooneveld, des spécialistes en anatomie, sont arrivés à la même conclusion par le biais d'une méthode complètement différente. Celle-ci était basée sur une analyse comparative des canaux semi-circulaires dans l'oreille interne des humains et des singes qui permettent de se tenir en équilibre. Les canaux des humains, qui marchent droits, différaient considérablement de ceux des singes, qui marchaient courbés. Les canaux des oreilles internes des Australopithèques, pour ne citer que ceux-là, et les spécimens des Homo Habilis analysés par Spoor, Wood et Zonneveld étaient similaires aux singes actuels. Les canaux des oreilles internes des Homo Erectus étaient les mêmes que ceux de l'homme d'aujourd'hui.74
Cette découverte a donné deux résultats importants:
1- Les fossiles connus sous l'appellation Homo Habilis n'appartenaient pas à la catégorie "homo", c'est-à-dire, la catégorie humaine, mais plutôt à celle des Australopithèques, en l'occurrence les singes.
2- L'Homo Habilis et l'Australopithèque avaient tous les deux une démarche courbée et par conséquent le squelette d'un singe. Ils n'avaient aucune relation avec les humains.
Homo Rudolfensis: le visage articulé incorrectement
Le terme Homo Rudolfensis est le nom donné à quelques fragments fossiles déterrés en 1972. La catégorie que ce fossile est sensé représenter était appelée Homo Rudolfensis puisque ces fragments fossiles avaient été trouvés à Rudolf River au Kenya. La majorité des paléoanthropologues a accepté l'idée que ces fossiles n'appartenaient pas à une espèce distincte mais qu'en réalité l'être vivant appelé Homo Rudolfensis était un Homo Habilis.
Richard Leakey, qui a déterré les fossiles, présenta le crâne qu'il avait appelé "KNM-ER 1470" et déclara que celui-ci était vieux de 2,8 millions d'années. C'était la plus grande découverte de l'histoire de l'anthropologie. Elle eut un effet considérable. Selon Leakey, cet être, qui avait une capacité crânienne réduite comme les Australopithèques mais également le visage d'un homme, était le lien manquant entre l'Australopithèque et l'être humain. Cependant après un court laps de temps, on a découvert que le visage quasi-humain du crâne KNM-ER 1470 qui apparaissait fréquemment sur les couvertures des revues scientifiques résultait en fait d'une articulation défectueuse des fragments crâniens. Ceci aurait pu être un acte délibéré. Le Professeur Tim Bromage, qui a mené des études sur le visage humain, a dévoilé en 1992 ce fait à l'aide d'une simulation assistée par ordinateur:
"Lorsqu'il (KNM-ER 1470) a été reconstitué pour la première fois, le visage a été adapté à la boîte crânienne de manière presque verticale, presque comme les visages plats des humains modernes. Or, les études effectuées récemment sur les relations anatomiques démontrent que le visage devait être largement saillant, créant ainsi un aspect de singe, plutôt comme les visages des Australopithèques." 75
Le paléoanthropologue évolutionniste J. E. Cronin commente ce fait de la manière suivante:
"…son visage construit de manière relativement robuste, son clivus naso-alvéolaire plutôt plat, (rappelant les faces plates des Australopithèques), une largeur crânienne maximale réduite (au niveau des temporales), des canines solides et de larges molaires (comme l'indiquent les racines qui restent) sont des traits relativement primitifs qui allient le spécimen aux membres du taxon Australopithèque Africanus." 76
C. Loring Brace de l'Université du Michigan est arrivé à la même conclusion après les analyses qu'il a réalisées sur la mâchoire et la structure dentaire du crâne 1470 et a déclaré que la taille de la mâchoire et de la partie contenant les molaires ont démontré que ER 1470 avait exactement le visage et les dents d'un Australopithéque.77
Le professeur Alan Walker, un paléoanthropologue de l'Université de John Hopkins qui a effectué des recherches sur KNM-ER 1470 comme Leakey, défend l'idée que cet être vivant ne doit pas être classifié en tant que "homo", c'est-à-dire une espèce humaine comme Homo Habilis ou Homo Rudolfensis, mais plutôt inclut parmi l'espèce Australopithèque.
Pour résumer, les classifications comme Homo Habilis ou Homo Rudolfensis qui sont présentées comme des liens transitionnels entre les Australopithèques et les Homo Erectus sont totalement imaginaires. Comme beaucoup de chercheurs l'ont confirmé récemment, ces êtres vivants sont membres de la série Australopithèque. Toutes leurs caractéristiques anatomiques démontrent qu'ils sont tous membres d'une espèce de singe ou d'une autre. 78
Ce fait a été confirmé par une étude de deux anthropologues évolutionnistes, Bernard Wood et Mark Collard, publiée en 1999 dans la revue Science. Wood et Collard ont expliqué que les catégories de l'Homo Habilis et de l'Homo Rudolfensis (le crâne 1470) étaient imaginaires et que les fossiles qui leur ont été attribués doivent correspondre au genre Australopithèque:
"Plus récemment, des espèces fossiles ont été attribuées à l'Homo sur la base d'une similitude absolue de la taille du cerveau, les interférences au niveau de la capacité linguistique et de la fonction des mains, ainsi que leur capacité à façonner des outils en pierre. Sauf rares exceptions, la définition et l'utilisation du genre dans le cadre de l'évolution humaine et la délimitation de l'Homo n'ont jamais été considérées comme des notions problématiques. Toutefois, les données récentes, les nouvelles interprétations des preuves disponibles, et les limites des archives 2paléoanthropologiques réfutent les critères actuels qui régissent l'attribution des taxa à l'Homo… En pratique, les fossiles des hominidés sont classés en tant qu'Homo sur la base d'un critère ou plus sur quatre… Il est évident maintenant qu'aucun de ces critères n'est satisfaisant. Le "Rubicon cérébral" pose problème car la capacité crânienne absolue n'a pas beaucoup de sens sur le plan biologique. De même, il existe des preuves irréfutables que la capacité du langage ne saurait être déduite de l'apparence grossière du cerveau et que les parties cérébrales dont dépend le langage ne sont pas si bien localisées comme l'avaient laissé entendre les études précédentes…
…En d'autres termes, avec les hypodigmes de Homo Habilis et Homo Rudolfensis qui lui sont attribués, le genre Homo n'est pas un bon genre. Ainsi, H. Habilis et H. Rudolfensis (ou Homo Habilis au sens large pour ceux qui n'adhèrent pas à la subdivision taxonomique du "premier Homo" DOIVENT ETRE RETIRES du genre Homo. L'alternative taxonomique évidente, en l'occurrence le transfert d'une ou des deux taxa à l'un des premiers hominidés (hominin genera) existants, n'est sûrement pas dénuée de problèmes. Mais, NOUS RECOMMANDONS QUE, POUR LE MOMENT, HOMO HABILIS ET HOMO RUDOLFENSIS SOIENT TRANSFERES AU GENRE DES AUTRALOPITHEQUES." 79
Les conclusions tirées par Wood et Collard confirment ce que nous venons d'expliquer. Il n'y a jamais eu d'"ancêtres humains" à travers l'histoire. Les créatures présentées en tant que tels sont en réalité des singes qui doivent être classés dans le genre Australopithèque. Les archives fossiles démontrent qu'il n'existe aucune relation évolutive entre les singes disparus et l'Homo, l'être humain, qui apparaît soudainement dans les archives fossiles.
Homo Erectus, puis par la suite, les êtres humains
Selon les plans imaginés par les évolutionnistes, l'évolution interne de l'espèce Homo s'est effectuée dans l'ordre suivant: premièrement, l'Homo Erectus, puis l'Homo Sapiens archaïque et l'homme de Neandertal, plus tard l'homme de Cro-Magnon et après l'homme moderne. Cependant, toutes ces classifications ne sont en réalité que des races humaines originales. La différence entre elles n'est pas plus grande que celle entre un inuit et un noir ou un pygmée et un Européen.
Examinons alors en premier chef l'Homo Erectus, qui est présenté comme l'espèce la plus primitive. Comme le sous-entend le terme "erect", "Homo Erectus" signifie "l'homme marchant droit". Les évolutionnistes ont dû distinguer ces hommes des précédents en ajoutant la qualité de "droiture" car tous les fossiles d'Homo Erectus disponibles sont droits à un point qui n'a pas été observé chez les spécimens d'Australopithèques ou d'Homo Habilis. Il n'existe aucune différence entre le squelette de l'homme moderne et celui de l'Homo Erectus.
La raison principale qu'invoquent les évolutionnistes pour définir l'Homo Erectus en tant que "primitif" est sa capacité crânienne (900-1.100 cm3), plus réduite que la moyenne chez l'homme moderne, ainsi que ses sourcils épais. Cependant, il y a de nombreuses personnes de nos jours qui ont la même capacité crânienne que l'Homo Erectus (par exemple, les pygmées) et il existe d'autres races qui ont des sourcils saillants (les aborigènes australiens à titre d'exemple).
L'Homo Erectus: une ancienne race humaine
Homo Erectus signifie "l'homme qui se tient droit". Tous les fossiles inclus dans cette espèce appartiennent à des races humaines particulières. Puisque la majorité des fossiles des Homo Erectus ne partage pas la même caractéristique, il est assez difficile de définir ces hommes selon leurs crânes. C'est la raison pour laquelle divers chercheurs évolutionnistes ont établi plusieurs classifications et appellations. Ci-dessus sur la gauche, nous pouvons voir un crâne qui a été découvert à Koobi Fora, en Afrique en 1975. Il définit globalement l'Homo Erectus. Sur la droite, un crâne: Homo Ergaster KNM-ER 3733, est celui qui recouvre les mystères en question.
Les capacités crâniennes de tous ces fossiles Homo Erectus sont de 900 à 1100 cm3. Ces chiffres correspondent aux limites des capacités crâniennes contemporaines.
KNM-WT 15000 ou le squelette de l'enfant de Turkana sur la droite est probablement le plus vieux et le plus complet des fossiles humains trouvés à ce jour. Les recherches menées sur ce fossile, supposé être vieux de 1,6 millions d'années, démontrent qu'il appartient à un enfant de 12 ans dont la taille aurait atteint 1,80 m s'il avait vécu jusqu'à l'adolescence. Ce fossile, qui ressemble largement à la race du Neandertal, est la preuve par excellence qui réfute la thèse évolutionniste.
L'évolutionniste Donald Johnson décrit ce fossile en ces termes: "Il était grand et mince. Sa forme corporelle et ses membres ressemblent largement à ceux des Africains équatoriaux. La taille de ses membres était parfaitement adaptée à celle des adultes blancs d'Amérique du Nord."
Tout le monde s'accorde sur le fait que la différence de la capacité crânienne ne signifie pas nécessairement une différence dans le niveau d'intelligence ou dans les capacités. L'intelligence dépend plus de l'organisation interne du cerveau que du volume de celui-ci.80
Les fossiles qui ont fait connaître l'Homo Erectus au monde entier sont ceux de l'homme de Pékin et l'homme de Java trouvés en Asie. Toutefois, on s'est rendu compte après que ces deux fossiles n'étaient pas une source solide. L'homme de Pékin consistait d'éléments faits en plâtre puisque les originaux étaient perdus, alors que l'homme de Java se "composait" d'un fragment de squelette en plus d'un os de pelvis trouvé à quelques mètres du squelette sans la moindre indication que cet os de pelvis a bel et bien appartenu à ce même être humain. C'est pour cette raison que les fossiles de l'Homo Erectus trouvés en Afrique ont eu cette importance grandissante. (Il y a lieu de précser que certains fossiles appartenant prétendument à l'Homo Erectus ont été inclus dans une seconde catégorie appelée "Homo Ergaster" par certains évolutionnistes. Il existe un désaccord entre eux à ce sujet. Nous considérerons tous ces fossiles comme faisant partie de l'Homo Erectus.)
DES MARINS DE SEPT CENT MILLE ANS
"Les premiers humains étaient plus intelligents que nous le pensons…"
Publié dans le New Scientist, le 14 mars 1998. Selon cette information, les humains appelés Homo Erectus par les évolutionnistes étaient des marins habiles 700 milles ans auparavant. Ces humains, qui détenaient suffisamment de connaissances et de technologie et possédaient une culture qui leur permettait d'utiliser les voies marines pour le transport, ne sauraient être considérés "primitifs".
Le spécimen le plus célèbre parmi les Homo Erectus trouvés en Afrique est celui de "Narikotome Homo Erectus" ou l'"Enfant de Turkana" trouvé à proximité du lac Turkana, Kenya. Il a été confirmé que ce fossile était celui d'un enfant de 12 ans, qui aurait mesuré 1,83 m lorsqu'il était adolescent. La structure droite du squelette est similaire à celle de l'homme moderne. A ce propos, le paléoanthropologue Alan Walker a déclaré qu'il doutait qu'un "pathologiste moyen puisse faire la différence entre le squelette du fossile et celle d'un homme moderne".81 En ce qui concerne le crâne, Walker a déclaré "qu'il ressemblait beaucoup à celui d'un homme de Neandertal".82 Comme nous allons le voir dans le prochain chapitre, le Neandertal est une race d'homme moderne. Aussi, l'Homo Erectus est-il lui aussi une race d'homme moderne.
Même l'évolutionniste Richard Leakey affirme que les différences entre Homo Erectus et l'homme moderne ne sont pas plus qu'une variété raciale:
"Nous devons également voir la différence dans la forme du crâne, le degré de saillie du visage, la robustesse des arcades, etc… Ces différences ne sont plus prononcées que celles qui existent de nos jours entre les races géographiquement distinctes des humains modernes. Cette différence biologique se manifeste lorsque les populations sont séparées géographiquement les unes des autres pendant un laps de temps considérable." 83
Le Professeur William Laughlin de l'Université du Connecticut a effectué des examens anatomiques très poussés sur les inuits et les populations des îles Aleut. Il a constaté qu'ils étaient très similaires à l'Homo Erectus. Il en a conclu que ces races disparues étaient en fait diverses races d'Homo Sapiens (homme moderne).
"Lorsque l'on observe les grandes différences qui séparent des groupes éloignés tels que les eskimos et les aborigènes, qui appartiennent à la catégorie Homo Sapiens, il nous parait justifié de conclure que le Sinanthrope (un spécimen erectus - ALC) appartient à cette même espèce diverse." 84
Nous avons souvent entendu ces derniers temps au sein de la communauté scientifique que l'Homo Erectus est une classification superflue et que les fossiles attribués à la catégorie Homo Erectus ne sont pas si différents des Homo Sapiens au point de les considérer comme une espèce à part. La revue American Scientist a résumé les discussions à propos de cette question. Une conférence a été tenue à ce propos en 2000:
"La majorité des participants à la conférence de Senckenberg ont été impliqués dans un débat enflammé, lancé par Milford Wolpoff de l'Université du Michigan, Alan Thorne de l'Université de Canberra et leurs collègues, sur le statut taxonomique de l'Homo Erectus. Ils ont appuyé avec force que l'Homo Erectus n'était pas valide en tant qu'espèce et que celle-ci devait ainsi être éliminée. Tous les membres du genre Homo, depuis 2 millions d'années jusqu'à nos jours, n'étaient finalement qu'une seule grande espèce variée, Homo Sapiens, sans interruptions ni subdivisions naturelles. Le sujet de la conférence: l'Homo Erectus n'existait pas." 85
Le Neandertal: des hommes robustes
Ci-dessus, un Homo Sapiens Neanderthalenssis, Amud, un crâne découvert en Israël. Le Neandertal est connu pour sa robustesse tout en étant de petite taille. Il n'en demeure pas moins que le propriétaire de ce crâne devait mesurer 1,80 de taille. Sa capacité crânienne est le plus grande jamais découverte: 1740 cm3. Pour toutes ces raisons, ce fossile figure parmi les preuves principales qui réfutent la thèse que le Neandertal était une espèce primitive.
Dire que "l'Homo Erectus n'existait pas" signifie que "l'Homo Erectus n'est pas une espèce différente de l'Homo Sapiens, mais plutôt qu'elle fait partie intégrante de celle-ci".
Par ailleurs, il existe une grande faille entre l'Homo Erectus, la race humaine et les singes qui précèdent l'Homo Erectus dans le scénario de "l'évolution humaine", (Australopithèque, Homo Habilis, Homo Rudolfensis). Ceci signifie que les premiers hommes sont apparus soudainement dans les archives fossiles et directement sans une histoire évolutive. Il ne peut y avoir d'indication plus claire sur le fait qu'ils ont été créés.
Or admettre ce fait va à l'encontre de toute la philosophie dogmatique et l'idéologie prônées par les évolutionnistes. Ainsi, ils tentent de présenter l'Homo Erectus, qui est une véritable race humaine, en tant que créature à moitié singe. Dans leurs reconstitutions d'Homo Erectus, ils persistent à dessiner des traits simiens. Par ailleurs, avec des méthodes de dessins similaires, ils humanisent les singes tels que les Australopithèques ou Homo Habilis. Grâce à cette méthode, ils cherchent à "dresser une approximation" entre les singes et les humains et combler ainsi la faille entre ces deux catégories vivantes distinctes.
Le Neandertal
DE FAUX MASQUES: Même si le Neandertal n'était pas différent de l'homme moderne, il est toujours représenté comme un homme-singe par les évolutionnistes.
Les hommes de Neandertal sont des êtres humains qui sont apparus soudainement 100 mille années auparavant en Europe puis ils sont disparus - ou ont été assimilés en se mélangeant à d'autres races - doucement mais rapidement il y a de cela 35 mille ans. Leur unique différence en comparaison avec l'homme moderne est leur squelette qui est plus robuste et leur capacité crânienne qui est légèrement plus grande.
Les hommes de Neandertal sont une race humaine et ce fait est admis par presque tous aujourd'hui. Les évolutionnistes ont tous essayé pour les faire paraître comme des "espèces primitives". Or, toutes les découvertes démontrent qu'ils n'étaient pas si différents d'un homme "robuste" qui remonterait une rue de nos jours. Une des autorités dans le domaine, Erik Trinkaus, un paléoanthropologue de l'Université du Nouveau Mexique écrit:
"Les comparaisons détaillées effectuées entre les restes de squelette du Neandertal et ceux d'hommes modernes ont démontré qu'il n'existe aucune indication claire dans l'anatomie du Neandertal qui montre que les capacités locomotives, manipulatrices, intellectuelles ou linguistiques de celui-ci sont inférieures à celles des hommes d'aujourd'hui." 86
Plusieurs chercheurs contemporains définissent l'homme du Neandertal comme une sous-espèce de l'homme moderne et l'appellent "Homo Sapiens Neandertalensis". Les découvertes prouvent que les hommes du Neandertal enterraient leurs morts, fabriquaient des instruments de musique et partageaient des affinités culturelles avec l'Homo Sapiens qui vivait à cette même époque. Pour être plus précis, l'homme du Neandertal est quelqu'un de "robuste" dont la race est tout simplement disparue avec le temps.
Homo Sapiens archaïque, Homo Heilderbergensis et l'homme Cro-Magnon
L'Homo Sapiens archaïque est la dernière étape avant l'homme contemporain selon le scénario imaginé par les évolutionnistes. A vrai dire, les évolutionnistes n'ont pas grand-chose à dire à propos de ces hommes. Car, il n'existe que des différences très mineures entre eux et les hommes modernes. Certains chercheurs vont même jusqu'à dire que les représentants de cette race sont encore vivants à ce jour, en l'occurrence les aborigènes d'Australie par exemple. A l'instar de l'Homo Sapiens, les aborigènes ont des sourcils épais et saillants, une structure mandibulaire inclinée vers l'intérieur et une capacité crânienne légèrement réduite. De plus, d'importantes découvertes ont été faites indiquant que ce genre d'homme a vécu en Hongrie et dans certains villages d'Italie jusqu'à très récemment.
Le groupe qualifié de Homo Heilderbergensis dans les ouvrages évolutionnistes est en réalité le même que l'Homo Sapiens archaïque. La raison pour laquelle deux termes sont utilisés pour la même race humaine émane de la différence conceptuelle qui règne chez les évolutionnistes. Tous les fossiles inclus dans la classification d'Homo Heilderbergensis indiquent que les populations qui étaient anatomiquement similaires aux Européens modernes ont vécu 500 mille ans, voire 740 mille ans auparavant, premièrement en Angleterre puis en Espagne.
On estime que l'homme Cro-Magnon a vécu 30.000 années auparavant. Il a un crâne en forme de dôme et un front large. Son crâne de 1.600 cm3 est au dessus de la moyenne de l'homme contemporain. Son crâne est doté de sourcils épais et saillants en plus d'une saillie arrière qui caractérise tant l'homme du Neandertal que l'Homo Erectus.
Même si l'homme de Cro-Magnon est considéré une race européenne, la structure et le volume de sa boite crânienne ressemblent davantage à ceux que l'on trouve chez des races vivant en Afrique ou dans les Tropiques de nos jours. Partant de cette similitude, il est supposé que le Cro-Magnon est une race africaine archaïque. Certaines découvertes paléoanthropologiques ont démontré que les races d'homme Cro-Magnon et Neandertal se sont mélangées l'une à l'autre pour former les bases des races d'aujourd'hui. En outre, on s'accorde aujourd'hui à dire que les représentants de la race Cro-Magnon vivent encore dans diverses régions du continent africain et certaines régions françaises, comme la Salute ou la Dordogne. On peut également trouver des populations similaires en Pologne et en Hongrie.
Les espèces vivant au même âge que leurs ancêtres
Nos investigations jusque là nous ont permis d'avoir une idée assez claire: le scénario de "l'évolution humaine" est une fiction pure et simple. Pour qu'un tel arbre généalogique puisse exister, une évolution progressive du singe vers l'homme aurait dû avoir lieu et des archives fossiles auraient dû être trouvés. Cependant, il existe une brèche énorme entre les singes et les humains. Les structures squelettiques, les capacités crâniennes, et les critères tels que la démarche droite ou légèrement inclinée vers l'avant distinguent les hommes des singes. (Nous avons mentionné que lors d'une recherche menée en 1994 sur les canaux d'équilibre de l'oreille interne, l'Australopithèque et Homo Habilis étaient classifiés en tant que singes, alors que Homo Erectus était classifié comme humain.)
Une autre découverte de taille prouvant qu'aucun arbre généalogique ne peut exister entre ces espèces différentes, c'est que ces espèces présentées comme étant les ancêtres les unes des autres ont vécu simultanément. Si, comme le prétendent les évolutionnistes, l'Australopithèque s'est transformé en Homo Habilis, qui à son tour s'est transformé en Homo Erectus, les périodes où ces espèces ont vécu auraient dû se suivre. Or, un tel ordre chronologique n'existe pas.
UNE AIGUILLE VIEILLE DE 26 MILLES ANNEES
Un fossile intéressant qui prouve que le Neandertal utilisait les vêtements: une aiguille vielle de 26 milles ans. (D. Johanson, B. Edgar, From Lucy to Language, p. 99)
Selon les estimations des évolutionnistes, les Australopithèques auraient vécu il y a 40 millions d'années jusqu'à 1 million d'années auparavant. Les êtres vivants classés comme Homo Habilis, en revanche, auraient vécu jusqu'à 1,7-1,9 millions d'années auparavant. L'Homo Rudolfensis, supposé avoir été plus "développé" que l'Homo Habilis, est vieux d'entre 2,5 à 2,8 millions d'années. C'est-à-dire que l'Homo Rudolfensis est plus vieux que l'Homo Habilis de presque 1 million d'années, dont il est supposé être "l'ancêtre". En revanche, l'âge de l'Homo Erectus remonte à 1,6-1,8 millions d'années auparavant, ce qui signifie que les spécimens d'Homo Erectus sont apparus sur terre à la même époque que son supposé ancêtre, en l'occurrence l'Homo Habilis.
Alan Walker confirme cet état de fait en affirmant qu'"il existe des preuves en Afrique de l'Est d'une survie tardive d'Australopithèques contemporains premièrement de Homo Habilis puis de Homo Erectus."87 Louis Leakey a trouvé des fossiles d'Australopithèques, d'Homo Habilis et d'Homo Erectus presque à proximité les uns des autres dans la gorge Olduvai, la couche Bed II.88
Il est très peu probable que cet arbre généalogique ait pu exister. Un paléontologue de Harvard, Stephen Jay Gould explique cette impasse de l'évolution même si lui-même est un évolutionniste:
"Qu'est devenue notre échelle s'il existe trois lignées d'hominidés qui coexistent (A. Africanus, le robuste Australopithèque et H. Habilis), aucun n'étant de toute évidence descendu de l'autre? En outre, aucun d'eux ne fait preuve de tendances évolutives durant leur existence sur terre." 89
Lorsque l'on passe de l'Homo Erectus à l'Homo Sapiens, nous observons encore qu'il n'existe pas d'arbre généalogique. Il existe des preuves démontrant que l'Homo Erectus et l'Homo Sapiens archaïques ont continué à vivre jusqu'à 27.000 ans voire 10.000 ans avant notre ère. Dans les marais de Kow en Australie, des crânes d'Homo Erectus ont été découverts. Ils seraient âgés d'environ 13.000 ans. Dans l'île de Java, un crâne vieux de 27.000 ans appartenant à un Homo Erectus a été découvert.90
L'histoire secrète des Homo Sapiens
L'un des principaux périodiques évolutionnistes, Discover, a choisi comme couverture de l'un des numéros un visage humain vieux de 800 milles ans. On pouvait lire comme titre la question suivante: "Ce visage est-il notre passé?"
Le fait le plus célèbre et le plus intéressant qui réfute la base même de cet arbre généalogique imaginaire conçu par la théorie de l'évolution, c'est l'histoire humaine que l'on ne croyait pas si ancienne. Les données paléontologiques ont révélé que les Homo Sapiens qui nous ressemblaient exactement ont vécu il y un million d'années.
C'est grâce à Louis Leakey, le célèbre paléoanthropologue évolutionniste, que l'on a réalisé les premières découvertes à ce sujet. En 1932, dans la région de Kanjera autour du lac Victoria au Kenya, Leakey a découvert plusieurs fossiles appartenant à l'âge Pléistocène moyen. Ces fossiles n'étaient pas si différents de l'homme actuel. Ceci dit, l'âge Pléistocène moyen équivaut à un million d'années auparavant.91 Depuis que ces découvertes ont été réalisées, l'arbre généalogique de l'évolution a été complètement bouleversé, ce qui a poussé certains paléoanthropologues évolutionnistes à ne pas tenir compte de ces découvertes. Or, Leakey a toujours affirmé que ses estimations étaient correctes.
Juste au moment où cette controverse commençait à baisser d'intensité, un fossile découvert en Espagne en 1995 a remarquablement révélé que l'histoire des Homo Sapiens était plus ancienne que ne l'on ne le croyait. Ledit fossile a été découvert dans une grotte appelée Gran Dolina dans la région d'Atapuerca, par trois paléoanthropologues espagnols de l'Université de Madrid. Le fossile en question appartenait au visage d'un enfant de 11 ans qui ressemblait exactement à n'importe quel homme moderne. Ceci dit, cet enfant était mort depuis 800.000 ans. La revue Discover a relaté en détail cet épisode dans son numéro de décembre 1997.
Ce fossile a même fait douter Ferreras, qui dirigeait les travaux d'excavation à Gran Dolina. Il a affirmé:
"Nous nous attendions à quelque chose de grand, quelque chose de large… je veux dire, quelque chose de "primitif"… un peu comme l'enfant de Turkana. Or, ce que l'on a trouvé c'est un visage tout à fait moderne… C'est très étonnant à mon sens. Cela fait partie des choses qui vous bouleversent. Trouver quelque chose d'aussi imprévisible que ça. Non pas trouver de fossiles; trouver des fossiles est tout aussi imprévisible, mais là n'est pas le problème. Ce qui est le plus surprenant c'est de trouver dans le passé quelque chose qui selon vous appartient au présent. C'est comme trouver… un lecteur de cassette dans la Gran Dolina. Ce serait surprenant. On ne s'attend pas à trouver des cassettes et des lecteurs de cassettes à l'âge Pléistocène inférieur. Trouver un visage moderne c'est exactement pareil. Nous étions très surpris lorsque nous l'avons aperçu." 92
Le fossile a souligné le fait que l'histoire de l'Homo Sapiens devait remonter à 800 mille ans auparavant. Après avoir retrouvé leurs esprits suite au premier choc, les évolutionnistes qui ont découvert le fossile ont décidé que celui-ci appartenait à une espèce différente. Car, selon l'arbre généalogique des évolutionnistes, aucun Homo Sapiens n'a pu avoir vécu il y a 800 mille ans. Par conséquent, ils ont créé une espèce imaginaire baptisée "Homo Antecessor" et ont inclus le crâne d'Atapuerca sous cette classification.
La découverte d'une hutte vielle de 1,7 millions d'années avait choqué la communauté scientifique. Cette hutte ressemblait à celle utilisée par certains Africains de nos jours.
Une hutte vielle de 1,7 millions d'années
Il y a eu plusieurs découvertes qui dé-montrent que l'Homo Sapiens remonte à une époque plus ancienne que 800 mille années. L'un d'entre elles c'est la découverte réalisée par Louis Leakey durant les années 1970 dans la gorge d'Olduvai. Dans cet endroit, au niveau de la couche Bed II, Leakey a découvert que l'Australopithèque, l'Homo Habilis et l'Homo Erectus sont des espèces qui ont existé à la même période. Ce qui est d'autant plus intéressant c'est la structure que Leakey a trouvée dans cette même couche (Bed II). En effet, Leakey avait trouvé les restes d'une hutte en pierre. Ce qui était étonnant, c'est que ce type même de construction que l'on retrouve aujourd'hui dans certaines régions d'Afrique ne pouvait être construit que par des Homo Sapiens! Selon les découvertes de Leakey, l'Australopithèque, l'Homo Habilis, l'Homo Erectus, et l'homme moderne ont dû coexister il y a environ 1,7 millions d'années auparavant.93 Cette découverte sape certainement les fondements de la théorie évolutionniste qui prétend que l'homme moderne a évolué à partir d'une créature qui ressemble au singe, comme l'Australopithèque.
Empreintes de pas de l'homme moderne vieilles de 3,6 millions d'années!
En effet, quelques autres découvertes font remonter les origines de l'homme moderne à environ 1,7 millions d'années. L'une des plus importantes d'entre elles consiste dans la découverte des empreintes de pas à Laetoli en Tanzanie par Mary Leakey en 1977. Ces empreintes ont été découvertes dans une couche qui serait, selon les calculs, vieille de 3,6 millions d'années, voire plus. Ces empreintes n'étaient pas différentes de celles de l'homme moderne.
Ces empreintes découvertes par Mary Leakey ont été examinées ensuite par de nombreux paléoanthropologues célèbres, tels Don Johanson et Tim White. Les résultats étaient les mêmes. White a écrit:
"Soyez-en sûrs… Elles sont similaires aux empreintes des pas des humains mo-dernes. Si l'on trouvait une dans le sable d'une plage californienne et que l'on demandait à un enfant de 4 ans ce que c'est, celui-ci dirait immédiatement que quelqu'un a marché ici. Ni lui ni vous ne seriez capable de déterminer la différence entre cette empreinte et des centaines d'autres sur la plage." 94
Les traces de pas de Laetoli appartenaient aux hommes modernes, même s'ils étaient vieux de plusieurs millions d'années.
Après examen des empreintes, Louis Robbins de l'Université de Californie a fait le commentaire suivant:
"La cambrure est surélevée - l'individu de petite taille avait une voûte plantaire plus élevée que la mienne - et le gros orteil est grand et aligné avec le second… Les orteils adhèrent au sol comme le font les orteils humains. Cela n'existe pas chez les autres formes animales." 95
Les examens effectués sur la forme morphologique des empreintes ont démontré encore une fois que ces empreintes étaient humaines, voire plus: elles étaient celles d'un homme moderne (Homo Sapiens). Rusell Tuttle qui a procédé à cet examen a écrit:
"Un Homo Sapiens de petite taille aux pieds nus pouvait avoir laissé ces traces… Dans toutes les caractéristiques morphologiques visibles, il est impossible de différencier les pieds qui ont laissé ces marques de ceux des hommes modernes." 96
Une étude objective de ces empreintes a révélé à qui elles appartenaient réellement. En réalité, ces empreintes consistaient en 20 empreintes fossilisées d'un humain âgé de 10 ans et 27 autres appartenant à un humain encore plus jeune. Ils étaient certainement des individus modernes comme nous-mêmes.
Cette situation a mis les empreintes de Laetoli au centre des discussions pendant des années. Les paléontologues évolutionnistes ont tenté vainement de trouver une explication. Car, il leur était difficile d'accepter l'idée qu'un homme moderne marchait sur terre il y a 3,6 millions d'années. Durant les années 1990, cette "explication" commençait à prendre forme. Les évolutionnistes ont décidé que ces empreintes étaient certainement celles d'un Australopithèque. Car, selon leur théorie, il était impossible qu'une espèce Homo existe 3,6 millions d'années auparavant. Russell H. Tuttle a écrit ce qui suit dans son article publié en 1990:
"En somme, les caractéristiques de l'empreinte vieille de 3,5 millions d'années, trouvée sur le site G à Laetoli ressemblent à celles d'humains modernes déchaussés. Aucune de ces caractéristiques n'indique que les hominidés de Laetoli étaient des bipèdes moins capables que nous autres. Si l'on ne savait pas que les empreintes G étaient si vieilles, nous aurions conclu certainement que ces empreintes ont été laissées par des membres de notre genre Homo… Quoi qu'il en soit, nous devons mettre en suspens la légère supposition que les empreintes de Laetoli ont été laissées par les semblables de Lucy, l'Australopithèque Afarensis." 97
Pour résumer, ces empreintes supposées vieilles de 3,6 millions d'années ne pouvaient pas appartenir à l'Australopithèque. La seule raison pour penser qu'elles auraient pu appartenir à celui-ci c'est qu'elles ont été trouvées dans une couche volcanique vielle de 3,6 millions d'années. Elles ont été attribuées à l'Australopithèque partant du principe que les humains n'auraient pas existé à cette époque si lointaine.
Ces interprétations des empreintes de Laetoli nous démontrent une réalité très importante. Les évolutionnistes consolident leur théorie non pas à travers une réflexion scientifique mais malgré celle-ci. Nous sommes ici devant une théorie défendue de manière aveugle à n'importe quel prix soit en ignorant, soit en manipulant toutes ces découvertes pour servir le dessein des évolutionnistes.
Enfin, la théorie de l'évolution n'est pas de la science, mais plutôt un dogme que l'on soutient en dépit de la science.
La bipédie, impasse de l'évolution
Un autre exemple qui réfute la thèse de l'arbre généalogique établi par les évolutionnistes: une mandibule humaine moderne (Homo Sapiens) vielle de 2,3 millions d'années. Cette mandibule, qui porte le code A.L. 666-1, fut découverte à Hadar en Ethiopie. Les évolutionnistes la qualifie de "découverte très surprenante". (D. Johanson, Blake Edgar, From Lucy to Language, p. 169)
Hormis les archives fossiles que nous avons traitées jusque là, des différences gigantesques distinguent les hommes des singes, ce qui réfute cette fiction qui est l'évolution humaine. L'une de ces différences consiste dans la démarche.
Les humains marchent droit, debout sur leurs deux jambes. C'est une manière très spéciale de se mouvoir que l'on ne connaît pas chez les autres espèces. D'autres animaux ont une capacité limitée de bouger lorsqu'ils se mettent debout sur deux pattes. Les animaux comme les ours, les singes ne peuvent bouger ainsi que très rarement, et pas pour très longtemps, comme lorsqu'ils veulent atteindre une source de nourriture. Normalement, leurs squelettes penchent vers l'avant et ils marchent sur quatre pattes.
Alors, est ce que les bipèdes ont évolué des quadrupèdes comme le prétendent les évolutionnistes?
Bien évidemment non. Les recherches ont démontré que l'évolution de la bipédie n'a jamais eu lieu et qu'elle n'était pas possible de toute manière. Premièrement, la bipédie n'est pas un avantage évolutif. La manière dont bougent les singes est de loin plus facile, plus rapide et plus efficace que la démarche de l'homme. L'homme ne peut pas bouger ni en sautant d'arbre en arbre sans toucher le sol comme le font les chimpanzés, ni courir à 125 km/heure comme un guépard des Indes. Au contraire, puisque l'homme marche sur ses jambes, il se déplace plus lentement sur le sol. De même, et également pour cette raison l'espèce humaine est la moins protégée dans la nature en terme de mouvement et de défense. Selon la logique de l'évolution, les singes n'auraient pas dû évoluer et adopter la démarche des bipèdes: les humains auraient dû en revanche évoluer en quadrupèdes.
Les évolutionnistes se trouvent dans une autre impasse. La bipédie ne sert pas le modèle de "développement progressif" du darwinisme. Celui-ci, qui constitue la base de l'évolution, exige l'existence d'une démarche "hybride" entre celle des bipèdes et des quadrupèdes. Or, avec les recherches assistées par ordinateur menées en 1996 par la pa-léoanthropologue anglais Robin Crompton, celui-ci a démontré qu'une telle démarche "hybride" ne pouvait exister. Crompton a alors déduit ce qui suit: un être vivant peut soit marcher debout ou à quatre pattes.98 Une démarche intermédiaire entre ces deux manières ne peut être possible à cause d'une exigence démesurée en énergie. C'est pour cela qu'il est impossible pour un mi-bipède d'exister.
La gigantesque différence entre l'homme et le singe ne se limite pas uniquement à la bipédie. Plusieurs autres questions restent à ce jour sans réponses. Par exemple, la capacité cérébrale, la parole et ainsi de suite. A ce propos, la paléoanthropologue évolutionniste, Elaine Morgan, avoue ce qui suit:
"Quatre des mystères les plus extraordinaires à propos des humains sont: 1) Pourquoi marchent-ils sur deux jambes? 2) Pourquoi ont-ils perdu leurs fourrures? 3) Pourquoi ont-ils développé des cerveaux aussi grands? 4) Pourquoi ont-ils appris à parler?
Les réponses orthodoxes à ces questions sont: 1) "Nous n'en savons toujours rien" 2) "Nous n'en savons toujours rien" 3) "Nous n'en savons toujours rien" 4) "Nous n'en savons toujours rien". La liste des questions peut être largement plus longue sans pour autant que les réponses n'en deviennent moins monotones." 99
L'évolution: une croyance éloignée de la science
Lord Solly Zuckerman est l'un des scientifiques les plus célèbres et les plus respectés du Royaume Uni. Il a étudié pendant des années les archives fossiles et a conduit plusieurs recherches détaillées. Il a reçu le titre honorifique de "Lord" pour ses contributions à la science. Zuckerman est un évolutionniste. Par conséquent, ses commentaires sur la théorie de l'évolution ne peuvent pas être considérés comme des remarques perverses. Toutefois, après des années de recherches menées sur les archives fossiles incluses dans le scénario de l'évolution humaine, il est arrivé à la conclusion qu'un tel arbre généalogique ne peut exister en réalité.
Zuckerman a également effectué un "éventail scientifique" intéressant. Il a constitué un éventail de disciplines partant de celles qu'il considère scientifiques à celles qu'il ne considère pas en tant que telles. Selon cet éventail, les disciplines les plus "scientifiques" - sur la base de données concrètes - sont la chimie et la physique. Après, figurent la biologie et les sciences sociales. A la fin de la liste, parmi les disciplines "les moins scientifiques", on trouve les conceptions à "perception extrasensorielle" -des concepts comme la télépathie et le sixième sens- puis à la fin "l'évolution humaine". Zukcerman explique ce raisonnement:
"Nous divergeons donc du sentier de la vérité objective vers ceux des sciences biologiques présumées, comme la perception extrasensorielle ou l'interprétation de l'histoire fossile de l'homme, où tout est possible pour celui qui y croit - et où le fervent croyant arrive parfois à croire plusieurs choses contradictoires en même temps." 100
Les recherches récentes ont établi qu'il était impossible pour un quadrupède, à la démarche inclinée, d'évoluer en bipède.
Dans un article rédigé par Robert Lee, l'éditeur de Discovering Archeology, une revue importante qui traite des origines de l'homme, on peut lire: "La recherche des ancêtres humains donne plus de chaleur que de lumière". Il cite les propos d'un paléoanthropologue évolutionniste célèbre, Tim White:"Nous sommes tous frustrés par toutes ces questions auxquelles nous n'arrivons pas à trouver de réponses." 101
L'article traite de l'impasse de la théorie de l'évolution sur les origines de l'homme et l'infondé de la propagande à ce sujet:
"Il n'y a probablement aucun domaine scientifique aussi controversé que la recherche des origines de l'homme. Les grands paléontologues ne s'accordent même pas sur les détails les plus élémentaires de l'arbre généalogique humain. A chaque fois que de nouvelles branches apparaissent, un grand tapage médiatique s'en suit pour que tout cela se révèle faux à la découverte d'un nouveau fossile." 102
Ce même fait a été récemment accepté par l'éditeur de la célèbre revue Nature, Henry Gee. Dans son livre In Search of Deep Time, publié en 1999, Gee considère que les schémas évolutionnistes à propos de l'évolution humaine sont des "inventions humaines créées après les faits et adaptées aux préjugés humains". Il ajoute:
"Prendre une série de fossiles et prétendre que ces derniers représentent une lignée n'est pas une hypothèse scientifique vérifiable, mais plutôt une affirmation dont la validité n'est pas supérieure à celle d'un conte que l'on raconte au lit - amusant peut-être, même instructif, mais sûrement pas scientifique." 103
Pourquoi donc autant de scientifiques s'accrochent-ils à ce dogme? Pourquoi essaient-ils depuis si longtemps de maintenir leur théorie en vie, même au prix de devoir admettre un nombre incalculable de conflits et d'ignorer les preuves qu'ils ont trouvées?
La seule réponse c'est qu'ils craignent le fait qu'ils vont devoir affronter s'ils renoncent à la théorie de l'évolution. Ce fait c'est que l'homme fut créé par Dieu. Ce fait est inacceptable pour eux étant donné les présuppositions et la philosophie matérialiste à laquelle ils croient.
Ainsi, ils racontent des mensonges au monde et à eux-mêmes, en utilisant les médias avec qui ils collaborent. S'ils n'arrivent pas à trouver les fossiles adaptés, ils en "fabriquent" sous forme de dessins imaginaires ou de modèles fictifs afin de tenter de donner l'impression que des fossiles, prouvant la théorie de l'évolution, existent réellement. Une partie des médias qui partage leurs opinions matérialistes tente également de tromper le public en instillant l'histoire de l'évolution dans l'inconscient des individus.
Quoi qu'ils fassent, la vérité est claire: l'homme n'est pas arrivé dans cette existence à travers un processus d'évolution mais plutôt suite à la création divine. Ainsi, celui-ci est responsable envers le Créateur même s'il ne veut pas l'assumer.
le lien http://www.harunyahya.com/fr/evolution09.php
D'OÙ VIENT LA VIE ?
Ecrit le 07 mars07, 05:40LA LÉGENDE DE L'ÉVOLUTION HUMAINE
La théorie de l'évolution affirme également que les humains ont évolué des singes, et donc, les singes sont les ancêtres des humains.
Ni Darwin ni aucun autre évolutionniste n'ont une quelconque preuve pour soutenir leurs revendications. Cette déclaration est totalement fantastique. En réalité, la raison pour mettre en avant une théorie comme celle de l'évolution est d'éloigner les gens de Dieu, qui les a tous créés. Si les gens croient qu'ils sont arrivés par hasard et que leur ancêtre est un animal, alors ils ne ressentiront aucune responsabilité envers Dieu. En retour, ça leur fait oublier toutes leurs valeurs religieuses et ils deviennent égoïstes. Les personnes égoïstes sont dépourvus des sentiments comme l'amour envers leur peuple et leur famille. Vous voyez, les évolutionnistes essayent d'éloigner les gens des sentiments loyaux, et c'est pourquoi ils ont inventé la théorie de l'évolution. Leur but est de faire oublier Dieu aux hommes, et c'est pour cette raison qu'ils disent à tout le monde : "Dieu ne vous a pas créés. Vous descendez des singes, c'est-à-dire que vous êtes un animal développé."
En réalité, Dieu a créé les humains. Comparé aux autres créatures vivantes, l'être humain est la seule qui peut parler, penser, se réjouir, prendre des décisions, fonder des civilisations et communiquer à un niveau avancé. Dieu est Celui qui a donné toutes ces caractéristiques aux humains.
Ni le singe, ni aucune autre créature ne peut parler, réfléchir ou prendre des décisions de la même manière que nous le faisons.
LES ÉVOLUTIONNISTES N'ONT AUCUNE PREUVE POUR MONTRER QUE LES HUMAINS DESCENDENT DES SINGES
Dans le domaine scientifique, il est très important de produire des "preuves". Lorsque vous faites une déclaration, et si vous voulez que les autres y croient, alors vous devez montrer quelques preuves. Par exemple, si vous vous présentez à quelqu'un et dites : "Je m'appelle Omar", puis cette personne dit : "Je ne te crois pas", alors il faudra lui fournir une preuve, comme une carte d'identité, un extrait de naissance, un passeport ou votre bulletin scolaire. Si vous lui en montrez une, elle sera obligée de vous croire.
Donnons maintenant un exemple scientifique. Un scientifique appelé Newton qui vécut au 19ème siècle déclarait qu'il y avait sur terre une force appelée "la gravité". Il répondit à ceux qui lui demandaient comment il avait su cela : "Lorsqu'une pomme tombe d'un arbre, elle tombe par terre. Elle ne s'arrête pas en l'air." Ce qui voulait dire qu'il y a une force qui tire la pomme vers le sol et il l'a appelée "gravité".
Les évolutionnistes doivent donc nous apporter leurs preuves. Par exemple, la théorie de l'évolution dit que les ancêtres des humains sont les singes. Nous devons donc leur demander : "Où avez-vous trouvé cette idée et où sont vos preuves ?"
Si les ancêtres des humains sont les singes, nous devons trouver les fossiles de créatures qui sont moitié humain et moitié singe comme confirmation. Mais de tels fossiles n'ont toujours pas été découverts. Nous avons seulement trouvé des fossiles d'humains ou des fossiles de singes. Ce qui veut dire que les évolutionnistes n'ont absolument aucune preuve que les singes sont nos ancêtres.
Toutefois, les évolutionnistes essayent de duper les gens avec leurs théories. Comment ?
QUELQUES SUPERCHERIES DES ÉVOLUTIONNISTES
1. Les évolutionnistes montrent les fossiles d'espèces de singes disparues comme s'ils appartenaient à des créatures moitié humain, moitié singe.
Vous avez probablement vu des images semblables à celle sur la page à gauche. Vous voyez, en dessinant des images pareilles, les évolutionnistes essayent d'embrouiller les gens. En réalité, de telles créatures n'ont jamais existé. Dans le passé, il y avait des humains complets et des singes complets, comme ceux de nos jours. Aucune des créatures moitié homme, moitié singe du dessin n'ont jamais existé. C'est trop invraisemblable pour que ça puisse arriver et aucun fossile n'a confirmé cette théorie.
Cependant, les évolutionnistes essayent constamment de nouvelles supercheries à ce sujet. Par exemple, alors qu'ils manipulent un fossile qui appartient à une espèce de singes ayant disparu, ils disent que c'est le fossile d'une créature qui était une forme intermédiaire entre les singes et les humains. Comme les gens sont parfois mal informés sur ce sujet, ils finissent par les croire
2. Les évolutionnistes montrent les fossiles d'humains appartenant à différentes espèces comme si c'était des fossiles de créatures moitié homme, moitié singe.
Comme vous le savez, il y a plusieurs groupes ethniques de gens sur terre, comme les Africains, les Chinois, les Indiens peaux-rouges, les Turcs, les Européens, les Arabes et plusieurs autres. Évidemment, les gens appartenant aux différents groupes ethniques ont parfois différentes caractéristiques. Les Chinois, par exemple, ont des yeux qui sont tirés en arrière ; quelques Africains ont des peaux très sombres et des cheveux très frisés. Si vous regardez un Indien peau-rouge ou un Esquimau, vous savez immédiatement qu'ils appartiennent à un groupe ethnique différent. Vous voyez, dans le passé, il y avait des gens de plusieurs autres groupes ethniques et quelques-unes de leurs caractéristiques étaient peut-être différentes de celles des hommes d'aujourd'hui.
Par exemple, les crânes de personnes appartenant à la race néandertalienne étaient plus grands que ceux des personnes vivants aujourd'hui. Leurs muscles étaient beaucoup plus solides que les nôtres.
Les évolutionnistes, cependant, utilisent les différences entre cette race et la nôtre pour tromper les gens. Ils disent, lorsqu'ils trouvent le fossile d'un crâne néandertalien, "Voici le crâne de l'ancêtre de l'humain ayant vécu il y a des dizaines de milliers d'années". Parfois, les fossiles crâniens trouvés sont plus petits que la taille moyenne des crânes humains d'aujourd'hui. En tenant un fossile crânien, les évolutionnistes disent : "Le propriétaire de ce crâne était sur le point de passer de l'état de singe à celui d'humain."
Ce qu'on voit sur ce dessin est aussi impossible que ce qu'affirment les évolutionnistes!
En réalité, même aujourd'hui, il y a des personnes appartenant à différents groupes ethniques qui ont des crânes plus petits que la moyenne. Par exemple, le volume du crâne des Aborigènes (Indigènes Australiens) est vraiment petit, mais ça ne veut pas dire qu'ils sont moitié singe et moitié humain. Ce sont des êtres humains normaux comme vous et tous les autres êtres humains.
Un Indonésien Un Grec Un Chinois Un Indien Un Aborigène
Vous pouvez voir plus haut les différents groupes ethniques vivant sur terre aujourd'hui. Les crânes à gauche appartiennent aussi à différentes races. Les races vivant aujourd'hui ont des crânes aux formes très différentes. Les évolutionnistes ont présenté ces crânes comme étant ceux d'espèces différentes. En réalité, les différences ne viennent pas de l'espèce mais de la race.
(a,b,c) Les races nordiques
(d,e,f) Afro-américains
(g,h,i) Australiens
En conséquence, nous pouvons voir que les fossiles présentés par les évolutionnistes comme autant de preuves du passage du singe à l'homme sont en fait des espèces primitives de singes, ou des races humaines disparues aujourd'hui. Ce qui veut dire que les créatures moitié humaines, moitié singes n'ont jamais existé.
LES PLUS GRANDS CANULARS DES ÉVOLUTIONNISTES
1. LE CANULAR DE L'HOMME DE PILTDOWN :
En 1912, les scientifiques évolutionnistes trouvèrent un os de mâchoire et un fragment de crâne. La mâchoire ressemblait à celle d'un singe et le fragment de crâne à celui d'un humain. D'après les évolutionnistes, cette créature était moitié humaine et moitié singe. On disait que ces pièces remontaient à environ 500.000 ans et que c'étaient des preuves que les humains avaient évolué à partir des singes
Ces os furent présentés comme preuves de l'évolution pendant presque 40 ans, dans différents musées du monde. Cependant, en 1949, quelques tests ont été pratiqués sur ces os, et le résultat fut surprenant : la mâchoire n'avait pas 500.000 ans, mais simplement quelques années. Les os du crâne appartenaient à un fossile d'humain ordinaire et n'avaient qu'un millier d'années.
On a alors réalisé que quelqu'un avait mis une mâchoire de singe sur le crâne d'un humain, et l'avait recouverte de produits chimiques pour qu'elle semble plus vieille.
Lorsque les évolutionnistes n'ont pas pu trouver un fossile, moitié humain moitié singe, ils essayèrent d'en fabriquer un faux.
Cet événement était enregistré dans l'histoire de la science comme la plus grande supercherie perpétrée par des scientifiques.
2. LE CANULAR DE L'HOMME DU NEBRASKA :
L'homme du Nebraska dessiné sur la base d'une seule dent. Il est extraordinaire de constater l'imagination des évolutionnistes.
En 1922, le fossile d'une molaire a été trouvé. Les évolutionnistes ont déclaré que cette dent avait les caractéristiques des humains et celles des singes. Ils ont ensuite imaginé cette créature comme étant entre l'homme et le singe en se basant sur cette dent unique. Quelques évolutionnistes ont même dessiné toute la famille de cette créature imaginaire.
Tous ces dessins ont été faits sur la base d'une seule dent… Réfléchissez un instant. Si une de vos dents tombait, et que quelqu'un qui ne vous a jamais rencontré avant la prenait et vous disait qu'il pouvait dessiner une image exacte de vous en regardant seulement cette dent, le croirez-vous ? Cela ne semblerait-il pas être une farce, s'il disait qu'il pourrait également dessiner votre famille ? Évidemment, c'est complètement insensé d'essayer de faire le dessin d'une créature et de sa famille en regardant seulement une dent unique !
En 1927, il y eut une découverte étonnante. Toutes les autres pièces du squelette de la créature à laquelle appartenait la dent ont été trouvées. Elles n'appartenaient ni à un humain ni à un singe… mais à un cochon.
Cet événement était un vrai désastre pour les évolutionnistes.
Voyez-vous ces dessins ? Chaque évolutionniste a fait différents dessins en regardant le même crâne. Ils ne peuvent pas savoir à quoi ressemblait réellement cette créature tout simplement parce que de telles créatures n'ont jamais existé. Ce sont des fabrications de professeurs adultes ! Que diraient vos amis si, pendant que vous marchez, vous trouviez un os, faisiez un dessin comme ceux-là et disiez: "Je vais vous montrer des dessins de créatures ayant vécu il y a longtemps."
Vous ne ferez probablement jamais une chose pareille, parce que vous savez que cela ne serait pas intelligent. Cependant, pour certaines raisons, les scientifiques évolutionnistes ne peuvent pas comprendre combien une chose pareille est stupide.
Un dessin paru dans le Sunday Time le 5 avril 1964 Le dessin de Maurice Wilson Le dessin de N. Parker du National Geographic en septembre 1960
LES PREUVES QUE LES GENS NE DESCENDENT PAS DES SINGES
1. Les scientifiques ont trouvé des fossiles d'humains ayant vécu il y a très longtemps. Il n'y a aucune différence avec les humains d'aujourd'hui. En plus, selon les évolutionnistes, aucun humain n'était encore formé à cette époque, mais seuls les singes existaient.
Ce crâne vieux de 800.000 ans appartenait à un être humain. Cela prouve que les évolutionnistes fabriquent des canulars.
Par exemple, pendant la fouille d'une caverne en Espagne, les fossiles d'un enfant qui avait vécu il y a environ 800.000 ans, ont été trouvés. Le visage de cet enfant avait les mêmes caractéristiques que celles des enfants aujourd'hui. Cependant, les évolutionnistes affirment qu'aucun humain n'a vécu à cette époque-là mais qu'il n'y avait que des créatures moitié homme, moitié singe. Il était clair lorsque le fossile a été trouvé en Espagne, que les humains avaient existé en tant qu'humains, sans passer par le stade du singe, puisqu'ils ont été créés en premier.
2. Les scientifiques ont découvert les restes d'une hutte en pierre. En calculant son âge, ils ont conclu qu'elle datait d'au moins 1,5 million d'années, c'est-à-dire que les humains qui vécurent, il y a 1,5 million d'années, étaient civilisés à un certain degré. C'étaient des gens ordinaires comme ceux d'aujourd'hui, ce qui rend les déclarations des évolutionnistes complètement insensées.
3. Un des plus anciens fossiles trouvé jusqu'ici est celui de l'enfant du Turkana qui est d'environ 1,6 million d'années. Quand le fossile fut examiné de plus près, on découvrit qu'il appartenait à un humain d'environ 12 ans et qu'il aurait mesuré 1m80 s'il avait atteint l'âge adulte. Ce fossile seul, avec sa ressemblance exacte avec les squelettes humains de nos jours suffisait à détruire la croyance que les humains ont pour origine des singes.
4. Les humains, parmi toutes les créatures vivantes, sont les seules à pouvoir marcher sur leurs deux pieds. Les animaux comme le cheval, le chien et le singe ont quatre pattes, d'autres comme les serpents, les crocodiles et les lézards sont des reptiles.
La théorie de l'évolution dit qu'il y a des millions d'années, des singes à quatre pattes ont changé leur façon de marcher en une position courbée. Les singes continuaient à marcher courbés jusqu'à ce que leur démarche soit devenue droite, ce qui a engendré la forme humaine. Ces déclarations faites par la théorie de l'évolution ne se basent pas sur une preuve scientifique, mais plutôt sur une imagination totale. Des études faites par des scientifiques ces dernières années ont prouvé que cette déclaration des évolutionnistes est une absurdité non scientifique !
Il est impossible pour des singes qui marchent à 4 pattes, de devenir des êtres humains qui marchent droits sur leurs 2 jambes.
Des études ont montré que les créatures utilisent mieux leurs énergies lorsqu'elles marchent soit sur deux pattes soit sur quatre pattes, et dépensent deux fois cette énergie lorsqu'elles essayent de marcher courbées ou en dehors de leur posture naturelle.
Pourquoi les singes auraient marché courbés, dépensant deux fois plus d'énergie, pendant des milliers d'années ? Ce serait pareil si un adulte humain essayait de ramper avec une grande charge sur son dos. En étant capable de marcher confortablement sur vos deux pieds, décideriez-vous subitement de faire le poirier et de marcher dorénavant sur les mains ? Évidemment, aucune créature ne voudrait passer d'une démarche confortable à une qui ne l'est pas. Dieu a créé chaque créature avec l'habileté à bouger de la manière la plus confortable.
En conclusion, la théorie de l'évolution ne peut pas répondre à la question : "Pourquoi des singes à quatre pattes ont-ils décidé un jour de ne marcher que sur deux ?"
LA PLUS GRANDE DIFFÉRENCE
La plus grande différence entre les singes et les humains est que ces derniers ont des âmes et les singes n'en ont pas. Ils ont aussi une conscience : ils réfléchissent, parlent en transmettant leurs pensées aux autres grâce à des phrases rationnelles, prennent des décisions, sentent, développent des goûts, connaissent l'art, la peinture, composent des chansons, chantent, sont pleins d'amour et possèdent des valeurs morales. Toutes ces facultés sont particulières à l'âme humaine. Les animaux n'ont pas d'âmes. Personne d'autre qu'un humain ne pourrait avoir ces caractéristiques uniques.
Ne serait-il pas absurde d'affirmer que les humains descendent des pieuvres parce que les yeux d'une pieuvre ressemblent à ceux d'un humain ?
Pour ressembler à un humain, un singe doit passer par plusieurs changements physiques et devrait avoir les autres facultés particulières aux êtres humains. Y a-t-il une force dans la nature qui peut donner la faculté de peindre ou de penser à un singe ? Bien sûr que non !
Dieu a uniquement créé les humains avec des habiletés pareilles et Il ne les a pas données aux animaux. L'être humain est un homme à part entière depuis le jour de sa création. Les poissons ont toujours été des poissons et les oiseaux ont toujours été des oiseaux. Aucune créature n'est l'ancêtre de l'autre. Dieu est le Créateur de tous les humains et de tous les autres êtres vivants.
La raison pour laquelle les évolutionnistes déclarent que les hommes ont pour origine des singes est la ressemblance physique entre les deux. Cependant, d'autres créatures sur terre ressemblent de plus près aux humains. Par exemple, le perroquet sur la photo peut parler. Les pieuvres ont des yeux comme ceux des humains. Les chats et les chiens écoutent et obéissent aux ordres comme une personne. Que penserez-vous si quelqu'un disait que les humains ont pour origine des chiens, des perroquets ou des pieuvres ? Vous voyez, il n'y a aucune différence entre cette idée et les histoires fabriquées par les évolutionnistes.
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La théorie de l'évolution affirme également que les humains ont évolué des singes, et donc, les singes sont les ancêtres des humains.
Ni Darwin ni aucun autre évolutionniste n'ont une quelconque preuve pour soutenir leurs revendications. Cette déclaration est totalement fantastique. En réalité, la raison pour mettre en avant une théorie comme celle de l'évolution est d'éloigner les gens de Dieu, qui les a tous créés. Si les gens croient qu'ils sont arrivés par hasard et que leur ancêtre est un animal, alors ils ne ressentiront aucune responsabilité envers Dieu. En retour, ça leur fait oublier toutes leurs valeurs religieuses et ils deviennent égoïstes. Les personnes égoïstes sont dépourvus des sentiments comme l'amour envers leur peuple et leur famille. Vous voyez, les évolutionnistes essayent d'éloigner les gens des sentiments loyaux, et c'est pourquoi ils ont inventé la théorie de l'évolution. Leur but est de faire oublier Dieu aux hommes, et c'est pour cette raison qu'ils disent à tout le monde : "Dieu ne vous a pas créés. Vous descendez des singes, c'est-à-dire que vous êtes un animal développé."
En réalité, Dieu a créé les humains. Comparé aux autres créatures vivantes, l'être humain est la seule qui peut parler, penser, se réjouir, prendre des décisions, fonder des civilisations et communiquer à un niveau avancé. Dieu est Celui qui a donné toutes ces caractéristiques aux humains.
Ni le singe, ni aucune autre créature ne peut parler, réfléchir ou prendre des décisions de la même manière que nous le faisons.
LES ÉVOLUTIONNISTES N'ONT AUCUNE PREUVE POUR MONTRER QUE LES HUMAINS DESCENDENT DES SINGES
Dans le domaine scientifique, il est très important de produire des "preuves". Lorsque vous faites une déclaration, et si vous voulez que les autres y croient, alors vous devez montrer quelques preuves. Par exemple, si vous vous présentez à quelqu'un et dites : "Je m'appelle Omar", puis cette personne dit : "Je ne te crois pas", alors il faudra lui fournir une preuve, comme une carte d'identité, un extrait de naissance, un passeport ou votre bulletin scolaire. Si vous lui en montrez une, elle sera obligée de vous croire.
Donnons maintenant un exemple scientifique. Un scientifique appelé Newton qui vécut au 19ème siècle déclarait qu'il y avait sur terre une force appelée "la gravité". Il répondit à ceux qui lui demandaient comment il avait su cela : "Lorsqu'une pomme tombe d'un arbre, elle tombe par terre. Elle ne s'arrête pas en l'air." Ce qui voulait dire qu'il y a une force qui tire la pomme vers le sol et il l'a appelée "gravité".
Les évolutionnistes doivent donc nous apporter leurs preuves. Par exemple, la théorie de l'évolution dit que les ancêtres des humains sont les singes. Nous devons donc leur demander : "Où avez-vous trouvé cette idée et où sont vos preuves ?"
Si les ancêtres des humains sont les singes, nous devons trouver les fossiles de créatures qui sont moitié humain et moitié singe comme confirmation. Mais de tels fossiles n'ont toujours pas été découverts. Nous avons seulement trouvé des fossiles d'humains ou des fossiles de singes. Ce qui veut dire que les évolutionnistes n'ont absolument aucune preuve que les singes sont nos ancêtres.
Toutefois, les évolutionnistes essayent de duper les gens avec leurs théories. Comment ?
QUELQUES SUPERCHERIES DES ÉVOLUTIONNISTES
1. Les évolutionnistes montrent les fossiles d'espèces de singes disparues comme s'ils appartenaient à des créatures moitié humain, moitié singe.
Vous avez probablement vu des images semblables à celle sur la page à gauche. Vous voyez, en dessinant des images pareilles, les évolutionnistes essayent d'embrouiller les gens. En réalité, de telles créatures n'ont jamais existé. Dans le passé, il y avait des humains complets et des singes complets, comme ceux de nos jours. Aucune des créatures moitié homme, moitié singe du dessin n'ont jamais existé. C'est trop invraisemblable pour que ça puisse arriver et aucun fossile n'a confirmé cette théorie.
Cependant, les évolutionnistes essayent constamment de nouvelles supercheries à ce sujet. Par exemple, alors qu'ils manipulent un fossile qui appartient à une espèce de singes ayant disparu, ils disent que c'est le fossile d'une créature qui était une forme intermédiaire entre les singes et les humains. Comme les gens sont parfois mal informés sur ce sujet, ils finissent par les croire
2. Les évolutionnistes montrent les fossiles d'humains appartenant à différentes espèces comme si c'était des fossiles de créatures moitié homme, moitié singe.
Comme vous le savez, il y a plusieurs groupes ethniques de gens sur terre, comme les Africains, les Chinois, les Indiens peaux-rouges, les Turcs, les Européens, les Arabes et plusieurs autres. Évidemment, les gens appartenant aux différents groupes ethniques ont parfois différentes caractéristiques. Les Chinois, par exemple, ont des yeux qui sont tirés en arrière ; quelques Africains ont des peaux très sombres et des cheveux très frisés. Si vous regardez un Indien peau-rouge ou un Esquimau, vous savez immédiatement qu'ils appartiennent à un groupe ethnique différent. Vous voyez, dans le passé, il y avait des gens de plusieurs autres groupes ethniques et quelques-unes de leurs caractéristiques étaient peut-être différentes de celles des hommes d'aujourd'hui.
Par exemple, les crânes de personnes appartenant à la race néandertalienne étaient plus grands que ceux des personnes vivants aujourd'hui. Leurs muscles étaient beaucoup plus solides que les nôtres.
Les évolutionnistes, cependant, utilisent les différences entre cette race et la nôtre pour tromper les gens. Ils disent, lorsqu'ils trouvent le fossile d'un crâne néandertalien, "Voici le crâne de l'ancêtre de l'humain ayant vécu il y a des dizaines de milliers d'années". Parfois, les fossiles crâniens trouvés sont plus petits que la taille moyenne des crânes humains d'aujourd'hui. En tenant un fossile crânien, les évolutionnistes disent : "Le propriétaire de ce crâne était sur le point de passer de l'état de singe à celui d'humain."
Ce qu'on voit sur ce dessin est aussi impossible que ce qu'affirment les évolutionnistes!
En réalité, même aujourd'hui, il y a des personnes appartenant à différents groupes ethniques qui ont des crânes plus petits que la moyenne. Par exemple, le volume du crâne des Aborigènes (Indigènes Australiens) est vraiment petit, mais ça ne veut pas dire qu'ils sont moitié singe et moitié humain. Ce sont des êtres humains normaux comme vous et tous les autres êtres humains.
Un Indonésien Un Grec Un Chinois Un Indien Un Aborigène
Vous pouvez voir plus haut les différents groupes ethniques vivant sur terre aujourd'hui. Les crânes à gauche appartiennent aussi à différentes races. Les races vivant aujourd'hui ont des crânes aux formes très différentes. Les évolutionnistes ont présenté ces crânes comme étant ceux d'espèces différentes. En réalité, les différences ne viennent pas de l'espèce mais de la race.
(a,b,c) Les races nordiques
(d,e,f) Afro-américains
(g,h,i) Australiens
En conséquence, nous pouvons voir que les fossiles présentés par les évolutionnistes comme autant de preuves du passage du singe à l'homme sont en fait des espèces primitives de singes, ou des races humaines disparues aujourd'hui. Ce qui veut dire que les créatures moitié humaines, moitié singes n'ont jamais existé.
LES PLUS GRANDS CANULARS DES ÉVOLUTIONNISTES
1. LE CANULAR DE L'HOMME DE PILTDOWN :
En 1912, les scientifiques évolutionnistes trouvèrent un os de mâchoire et un fragment de crâne. La mâchoire ressemblait à celle d'un singe et le fragment de crâne à celui d'un humain. D'après les évolutionnistes, cette créature était moitié humaine et moitié singe. On disait que ces pièces remontaient à environ 500.000 ans et que c'étaient des preuves que les humains avaient évolué à partir des singes
Ces os furent présentés comme preuves de l'évolution pendant presque 40 ans, dans différents musées du monde. Cependant, en 1949, quelques tests ont été pratiqués sur ces os, et le résultat fut surprenant : la mâchoire n'avait pas 500.000 ans, mais simplement quelques années. Les os du crâne appartenaient à un fossile d'humain ordinaire et n'avaient qu'un millier d'années.
On a alors réalisé que quelqu'un avait mis une mâchoire de singe sur le crâne d'un humain, et l'avait recouverte de produits chimiques pour qu'elle semble plus vieille.
Lorsque les évolutionnistes n'ont pas pu trouver un fossile, moitié humain moitié singe, ils essayèrent d'en fabriquer un faux.
Cet événement était enregistré dans l'histoire de la science comme la plus grande supercherie perpétrée par des scientifiques.
2. LE CANULAR DE L'HOMME DU NEBRASKA :
L'homme du Nebraska dessiné sur la base d'une seule dent. Il est extraordinaire de constater l'imagination des évolutionnistes.
En 1922, le fossile d'une molaire a été trouvé. Les évolutionnistes ont déclaré que cette dent avait les caractéristiques des humains et celles des singes. Ils ont ensuite imaginé cette créature comme étant entre l'homme et le singe en se basant sur cette dent unique. Quelques évolutionnistes ont même dessiné toute la famille de cette créature imaginaire.
Tous ces dessins ont été faits sur la base d'une seule dent… Réfléchissez un instant. Si une de vos dents tombait, et que quelqu'un qui ne vous a jamais rencontré avant la prenait et vous disait qu'il pouvait dessiner une image exacte de vous en regardant seulement cette dent, le croirez-vous ? Cela ne semblerait-il pas être une farce, s'il disait qu'il pourrait également dessiner votre famille ? Évidemment, c'est complètement insensé d'essayer de faire le dessin d'une créature et de sa famille en regardant seulement une dent unique !
En 1927, il y eut une découverte étonnante. Toutes les autres pièces du squelette de la créature à laquelle appartenait la dent ont été trouvées. Elles n'appartenaient ni à un humain ni à un singe… mais à un cochon.
Cet événement était un vrai désastre pour les évolutionnistes.
Voyez-vous ces dessins ? Chaque évolutionniste a fait différents dessins en regardant le même crâne. Ils ne peuvent pas savoir à quoi ressemblait réellement cette créature tout simplement parce que de telles créatures n'ont jamais existé. Ce sont des fabrications de professeurs adultes ! Que diraient vos amis si, pendant que vous marchez, vous trouviez un os, faisiez un dessin comme ceux-là et disiez: "Je vais vous montrer des dessins de créatures ayant vécu il y a longtemps."
Vous ne ferez probablement jamais une chose pareille, parce que vous savez que cela ne serait pas intelligent. Cependant, pour certaines raisons, les scientifiques évolutionnistes ne peuvent pas comprendre combien une chose pareille est stupide.
Un dessin paru dans le Sunday Time le 5 avril 1964 Le dessin de Maurice Wilson Le dessin de N. Parker du National Geographic en septembre 1960
LES PREUVES QUE LES GENS NE DESCENDENT PAS DES SINGES
1. Les scientifiques ont trouvé des fossiles d'humains ayant vécu il y a très longtemps. Il n'y a aucune différence avec les humains d'aujourd'hui. En plus, selon les évolutionnistes, aucun humain n'était encore formé à cette époque, mais seuls les singes existaient.
Ce crâne vieux de 800.000 ans appartenait à un être humain. Cela prouve que les évolutionnistes fabriquent des canulars.
Par exemple, pendant la fouille d'une caverne en Espagne, les fossiles d'un enfant qui avait vécu il y a environ 800.000 ans, ont été trouvés. Le visage de cet enfant avait les mêmes caractéristiques que celles des enfants aujourd'hui. Cependant, les évolutionnistes affirment qu'aucun humain n'a vécu à cette époque-là mais qu'il n'y avait que des créatures moitié homme, moitié singe. Il était clair lorsque le fossile a été trouvé en Espagne, que les humains avaient existé en tant qu'humains, sans passer par le stade du singe, puisqu'ils ont été créés en premier.
2. Les scientifiques ont découvert les restes d'une hutte en pierre. En calculant son âge, ils ont conclu qu'elle datait d'au moins 1,5 million d'années, c'est-à-dire que les humains qui vécurent, il y a 1,5 million d'années, étaient civilisés à un certain degré. C'étaient des gens ordinaires comme ceux d'aujourd'hui, ce qui rend les déclarations des évolutionnistes complètement insensées.
3. Un des plus anciens fossiles trouvé jusqu'ici est celui de l'enfant du Turkana qui est d'environ 1,6 million d'années. Quand le fossile fut examiné de plus près, on découvrit qu'il appartenait à un humain d'environ 12 ans et qu'il aurait mesuré 1m80 s'il avait atteint l'âge adulte. Ce fossile seul, avec sa ressemblance exacte avec les squelettes humains de nos jours suffisait à détruire la croyance que les humains ont pour origine des singes.
4. Les humains, parmi toutes les créatures vivantes, sont les seules à pouvoir marcher sur leurs deux pieds. Les animaux comme le cheval, le chien et le singe ont quatre pattes, d'autres comme les serpents, les crocodiles et les lézards sont des reptiles.
La théorie de l'évolution dit qu'il y a des millions d'années, des singes à quatre pattes ont changé leur façon de marcher en une position courbée. Les singes continuaient à marcher courbés jusqu'à ce que leur démarche soit devenue droite, ce qui a engendré la forme humaine. Ces déclarations faites par la théorie de l'évolution ne se basent pas sur une preuve scientifique, mais plutôt sur une imagination totale. Des études faites par des scientifiques ces dernières années ont prouvé que cette déclaration des évolutionnistes est une absurdité non scientifique !
Il est impossible pour des singes qui marchent à 4 pattes, de devenir des êtres humains qui marchent droits sur leurs 2 jambes.
Des études ont montré que les créatures utilisent mieux leurs énergies lorsqu'elles marchent soit sur deux pattes soit sur quatre pattes, et dépensent deux fois cette énergie lorsqu'elles essayent de marcher courbées ou en dehors de leur posture naturelle.
Pourquoi les singes auraient marché courbés, dépensant deux fois plus d'énergie, pendant des milliers d'années ? Ce serait pareil si un adulte humain essayait de ramper avec une grande charge sur son dos. En étant capable de marcher confortablement sur vos deux pieds, décideriez-vous subitement de faire le poirier et de marcher dorénavant sur les mains ? Évidemment, aucune créature ne voudrait passer d'une démarche confortable à une qui ne l'est pas. Dieu a créé chaque créature avec l'habileté à bouger de la manière la plus confortable.
En conclusion, la théorie de l'évolution ne peut pas répondre à la question : "Pourquoi des singes à quatre pattes ont-ils décidé un jour de ne marcher que sur deux ?"
LA PLUS GRANDE DIFFÉRENCE
La plus grande différence entre les singes et les humains est que ces derniers ont des âmes et les singes n'en ont pas. Ils ont aussi une conscience : ils réfléchissent, parlent en transmettant leurs pensées aux autres grâce à des phrases rationnelles, prennent des décisions, sentent, développent des goûts, connaissent l'art, la peinture, composent des chansons, chantent, sont pleins d'amour et possèdent des valeurs morales. Toutes ces facultés sont particulières à l'âme humaine. Les animaux n'ont pas d'âmes. Personne d'autre qu'un humain ne pourrait avoir ces caractéristiques uniques.
Ne serait-il pas absurde d'affirmer que les humains descendent des pieuvres parce que les yeux d'une pieuvre ressemblent à ceux d'un humain ?
Pour ressembler à un humain, un singe doit passer par plusieurs changements physiques et devrait avoir les autres facultés particulières aux êtres humains. Y a-t-il une force dans la nature qui peut donner la faculté de peindre ou de penser à un singe ? Bien sûr que non !
Dieu a uniquement créé les humains avec des habiletés pareilles et Il ne les a pas données aux animaux. L'être humain est un homme à part entière depuis le jour de sa création. Les poissons ont toujours été des poissons et les oiseaux ont toujours été des oiseaux. Aucune créature n'est l'ancêtre de l'autre. Dieu est le Créateur de tous les humains et de tous les autres êtres vivants.
La raison pour laquelle les évolutionnistes déclarent que les hommes ont pour origine des singes est la ressemblance physique entre les deux. Cependant, d'autres créatures sur terre ressemblent de plus près aux humains. Par exemple, le perroquet sur la photo peut parler. Les pieuvres ont des yeux comme ceux des humains. Les chats et les chiens écoutent et obéissent aux ordres comme une personne. Que penserez-vous si quelqu'un disait que les humains ont pour origine des chiens, des perroquets ou des pieuvres ? Vous voyez, il n'y a aucune différence entre cette idée et les histoires fabriquées par les évolutionnistes.
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