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Le dialogue interreligieux est une forme organisée de dialogue entre des religions ou spiritualités différentes. Ultérieurement, la religion a considéré l'autre comme n'étant pas la vérité révélée. C'est ainsi que les premiers contacts entre l'islam et le christianisme furent souvent difficiles, et donnèrent lieu à des guerres impitoyables comme les croisades.
MonstreLePuissant a écrit :Le christianisme en lui-même n'a rien changé à l'esclavage. Jésus n'était pas venu faire de la politique.
Pour le reste, on risque de se "battre" longtemps. Je ne voit pas la raison de cette colère: tout le monde reconnais que l'esclavage c'est mal non?
Le Coran est un livre de la loi, comme l'ancien testament, il est normal qu'il traite de droit sur quelque chose d'admis à l'époque. L'esclavage, maintenant ca n'as plus lieu d'être.
D'ailleur si je lit le lien d'Eowyn, je suis rassuré de constater que les esclavagistes qui reste ne sont pas "sans foi ni loi", et organise des libèration d'esclave. Le Coran est une avancée historique au 7ème siècle, ca je ne le nit pas.
Sinon, quelqu'un a t'il visionner le court metrage intitulé "l'ïle aux fleurs"?
je comprend donc que le chritiannisme n'a pas traiter les problèmes sociaux,ou sinon il fallait suivre les lois de judaisme.
je pense qu'il fallait appliquer la laicité à l'époque de jesus .
c'est ça la grande différence entre l'islam et le chritiannisme
mais je veut savoir est ce que jesus a traité ce sujet
ne me dite pas que jesus ne s'interessait pas au problèmes de la société
bercam a écrit :... y avait-il parmis les noirs esclaves des "MUSULMANS" ??????????????('(flag)')
Dès que le "centre administratif" de l'islam s'est déporté à Badgad (je ne me rappelle plus de mémoire sous quel Calife), la ville de La Mecque a du trouver de nouvelles ressources.
Rapidement trouvé : le pélerinage, bien sûr, et qui perdure encore de nos jours et l'esclavage. C'est devenu, et même bien après le déclin de la civisation musulmane, un énorme centre de "formation" d'esclaves.
Ils étaient "recrutés" (??) essentiellement au nord des pays slaves et surtout en Afrique.
Dès le début, conversion, apprentissage rapide de quelques expressions en arabe et hop, direction tout le bassin méditerranéen pour la revente.
Alors, pour répondre à ta question : oui, les esclaves noirs étaient (de force) normalement musulmans.
Mais ne considérer ces faits que dans le contexte historique et surtout pas dans le sens des droits de l'homme tels que nous les entendons aujourd'hui.
Ceux qui s'y hasarderaient risquent de se voir opposer fermement qu'à l'époque de Mahomet, par exemple, en France, le roi était Dagobert et là, le niveau des droits de l'homme se rapprochait quand même plus de l'ampalation et de la torture qu'autre chose.
Carpe Diem a écrit :Bonjour,
Dès que le "centre administratif" de l'islam s'est déporté à Badgad (je ne me rappelle plus de mémoire sous quel Calife), la ville de La Mecque a du trouver de nouvelles ressources.
Rapidement trouvé : le pélerinage, bien sûr, et qui perdure encore de nos jours et l'esclavage. C'est devenu, et même bien après le déclin de la civisation musulmane, un énorme centre de "formation" d'esclaves.
Ils étaient "recrutés" (??) essentiellement au nord des pays slaves et surtout en Afrique.
Dès le début, conversion, apprentissage rapide de quelques expressions en arabe et hop, direction tout le bassin méditerranéen pour la revente.
Alors, pour répondre à ta question : oui, les esclaves noirs étaient (de force) normalement musulmans.
Mais ne considérer ces faits que dans le contexte historique et surtout pas dans le sens des droits de l'homme tels que nous les entendons aujourd'hui.
Ceux qui s'y hasarderaient risquent de se voir opposer fermement qu'à l'époque de Mahomet, par exemple, en France, le roi était Dagobert et là, le niveau des droits de l'homme se rapprochait quand même plus de l'ampalation et de la torture qu'autre chose.
@++
Exposition itinérante d'anciens manuscrits africains aux Etats-Unis
Après Washington, cette exposition s'ouvrira à Jackson (Mississippi).
Par Bruce Greenberg
Rédacteur du « Washington File »
Washington - Organisée en 2003 à la Bibliothèque du Congrès, une exposition de manuscrits de Tombouctou (Mali) vieux de quatre cents ans s'ouvrira à l'automne prochain à Jackson (Mississippi), puis dans plusieurs autres villes des Etats-Unis.
En décembre 2004, le service des expositions de la Bibliothèque du Congrès a annoncé un accord avec le Musée international des cultures musulmanes de Jackson au sujet de la présentation de l'exposition intitulée « Les anciens manuscrits de Tombouctou, merveilles de la parole écrite ». Cette collection d'anciens manuscrits, qui font partie de centaines de milliers de documents récemment redécouverts au Mali, a été apportée aux Etats-Unis avec l'aide du fonds des ambassadeurs pour la sauvegarde de biens culturels, qui relève du département d'Etat, ainsi qu'avec celle du gouvernement malien.
Rédigés en arabe, en hébreu et en grec, ces manuscrits datent de la période allant du XVIe siècle au XVIIIe. Ils proviennent de la Bibliothèque commémorative Mamma Haidara et de la Bibliothèque Cheikh Zayni Baye de Tombouctou.
Ville connue pour sa couleur locale, Tombouctou a été pendant des siècles un centre religieux, culturel et commercial important de l'Islam ainsi qu'un lieu de production de livres islamiques. La parole écrite accompagnée d'une calligraphie très élaborée a encouragé un secteur de vente de livres dont l'importance était supérieure à celle des autres branches d'activité de la ville.
Selon Mme Stéphanie Diakite, archiviste de la Bibliothèque du Congrès, l'achat et la vente de ces livres étaient plus importants à Tombouctou que toute forme de commerce, y compris le commerce de l'or et des esclaves. « Ces ouvrages (...) reflètent les pensées et les croyances de la population à cette époque-là et (...) constituent une source importante pour l'étude de l'histoire sociale de l'Afrique musulmane », a-t-elle dit.
Les manuscrits qui font partie de l'exposition comprennent des traités portant sur des sujets aussi divers que la médecine, la science, la religion, l'histoire et le commerce, sujets qui revêtaient une grande importance dans la vie intellectuelle de l'Islam et de l'époque. Un grand nombre d'entre eux étaient restés dans des collections privées après avoir été sauvegardés avec zèle par des familles maliennes pendant la période coloniale de manière à empêcher les Européens de s'en emparer.
Ils constituent également un registre des hauts et bas des premières civilisations islamiques telles qu'elles existaient dans les régions du Proche-Orient et de la Méditerranée, notamment dans une grande partie de l'Espagne du temps des Maures.
Mme Diakite a souligné l'importance que revêtait à l'heure actuelle la tâche consistant à collectionner, à restaurer, à sauvegarder et à mettre à la disposition du public cette riche source de traditions et d'histoire afro-islamiques. « Nous ferions bien d'étudier ces documents car ils offrent un modèle particulier de l'Islam, fondé en grande partie sur des préceptes de tolérance sociale et sur l'intégration des divers groupes ethniques, raciaux et idéologiques. »
Cela décrit exactement le but du Musée international des cultures musulmanes pour la présentation de cette exposition à un plus grand nombre d'Américains, a indiqué la directrice générale de ce musée, Mme Okolo Rashid.
Ce musée a pour vocation d'informer le grand public de la contribution des musulmans américains et de l'islam en général dans les domaines religieux et culturel, ainsi que de mieux faire connaître la diversité culturelle et religieuse du Mississippi et du rôle que les musulmans ont joué dans l'histoire de cet Etat et dans son économie.
Grâce à cette exposition itinérante, a déclaré le cofondateur du musée, M. Emad Al-Turk, qui est aussi le président de son conseil d'administration, « nous tenons à montrer les liens entre l'Afrique et les Etats-Unis, en ce qui concerne l'esclavage en Afrique et l'esclavage en Amérique, la traite transatlantique des esclaves et la traite subsaharienne des esclaves, la propagation de l'islam en Afrique subsaharienne et sa propagation aux Etats-Unis grâce aux esclaves de religion musulmane. »
L'exposition, a-t-il dit, sera accompagnée d'un spectacle multimédia interactif qui relatera l'histoire de certains des voyageurs de l'époque en présentant des manuscrits portant sur l'esclavage et le commerce qui seront lus.
Le Musée international des cultures musulmanes prépare aussi une grande exposition intitulée « L'âge d'or de l'Afrique et son legs en Amérique : l'influence islamique » qui s'ouvrira en 2007. Cette exposition aura davantage trait à l'histoire de l'Islam en Afrique, à la contribution des musulmans africains dans les domaines culturel et intellectuel et à la propagation de l'islam dans tout le continent américain, grâce essentiellement à la traite des esclaves africains.
nerjes a écrit :la question etait comment le chritiannisme traite le problème de l'esclavage
Je ne suis pas chrétien mais cela ne m'empêche pas de donner quand même mon avis sur cette question.
Les textes chrétiens parlent en effet de l'esclavage. Sauf oubli de ma part, il me semble que ce point n'est pas codifié réellement.
Mais de toute façon, le christianisme a évolué, je veux dire que les croyants ont suivi l'évolution (Aïe ! ce terme ne va pas plaire) normale qui sied à tout peuple utilisant son cerveau de façon rationnelle.
Et je ne peux pas m'empêcher de signaler au passage que ce n'est pas (encore) le cas pour l'islam (au moins pour ce qui est de l'esclavage).
Mais aux chrétiens d'affirmer ou d'infirmer mes propos.
Serviteurs [esclaves dans certaines traductions], soyez soumis avec une profonde crainte à vos maîtres, non seulement aux bons et aux doux, mais aussi aux acariâtres [injustes et cruels dans certaines traductions].
Car c'est une grâce de supporter, par respect pour Dieu, des peines que l'on souffre injustement.
Quelle gloire y a-t-il, en effet, à supporter les coups si vous avez commis une faute ? Mais si, après avoir fait le bien, vous souffrez avec patience, c'est là une grâce aux yeux de Dieu.
Première Lettre de Pierre, 2:18-20
Vive l'esclavage !
Esclaves, obéissez en tout à vos maîtres d'ici-bas. Servez-les, non parce qu'on vous surveille, comme si vous cherchiez à plaire aux hommes, mais avec la simplicité de coeur de ceux qui craignent le Seigneur.
Quel que soit votre travail, faites-le de bon coeur, comme pour le Seigneur, et non pour les hommes, sachant que vous recevrez du Seigneur l'héritage en récompense. Le Maître, c'est le Christ ; vous êtes à son service.
Lettre de Paul aux Colossiens, 3:22,25
Le doute est levé. La Bible, ancien et nouveau testaments, est pro-esclavagiste. Vous chercherez en vain une quelconque condamnation de l'esclavage dans ces livres.
Et les versets ci-dessus seront enseignés aux esclaves arrivant dans les Antilles françaises et en Amérique, à qui des clercs chrétiens expliqueront que si ils sont pas obéissants, il subiront après leur mort les tourments de l'enfer, alors que le paradis attend les esclaves obéissants. L'article 2 du Code Noir français de Louis XIV imposera d'ailleurs le catholicisme comme religion unique pour les esclaves de toutes les colonies françaises.
Bercam voici ce que les chrétiens croient tiré du logiciel de mon mari..!
Esclave L’esclavage date de l’antiquité. Il y avait plusieurs manières d’acquérir des esclaves: 1. En faisant des prisonniers, surtout lors des guerres. #Nu 31.9; 2Ki 5.2 (Guerre 3.4.1; 6.9.2) 2. Par achat auprès des marchands d’esclaves #Ge 17.27; 37.28, 36; Eze 27.13 3. Par les naissances d’esclaves, survenues dans la maison du maître. #Ge 17.12 4. En vertu du système de compensation: le voleur, incapable de restituer ce qu’il avait dérobé, était vendu comme esclave; de même, et contrairement à l’esprit de la loi mosaïque, le débiteur insolvable, ou ses enfants #Ex 22.2; 2Ki 4.1; Ne 5.5, 8; Am 2.6; Mt 18.25 5. Les Israélites indigents pouvaient se vendre volontairement ou vendre leurs filles. #Ex 21.2, 7; Le 25.39, 47 - Le prix d’un esclave varia selon l’époque et les circonstances. La législation hébr. prévoyait le payement de 30 sicles au maître d’un esclave décédé à cause de la négligence d’un tiers. #Ex 21.32 Au IIIe s. av. J.-C., les esclaves juifs d’Alexandrie se vendaient à peu près le même prix: 120 drachmes (Ant. 12.2.3). Joseph âgé de 17 ans, fut acquis pour 20 sicles. #Ge 37.28 - Le statut légal d’un esclave hébr. était fort différent de celui d’un esclave étranger. S’il le désirait, l’esclave hébr. pouvait être affranchi après 6 ans d’assujettissement. On ne devait pas le rudoyer, ni le laisser partir les mains vides. Quand l’Israélite s’était vendu volontairement à un étranger séjournant dans le pays, il pouvait se libérer dès qu’il disposait de la somme stipulée légalement pour le rachat. #Ex 21.2-6; Le 25.43, 47-55; Jer 34.8-16 Les droits de la jeune fille israélite vendue par son père étaient sauvegardés grâce à des ordonnances particulières. #Ex 21.7-11 L’année du Jubilé libérait tous les esclaves hébr.: ceux qui, la 7e année, avaient choisi de rester avec leurs maîtres, et ceux qui n’avaient pas encore servi 6 ans. #Le 25.40 Cette libération découlait de la loi ordonnant à tout Israélite de rentrer dans la propriété de ses pères l’année du Jubilé. Qu’il ait choisi la liberté ou au contraire le retour subséquent chez son maître, l’esclave israélite devait, l’année du Jubilé, recouvrer son héritage. La Loi mosaïque reconnaissait aussi des droits à l’esclave étranger; elle permettait de le fustiger ou de le bâtonner, mais interdisait de l’estropier ou de le tuer. #Ex 21.20-27; Le 24.17, 22 La captive qu’on prenait pour femme acquérait des droits. #De 21.10-14 Ces esclaves étrangers étaient considérés comme faisant partie de la communauté d’Israël #Ge 17.10-14 égaux à leurs maîtres devant Dieu, ils célébraient avec eux les fêtes religieuses, offraient des sacrifices #Ex 12.44; Le 22.11; De 12.12, 18; 16.11. 14 jouissaient du repos sabbatique. #Ex 20.10; 23.12 La Loi de Moïse défendait de livrer l’esclave fugitif à son maître; elle commandait de lui donner asile, puis de le laisser s’installer où bon lui semblait dans le pays #De 23.16, 17 Il était interdit, sous peine de mort, de s’emparer des créatures humaines, de les vendre, de les séquestrer. #Ex 21.16; De 24.7 On n’a aucune preuve que des marchés d’esclaves aient jamais existé en Israël. La Loi de Moïse était beaucoup plus humaine à l’égard des esclaves que les législations païennes de l’antiquité (v. Hammourabi). Nous voyons que dans l’A.T. les rapports entre maître et esclave sont souvent empreints de cordialité. (Gn. 24). L’esclave a droit à la justice #Job 31.13-15 hérite parfois de son maître #Ge 15.2, 3 dont il épouse la fille #1Ch 2.34, 35 Le christianisme a évité de bouleverser brusquement les usages. #1Co 7.21 L’apôtre Paul recommande à l’esclave d’obéir à son maître. #Eph 6.5-8; Col 3.22-25; 1Ti 6.1, 2; 1Pe 2.18-21 Il sollicite le maître chrétien de reprendre l’esclave fugitif. #Phm 10-16 Mais le christianisme énonça des principes qui devaient non seulement améliorer la condition des esclaves, mais amener leur complète libération. La nouvelle religion proclame en effet l’égalité de tous les hommes devant Dieu #1Co 7.21-22; Ga 3.28; Col 3.11 elle exhorte le maître à traiter ses esclaves avec humanité, lui rappelant les droits qu’ils ont reçus de Dieu. #Eph 6.9; Col 4.1 Les esclaves comme les hommes libres sont membres du corps de Christ et participent aux dons du St-Esprit. #1Co 12.13, 27 - En regard de ce que dit la Bible il est utile de rappeler à quel point l’esclavage était à la fois la base et la honte des sociétés antiques. Sans parler des millions d’esclaves employés en Egypte et à Babylone, relevons le fait que dans la Grèce et la Rome civilisées, les esclaves étaient plus nombreux que les hommes libres. Les plus grands philosophes d’alors justifiaient l’esclavage comme une institution naturelle et nécessaire. Aristote déclarait que tous les barbares étaient esclaves de naissance, bons pour rien d’autre que pour l’obéissance. En 309 av. J.-C., selon Ctesiclès, il y avait en Attique 400 000 esclaves, 10000 étrangers, et seulement 21 000 citoyens. A Rome, sous Claude, les esclaves formaient la moitié de la population. On disait même que dans la ville il y avait 2 ou 3 esclaves pour une personne libre. Les familles riches en avaient parfois 10 000 et même 20 000. On ne reconnaissait à ces malheureux aucun droit civil, ni matrimonial; ils n’avaient même pas de nom. Leur maître pouvait, à sa discrétion, les vendre, les séparer, les donner, les torturer, et même les tuer. Leur condition était souvent pire que celle du bétail. C’est une gloire pour l’esprit de l’Evangile d’avoir-à ce moment-là et plus tard à nouveau dans l’histoire-fait supprimer cet abominable système d’oppression et de dégradation de créatures humaines.
bercam a écrit :Serviteurs [esclaves dans certaines traductions], soyez soumis avec une profonde crainte à vos maîtres, non seulement aux bons et aux doux, mais aussi aux acariâtres [injustes et cruels dans certaines traductions].
Car c'est une grâce de supporter, par respect pour Dieu, des peines que l'on souffre injustement.
Quelle gloire y a-t-il, en effet, à supporter les coups si vous avez commis une faute ? Mais si, après avoir fait le bien, vous souffrez avec patience, c'est là une grâce aux yeux de Dieu.
Première Lettre de Pierre, 2:18-20
Vive l'esclavage !
Esclaves, obéissez en tout à vos maîtres d'ici-bas. Servez-les, non parce qu'on vous surveille, comme si vous cherchiez à plaire aux hommes, mais avec la simplicité de coeur de ceux qui craignent le Seigneur.
Quel que soit votre travail, faites-le de bon coeur, comme pour le Seigneur, et non pour les hommes, sachant que vous recevrez du Seigneur l'héritage en récompense. Le Maître, c'est le Christ ; vous êtes à son service.
Lettre de Paul aux Colossiens, 3:22,25
Le doute est levé. La Bible, ancien et nouveau testaments, est pro-esclavagiste. Vous chercherez en vain une quelconque condamnation de l'esclavage dans ces livres.
Et les versets ci-dessus seront enseignés aux esclaves arrivant dans les Antilles françaises et en Amérique, à qui des clercs chrétiens expliqueront que si ils sont pas obéissants, il subiront après leur mort les tourments de l'enfer, alors que le paradis attend les esclaves obéissants. L'article 2 du Code Noir français de Louis XIV imposera d'ailleurs le catholicisme comme religion unique pour les esclaves de toutes les colonies françaises.
nerjes a écrit :j'aimerai bien savoir comment le chritiannisme a t-il traiter le sujet de l'esclavage
l'esclavage est interdit
si non ,peut -on libérer les esclaves ?
si oui ,de quelle façon?
comment faut-il traiter les esclaves?
Un petit rappel ne fait en effet pas de mal.
Et donc ton sujet n'est pas accès que sur la Bible.
nerjes a écrit :
la bible n'a pas donc interdit l'esclavage,
oui c'est exact! (comme dirais eowyn)
c'est l'un des sujets que les chrétiens redoutent le plus !
c'est pour ça qu'aujourd'hui ils s'attaquent à la réecriture de l'histoire des noirs !
avec des livres comme ceux de fielkencraut ,elisabeth levy, zemmour............sans aucun interlocuteurs noirs pour leurs repondrent!
mais sa va prendre du temps et je dirais même impossible ! dans la réalitée.
les noirs doivent sortir de l'esclavage d'une part et de la colonisation
(psycologiquement parlant)
c'est un peuple fabuleux qui n'a pas l'esprit haineux ni de revanche !
mais qui à soif de vivre .