SYRIE un peuple en souffrance
Règles du forum
La religion musulmane l'Islam, se veut une révélation en langue arabe de la religion originelle d'Adam, de Noé, et de tous les prophètes parmi lesquels elle place aussi Jésus. Ainsi, elle se présente comme un retour à la religion d'Abraham (appelé, en arabe, Ibrahim par les musulmans) du point de vue de la croyance, le Coran le définissant comme étant la voie d'Ibrahim (millata Ibrahim) c'est-à-dire une soumission exclusive à Allah.
La religion musulmane l'Islam, se veut une révélation en langue arabe de la religion originelle d'Adam, de Noé, et de tous les prophètes parmi lesquels elle place aussi Jésus. Ainsi, elle se présente comme un retour à la religion d'Abraham (appelé, en arabe, Ibrahim par les musulmans) du point de vue de la croyance, le Coran le définissant comme étant la voie d'Ibrahim (millata Ibrahim) c'est-à-dire une soumission exclusive à Allah.
- CHAHIDA
- [ Aucun rang ]
- [ Aucun rang ]
- Messages : 3588
- Enregistré le : 16 sept.07, 01:05
- Localisation : SUD EST
SYRIE un peuple en souffrance
Ecrit le 07 janv.13, 02:10Bonjour;
Jusqu'à quand ? Bachar agira ainsi, son père a fait pire, et lui suit son chemin.
Qualifiant les insurgés de “terroristes” au service d’Al Qaïda, le président syrien, tout en appelant au dialogue national, privilégie la négociation avec leurs soutiens étrangers et donne des indications sur ces négociations en mettant des conditions à la tenue de ce dialogue.
S’exprimant avec parcimonie depuis le début de la crise qui ravage son pays, le dernier discours du président syrien Bachar Al-Assad date du mois de juin dernier. C’est pourquoi son allocution d’hier, prononcée devant des centaines de partisans, était très attendue, d’autant plus qu’elle intervient après d’intenses tractations diplomatiques dont l’émissaire de l’ONU et de la Ligue arabe, l’Algérien Lakhdar Brahimi, a été l’épicentre actif.
Dans son premier discours en sept mois, le président syrien a tenu, d’emblée, à requalifier la nature du conflit qui ronge le pays, en opposition avec la sémantique usitée par les pays occidentaux et leurs alliés hostiles à son régime et qui demandent son départ du pouvoir. Ainsi, selon lui, ce conflit ne met pas en confrontation “le pouvoir
et l’opposition, mais la patrie et ses ennemis, le peuple et ses assassins”, qu’il accuse de rechercher la partition de la Syrie. Aussi, déniant le terme “révolution” utilisé par ses opposants, il a appelé à “une révolution du peuple, pas une révolution importée de l’étranger, pour le bien du peuple et non contre ses intérêts.” Il a ensuite longuement abordé la question du dialogue après avoir
affirmé que jusqu’ici, c’est l’Occident qui en a fermé les portes.
Il a donc appelé à un dialogue national et avoue n’avoir pas trouvé jusqu’à présent des “partenaires”, faisant allusion à l’opposition qui rejette toute négociation avant son départ du pouvoir. Si ce dialogue ne s’est pas ouvert, “ce n’est pas parce que nous ne voulons pas d’une solution politique, mais parce que nous n’avons pas trouvé de partenaires”, a-t-il insisté. “Pouvons-nous dialoguer avec des gens qui prennent leurs ordres de l’étranger ? (…) Voulez-vous que nous dialoguions avec des marionnettes de l’Occident, qui les a fabriqués et écrit leurs discours ? Il vaut mieux discuter avec l’original (…”, a-t-il encore asséné. Qualifiant les insurgés de “terroristes” au service d’Al Qaïda, le président syrien, tout en appelant au dialogue national, privilégie la négociation avec leurs soutiens étrangers et donne des indications sur ces négociations en mettant des conditions à la tenue de ce dialogue. En effet, a-t-il précisé, ce dialogue ne s’ouvrira qu’à plusieurs conditions. “Les pays impliqués (dans le soutien des insurgés) doivent s’engager à arrêter de financer l’armement et les hommes armés doivent arrêter les opérations terroristes. Nos forces cesseront ensuite immédiatement les opérations militaires, tout en conservant le droit de répliquer”, a-t-il précisé, dans ce qui ressemble à l’ébauche d’un plan de sortie de crise. Après ces étapes, dira-t-il en effet, pourra se tenir “une conférence de dialogue national, à laquelle participeront toutes les parties”. Le président Bachar Al-Assad a néanmoins bien balisé sa proposition en refusant catégoriquement et par anticipation toute solution et toute forme de transition qui ne s’inscrivent pas dans le cadre constitutionnel, c’est-à-dire, qui ne découlent pas d’un processus électoral. Et, en l’occurrence, il rejette toute proposition qui lui interdirait de prétendre à sa propre succession en 2014, date où son mandat actuel prendra fin. C’est, en définitive, un discours sans surprise, qui confirme l’antagonisme des visions des parties concernées par le conflit, qu’il s’agisse de l’analyse ou du diagnostic qui en est fait ou de la thérapie nécessaire.
Alors que les combats continuent de faire des victimes par dizaines chaque jour et que le bilan s’élève désormais à plus de 60 000 morts selon l’ONU, tout prête à croire que tous les efforts diplomatiques déployés à ce jour ne sont pas arrivés à arracher des concessions à l’une ou l’autre partie des belligérants. Et, comme une victoire militaire de l’une ou l’autre des parties est improbable sans l’intervention difficilement envisageable de forces étrangères, autant dire que la situation en Syrie retrouve son degré zéro.
http://www.liberte-algerie.com/internat ... mas-192026
Jusqu'à quand ? Bachar agira ainsi, son père a fait pire, et lui suit son chemin.
Qualifiant les insurgés de “terroristes” au service d’Al Qaïda, le président syrien, tout en appelant au dialogue national, privilégie la négociation avec leurs soutiens étrangers et donne des indications sur ces négociations en mettant des conditions à la tenue de ce dialogue.
S’exprimant avec parcimonie depuis le début de la crise qui ravage son pays, le dernier discours du président syrien Bachar Al-Assad date du mois de juin dernier. C’est pourquoi son allocution d’hier, prononcée devant des centaines de partisans, était très attendue, d’autant plus qu’elle intervient après d’intenses tractations diplomatiques dont l’émissaire de l’ONU et de la Ligue arabe, l’Algérien Lakhdar Brahimi, a été l’épicentre actif.
Dans son premier discours en sept mois, le président syrien a tenu, d’emblée, à requalifier la nature du conflit qui ronge le pays, en opposition avec la sémantique usitée par les pays occidentaux et leurs alliés hostiles à son régime et qui demandent son départ du pouvoir. Ainsi, selon lui, ce conflit ne met pas en confrontation “le pouvoir
et l’opposition, mais la patrie et ses ennemis, le peuple et ses assassins”, qu’il accuse de rechercher la partition de la Syrie. Aussi, déniant le terme “révolution” utilisé par ses opposants, il a appelé à “une révolution du peuple, pas une révolution importée de l’étranger, pour le bien du peuple et non contre ses intérêts.” Il a ensuite longuement abordé la question du dialogue après avoir
affirmé que jusqu’ici, c’est l’Occident qui en a fermé les portes.
Il a donc appelé à un dialogue national et avoue n’avoir pas trouvé jusqu’à présent des “partenaires”, faisant allusion à l’opposition qui rejette toute négociation avant son départ du pouvoir. Si ce dialogue ne s’est pas ouvert, “ce n’est pas parce que nous ne voulons pas d’une solution politique, mais parce que nous n’avons pas trouvé de partenaires”, a-t-il insisté. “Pouvons-nous dialoguer avec des gens qui prennent leurs ordres de l’étranger ? (…) Voulez-vous que nous dialoguions avec des marionnettes de l’Occident, qui les a fabriqués et écrit leurs discours ? Il vaut mieux discuter avec l’original (…”, a-t-il encore asséné. Qualifiant les insurgés de “terroristes” au service d’Al Qaïda, le président syrien, tout en appelant au dialogue national, privilégie la négociation avec leurs soutiens étrangers et donne des indications sur ces négociations en mettant des conditions à la tenue de ce dialogue. En effet, a-t-il précisé, ce dialogue ne s’ouvrira qu’à plusieurs conditions. “Les pays impliqués (dans le soutien des insurgés) doivent s’engager à arrêter de financer l’armement et les hommes armés doivent arrêter les opérations terroristes. Nos forces cesseront ensuite immédiatement les opérations militaires, tout en conservant le droit de répliquer”, a-t-il précisé, dans ce qui ressemble à l’ébauche d’un plan de sortie de crise. Après ces étapes, dira-t-il en effet, pourra se tenir “une conférence de dialogue national, à laquelle participeront toutes les parties”. Le président Bachar Al-Assad a néanmoins bien balisé sa proposition en refusant catégoriquement et par anticipation toute solution et toute forme de transition qui ne s’inscrivent pas dans le cadre constitutionnel, c’est-à-dire, qui ne découlent pas d’un processus électoral. Et, en l’occurrence, il rejette toute proposition qui lui interdirait de prétendre à sa propre succession en 2014, date où son mandat actuel prendra fin. C’est, en définitive, un discours sans surprise, qui confirme l’antagonisme des visions des parties concernées par le conflit, qu’il s’agisse de l’analyse ou du diagnostic qui en est fait ou de la thérapie nécessaire.
Alors que les combats continuent de faire des victimes par dizaines chaque jour et que le bilan s’élève désormais à plus de 60 000 morts selon l’ONU, tout prête à croire que tous les efforts diplomatiques déployés à ce jour ne sont pas arrivés à arracher des concessions à l’une ou l’autre partie des belligérants. Et, comme une victoire militaire de l’une ou l’autre des parties est improbable sans l’intervention difficilement envisageable de forces étrangères, autant dire que la situation en Syrie retrouve son degré zéro.
http://www.liberte-algerie.com/internat ... mas-192026
- medico
- Christianisme [Témoins_de_Jéhovah]
- Christianisme [Témoins_de_Jéhovah]
- Messages : 68652
- Enregistré le : 27 juin05, 06:23
- Localisation : FRANCE
-
Contact :
Re: SYRIE un peuple en souffrance
Ecrit le 13 janv.13, 05:56je pensais que le Coran interdisait aux musulmans de tuer d'autres musulmans!
ce n'est pas le cas présentement.
ce n'est pas le cas présentement.
(Isaïe 30:15) Votre force résidera en ceci : dans le fait de rester calmes et [aussi] dans la confiance . AM - JW - Les Témoins de Jéhovah
Re: SYRIE un peuple en souffrance
Ecrit le 13 janv.13, 23:07Bashar n'est pas vraiment musulman, et ses fidèles soldats non plus, puisqu'ils traquent les musulmans, et quand ils attrapent des musulmans, ils essayent de leur faire renier l'attestation de foi islamique, et de leur faire affirmer à la place : "il n'y a pas de divinité si ce n'est Bashar Al Asad", puis ils les torturent et les tuent, ce qui est clairement illicite et fait sortir la personne de l'islam.
- medico
- Christianisme [Témoins_de_Jéhovah]
- Christianisme [Témoins_de_Jéhovah]
- Messages : 68652
- Enregistré le : 27 juin05, 06:23
- Localisation : FRANCE
-
Contact :
Re: SYRIE un peuple en souffrance
Ecrit le 14 janv.13, 01:59ses dernières apparitions le montrait pourtant entouré de responsables religieux.Ghazali a écrit :Bashar n'est pas vraiment musulman, et ses fidèles soldats non plus, puisqu'ils traquent les musulmans, et quand ils attrapent des musulmans, ils essayent de leur faire renier l'attestation de foi islamique, et de leur faire affirmer à la place : "il n'y a pas de divinité si ce n'est Bashar Al Asad", puis ils les torturent et les tuent, ce qui est clairement illicite et fait sortir la personne de l'islam.
c'était l'entente cordiale entre eux.
(Isaïe 30:15) Votre force résidera en ceci : dans le fait de rester calmes et [aussi] dans la confiance . AM - JW - Les Témoins de Jéhovah
Re: SYRIE un peuple en souffrance
Ecrit le 14 janv.13, 07:17Des vendus. L'habit ne fait pas le moine medico, tu devrais le savoir...medico a écrit : ses dernières apparitions le montrait pourtant entouré de responsables religieux.
c'était l'entente cordiale entre eux.
La peur, les menaces, l'avidité, l'argent, les contraintes, etc. peuvent rendre les hommes très dociles...
- medico
- Christianisme [Témoins_de_Jéhovah]
- Christianisme [Témoins_de_Jéhovah]
- Messages : 68652
- Enregistré le : 27 juin05, 06:23
- Localisation : FRANCE
-
Contact :
Re: SYRIE un peuple en souffrance
Ecrit le 14 janv.13, 08:33des vendus qui enseignent le coran. 

(Isaïe 30:15) Votre force résidera en ceci : dans le fait de rester calmes et [aussi] dans la confiance . AM - JW - Les Témoins de Jéhovah
- phoenixbleu
- [ Aucun rang ]
- [ Aucun rang ]
- Messages : 337
- Enregistré le : 17 févr.10, 22:19
Re: SYRIE un peuple en souffrance
Ecrit le 17 janv.13, 09:11au nord mali les salafistes islamistes assassinent, violent, mutilent des musulmans ! qui sont les musulmans ? les islamistes ou leurs victimes ?Ghazali a écrit :Bashar n'est pas vraiment musulman, et ses fidèles soldats non plus, puisqu'ils traquent les musulmans, et quand ils attrapent des musulmans, ils essayent de leur faire renier l'attestation de foi islamique, et de leur faire affirmer à la place : "il n'y a pas de divinité si ce n'est Bashar Al Asad", puis ils les torturent et les tuent, ce qui est clairement illicite et fait sortir la personne de l'islam.
- socrate123
- [ Aucun rang ]
- [ Aucun rang ]
- Messages : 218
- Enregistré le : 17 janv.13, 15:13
Re: SYRIE un peuple en souffrance
Ecrit le 17 janv.13, 15:18Re: SYRIE un peuple en souffrance
Ecrit le 23 févr.13, 02:01Je supprime cette vidéo, je n'accepterais certainement pas que l"on fasse de la publicité à un homme qui est en train de tuer son peuple bachar el assad.
est le terro, pas le peuple....
est le terro, pas le peuple....

Le premier forum tunisien qui a inspiré les forums de religion Recherche "les religions font peu de bien et beaucoup de mal" Voltaire
- spin
- [ Croyances ] Panthéisme
- [ Croyances ] Panthéisme
- Messages : 7798
- Enregistré le : 07 nov.07, 04:01
- Localisation : France, sud-est
Re: SYRIE un peuple en souffrance
Ecrit le 24 févr.13, 01:33(je découvre ce fil)
Faut-il savoir que Bachar El Assad fait partie d'une branche très particulière du chiisme, il est alaouite (ou nussayri).
Les alaouites ont été pendant des siècles rejetés, méprisés, relégués dans leurs montagnes, souvent massacrés. Et puis ils ont profité de l'occupation française des années 1920-30 pour s'engager en masse dans l'armée, jusqu'à finir par en prendre le contrôle, et par là celui du pays, en 1970 avec Assad père. Les violences de part et d'autre ont commencé à ce moment, avec déjà un paroxysme en 1983 (la ville de Hama prise par les Frères Musulmans, puis reprise avec des bombardements massifs, plus de 20000 morts). C'est un des pires ennemis des Frères Musulmans, mais il est aussi soutenu par les autres minorités religieuses (chrétiens, druzes, autres chiites...) et même les Kurdes, sunnites, qui tous craignent un pouvoir sunnite dur.
à+
Faut-il savoir que Bachar El Assad fait partie d'une branche très particulière du chiisme, il est alaouite (ou nussayri).
Les alaouites ont été pendant des siècles rejetés, méprisés, relégués dans leurs montagnes, souvent massacrés. Et puis ils ont profité de l'occupation française des années 1920-30 pour s'engager en masse dans l'armée, jusqu'à finir par en prendre le contrôle, et par là celui du pays, en 1970 avec Assad père. Les violences de part et d'autre ont commencé à ce moment, avec déjà un paroxysme en 1983 (la ville de Hama prise par les Frères Musulmans, puis reprise avec des bombardements massifs, plus de 20000 morts). C'est un des pires ennemis des Frères Musulmans, mais il est aussi soutenu par les autres minorités religieuses (chrétiens, druzes, autres chiites...) et même les Kurdes, sunnites, qui tous craignent un pouvoir sunnite dur.
à+
De quel droit refuserions-nous de faire usage du plus grand don de Dieu ? N'est-ce pas un formidable blasphème que de croire contre la raison ? (Vivekananda)
https://daruc.fr/
https://bouquinsblog.blog4ever.com
https://daruc.fr/
https://bouquinsblog.blog4ever.com
Re: SYRIE un peuple en souffrance
Ecrit le 24 févr.13, 05:16Il est sûr que si les sunnites arrivent au pouvoir, les alaouites/nousaïris qui ne sont pas
considérés comme des vrais musulmans même s'ils vénèrent Ali, Mahomet et Salman Al Farsi,
leur sainte trinité.
considérés comme des vrais musulmans même s'ils vénèrent Ali, Mahomet et Salman Al Farsi,
leur sainte trinité.

Le premier forum tunisien qui a inspiré les forums de religion Recherche "les religions font peu de bien et beaucoup de mal" Voltaire
Re: SYRIE un peuple en souffrance
Ecrit le 12 mai13, 05:51"je pensais que le Coran interdisait aux musulmans de tuer d'autres musulmans!"
Re: SYRIE un peuple en souffrance
Ecrit le 01 juin13, 00:32Les alaouites ou noussaïris ne sont pas considérés comme de vrais musulmansCesar80 a écrit :"je pensais que le Coran interdisait aux musulmans de tuer d'autres musulmans!"
puisqu'ils croient que Ali est Allah et que Mahomet et Salman Al Farsi sont ses prophètes.
De plus, ils boivent du vin.
Pour Lammens c'est la secte islamique qui se rapproche le plus du christianisme.

Le premier forum tunisien qui a inspiré les forums de religion Recherche "les religions font peu de bien et beaucoup de mal" Voltaire
- rayaan
- Musulman [ sunnite ]
- Musulman [ sunnite ]
- Messages : 1958
- Enregistré le : 07 mai13, 07:48
-
Contact :
Re: SYRIE un peuple en souffrance
Ecrit le 01 juin13, 00:53Bachar al Assad et les 'alawites ne sont pas musulmans.
- spin
- [ Croyances ] Panthéisme
- [ Croyances ] Panthéisme
- Messages : 7798
- Enregistré le : 07 nov.07, 04:01
- Localisation : France, sud-est
Re: SYRIE un peuple en souffrance
Ecrit le 01 juin13, 01:18Et les chiites d'Iran et du Liban, qui les soutiennent à fond ?rayaan a écrit :Bachar al Assad et les 'alawites ne sont pas musulmans.
à+
De quel droit refuserions-nous de faire usage du plus grand don de Dieu ? N'est-ce pas un formidable blasphème que de croire contre la raison ? (Vivekananda)
https://daruc.fr/
https://bouquinsblog.blog4ever.com
https://daruc.fr/
https://bouquinsblog.blog4ever.com
-
- Sujets similaires
- Réponses
- Vues
- Dernier message
-
- 7 Réponses
- 2916 Vues
-
Dernier message par geveil
-
- 29 Réponses
- 2747 Vues
-
Dernier message par Mickael_Keul
Qui est en ligne
Utilisateurs parcourant ce forum : Aucun utilisateur enregistré et 39 invités