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Nickie

Christianisme [Pentecôtiste]
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Ecrit le 22 avr.05, 15:20

Message par Nickie »

Reconstruisant la tombe du Christ
Science, l’érudition met de la lumière sur le site religieux

Texte par : Elizabeth Dalziel
Filière d’avril 2002
Orthodoxe Grec

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Les adorateurs Grecs Orthodoxes passent "Le Saint Feu" aux autres adorateurs comme eux-mêmes, pour y faire faire le tour de la tombe du Christ dans l'Église de la Sainte Sépulture à Jérusalem.


Par : Alan Boyle
Éditeur Scientifique
MSNBC
Le 26 mars, 2002
Traduction absolument parfaitement imparfaite par: Nickie
- Pour les Chrétiens, c’est l’épicentre du mystère ultime: l’endroit où Jésus fut mis en terre après la crucifixion. Des outils de haute technologie et des entendements rafraîchis dans le domaine de l’archéologie ont aiguisé les opinions des scientifiques du bien immobilier principale religieux à l’Église de la Sainte Sépulture à Jérusalem, qui a été favorisé par des centenaires de tradition. Mais le professeur Martin bile à Oxford espère pour plus - l’équivalent d’un graffiti du premier siècle disant « Jésus était ici. »

La quête pour étudier la tombe traditionnelle - dont les Chrétiens croient être le site de la résurrection de Jésus d’entre les morts le dimanche de Pâques - pourrait sonner parfois comme étant une version dans la vrai vie de « Raiders of the Lost Ark. » Il y a des centenaires traditions, de rivalités religieuses, des surprises cachées sous la table, des archéologues brandissant des machines à images thermales et encore plus qu’un site soupçonné comme étant la véritable tombe.
Le mystère est la mise au point du « La Tombe de Jésus, » un documentaire pour la TÉLÉ apparaissant pour la première fois dimanche sur le National Geographic Channel. La présentation pour Pâques arrive sur les talons du documentaire Américain-Britanique intitulé « Secrets of the Dead: The Tomb of Christ. »
Biddle, qui a mené l’étude moderne la plus exhaustive du site de la Sainte Sépulture pendant les 1990, joue un rôle proéminent dans les deux programmes. Avec l’assistance de l’imagerie thermale et des mini caméras serpentines, il a reconstruit des modèles virtuels des lieux saints successifs qui furent construits à l’Église de la Sainte Sépulture pardessus le site prétendu de la tombe.
Biddle a trouvé que chaque version de l’Édicule, ou «little house » (la petite maison), fut construite autour de la version préalable, telles une séries de poupées Russes. D’autant plus, l’analyse démontre que le cœur d’une tombe taillée dans le rock - un sofa taillée où le corps devait être étendu - aurait pu survivre les excavations du quatrième siècle de Constantin, la destruction de l’église dans l’année 1009 et des rebâtir au cours des centenaires.

Quand Constantin a ordonné, en 325, que l’on enlève un temple de l’ère Romaine, révélant la Tombe de la Sainte Sépulture qui était enterrée en dessous l’historien Eusebius a fait la remarque que le site fournissait « une preuve claire et visible des merveilles dont cet emplacement en avait déjà été la scène. » Cela a conduit Biddle à spéculer qu’un signe quelconque pourrait encore exister, peut-être inscrit dans une pierre vivante sous les lèsent en marbre et dans le mortier. Lors des premiers jours de l’église à Jérusalem, ce fut pratique courante pour les pèlerins de grafigner des commentaires à propos des places qu’ils vénéraient - et ainsi aurait pu être le cas avec la bombe qui fut le sujet de la chronique par Eusebieus.

« J’aurais eu penser qu’il aurait eu probablement quelque preuve solide sur laquelle il aurait baser une affirmation si ferme, » a dit Biddle au MSNBC.com. « Ma suggestion n’a été tout simplement la sorte de preuve qui le satisferait. »

Biddle reconnu toutefois que si même de tel graffiti eu jadis existé, les centenaires pourraient avoir enlever petit peu à petit peu. « L’on ne pourrait aucunement dire si l’on serait assez chanceux pour trouver n’importes genres d’inscriptions survivantes, alors cela pourrait bien être un jeux d’hasards, » dit-il.

Biddle répond à une autre énigme archéologique : comment un site qui est au plein milieu de Jérusalem peut-il être connecté à un compte-rendu biblique qui placerait la tombe au dehors de la cité. Il souligne le fait que la Sainte Sépulture était vraiment au dehors des murs de la cité jusqu’à l’expansion de Jérusalem en 41 A.D. - quelques années après le datage traditionnel pour la crucifixion.

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Mais il met aussi de l’emphase sur le fait que sa concentration principale est la « Tombe du Christ » - l’historique du site tel qu’inventé par Constantin et tel qu’il fut maintenu au cours des centenaires - au lieu de la « Tombe de Jésus, » l’histoire de la mort et de la résurrection d’un Jésus historique.
« Cela est quasiment inconcevable que l’archéologie pourrait éclairer directement la vie et la d’un individu spécifique qui aurait semblé être d’une insignifiance relative lors de la Palestine du premier siècle, » a-t-il écrit dans son livre qui se rapport sur le sujet, « The Tomb of christ. »

Un bien immobilier divisé
Si l’Église de la Sainte sépulture était juste n’importe lequel site archéologique, les scientifiques l’auraient déjà parcouru au peigne fin. Mais l’église est une pièce de bien immobilier divisée au milieu d’une région divisée.

Trois communautés Chrétiennes majeures - la Grec Orthodoxe, la Latine et l’Arménienne et les rites Coptes - contrôlent leurs propres pièces de la propriété et elles gèrent l’église par consensus. Les inquiétudes à propos des rivalités intra Chrétiennes sont tellement profondes qu’une famille Palestinienne Musulmane détient traditionnellement les clés de l’église.
Biddle fut donné un accès inhabituel à l’Édicule du temps actuel afin d’y documenter le site à l’avance d’un effort espéré pour y réparer des dommages subit lors d’un tremblement de terre en 1927. Jusqu’à date, toutefois, les communautés qui sont en charge de l’église ne se sont pas mises en accord sur un plan de restauration.

« J’ai entendu de rien du tout qui serait planifié, » a dit Biddle Et même s’il se maintient prêt à y prêter de l’aide archéologique sans près qu’aucun préavis, d’autres observateurs croient que ce sera bien longtemps avant que quiconque commence à épiler les centenaires de la Édicule.
« Il y a beaucoup de politique dans cette aréna, et je ne crois pas qu’ils ont percé au travers de toute cette chose là et qu’ils aient décidé quand le faire, ni soit le faire, » a dit John Scheinfeld, l’auteur, producteur et directeur du « Tomb of Jesus, » du National Geographic.

Au-delà de la science
Tandis que le travail de Biddle fait le point sur les lègues scientifiques et scolaires du site de la Sainte Sépulture, le documentaire de Scheinfeld y donne un regard plus étroit au phénomène des pèlerins Avec une aide non sollicitée de la part d’un prêtre Arménien, l’équipage qui ont travaillé sur le vidéo furent emmenés en bas d’un escalier en roche, de l’église elle-même à la Chapelle souterraine de Sainte Hélène - une carrière contenant des tombes en cavernes qui auraient pu remplir les descriptions bibliques. Sur un des murs, les premiers pèlerins Chrétiens y ont fait un croquis d’un bateau et d’une légende Latine signifiant « Seigneur, nous sommes venus. »


Selon la façon de le conçoit Scheinfeld, de tels sentiments sont la source du mystique du site.
« Tandis que la Chrétienté commençait à grandir dans les années 300 A.D., ce besoin pour des reliques, et ce besoin d’y trouver quelque chose de physique pour accompagner ce qu’ils y lisaient dans la bible, devint pas mal fort, » il a dit au MSNBC.com. « Et je crois que cela perdu jusqu’à ce jour, vraiment.
En fait, l’historien John Dominic Crossan a spéculé dans le documentaire que les origines de la Sainte Sépulture furent poussées moins par les preuves qui sont aux standards du 21ième siècle, mais que ce serait plus par les nécessités politiques et religieuses du quatrième centenaire.
« Quand l’empereur ou la mère de l’empereur arrive et dit, « J’aimerais construire une basilique magnifique par-dessus du site de la tombe, » tu ne dis pas, ’ Bien, votre majesté impériale, nous ne savons pas où c’était,’ » dit-il. « Cela est certain que tu vas choir un endroit quelconque. »

D’autres croyant y ont choisi un endroit différent - un lieu qui est connu comme étant le Tombe dans le Jardin, (Garden Tomb), c’est juste au à l’extérieure de la Porte de Damascus à l’Ancienne Cité de Jérusalem. Le site a une tombe-taillée-dans-le-roc qui pourrait même pré dater l’ère Chrétienne. Elle vient même complète avec une roche roulante qui évoque le compte rendu des Évangiles.
Le lien d’avec la Tombe dans le Jardin à l’histoire de Jésus daterait seulement aux années 1880, et la plus grande partie des archéologues ne la place pas au haut de leurs listes. Mais Scheinfeld croit que le site offre plus de sens au temps bibliques.

« Il est très pastoral, très soulageant, très conduisant à la méditation, » a-t-il dit. « C’Est-ce genre de place, un oasis, tout un contraste d’avec l’église. »
Scheinfeld a dit qu’il fut frappé par la réalisation « que les dynamiques politiques, sociales et culturelles à Jérusalem ne sont pas maintenant si différent de ce qu’ils étaient du temps de Jésus. » Dans les tensions sur le terrain de l’église, dans les tensions Israëlo-Palestiniennes qui sont plus aiguisées dramatiquement et qui se jouent sur la région au large, dans les monuments qui perdurent et dans la foi perdurant des pèlerins, il peut y visualiser comment les croyants peuvent avoir vu la cité dans les temps bibliques.

« Oui, vous voyez tout de ceci, » a-t-il dit. « Vous voyez la présence militaire, et pourtant, sur vous y forcez les yeux, ça ressemblerait près que pareil comme si c’était il y a 2,00 années de ça. Tout cela semble être pas mal paisible à partir des collines.

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