Le coran et le seul livre religieux qui tout d’abord dans sa version original donc en arabe qui est écrits totalement en style poétique ces a dire qu’il ni y’a pas une sourate qui n’est pas écrit en alexandrin rime croisé ou rime plate, d’ailleurs aucun mais aucun mais vraiment aucun écrivain ne peut produire un tel travaille sur tout un livre , d’ailleurs Allah nous dit d’essayer de reproduire ne fus que qu’une sourate semblable a « al bakara » (la vache) sa fait plus de 1500 ans qu’on n’attend que les détracteur du coran le face…
Ensuite le style d’élocution, Allah s’adresse directement a l’homme et non pas comme dans la bible sous la forme d’histoire ou de compte de fée limite avec des « il était une fois » !!! donc tous se fait au style directe, nous somme seul face a notre seigneur et nul intermédiaire.
Le coran contient une bible, un livre de prière, un code civil, des récits de sagesses et un guide du parfait comportement !!! ces 5 choses la contenu dans un seul livre que je rappel écrit en style poétique donc complètement en rime
Allah nous dits dans le coran qu’il se porte garants de la protection du livre révélé par lui, différents savant musulman on pu remarqué des code mathématique au sein même du coran, bizarrement la 1er sourate révélé et la 19eme en partant de la fin elle comporte exactement 19 verset la quasi totalité du coran commence par la formule « au nom d’Allah le tout miséricordieux le très miséricordieux » qui en arabe comprend exactement 19 lettres, toute les sourate du corant si on totalise exactement le nombre de lettre de toute la sourate sa donne un multiple de 19 certains verset contienne des mots ou il et nesesite d’ouvrir 19 fois sa bouche enfin pour ne pas faire trop compliqué je m’arrête la et sa se n’est qu’un petit schéma du tableau…
Nous avons la un livre détaillant plein d’enseignement et qui ne contient pas de chose illogique ou d’erreur dans le sens ou il ni y’a rien de contradictoire dans les verset du coran vous pourrait toujours cherchez vous ne trouverai rien mais rien mais vraiment rien de contradictoire dans tout touts tout le coran se qui n’est pas le cas de la bible !!!
Les chrétien on souvent l’impression que les musulman veule casé la bible ou la détruire se qui et totalement faut car Allah nous dit dans le coran qu’avant lui il a fait descendre la Thora et l’évangile !!! Mais juste on veut démontré que l’islam et belle et bien la dernier religion révélé par Dieu au homme et que Mohamed pbsl est réel ment un message de Dieu et que tout ne s’arrête pas a jésus (as) mort sur la croix pour sauvé tout les péché du monde !!!
car Allah dans le coran nous incite a la méditation est a réfléchir sur tout chose toujours avoir cette réflexion dans toute les situation mais souvent l’orgueil aveugle les gens et il perde cet capacité a réfléchir ou tout du moins a prendre les chose avec neutralité en tan que ancien chrétien convertie a l’islam je peux vraiment vous affirmé que orgueilleu comme un chrétien y’a pas beaucoup sur cet terre !!!
salam walékoum
coran
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Le dialogue interreligieux est une forme organisée de dialogue entre des religions ou spiritualités différentes. Ultérieurement, la religion a considéré l'autre comme n'étant pas la vérité révélée. C'est ainsi que les premiers contacts entre l'islam et le christianisme furent souvent difficiles, et donnèrent lieu à des guerres impitoyables comme les croisades.
Le dialogue interreligieux est une forme organisée de dialogue entre des religions ou spiritualités différentes. Ultérieurement, la religion a considéré l'autre comme n'étant pas la vérité révélée. C'est ainsi que les premiers contacts entre l'islam et le christianisme furent souvent difficiles, et donnèrent lieu à des guerres impitoyables comme les croisades.
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Ecrit le 02 mai05, 10:25
voici un lien pour lire un livre reconnu et validé par le C.I.R.S. qui n'est pa rien et qui reconnait le carractére miraculeux de la chose sur le miracle mathématique du coran!!!
Centre International de la Recherche Scientifiques (cirs) son en générale des athée qui ne jure que par la science... pour se qui connaise donc en aucun cas c'est un truc de musulman
http://www.cirs-tm.org/Nouvellesdecouve ... LH%201.htm
Centre International de la Recherche Scientifiques (cirs) son en générale des athée qui ne jure que par la science... pour se qui connaise donc en aucun cas c'est un truc de musulman
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Ecrit le 03 mai05, 01:03
L'Islam ou le plagiat du judaïsme
par Djinn Al Nader
Les croyances et les rites de l’Islam trahissent très clairement leur origine hébraïque. Rappelons qu’après la mort précoce de son père, Mahomet accompagna son oncle Abu Talib en Syrie durant sa jeunesse. Commerçant de profession, son père adoptif fréquenta de nombreux collègues juifs dans ce pays, ce qui suggère la grande affinité culturelle que pouvait entretenir le jeune Mahomet avec les mystères du judaïsme. De même les juifs s’avéraient nombreux dans les environs de la Mecque, ce nœud commercial important et prospère au VIIième siècle. Avant leur extermination par Mahomet, les juifs représentaient trois clans sur onze à Médine, ce qui illustre la présence persistance des juifs à cette époque dans l’Arabie méridionale.
A ses débuts, Mahomet admirait la religion juive pour son monothéisme. Il n’était pas le seul arabe dans ce cas, car le zoroastrisme d’origine perse et le christianisme diffusait largement en Arabie, convertissant de nombreux arabes païens à leurs conceptions monothéistes. Son intérêt pour le judaïsme le conduisit à récupérer les mythes juifs dans la genèse de sa nouvelle religion, bien que leur assemblage ultérieur dans le Coran ne suive ni d’ordre logique, ni d’ordre chronologique. D'ailleurs l'empressement à compiler sauvagement les récits hébraïques dénote le peu d’intérêt que ses héritiers musulmans accordaient à une réflexion profonde quant au sens caché des textes sacrés, peut-être inspirés par l'exemple même de Mahomet dont les récupérations bibliques avaient surtout une finalité politique.
Ce n’est que progressivement que Mahomet se détourna des juifs, déçus de leur manque d’enthousiasme pour ses prêches enflammés. Le choix initial de la direction de prière (la kiblah) pour Jérusalem (s.2, v.36) avant d’opter pour la Mecque traduit assez clairement cette défiance croissante envers les juifs. L’extermination de la tribu juive des Qurayza de Médine, à la suite d’une bataille avec les mecquois, marqua la funeste apogée de sa haine antisémite.
Malgré ce divorce consommé dans le sang, l’Islam ne constitue historiquement qu’une sorte de secte juive, bien que les apports païens, zoroastriens et chrétiens ne soient pas négligeables. Par exemple la plupart des personnages de l’ancien Testament sont cités dans le Coran, dont voici une liste non exhaustive avec leur équivalent islamisé :
Aaron – Harun
Elie – Ilyas
Jonas – Yunus
Abel – Habil
Gabriel – Jibril
Joseph – Yusuf
Abraham – Ibrahim
Goliath – Jalut
Joshua – Yusha
Adam – Adam
Isaac – Ishaq
Lot – Lut
Caïn – Quabil
Ismaël – Ismail
Moïse – Musa
David – Dawd
Jacob – Yacub
Noé – Nuh
A ces personnages correspondent des histoires bien connues du judaïsme :
Récit biblique
Références coraniques de la version islamisée
Aaron fait un veau
s.20, v.90
Abraham prêt à sacrifier son fils Ismaël
s.37, v.103
Abraham visité par les anges
s.11, v.69 ; s.15, v.52
Arche de Noé
s.11, v.40
Caïn et Abel
s.30
Chute d’Adam
s.7, v.24 ; s.2, v.35
Création du monde
s.13, v.3 ; s.16, v.3 ; s.35, v.1-12
Déluge
s.11, v.42 ; s.54, v.9 ; s.69, v.11
Jacob en Egypte
s.12, v.100
Jonas et la baleine
s.6, v.86 ; s.10, v.98 ; s.37, v.139 ; s.68, v.48
Jugement de Salomon
s.21, v.78
La manne et les cailles
s.7, v.160 ; s.20, v.82
Louange de David à Dieu
s.34 , v.10
Moïse frappe le rocher
s.7, v.160
Pharaon
s.2, v.46 ; s.10, v.76 ; s.40, v.38 ; s.43, v.45
Reine de Saba
s.27, v.72
A ce niveau d’analyse, nous pouvons déjà démontrer rationnellement que le Coran n’a jamais été dicté par Dieu lui-même à Mahomet, ainsi que le croient les musulmans. En effet, la science moderne réfute catégoriquement la Création du monde en sept jours. De même, elle exclue l’existence hypothétique du Déluge sur toute la surface de la planète (bien que le Déluge puisse être le souvenir partiel d’invasion locale de terrains autrefois à sec par la mer, comme en Mer Noire), et les progrès en génétique prouvent que tous les hommes n’ont pu descendre de Noé sauvé sur son arche. Ces contes sont donc bel et bien les reliques de croyances anciennes et erronées, d’ailleurs souvent antérieures au judaïsme et d’origine mésopotamienne. Dans ces conditions, Dieu n’a pu révélé des événements qui ne se sont jamais produits, et qui n’existent que dans l’imagination des hommes. A moins que les musulmans osent affirmer que Dieu dit n’importe quoi sur le passé de l’humanité…
Notons que cette récupération des mythes fondateurs du judaïsme s’effectue en coupant de nombreux passages, rendant souvent incompréhensibles des versets. Il faut parfois se munir de la version hébraïque pour redonner un sens aux citations coraniques. Là encore, ce détail montre que Mahomet n’a pas daigné se relire dans la compilation du Coran, comme s’il avait surtout été pressé d’élaborer un recueil de bonnes paroles en vue de pressants besoins politiques.
De manière général, la copie ne peut prétendre rivaliser avec l’original, comme l’affirment franchement de nombreux spécialistes : « Ses personnages sont tous pareils et ils débitent les mêmes platitudes. Il aime les dialogues théâtraux, mais il a une conception limitée de la mise en scène et de l’action théâtrale. L’enchaînement logique des épisodes est fantaisiste et des détails importants, nécessaires à la compréhension du récit, sont fréquemment oubliés. Il ne peut s’empêcher de ressasser les mêmes histoires et il a un sens très limité de l’humour (…) La sourate s.11, v.27-51 donne un récit ennuyeux des aventures de Noé. Elle contient très peu de faits. Elle est composée de harangues uniformément lassantes qui se répètent sans inspiration et on a le sentiment qu’un contemporain de Noé, placé devant l’éventualité de passer quarante jours et quarante nuits dans l’arche, préfèrerait affronter le Déluge… », Torrey, "The Jewish Foundation of Islam", New York, 1933.
Enfin des passages maintes fois cités par les admirateurs de l’Islam ne constituent, là-encore, que des récupérations pures et simples d’écrits hébraïques. Ainsi ce verset où il est question du meurtre de l’humanité :
« C’est pour cause nous avons prescrit aux Enfants d’Israël que celui qui tue quelqu’un, à moins que ce ne soit pour un autre meurtre, ou pour violence dans le pays, est comme s’il avait tué tous les hommes, mais celui qui en sauve un, est comme s’il avait sauvé tous les hommes » (s.5, v.35).
Ce passage est en fait un plagiat dont l’original se trouve dans le Mishnah Sanhédrin des juifs.
L’influence capitale des samaritains
Mais parmi les différents courants du judaïsme, il semble que les samaritains, ces adeptes d’une branche juive ne reconnaissant que le Pentateuque, ait eu une influence déterminante dans la genèse de l’Islam. En effet les samaritains rejetaient la ville sainte de Jérusalem pour lui préférer le sanctuaire de Sichem, près du mont Garizim. Tout comme Mahomet imposant comme direction de prière, à la place de Jérusalem, la ville de la Mecque près du mont Hira. De même Sichem était étroitement associé à Adam et Abraham, comme l’est également la Mecque, et dans les deux sanctuaires une station d’Abraham était censée se trouver. Cette ressemblance troublante conduit le spécialiste de l’Islam Cook à affirmer :
« Le parallèle est remarquable. Tous deux présentent la même structure binaire d’une ville sainte étroitement associée à une proche montagne sainte. Le rite fondamental est un pèlerinage de la ville vers la montagne et dans chaque cas le sanctuaire est une fondation d’Abraham. Le pilier sur lequel Abraham sacrifia à Sichem trouve son équivalent dans le rukn (l’angle Yamani de la Kaaba) du sanctuaire mecquois. Finalement, le sanctuaire urbain est dans chaque cas intimement associé à la tombe d’un patriarche : Joseph pour les samaritains, Ismaël pour la Mecque ».
Au niveau du rite, des ressemblances troublantes apparaissent, telle la formule « Il n’ y a qu’un seul Dieu » récurrente dans les deux religions. Enfin les samaritains vénéraient particulièrement Moïse. Or Moïse conduisit son peuple hors de l’Egypte synonyme de servitude (Exode) avant de recevoir la Loi au Mont Sinaï. Exactement comme Mahomet fuyant la Mecque alors hostile (Hégire) et recevant ses révélations divines sur le Mont Hira. Ces coïncidences se résument dans le tableau suivant :
Moïse
Exode
Pentateuque
Mont Sinaï / Mont Gazirim
Sichem
Mahomet
Hégire
Coran
Mont Hira
La Mecque
Le judaïsme en général et la doctrine des samaritains en particulier sont donc indispensables pour une meilleure compréhension de l’Islam. Que Mahomet n’ait créé qu’une nouvelle secte juive de plus (et non une secte chrétienne, comme le pensent beaucoup de gens), cela ne fait aucun doute. D’autres influences religieuses, cependant, existent dans l’Islam.
Les autres influences religieuses : le zoroastrisme
Depuis des temps immémoriaux, la région du Proche Orient servit de terreau fertile à de nombreuses croyances religieuses, qu’il s’agisse de la révolution monothéiste initiée en Egypte par le pharaon Aménophis IV, de l’avènement du judaïsme avec Moïse traversant le Sinaï, ou encore le zoroastrisme qui essaima en Perse.
Fondé par un fils de prêtre païen répondant au nom de Zorastre plusieurs siècles avant notre ère, le zoroastrisme est une religion monothéiste qui croit en l'existence du dieu céleste Ahura-Mazda. Ce dieu unique est associé à la lumière, de sorte que les zoroastriens lui rendent hommage en adorant des feux. Zorastre aurait reçu cette nouvelle religion de l'ange Vohu-Manah (remarquez le parallèle avec l'ange Gabriel de l'Islam) avant de convertir le roi Vishtapa, père de Darius I le Grand. Tout comme le Allah des musulmans, Ahura-Mazda aurait expressément demandé à Zoroastre de lutter vigoureusement contre le polythéisme. Précisons que les concepts hébraïques de la Genèse, d’Adam et Eve, du Déluge se retrouvent dans le zoroastrisme, reliques de très anciens mythes mésopotamiens.
Sur le plan historique, la victoire des musulmans sur les perses sassanides en 636 contribua à la mise en relation directe de l’Islam avec le zoroastrisme. A cette époque de cristallisation progressive du Coran dont la version définitive n’apparaît que bien plus tard, une pénétration des dogmes musulmans par les concepts zoroastriens s’est nécessairement effectuée. N’oublions pas que les musulmans ne s’étaient pas privé d’emprunter au judaïsme nombre de leurs croyances et rites, de sorte que leur réceptivité au zoroastrisme ait déjà un précédent. Argument plus convaincant encore, il faut imaginer l’intrusion des arabes grossièrement barbares et analphabètes dans cette zone de haute culture et de raffinement qu’est la Perse. Ce changement de décor a dû fortement impressionner ces nomades descendus de leurs montagnes désertiques, favorisant leur perméabilité culturelle aux croyances zoroastriennes.
Or l’influence du zoroastrisme perse sur l’Islam est évidente, notamment dans le nombre de prières quotidiennes que doit effectuer le fidèle musulman, ou encore la croyance eschatologique en le mizan, ou plateau sur lequel les âmes des morts sont jugées (Coran : s.21, v.47). D’ailleurs le Coran place les zoroastriens au même niveau que les juifs, les sabéens et les chrétiens.
Selon la tradition musulmane, l’âme du défunt doit emprunter un pont fin et tranchant comme une lame pour accéder au paradis. Les justes le franchissent avec succès, les injustes trébuchent et tombent en enfer. Cette idée se retrouve dans le zoroastrisme, et sa trace ressurgit même chez les hindous, du fait des influences croisées que nourrirent les peuples perses et indiens.
Autre exemple, les houris réservées aux guerriers supposés méritants de l’Islam, ou vierges célestes offertes à leurs fantasmes sexuels, suggèrent une ascendance zoroastrienne. Dans le zoroastrisme en effet, les anges sont de sexe féminin, et on imagine sans mal la confusion mentale qu’a dû opéré ces créatures charmantes sur ces barbares conquérants loin de leur foyer, en cette Mésopotamie heureuse où tout respire sexe et volupté…
Le substrat païen
De nombreux rites, coutumes, croyances musulmans découlent directement d’un fort substrat païen. Le pèlerinage à la Mecque et ses révolutions autour de la kebba reprennent un ancien culte païen, la pierre noire embrassée par les pèlerins représente en fait une idole archaïque, et même le nom d’Allah correspond à une antique divinité adorée chez les arabes du nord, de sorte que le doute subsiste quant aux croyances idolâtres de Mahomet (voir dans ce site : L’origine païenne de l’Islam). De même le chant du muezzin est d’origine animiste. Les djinns, ou esprits de la nature, demeurent récurrents dans le Coran. Ce terme signifie « voilé, caché, obscure » et traduit la crainte qu’éprouvaient les arabes païens à l’encontre de ces esprits supposés malfaisants. Mahomet croyait personnellement aux djinns (s.37, v.158), preuve de la persistance de ses mœurs assez frustres malgré son monothéisme affiché. Soulignons que la sourate 72 s’intitule « le djinn ». Or ce détail présente une importance capitale, car si vraiment le Coran a été réellement révélé par Dieu, alors il faut se rendre à l’évidence que Dieu est païen lui aussi., et que Dieu lui-même croit aux djinns… D’ailleurs l’Islam reconnaît sans rire l’existence de ces êtres aussi folkloriques que les sept nains ou les schtroumpfs.
L’apport parcellaire du Christianisme
A l’inverse, Mahomet semble ignorer la profondeur du message chrétien. Sa notion de la Trinité demeure confuse, car il place Marie à la place de l’Esprit Saint. Naturellement Mahomet dénonce le concept de la Trinité qu’il considère comme la coexistence de trois dieux différents, sans savoir qu’il s’agit en fait de la triple manifestation de la même personne. Par ailleurs Mahomet commet de nombreuses erreurs, notamment en confondant Marie, mère de Jésus, et Miriam, sœur de Moïse et d’Aaron. Sa connaissance du christianisme s’avère très approximative et parcellaire. En réalité ses sources semblent provenir de chrétiens hérétiques ou apocryphes, alors assez nombreux dans la péninsule arabique et le Croissant Fertile. Par exemple Mahomet nie la crucifixion de Jésus (s.4, v.157), exactement comme le pensaient certaines sectes chrétiennes. De nombreux passages apocryphes, ainsi la boue changée en oiseau (s.5, v.110) ou la Table Servie aux disciples (s.5, v.112-115), apparaissent dans le Coran. Nous le constatons une nouvelle fois, ce qui semble une originalité théologique de Mahomet n’apparaît que comme une réminiscence de paroles entendues durant son voyage en Syrie ou ailleurs.
Djinn Al Nader
voilà que je fais le "marseillais"
par Djinn Al Nader
Les croyances et les rites de l’Islam trahissent très clairement leur origine hébraïque. Rappelons qu’après la mort précoce de son père, Mahomet accompagna son oncle Abu Talib en Syrie durant sa jeunesse. Commerçant de profession, son père adoptif fréquenta de nombreux collègues juifs dans ce pays, ce qui suggère la grande affinité culturelle que pouvait entretenir le jeune Mahomet avec les mystères du judaïsme. De même les juifs s’avéraient nombreux dans les environs de la Mecque, ce nœud commercial important et prospère au VIIième siècle. Avant leur extermination par Mahomet, les juifs représentaient trois clans sur onze à Médine, ce qui illustre la présence persistance des juifs à cette époque dans l’Arabie méridionale.
A ses débuts, Mahomet admirait la religion juive pour son monothéisme. Il n’était pas le seul arabe dans ce cas, car le zoroastrisme d’origine perse et le christianisme diffusait largement en Arabie, convertissant de nombreux arabes païens à leurs conceptions monothéistes. Son intérêt pour le judaïsme le conduisit à récupérer les mythes juifs dans la genèse de sa nouvelle religion, bien que leur assemblage ultérieur dans le Coran ne suive ni d’ordre logique, ni d’ordre chronologique. D'ailleurs l'empressement à compiler sauvagement les récits hébraïques dénote le peu d’intérêt que ses héritiers musulmans accordaient à une réflexion profonde quant au sens caché des textes sacrés, peut-être inspirés par l'exemple même de Mahomet dont les récupérations bibliques avaient surtout une finalité politique.
Ce n’est que progressivement que Mahomet se détourna des juifs, déçus de leur manque d’enthousiasme pour ses prêches enflammés. Le choix initial de la direction de prière (la kiblah) pour Jérusalem (s.2, v.36) avant d’opter pour la Mecque traduit assez clairement cette défiance croissante envers les juifs. L’extermination de la tribu juive des Qurayza de Médine, à la suite d’une bataille avec les mecquois, marqua la funeste apogée de sa haine antisémite.
Malgré ce divorce consommé dans le sang, l’Islam ne constitue historiquement qu’une sorte de secte juive, bien que les apports païens, zoroastriens et chrétiens ne soient pas négligeables. Par exemple la plupart des personnages de l’ancien Testament sont cités dans le Coran, dont voici une liste non exhaustive avec leur équivalent islamisé :
Aaron – Harun
Elie – Ilyas
Jonas – Yunus
Abel – Habil
Gabriel – Jibril
Joseph – Yusuf
Abraham – Ibrahim
Goliath – Jalut
Joshua – Yusha
Adam – Adam
Isaac – Ishaq
Lot – Lut
Caïn – Quabil
Ismaël – Ismail
Moïse – Musa
David – Dawd
Jacob – Yacub
Noé – Nuh
A ces personnages correspondent des histoires bien connues du judaïsme :
Récit biblique
Références coraniques de la version islamisée
Aaron fait un veau
s.20, v.90
Abraham prêt à sacrifier son fils Ismaël
s.37, v.103
Abraham visité par les anges
s.11, v.69 ; s.15, v.52
Arche de Noé
s.11, v.40
Caïn et Abel
s.30
Chute d’Adam
s.7, v.24 ; s.2, v.35
Création du monde
s.13, v.3 ; s.16, v.3 ; s.35, v.1-12
Déluge
s.11, v.42 ; s.54, v.9 ; s.69, v.11
Jacob en Egypte
s.12, v.100
Jonas et la baleine
s.6, v.86 ; s.10, v.98 ; s.37, v.139 ; s.68, v.48
Jugement de Salomon
s.21, v.78
La manne et les cailles
s.7, v.160 ; s.20, v.82
Louange de David à Dieu
s.34 , v.10
Moïse frappe le rocher
s.7, v.160
Pharaon
s.2, v.46 ; s.10, v.76 ; s.40, v.38 ; s.43, v.45
Reine de Saba
s.27, v.72
A ce niveau d’analyse, nous pouvons déjà démontrer rationnellement que le Coran n’a jamais été dicté par Dieu lui-même à Mahomet, ainsi que le croient les musulmans. En effet, la science moderne réfute catégoriquement la Création du monde en sept jours. De même, elle exclue l’existence hypothétique du Déluge sur toute la surface de la planète (bien que le Déluge puisse être le souvenir partiel d’invasion locale de terrains autrefois à sec par la mer, comme en Mer Noire), et les progrès en génétique prouvent que tous les hommes n’ont pu descendre de Noé sauvé sur son arche. Ces contes sont donc bel et bien les reliques de croyances anciennes et erronées, d’ailleurs souvent antérieures au judaïsme et d’origine mésopotamienne. Dans ces conditions, Dieu n’a pu révélé des événements qui ne se sont jamais produits, et qui n’existent que dans l’imagination des hommes. A moins que les musulmans osent affirmer que Dieu dit n’importe quoi sur le passé de l’humanité…
Notons que cette récupération des mythes fondateurs du judaïsme s’effectue en coupant de nombreux passages, rendant souvent incompréhensibles des versets. Il faut parfois se munir de la version hébraïque pour redonner un sens aux citations coraniques. Là encore, ce détail montre que Mahomet n’a pas daigné se relire dans la compilation du Coran, comme s’il avait surtout été pressé d’élaborer un recueil de bonnes paroles en vue de pressants besoins politiques.
De manière général, la copie ne peut prétendre rivaliser avec l’original, comme l’affirment franchement de nombreux spécialistes : « Ses personnages sont tous pareils et ils débitent les mêmes platitudes. Il aime les dialogues théâtraux, mais il a une conception limitée de la mise en scène et de l’action théâtrale. L’enchaînement logique des épisodes est fantaisiste et des détails importants, nécessaires à la compréhension du récit, sont fréquemment oubliés. Il ne peut s’empêcher de ressasser les mêmes histoires et il a un sens très limité de l’humour (…) La sourate s.11, v.27-51 donne un récit ennuyeux des aventures de Noé. Elle contient très peu de faits. Elle est composée de harangues uniformément lassantes qui se répètent sans inspiration et on a le sentiment qu’un contemporain de Noé, placé devant l’éventualité de passer quarante jours et quarante nuits dans l’arche, préfèrerait affronter le Déluge… », Torrey, "The Jewish Foundation of Islam", New York, 1933.
Enfin des passages maintes fois cités par les admirateurs de l’Islam ne constituent, là-encore, que des récupérations pures et simples d’écrits hébraïques. Ainsi ce verset où il est question du meurtre de l’humanité :
« C’est pour cause nous avons prescrit aux Enfants d’Israël que celui qui tue quelqu’un, à moins que ce ne soit pour un autre meurtre, ou pour violence dans le pays, est comme s’il avait tué tous les hommes, mais celui qui en sauve un, est comme s’il avait sauvé tous les hommes » (s.5, v.35).
Ce passage est en fait un plagiat dont l’original se trouve dans le Mishnah Sanhédrin des juifs.
L’influence capitale des samaritains
Mais parmi les différents courants du judaïsme, il semble que les samaritains, ces adeptes d’une branche juive ne reconnaissant que le Pentateuque, ait eu une influence déterminante dans la genèse de l’Islam. En effet les samaritains rejetaient la ville sainte de Jérusalem pour lui préférer le sanctuaire de Sichem, près du mont Garizim. Tout comme Mahomet imposant comme direction de prière, à la place de Jérusalem, la ville de la Mecque près du mont Hira. De même Sichem était étroitement associé à Adam et Abraham, comme l’est également la Mecque, et dans les deux sanctuaires une station d’Abraham était censée se trouver. Cette ressemblance troublante conduit le spécialiste de l’Islam Cook à affirmer :
« Le parallèle est remarquable. Tous deux présentent la même structure binaire d’une ville sainte étroitement associée à une proche montagne sainte. Le rite fondamental est un pèlerinage de la ville vers la montagne et dans chaque cas le sanctuaire est une fondation d’Abraham. Le pilier sur lequel Abraham sacrifia à Sichem trouve son équivalent dans le rukn (l’angle Yamani de la Kaaba) du sanctuaire mecquois. Finalement, le sanctuaire urbain est dans chaque cas intimement associé à la tombe d’un patriarche : Joseph pour les samaritains, Ismaël pour la Mecque ».
Au niveau du rite, des ressemblances troublantes apparaissent, telle la formule « Il n’ y a qu’un seul Dieu » récurrente dans les deux religions. Enfin les samaritains vénéraient particulièrement Moïse. Or Moïse conduisit son peuple hors de l’Egypte synonyme de servitude (Exode) avant de recevoir la Loi au Mont Sinaï. Exactement comme Mahomet fuyant la Mecque alors hostile (Hégire) et recevant ses révélations divines sur le Mont Hira. Ces coïncidences se résument dans le tableau suivant :
Moïse
Exode
Pentateuque
Mont Sinaï / Mont Gazirim
Sichem
Mahomet
Hégire
Coran
Mont Hira
La Mecque
Le judaïsme en général et la doctrine des samaritains en particulier sont donc indispensables pour une meilleure compréhension de l’Islam. Que Mahomet n’ait créé qu’une nouvelle secte juive de plus (et non une secte chrétienne, comme le pensent beaucoup de gens), cela ne fait aucun doute. D’autres influences religieuses, cependant, existent dans l’Islam.
Les autres influences religieuses : le zoroastrisme
Depuis des temps immémoriaux, la région du Proche Orient servit de terreau fertile à de nombreuses croyances religieuses, qu’il s’agisse de la révolution monothéiste initiée en Egypte par le pharaon Aménophis IV, de l’avènement du judaïsme avec Moïse traversant le Sinaï, ou encore le zoroastrisme qui essaima en Perse.
Fondé par un fils de prêtre païen répondant au nom de Zorastre plusieurs siècles avant notre ère, le zoroastrisme est une religion monothéiste qui croit en l'existence du dieu céleste Ahura-Mazda. Ce dieu unique est associé à la lumière, de sorte que les zoroastriens lui rendent hommage en adorant des feux. Zorastre aurait reçu cette nouvelle religion de l'ange Vohu-Manah (remarquez le parallèle avec l'ange Gabriel de l'Islam) avant de convertir le roi Vishtapa, père de Darius I le Grand. Tout comme le Allah des musulmans, Ahura-Mazda aurait expressément demandé à Zoroastre de lutter vigoureusement contre le polythéisme. Précisons que les concepts hébraïques de la Genèse, d’Adam et Eve, du Déluge se retrouvent dans le zoroastrisme, reliques de très anciens mythes mésopotamiens.
Sur le plan historique, la victoire des musulmans sur les perses sassanides en 636 contribua à la mise en relation directe de l’Islam avec le zoroastrisme. A cette époque de cristallisation progressive du Coran dont la version définitive n’apparaît que bien plus tard, une pénétration des dogmes musulmans par les concepts zoroastriens s’est nécessairement effectuée. N’oublions pas que les musulmans ne s’étaient pas privé d’emprunter au judaïsme nombre de leurs croyances et rites, de sorte que leur réceptivité au zoroastrisme ait déjà un précédent. Argument plus convaincant encore, il faut imaginer l’intrusion des arabes grossièrement barbares et analphabètes dans cette zone de haute culture et de raffinement qu’est la Perse. Ce changement de décor a dû fortement impressionner ces nomades descendus de leurs montagnes désertiques, favorisant leur perméabilité culturelle aux croyances zoroastriennes.
Or l’influence du zoroastrisme perse sur l’Islam est évidente, notamment dans le nombre de prières quotidiennes que doit effectuer le fidèle musulman, ou encore la croyance eschatologique en le mizan, ou plateau sur lequel les âmes des morts sont jugées (Coran : s.21, v.47). D’ailleurs le Coran place les zoroastriens au même niveau que les juifs, les sabéens et les chrétiens.
Selon la tradition musulmane, l’âme du défunt doit emprunter un pont fin et tranchant comme une lame pour accéder au paradis. Les justes le franchissent avec succès, les injustes trébuchent et tombent en enfer. Cette idée se retrouve dans le zoroastrisme, et sa trace ressurgit même chez les hindous, du fait des influences croisées que nourrirent les peuples perses et indiens.
Autre exemple, les houris réservées aux guerriers supposés méritants de l’Islam, ou vierges célestes offertes à leurs fantasmes sexuels, suggèrent une ascendance zoroastrienne. Dans le zoroastrisme en effet, les anges sont de sexe féminin, et on imagine sans mal la confusion mentale qu’a dû opéré ces créatures charmantes sur ces barbares conquérants loin de leur foyer, en cette Mésopotamie heureuse où tout respire sexe et volupté…
Le substrat païen
De nombreux rites, coutumes, croyances musulmans découlent directement d’un fort substrat païen. Le pèlerinage à la Mecque et ses révolutions autour de la kebba reprennent un ancien culte païen, la pierre noire embrassée par les pèlerins représente en fait une idole archaïque, et même le nom d’Allah correspond à une antique divinité adorée chez les arabes du nord, de sorte que le doute subsiste quant aux croyances idolâtres de Mahomet (voir dans ce site : L’origine païenne de l’Islam). De même le chant du muezzin est d’origine animiste. Les djinns, ou esprits de la nature, demeurent récurrents dans le Coran. Ce terme signifie « voilé, caché, obscure » et traduit la crainte qu’éprouvaient les arabes païens à l’encontre de ces esprits supposés malfaisants. Mahomet croyait personnellement aux djinns (s.37, v.158), preuve de la persistance de ses mœurs assez frustres malgré son monothéisme affiché. Soulignons que la sourate 72 s’intitule « le djinn ». Or ce détail présente une importance capitale, car si vraiment le Coran a été réellement révélé par Dieu, alors il faut se rendre à l’évidence que Dieu est païen lui aussi., et que Dieu lui-même croit aux djinns… D’ailleurs l’Islam reconnaît sans rire l’existence de ces êtres aussi folkloriques que les sept nains ou les schtroumpfs.
L’apport parcellaire du Christianisme
A l’inverse, Mahomet semble ignorer la profondeur du message chrétien. Sa notion de la Trinité demeure confuse, car il place Marie à la place de l’Esprit Saint. Naturellement Mahomet dénonce le concept de la Trinité qu’il considère comme la coexistence de trois dieux différents, sans savoir qu’il s’agit en fait de la triple manifestation de la même personne. Par ailleurs Mahomet commet de nombreuses erreurs, notamment en confondant Marie, mère de Jésus, et Miriam, sœur de Moïse et d’Aaron. Sa connaissance du christianisme s’avère très approximative et parcellaire. En réalité ses sources semblent provenir de chrétiens hérétiques ou apocryphes, alors assez nombreux dans la péninsule arabique et le Croissant Fertile. Par exemple Mahomet nie la crucifixion de Jésus (s.4, v.157), exactement comme le pensaient certaines sectes chrétiennes. De nombreux passages apocryphes, ainsi la boue changée en oiseau (s.5, v.110) ou la Table Servie aux disciples (s.5, v.112-115), apparaissent dans le Coran. Nous le constatons une nouvelle fois, ce qui semble une originalité théologique de Mahomet n’apparaît que comme une réminiscence de paroles entendues durant son voyage en Syrie ou ailleurs.
Djinn Al Nader
voilà que je fais le "marseillais"
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Ecrit le 03 mai05, 02:16
ok le frere Torquemada nous dis que c du plagia en nous jetan un genre de texte copié colé je ne sai ou... mais sa n'explique pas tout les attribut que jai pu sité plus haut , meme si c du plagia il a des attribut que ni la bible ni la thora na mohamed (pbsl) était t'il si intelligent qu'il a reusie a reprouidre le travaille de plusieur siecle des juifs et chrétien en apeine 23 ans??? a le pofiné a un tel point que eu meme ne le comprene pas? non pas du tout se livre et tout simplement un livre révélé par Dieu, et puis ton truc de plagia c completement [ATTENTION Censuré dsl] puisque le coran lui meme affirme que avant lui il y avait la thora et l'evangile il est donc complétement logique qu'il y est les meme nom qui revienne a chaque fois
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pour ta gouverne l'arabe est constitué d'hebreux et d'araméen se qui explique tout simplement le rapprochement de entre le nom juifs et arabe
et puis pour le frere "simplement moi"
ba quoi le CIRS ces pas un truc a vous sa? c les musulman qui son venu metre le couteau sous la gorge de l'institue en leur disan accepté notre thése... eu meme il l'on reconnu point ya pas a débatre la dessu faut trouvé d'autre argument chef!!!
a bon entendeur
salam walékoum
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pour ta gouverne l'arabe est constitué d'hebreux et d'araméen se qui explique tout simplement le rapprochement de entre le nom juifs et arabe
et puis pour le frere "simplement moi"
ba quoi le CIRS ces pas un truc a vous sa? c les musulman qui son venu metre le couteau sous la gorge de l'institue en leur disan accepté notre thése... eu meme il l'on reconnu point ya pas a débatre la dessu faut trouvé d'autre argument chef!!!
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Ecrit le 03 mai05, 06:57
C'est quoi ton CIRS ???? un site bidon complètement.style1 a écrit :ok le frere Torquemada nous dis que c du plagia en nous jetan un genre de texte copié colé je ne sai ou... mais sa n'explique pas tout les attribut que jai pu sité plus haut , meme si c du plagia il a des attribut que ni la bible ni la thora na mohamed (pbsl) était t'il si intelligent qu'il a reusie a reprouidre le travaille de plusieur siecle des juifs et chrétien en apeine 23 ans??? a le pofiné a un tel point que eu meme ne le comprene pas? non pas du tout se livre et tout simplement un livre révélé par Dieu, et puis ton truc de plagia c completement [ATTENTION certains mots employés sur ce forum sont auto censurée, changer de vocabulaire] puisque le coran lui meme affirme que avant lui il y avait la thora et l'evangile il est donc complétement logique qu'il y est les meme nom qui revienne a chaque fois
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pour ta gouverne l'arabe est constitué d'hebreux et d'araméen se qui explique tout simplement le rapprochement de entre le nom juifs et arabe
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ba quoi le CIRS ces pas un truc a vous sa? c les musulman qui son venu metre le couteau sous la gorge de l'institue en leur disan accepté notre thése... eu meme il l'on reconnu point ya pas a débatre la dessu faut trouvé d'autre argument chef!!!![]()
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Et ta thèse... encore plus bidon. Il y a même de "bons musulmans" qui s'en sont offusqués.
Tiens va lire un peu par ici que voici que voilà
http://www.answering-christianity.com/19.htm
- Invité
Ecrit le 04 mai05, 05:00
donc tu admets qu'il y a plagiat - c'est déjà une bonne chose - si tu lis le texte que j'ai mis, tu verras ou Mohamed est allé chercher toutes ces infosmeme si c du plagia il a des attribut que ni la bible ni la thora na mohamed (pbsl) était t'il si intelligent qu'il a reusie a reprouidre le travaille de plusieur siecle des juifs et chrétien en apeine 23 ans
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