La femme que nous dépeint le coran est la femme du bédouin arabe des premiers siècles de notre ère. C'est une femme qui n'a pratiquement aucun contact en dehors de sa tribu, de son clan. C’est une femme qui vaque aux travaux domestiques et qui se voile par nécessité, pour échapper aux effets du soleil et des tempêtes de sable. Dans son coran, Mahomet n’a rien inventé. Il n’a fait que transcrire les us et coutumes de son temps et de son pays en les accommodant de quelques recommandations de son cru. Une fois encore, « dieu » n’a rien à voir dans tout cela. Dans une société tribale où l’individu doit s’effacer devant la famille et le clan, la condition de la femme répondait à des règles strictes. Ainsi, si le coran insiste tant sur les coutumes relatives à l’adultère, c’est parce que les femmes de caravaniers restaient parfois des mois et des années sans voir leur époux. Il fallait donc éviter et réprimer les « tentations » auxquelles elles pouvaient être exposées. Dans une société restreinte, comme l’étaient les tribus de nomades, il n’était point besoin de recourir à un quelconque tribunal pour régler ce genre de problème. Les déclarations de quelques témoins visuels suffisaient. La société moderne, elle, n’est pas une tribu nomade.
D’autre part, s’il est dit dans le coran que : « les hommes ont le pas sur les femmes. Par les dons qu’il leur a octroyés, dieu les a élevés au-dessus des femmes » c’est parce que cette vision « machiste » était la règle dans les sociétés régies par des principes patriarcaux, en Arabie comme dans de nombreuses autres régions d’Europe. Sur ce plan-là, les religions monothéistes – dont le dieu unique a toujours été un homme – reprenaient à leur compte le vieux mythe du péché originel imputant à la femme tous les maux de l’humanité. Ce mythe se retrouve dans la Bible mais aussi chez les Grecs (Pandore et sa boîte) et dans pas mal de mythologies très anciennes. Mahomet n’avait aucun intérêt à bouleverser l’ordre établi, d’autant qu’il était manifestement doué pour profiter des femmes.
Le coran dit, certes, que la femme doit être traitée « avec justice et respect » mais c’est un vœu pieu puisque son infériorité est largement confirmée par le droit coranique. C’est ainsi que dans un jugement, son témoignage ne compte que pour la moitié de celui d’un homme (sauf dans les cas d’avortement, jugés spécifiquement féminins). Comment peut-on traiter la femme « avec justice » et, dans le même temps, ramener son témoignage à peu de choses !
Mahomet semble avoir cherché à adoucir quelque peu le sort des femmes de son époque, c’est vrai. Mais c'était il y a 1400 ans et sans jamais pour autant mettre les femmes sur un pied d’égalité avec les hommes. Et l’islam a perpétué jusqu’à nos jours cette vision archaïque, injuste et inégalitaire des droits (ou plutôt de l’absence de droits) de la femme. Il n’y a guère que pendant la période dite « abbasside » que les femmes musulmanes redressèrent quelque peu la tête. On vit même des jeunes filles arabes combattre dans les rangs des armées, au même titre que les hommes (71).
L’évolution était considérable – pour ne pas dire révolutionnaire – dans une région du monde où il avait été usuel, pendant des siècles, de tuer les nouveaux nés de sexe féminin. Mais la femme musulmane ne parvint pas à se maintenir bien longtemps à un tel niveau d’égalité avec les hommes. Elle redevint rapidement une sorte d’esclave domestique n’ayant que le droit de subir en silence et à qui l’on refuse, encore aujourd’hui, de s’élever socialement par les études et le travail.
Ce qu'en pense un musulman
A l’instar du Talmud des Juifs, le coran fait du mariage fécond une obligation religieuse. La femme est la domestique de l’homme mais elle doit aussi enfanter. Dans la société musulmane, le célibat est une sorte d’anomalie puisque l’homme a le droit de « posséder » quatre épouses (à l’exception, bien sûr de Mahomet, qui s’arrogea le droit d’en avoir une quinzaine), ainsi qu’un nombre « illimité » de concubines esclaves (72) (Mahomet en eu au moins onze). En cela le coran ne faisait que confirmer les vieilles coutumes tribales, celles des peuples pour qui le nombre de descendants était source de prestige (sauf pour Mahomet qui n’eut qu’un fils et une fille malgré ses douze femmes et ses nombreuses concubines . On comprend qu'il eut besoin de compenser son infériorité aux yeux de ses contemporains par sa violence, son arrogance... et ses révélations divines !). On raconte ainsi qu’en l’an 423 de l’hégire (année 1045 de notre ère), mourut à Bagdad un teinturier âgé de 87 ans qui avait épousé et répudié neuf cents femmes, soit une par mois en moyenne.
Le mariage légal, tel qu’il se dégage du coran est un mélange subtil de règles juridiques et de coutumes préislamiques. C’est surtout – avec le concubinage – un moyen licite d’avoir des relations sexuelles sans commettre le « péché criminel de Zina ». Il se résume en deux notions « possession physique » et « procréation ». Au chapitre des « empêchements », le coran diffère peu des autres législations de l’époque mais introduit cependant deux notions purement coranique, celle qui réprime les « mésalliances » (mariage entre deux personnes de conditions sociales différentes) et le mariage avec la sœur d’une femme déjà épousée et encore vivante. Sur le plan du mariage, l’islam n’a donc jamais été une religion « égalitaire ». Mais si l’islam interdit le mélange des « classes sociales », il autorise à un musulman d’épouser une femme juive ou chrétienne (Mahomet lui-même a épousé une Juive) tout en interdisant à la femme musulmane de pouvoir faire de même.
Cela tient évidemment du fait que, dans les sociétés anciennes, la femme était tenue d’adopter la religion de son mari. En épousant une juive ou une chrétienne, le musulman faisait une « nouvelle adepte » tandis que, dans le cas contraire, la communauté aurait vu une femme musulmane adhérer à une autre religion. Les Juifs adoptaient – et adoptent toujours – la même attitude discriminatoire. En outre, chez les Juifs comme chez les musulmans, la femme ne participe pas au culte proprement dit. Elle n’en est que la spectatrice et… la victime !
En droit islamique, le mariage peut avoir lieu si les deux conjoints sont pubères. Le coran ne s’encombre pas des notions de « majorité légale » qui, de toute façon, n’existaient pas au VIIe siècle ! Il permet, en outre, la pratique du mariage forcé ou « djebr » (contrainte matrimoniale dans le droit islamique) et, dans ce cas, la puberté n’est plus une condition sine qua non. Le droit au djebr est dévolu au père ou au tuteur désigné par lui (tuteur testamentaire) mais il n’a jamais existé de règles précises à son propos, l’application du djebr ayant varié selon les « écoles » coraniques et les rit. Le djebr n’est d’ailleurs pas une coutume spécifiquement islamique. Elle existait bien avant l’islam et était répandue dans la quasi-totalité de la Méditerranée orientale. Le Talmud des Juifs accordait ce même droit au père. On retrouve dans toutes ces coutumes et règles juridiques, la volonté – pour les sociétés anciennes – de favoriser la démographie. Les peuples qui se faisaient la guerre à outrance devaient compenser les pertes au combat en incitant les filles à procréer dès leur plus jeune âge. On aurait donc dû s’attendre à ce que ces usages disparaissent en même temps que les soucis démographiques. Mais il n’en fut rien chez les musulmans alors même que ni le coran ni les sunna n’abordent cette question. C’est la « doctrine » et la « jurisprudence » qui ont confirmé la pratique du djebr, non la nécessité. Notons encore que le consentement de la fille n’est requis – en droit islamique – que si elle est émancipée, veuve ou divorcée. Elle peut aussi refuser d’être mariée à un fou, à un épileptique ou à un homme difforme. Elle a aussi droit à la parole dans le cas – peu probable dans une communauté musulmane – où l’on refuse de la marier. Il faut aussi rappeler que la loi coranique a décrété que la défloration était licite dès l’âge de neuf ans. Elle se fonde, une fois de plus sur l’exemple de ce vieux satyre de Mahomet qui, voulant épouser Aïchah, la déclara nubile à cet âge. C’est sans doute l’un des aspects les plus abjects de la loi coranique puisqu’il confère un caractère légal (pour ne pas dire « divin ») à la pédophilie (73) !
Le mariage islamique implique la « cohabitation assidue » et l’entretien du ménage. Il impose à l’homme de nourrir ses femmes (elle peuvent manger tout ce qu’elles sont capables de consommer !) et lui recommande de s’abstenir des mauvais traitements et sévices graves. Le coran, toujours contradictoire, permet cependant à l’époux de « corriger par violences légères » (sic) l’épouse dont il aurait à se plaindre. Bien évidemment , la femme a un devoir absolu de fidélité tandis que l’homme n’est aucunement astreint à cette obligation.
Le coran a aussi donné un caractère légal à une vieille coutume bédouine qui consistait en une sorte de « mariage temporaire ». Nommé « sigheh », il ne pouvait durer plus d’une heure et permettait, jadis, la satisfaction des besoins sexuels des hommes qui se trouvaient éloignés de leur(s) femme(s) (caravaniers, marchands, pélerins,…). C’était, en réalité, une forme de prostitution déguisée. Aujourd’hui, et alors même que cette forme de relation (très) temporaire ne se justifie plus, le sigheh permet les relations sexuelles hors mariage malgré les interdits de ce même coran. C’est ainsi que les relations avec des prostituées sont tolérées par les régimes islamiques les plus puritains si les « passes » ne durent pas plus d’une heure. D’où une recrudescence de la prostitution dans les pays musulmans où la misère sociale ne cesse de grandir d’année en année. Nous sommes, là encore, en présence d’un cas flagrant d’hypocrisie masculine. Imitant leur « prophète », les musulmans s’arrogent des « dérogations » en jouant sur les mots et en se référant à des us et coutumes vieux de plus de quatorze siècles. Ceux qui fréquentent des prostituées se retranchent derrière cette prétendue « autorisation coranique » qu’est le sigheh. Et comme les « passes » chez les putains durent rarement plus d’une heure, ils peuvent se déclarer « en paix avec dieu ». Ben voyons !
La problématique du « voile islamique » met en évidence le même type de comportement hypocrite, la même propension a jouer sur les mots et à se référer à des usages locaux qui n’avaient rien de spécifiquement religieux.
Le « foulard islamique » (sic) est aussi le type même du faux problème, un problème fabriqué spécialement par les islamistes (par déclinaison du tchador Iranien ou de la Burka Afghane) pour leur permettre de tester la résistance des sociétés occidentales. En fait, le port d’un foulard, d’un voile ou de toute autre vêtement (comme le tchador ou tchadri ou burka) n’est prescrit par aucune religion. C’est surtout une tradition propre à certaines ethnies et elle n’a de motivation religieuse pour l'islam que si on veut lui en donner une.
Parmi les explications que donnent les musulmans pour justifier le port du foulard en tant que prescription islamique, ils citent souvent des versets du coran (sourate 33) qui imposent le port d’un voile (hidjâb) En fait, les musulmans eux-mêmes ont très diversement fait usage de ces versets selon les époques et les régions. C’est le cas pour le verset 59 qui dit : « O prophète ! Prescrits à tes épouses, à tes filles et aux femmes des croyants d’abaisser un voile sur leur visage. Il sera la marque de leur vertu et un frein contre les propos des hommes… ». Vouloir cacher ses épouses et ses filles est une volonté d’homme jaloux symptomatique des tendances tyranniques de Mahomet. Voir là une « prescription divine » à étendre à toutes les femmes est de même symptomatique des tendances tyranniques de certains « savants » musulmans.
Le port du voile chez les femmes du Moyen-Orient découle d’une très ancienne coutume. On en trouve la trace dans les lois instaurées par Teglath-Phalazar Ier (transcription du nom assyrien Toukoulti-apal-Esharra qui signifiait littéralement « l’enfant de la déesse Esharra est ma force »), rois d’Assyrie qui régna au XIIe siècle avant notre ère. Elles stipulaient déjà que « Les femmes mariées qui sortent dans la rues n’auront pas la tête découverte. La concubine qui va dans la rue avec sa maîtresse (l’épouse) sera également voilée. La hiérodule (prostituée sacrée) qu’un mari a prise sera voilée dans les rues. Et celle qu’un mari n’a pas prise ira la tête découverte. La prostituée (non sacrée) ne sera pas voilée, sa tête sera découverte ». Il n’y a rien de « révélé » dans tout cela. A moins d’admettre qu'Allah ignorait les lois des assyriens !
Chez les chrétiens, les religieuses ont longtemps porté le voile en souvenir des tenues que portaient les premières disciples de Jésus, des femmes juives qui vivaient dans les régions arides de Palestine. Mais jamais le clergé chrétien n’a prétendu qu’il s’agissait là d’une « volonté divine » et, lors des dernières réformes de l’église catholique, le port du voile chez les religieuses a été abandonné (il n'est pas interdit mais est devenu facultatif afin de satisfaire des congrégations très conservatrices).
Saint Paul, dans la première de ses « Epitres aux Corinthiens » (chapitre 11, versets 4 à 16), insistait seulement sur la nécessité, pour la femme, de se couvrir quand elle prie ou prophétise. Pour les hommes, on trouve les mêmes divergences de point de vue. Les chrétiens se décoiffent pour pratiquer leur culte tandis que les Juifs et leurs « plagieurs » musulmans adoptent l’attitude inverse.
Les différents documents çi-après qui illustrent notre propos démontrent que, dans de très nombreux pays musulmans, la femme ne masque pas son visage. Certains peuples musulmans n’ont jamais jugé utile d’imposer le port d’un voile ou d’une tenue quelconque. Chez les Touaregs, c’est l’homme qui porte le voile tandis que la femme n’en a jamais porté. Les musulmans qui obligent leurs femmes et leurs filles à porter le foulard ou le voile le font bien plus pour affirmer leur autorité (et leur jalousie maladive) que par respect d’une quelconque « loi divine».
Le port d’un voile ou d’un foulard n’étant rien d’autre qu’une coutume, nous sommes - en Europe - parfaitement en droit d’en interdire le port à l’intérieur des bâtiments publics et plus particulièrement des écoles. En Europe, ce sont les coutumes européennes qui s’imposent, pas celles des déserts d’Arabie, du Maghreb, de Palestine, d’Afghanistan ou d’ailleurs. D’autant que la coutume européenne impose de se découvrir devant un supérieur hiérachique, ou une personne qui détient une forme quelconque d’autorité. C’est une simple question de politesse. Dans le cas des élèves des écoles en présence des membres du corps enseignant, c’est une forme élémentaire de respect.
Dès lors, le fait de ne pas se découvrir dans des locaux scolaires est un manque flagrant de civisme et doit être sanctionné comme tel, qu’il s’agisse d’élèves musulmans ou non musulmans. Et pour les musulmans que nos coutumes « dérangent », il existe pas mal de bateaux et d’avions en partance pour les pays musulmans, ces « paradis » où le coran est roi et où l’on se retrouve sous les verrous pour avoir éternué un peu trop fort pendant la lecture des « saintes révélations » !
On notera surtout que les politiciens occidentaux - par pur opportunisme ou par peur – ont presque toujours tenté de fuir leurs responsabilités dans de telles affaires. Lorsque Lionel Jospin, alors ministre de l'éducation, a eu à prendre une décision lors de la première affaire de foulard islamique, il s'est empressé... de ne surtout rien faire et rien décider, alors qu'il pouvait d'une simple signature tuer dans l'oeuf ce problème qui empoisonne maintenant l'ensemble de la société Française. C’est ce manque de fermeté politique qui a incité les islamistes à « passer la vitesse supérieure » et à se comporter de plus en plus ouvertement en « conquérants ».
Nous nous devons de leur rappeler que les régimes politiques de la plupart des pays occidentaux sont régis par le principe de laïcité, un principe qui met toutes les religions sur un pied d'égalité et ne peut donc admettre de dérogations qui avantageraient une quelconque religion par rapport aux autres. Dés lors que le voile ou le foulard est arboré comme un signe de « différence religieuse », il se trouve en opposition avec le principe de laïcité. Il en serait de même pour un juif qui, dans une école publique, porterait ostensiblement la « kippa » (coupole en hébreu), cette calotte que portent les Juifs pratiquants.
Il n’y a pas à déroger sur ce principe, pas plus que sur les autres règles qui conditionnent le fonctionnement des écoles publiques européennes, notamment le principe de la mixité. Une fois encore, si les musulmans ne sont pas satisfaits de nos us et coutumes, qu’ils s’en aillent. Nous ne les retiendrons pas. Il leur appartient de se plier aux lois et aux règlements qui régissent nos sociétés occidentales… ou de s’en aller voir ailleurs s’ils n’y sont pas. Le départ des fauteurs de troubles professionnels ne sera regretté par personne. Quant à ceux qui persistent à contester nos règles de vie et nos lois (adoptées démocratiquement, contrairement à ce qui se passe dans les pays islamisés), nous devrons prendre des mesures pour les mettre hors d’état de nuire, d’une manière ou d’une autre. Nous avons exposé par ailleurs, les différentes solutions envisageables, de l’expulsion simple aux mesures d’internement et d’isolement.
En France, la mentalité « post-soixantuitarde » produit maintenant de redoutables effets pervers.
Sur la photo ci-contre on voit des lycéennes arborant un calicot qui est l’exemple même du contresens.
On ne peut pas dire « oui » au foulard, symbole d'intolérance et de refus de la laïcité, en même temps que l'on dit « oui » à la tolérance et à la laïcité !
On voit ainsi comment les manipulations islamiques peuvent égarer les jeunes esprits, d’autant que les discours lénifiants de toutes sortes d’associations ont pour effet d’endormir la méfiance des non musulmans.
C’est précisément au nom de la laïcité et du respect de tous – en commençant par les membres du corps enseignant – que les signes ostentatoires d’appartenance à une communauté religieuse doivent être strictement interdits dans les écoles non confessionnelles. Il existe des écoles catholiques, d'autres juives.
Qu'attendent donc les musulmans pour faire de même ?
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Tolérance occidentale ou tolérance musulmane ?
Ecole laïque ou école coranique ?
Science contemporaine ou science islamique ?
Les « post soixante-huitard » objecteront que patati & patata pour ne pas choisir. Les adeptes de Mahomet, eux, ont déjà choisi.
Détail d’un portail d’église gothique.
C’est une représentation de l’Annonciation avec Marie (à gauche) et Ste Elisabeth (à droite).
Le sculpteur a représenté les deux femmes dans une tenue « à l’antique » avec l’ample vêtement à plis permettant de couvrir la tête et le visage pour se préserver du sable et du vent.
Ce type de vêtement, très commun sur le pourtour méditerranéen, en Asie mineure et en Inde, était porté depuis la plus haute antiquité. Il a subsisté, dans bien des régions (et même en Europe) jusqu’à la Renaissance.
Détail d’un tableau de 1470 attribué au peintre italien Piero della Francesca.
Ici, l’artiste n’a conservé que le léger voile qui couvre la tête. C’est la tenue des bourgeoises de la fin du Moyen Age, lesquelles avaient conservé cet accessoire vestimentaire en hommage à la Vierge et non en signe de soumission à la religion.
Chez les musulmans, le port d’un foulard, d’un voile ou d’un tchadri est, en réalité, une soumission de la femme à l’homme, et non à dieu.
La « répudiation » - qui fait l’objet d’un certain nombre de versets du coran – était un mode de dissolution du mariage commun à tous les peuples d’origine sémitique. Chez les Israélites, le Deutéronome permettait au mari de répudier sa femme sans grandes formalités. Cette coutume persista très longtemps chez les Juifs, à tel point que le Grand Sanhédrin – réuni en 1807 sur ordre de Napoléon Ier – fut sommé de mettre fin à ce genre de pratique qui permettait les mariages à répétition. Dans bon nombre de pays musulmans, l’homme peut toujours répudier quatre femmes sans avoir à se justifier. Chez les musulmans sunnites, le mari a de plus le droit de revenir sur sa décision, c'est bien pratique pour pouvoir faire n'importe quoi !
L’islam couvre aussi de son autorité quantité de pratiques honteuses, pour ne pas dire criminelles. C’est le cas pour la pratique de l’excision qui demeure très répandue en Afrique noire islamisée.
Au Mali, comme dans d’autres pays d’Afrique, les imams entendent s’opposer à la loi pour perpétuer des pratiques honteuses telles que l’excision des femmes, véritable mutilation allant à l’encontre des droits les plus élémentaires de la personne humaine Comme nous l’indique un article de « L’Express » (8 août 2002), 94% des femmes maliennes âgées de 15 à 49 ans sont encore excisées malgré les lois adoptées par le gouvernement. C’est la « Limala » (Ligue malienne des imams et des érudits pour la solidarité islamique) (sic) qui s’est le plus directement opposée à la loi interdisant l’excision bien que, selon son porte-parole, l’excision soit « facultative dans la religion musulmane ». Autrement dit, il s’agit d’une coutume – couverte par l’islam – qui s’applique « à la tête du client » sans aucune nécessité véritable. Encore une incohérence criminelle parmi d’autres.
Remarquons au passage que l'excision musulmane n'est à nouveau qu'un plagiat, celui d'une mutilation sexuelle rituelle juive : la circoncision. Là où les juifs mutilent sexuellement les hommes, les musulmans ont choisi de mutiler les femmes. Bonnet blanc et blanc bonnet...
Notons, en passant, qu’une « déclaration islamique des droits de l'homme » a été proclamée à Paris (Unesco) le 19 septembre 1981 par un certain Salem Azzam (secrétaire-général d’un « conseil islamique »). Ce simple fait montre que la déclaration des droits de l'homme, dans sa forme d'origine, est INCOMPATIBLE avec l'islam. Composée de 23 articles, la « déclaration islamique des droits de l'homme » devrait – en principe – être respectée par tous les pays régis par l’islam. Outre le droit à la vie, elle reconnaît le droit à la liberté et à l’égalité et prohibe toute forme de discrimination. Elle implique le droit à la justice et à un procès équitable. Ses 13 articles relatifs aux droits politiques et sociaux instauraient le droit d’asile, les droits des minorités, les droits de participation à la conduite et à la gestion des affaires publiques, le droit à la liberté de croyance, le droit de pensée et de parole, le droit de libre association, la protection des biens, la protection des travailleurs, le droit à la sécurité sociale, le droit à l’éducation et le respect de la vie privée.
Ce texte n’a, en fait, jamais été respecté par les nations régies par la loi coranique, tout simplement parce qu'il ne PEUT PAS l'être : La plupart des droits reconnus par cette « convention » sont en opposition avec les prescriptions du coran et, par la même occasion, incompatibles avec l’islam. Cette « convention » est un chiffon de papier comme le furent des tas d’autres « traités » signés par des musulmans. La notion même de « convention islamique des droits de l'homme » est une aberration, une vue de l’esprit destinée uniquement à jeter de la poudre aux yeux des Occidentaux naïfs. Quant aux « droits de la femme », c'est une notion qui n'existe pas dans l’islam !
Dans les pays musulmans en guerre (comme ci-dessus en Afghanistan), le port des tenues féminines dites « traditionnelles » est très pratique lorsqu’il s’agit de faire transporter des armes, des explosifs, des tracts subversifs, des faux papiers et autres objets illicites. L’armée française avait déjà été confrontée à cette tactique pendant la guerre d’Algérie. En Afghanistan, des milliers de femmes ont ainsi été obligées de servir de « passeurs » pour les différentes factions qui participent au conflit. Aujourd’hui encore, elles continuent à collaborer – le plus souvent de force – avec ce qui subsiste de l’ancien pouvoir taliban et pour les islamistes à la solde de l’Arabie saoudite.
Femmes turques portant le tchador pour aller voter (octobre 2002).
Si l’on excepte les femmes âgées, les femmes franchement laides et celles dont le comportement est entaché de masochisme (il y en a !), rares sont les musulmanes qui sont réellement attachée à ce type de vêtement qui les transforme en autant de sacs anonymes. Elles ne portent ces vêtements dégradants que par obligation et sous la contrainte des « traditions » imposées par les hommes. C’est particulièrement vrai dans les pays qui conservent encore un semblant de laïcité (Turquie, Irak,…) et où le port des tenues « islamiques » n’est pas rendu obligatoire par la loi.
Les pays occidentaux doivent être très attentifs à ce problème et sanctionner le port des tenues musulmanes qui masquent le visage. Il suffit pour cela d'appliquer la loi telle qu'elle existe. Rappelons que les tenues de carnaval sont interdites en dehors justement des périodes de carnaval. Une tolérance existe pour les artistes de rue mais il est aisé de faire la différencec entre un artiste accomplissant un spectacle et une femme musulmane, même pour des policiers peu au courant des us et coutumes de l'islam ! Comme n'importe quel contrevenant, toute femme se promenant dans la rue en étant masquée devrait être, de facto, verbalisée, voire emmenée dans un commissariat de police si elle refuse d'enlever son masque. (C'est en appliquant une législation de ce type que les Américains ont réussi à faire que, désormais, les militants du Ku-Klux-Klan ne portent plus leurs masques quand ils défilent.)
Il s’agirait là de mesures préventives et dissuasives et non de mesures à connotation raciste ou xénophobe. La sécurité de nos populations doit passer avant toute autre considération.
De très nombreux auteurs ont critiqué l’islam pour son iniquité vis-à-vis des femmes. C’est ainsi que Gauthier écrira que : « Il y a, en islam, guerre déclarée entre les sexes, sans trêve, sans merci. L’homme a contre soi, non seulement ses femmes, mais toutes les femmes ». Cet antagonisme permanent a fini instaurer une vision bicéphale de l’univers (en parfait complémentarisme du manichéïsme séparant les musulmans des non-musulmans mécréants). En terre d’islam, il y a l’univers des hommes et celui des femmes. Et ces deux univers ne se rencontrent guère qu’au moment des rapports sexuels.
Le profond mépris pour les femmes qui anime les musulmans s’est souvent manifesté dans les milieux de la prostitution. Les musulmans pouvant règner en despotes sur les femmes de leurs familles, c'est naturellement qu'ils sont amenés à exploiter les femmes ne bénéficiant pas de la tutelle d'un homme. En Europe occidentale, on a connu plusieurs générations de « maquereaux » maghrébins et, tout récemment encore, un consul de Belgique, a été compromis dans une affaire de visas accordés illégalement à des femmes marocaines que des proxénètes maghrébins voulaient mettre sur nos trottoirs. Depuis quelques temps, les proxénètes maghrébins ont dû céder du terrain devant les voyous originaires des anciens pays de l’Est. Mais, ici encore, les pires exploiteurs de femmes sont les maffieux albanais, pour la plupart musulmans.
C’est sans nul doute vis-à-vis des femmes que l’islam révèle pleinement son anachronisme et ses aspects les plus inégalitaires. En donnant au coran un caractère immuable, les musulmans perpétuent des us et coutumes qui n’ont plus cours dans les autres communautés depuis des siècles. Bornés mais habitués à ruser depuis des siècles pour conserver leur anachronisme, les musulmans de sexe masculin ne veulent pas admettre que les règles énoncées dans le coran valaient pour les tribus nomades de l’Arabie du VIIe siècle, et qu'elles n'ont plus aucune raison d'être pour les sociétés citadines et sédentaires de notre époque. En cela, ils sont rejoints par les Juifs «ultraorthodoxes », ceux-là même qui constituent le noyau dur de la droite israélienne. On ne connaît que trop bien les méthodes fascisantes de cette droite extrémiste, belliqueuse et raciste. Des méthodes qui s’apparentent très directement à celles des factions islamistes les plus radicales. Ce sont ces fascistes religieux qui ont revendiqué (et obtenu !) des bus « kasher » (avec compartiments séparés pour les hommes et pour les femmes) et nul doute qu’un jour viendra où les islamistes voudront, eux aussi, imposer des transports en commun « halal » . Avec de tels cinglés, il faut s’attendre à tout !
Presse belge – 14 septembre 2002
Tous les politiciens belges ne sont pas idiots ou anesthésiés par la peur. On trouve aussi, en Belgique, des juristes intelligents et honnêtes qui ne se laissent pas influencer par les prétendus « bien pensants » qui bêlent avec le troupeau.
La porte d’entrée d’un Harem (palais de Topkapi). Comme Mahomet, les califes, les sultans et autres « chefs » musulmans s’accordèrent de nombreuses « dérogations religieuses », notamment en ce qui concerne leurs épouses et leurs concubines. Certains d’entre-eux enfermèrent des centaines de femmes dans un « harem » (de l’arabe « haram » : chose sacrée ou chose réservée) qui était gardé par des hommes émasculés (eunuques) dont le chef était appelé « kislir aghasi » (chef des filles). Parmi ces femmes, il n’était pas rare de trouver des non musulmanes qui avait été capturées lors de razzias ou pendant les guerres. Ces captives n’avaient la vie sauve que si elles acceptaient d’entrer dans le harem de celui qui les détenaient. Pour un musulman de stricte observance, la femme n’est rien d’autre qu’une esclave qui doit la plus totale obéissance à son « maître ».
Le mahométisme a toujours affiché le plus profond mépris pour les droits de la personne, surtout s’il s’agit d’une femme. Pour le musulman, la femme est taillable et corvéable à merci, comme l’étaient les serfs de notre moyen Age. Chez les bédouins, son statut est parfois moins enviable que celui des bêtes de somme, chameaux et chevaux. Si cette vision des choses a persisté jusqu’à nos jours dans les pays islamisés, c’est évidemment à cause du coran, donc de celui qui en fut l’auteur, ce Mahomet qui commença par jouer les gigolos coureur de dot avant de finir pédophile.
C’est au coran que se réfèrent les musulmans lorsqu’ils sont accusés d’enfreindre les droits de l’homme, de la femme et des enfants. Il s’y réfèrent même lorsqu’ils commettent des crimes qui auraient fait pâlir d’envie Jack l’Eventreur !
C’est ainsi que la justice iranienne a fini par condamner à mort (et exécuter) un certain Saeed Hanaei, un ouvrier du bâtiment âgé de 39 ans (lors de son procès en octobre 2001) qui avait assassiné seize prostituées dans la ville « sainte » de Machad (nord de l’Iran). Cette affaire a fait l’objet d’un reportage qui a été diffusé par la chaîne de télévision « France 3 » en mars 2003.
Entre 2000 et 2001, les prostituées de Machad vécurent dans la terreur à cause de ce tueur en série. En tout, dix-neuf femmes furent étranglées, seize par Hanaei et trois par des inévitables « imitateurs ». Le « serial killer » fut démasqué lorsque l’une de ses victimes parvint à s’échapper et à trouver refuge dans un commissariat de police. Sa méthode était simple : il se faisait passer pour un client, il attirait sa victime dans un coin tranquille, il la « consommait » puis il l’étranglait avec... son voile islamique !
Saeed Hanaei était un malade à tendance mystique mais aussi un pervers sexuel puisqu’il « consommait » avant de tuer.
Les refoulements sexuels, chez les mystiques (toutes religions confondues) ont souvent pour effet d’induire des comportements per-vers. C’est l’une des conséquences néfastes de l’enseignement religieux lorsqu’il est prodigué par des fanatiques ou des ignorants (chose fréquente dans le monde arabo-musulman).
On prétend de l’épouse du serial-killer aurait approuvé la conduite de son mari et qu’elle le vénère comme un « héros ». Mais il ne s’agit sans doute que d’une attitude « de façade », une attitude destinée à ne pas contredire la position de la famille du meurtrier, cette belle-famille dont dépend sa veuve.
Saeed Hanaei expliquera qu’il avait agi de la sorte parce qu’un homme avait abordé sa femme alors qu’elle traversait un quartier mal famé. Il l’avait prise pour une prostituée. Hanaei se serait senti « souillé » et aussitôt « investi d’une mission divine ». Il devait chasser les femmes « impures » de la ville sainte ! On est là devant un cas classique d’aliénation mentale qui puise ses racines dans le mysticisme religieux. D’autres ont agit de même dans des pays catholiques ou protestants, ou encore dans des communautés juives. On notera d’ailleurs que des religieux iraniens ont prêché ouvertement en faveur de ce cinglé, estimant qu’il n’avait jamais « versé le sang d’innocents » !
Pour les chiites les plus fanatiques, Hanaei est ainsi devenu une sorte de « chevalier de dieu ». Il a bénéficié de nombreuses marques de sympathie lors de son arrestation et sa famille, très fière, vénère sa mémoire comme celle d’un « saint homme » !
Comme l’indiquait fort bien un article paru dans l’hebdomadaire « Télépro » ( mars 2003), ce fait divers sordide met en lumière un Iran toujours aussi malade de ses excès mystiques. Les prostituées qui furent massacrées par Hanaei et ses « copieurs » n’avaient pas vraiment choisi de racoler. La plupart d’entres elles avaient été mariées très jeunes. L’une d’elles n’avait que 10 ans quand elle avait été contrainte au mariage (toujours le fâcheux exemple du prophète pédophile !). Répudiée à 20 ans par son mari, elle avait été contrainte d’élever seule ses cinq enfants. La prostitution – sujet tabou au pays des ayatollahs – avait été l’unique issue pour cette femme qui avait été « légalement abandonnée » avec sa progéniture. Et c’est ce genre de mère courageuse que les musulmans osent qualifier de « femme impure », alors même que c’est son mari qui était un salopard !
Et pourtant, on n’entend guère les autorités occidentales s’élever contre les lois et les coutumes scélérates qui persistent dans le monde arabo-musulman en ce début du IIIe millénaire de l’ère dite « chrétienne ». C’est une forme de lâcheté qui ne nous honore pas, mais alors, pas du tout. Quand donc les juridictions internationales (comme la Cour de Justice Internationale) auront-elles le courage de faire comparaître les dirigeants des nations islamiques et ce, pour « crimes contre l’humanité » (puisque, jusqu’à preuve du contraire, les femmes font partie de l’humanité, n’en déplaise aux « muslims » !).
Le monde libre et supposé démocratique ne pourra se regarder dans la glace que le jour où les membres de la « bande à Saoud », les ayatollahs, les mollahs et les imams seront amenés, menottes aux poignets, devant les juges de l’ICC.
Compte tenu de tout ce qui vient d’être dit à propos de la misérable condition de vie des femmes musulmanes, on pourra s’étonner du fait que, depuis quelques temps, on puisse voir figurer des jeunes femmes au rang de « martyr de la cause palestinienne ».
Le problème vient d’être évoqué dans un ouvrage intitulé « Shahidas, les femmes kamikazes de Palestine » (de Barbara Victor aux éditions Flamarion. Un résumé des arguments de Barbara Victor a paru dans les pages du magazine « Télépro » en janvier 2003). L’auteur a analysé le cas des quelques femmes qui ont participé à des actions terroristes au nom du djihad. On apprend notamment qu’il a fallut une fatwa (décret religieux) pour légitimer des actes qui sont en contradiction avec la loi coranique. Et comme le note l’auteur de l’article (Viviane Bourdon), le martyre est devenu le seul avantage (façon de parler) social et culturel qui ait été consenti aux femmes dans la société islamique palestinienne.
C’est le 27 janvier 2002 que Yasser Arafat a déclaré, depuis son camp retranché de Ramallah : « Vous êtes mon armée de roses qui écrasera les tanks israéliens. Shahida juqu’à Jérusalem ». Il venait d’inventer un mot (shahida) qui n’existait pas dans la langue arabe avant qu’il ne prononce ce discours. Il l’a créé en féminisant le mot « Shehide » (martyr), un mot exclusivement masculin. C’est ce discours qui a incité plusieurs femmes à mourir plutôt qu’à demeurer des parias de la société musulmane. Dès l’après-midi du 2 janvier 2002, Wafa Idris était déjà passée à l’acte. Répudiée par son mari parce qu’elle ne pouvait pas avoir d’enfants, elle avait voulu retrouver un semblant de respectabilité en se transformant en bombe vivante : une forme de suicide échappant à la vindicte religieuse.
Pour ces femmes, la mort est une libération. Darine Abou Aïcha, brillante étudiante de l’université de Naplouse – qui se fera sauter avec sa bombe devant un poste de contrôle israélien - n’avait elle pas déclaré à ses parents qu’elle refusait de se marier « pour ne pas devenir une esclave » ! Arafat, par son discours de janvier 2002, lui a donné, à elle et à quelques autres, la possibilité de mourir sans déshonorer leur famille. Mais c’est une façon honteuse et criminelle d’exploiter la détresse des femmes. Arafat n’a pas à être fier de son « armée de roses ». La Palestine non plus !
Si ce n’était la gravité du sujet, les non musulmans seraient tentés de sourire lorsqu’ils apprennent que l’islam n’aurait jamais vu le jour…sans une femme !
Cette femme, ce fut Khadidja, sa première épouse. Veuve et riche, elle permit au jeune Muhammad de s’ériger en propagandiste du « dieu unique » et de devenir « prophète professionnel ». Sans l’argent de Khadidja, Muhammad el-Mottalib n’aurait jamais pu armer ses premières bandes et courir le désert pour y répandre sa « foi » à grands coups de sabre. Sans le savoir – et sans doute sans le vouloir – cette femme a contribué au malheur de son sexe en favorisant l'ascension sociale et politique de ce sinistre individu.
Notons encore que la presse a fait état des « inquiétudes » du clergé chiite d’Iran à propos de l’entrée de plus en plus massive des jeunes filles dans les universités. En effet, en 2002 – et pour la quatrième année consécutive – le nombre de filles accédant à la première année des universités publiques a dépassé largement celui des garçons. Selon l’une des rares femmes élues au parlement iranien, les étudiantes seront bientôt plus nombreuses que les étudiants. Elle estime, par ailleurs, que c’est parce qu’elles n’ont pas droit aux autres moyens d’expression que les jeunes filles s’adonnent aux études avec autant d’enthousiasme. Mais selon un théologien chiite, cet état de chose serait de nature à encourager « la corruption des mœurs » et serait responsable de 70 % des échecs chez les jeunes iraniens !
Pauvre machos complexés !
On hésite aussi entre rire et pleurer quand on voit que des femmes contribuent encore de nos jours à favoriser et encourager leur propre oppression en voyant dans Mahomet... le premier et le plus grand féministe démocrate de tous les temps !
De tels monuments d'âneries et d'aveuglement renforcent les musulmans dans leur opinion que les femmes sont inférieures aux hommes : Comment expliquer sinon qu'il se trouve des femmes pour être si stupides ?
En fait, l'islam est une idéologie à ce point aliénante que l'on trouve de nos jours des femmes intelligentes et indépendantes ayant subi toutes les humiliations et les violences autorisées par l'islam, ayant réussi à s'en libérer mais qui, malgré les évidences aveuglantes de la responsabilité directe de l'islam et du modèle de Mahomet dans la situation catastrophique des femmes en pays musulman, continuent à clamer que le véritable islam est fait de « compassion » (c'est particulièrement flagrant dans le livre de Mouna Ayoub). Devant un tel aveuglement, que l'on pourrait effectivement attribué à une supposée stupidité inhérente aux femmes, on en viendrait facilement à penser que les femmes sont effectivement inférieures aux hommes... si l'on ne connaissait pas les troubles engendrés par le syndrôme de stockolm et qui provoqueraient exactement le même type de comportement aberrant chez un homme victime de la même situation.
Cet article (presse belge – 5 décembre 2002) est typiquement tendancieux. Il vise à laisser croire que toutes les musulmanes qui portent le « voile islamique » ont fait ce choix délibérément. Or, dans l'immense majorité des cas, elles ne portent cet accessoire que sous la contrainte familiale et communautaire. Quant à celles qui ont fait ce choix en toute liberté, elles doivent accepter de supporter les conséquences de ce refus caractérisé d’intégration.
Cette femme yéménite, bien que musulmane et arabe, ne porte pas le foulard islamique, ni aucun voile. Elle porte seulement la coiffure traditionnelle de sa tribu. C’est une preuve supplémentaire du fait que la loi islamique n’a jamais imposé le port d’un voile, d’un foulard ou de quoi que ce soit d’autre.
Qu’elle soit reine (comme Achaït, épouse du pharaon Mentouhotep II, ci-contre) ou simple servante, la femme de l’Egypte antique est omniprésente dans l’art. Elle apparaît comme une femme qui participe à tous les aspects de la vie quotidienne, y compris les aspects politiques et religieux. Dans l'Egypte des Pharaons, une égalité fondamentale régissait les rapports entre les sexes. Nombreux sont les historiens qui estime que, jamais aucune civilisation antique n’eut plus d’estime pour la femme que la civilisation égyptienne.
Depuis l’islamisation de l’Egypte, le statut de la femme est celui de toutes les femmes musulmanes. Il est bien loin le temps de Cléopatre, reine d'Egypte !
L’islam n’a pas fait avancer ce pays d’un pouce. Bien au contraire, les Arabes ont ravalé la nation égyptienne au rang de nation sous-développée et arriérée. Et l’on sait ce qu’il est advenu des dirigeants égyptiens qui on tenté de sortir ce pays de l’ornière islamique : ils ont tous été assassinés, comme au bon vieux temps du prophète !
Ce sont les « Frères musulmans » qui furent les instigateurs de l’attentat perpétré contre le colonel Nasser ainsi que du meurtre du président Sadate.
Les islamistes n’ont jamais caché leur mépris du progrès et de la paix. Leur credo est d’une simplicité attristante : vivre comme « au temps du prophète », mener la « guerre sainte » et imposer la « loi coranique ». Joli programme en vérité !
Dalia et Norma Khouri, deux jeunes femmes qui vivaient à Amman, en Jordanie.
Dalia porte le voile islamique tandis que Norma, de confession chrétienne, ne le porte pas.
Dalia a été sauvagement assassinée (12 coups de poignard en pleine poitrine) à l’âge de 26 ans pour avoir fréquenté un jeune officier catholique (major dans la Garde Royale). Ses assassins ne sont autres que son père et ses frères. Et pour avoir osé traiter ces hommes d’assassins, son amie Norma a dû quitter précipitamment la Jordanie et se réfugier en Grèce (où elle a écrit un livre intitulé « Pour l’honneur de Dalia ». Il est édité chez JC Lattès). Cela se passait en 1996.
Dans la plupart des pays où sévit la loi coranique, les hommes peuvent, en toute impunité, assassiner leurs filles ou leurs soeurs qui ne se soumettraient pas aux injonctions du coran et notamment celles qui fréquentent des hommes non musulmans. C’est le cas en Arabie mais aussi en Jordanie, en Palestine, en Turquie, en Iran, et dans presque tous les autres pays fortement islamisés.
Les gouvernements qui tolèrent de tels comportements doivent être mis au banc de l’humanité et dénoncés haut et fort par tous les moyens dont nous disposons.
Quand le coran devient l’alibi des violeurs
Dans leurs éditions du 30 mai 2003, nos journaux ont fait état d’un « fait-divers » qui s’est déroulé dans un collège parisien, un « collège comme les autres » précisait « Le Parisien », ce qui n’a rien de bien rassurant compte tenu de la nature des faits. En l’occurrence, il s’agissait du viol en réunion d’une adolescente de 13 ans par quatre petits voyous âgés de 12 à 14 ans.
Pour sa part, le groupe belge « Sud Presse » avait choisi de titrer « Petits viols entre ados au cœur de Paris », comme s’il existait des petits, des moyens et des grands viols ! Le genre de titre qui tend à banaliser des comportements pourtant franchement crapuleux, même s’ils ont été commis par des adolescents.
On relèvera, par ailleurs, que la presse – dans son ensemble – s’est bien gardée de trop insister sur le fait que les quatre violeurs étaient tous originaires de la communauté arabo-musulmane et qu’ils s’étaient réfugiés derrière l’alibi – si commode – du coran pour justifier leurs forfaits. Leur cynisme était tel qu’il a étonné des policiers et des magistrats pourtant habitués à ce genre d’attitude. Les quatre « pseudo caïds » ont notamment affiché un mépris de la femme en se référant à l’islam qui « permet de punir les salopes ». C’est ce qui a fait écrire à la rédaction du « Parisien » que les quatre adolescents avaient « une vision de la femme qui fait froid dans le dos ».
Si l’article de « Sud Presse » débutait par un titre « douteux », il s’est avéré néanmoins intéressant pour l’encart qui avait été inséré à sa suite. C’est lui que nous reproduisons ci-après.
UN PHÉNOMÈNE ISSU DES CITÉS EN DIFFICULTÉ
Les " tournantes " ou viols en réunion entre ados. souvent mineurs, sont un phénomène récurrent depuis quelques années. Selon un prof interviewé lors d'une émission "Envoyés spécial" (France 2) sur ce sujet, une fille sur deux en connaît une qui s'est "fait tourner" et la moitié des garçons connaissent un violeur de la sorte. Les tournantes, dites aussi "plans pétasses", sont nées dans les cités de banlieues en difficulté. Dans les quartiers immigrés, elles prennent la forme d'une punition pour les jeunes maghrébines qui ne respectent pas suffisamment l'Islam aux yeux des garçons. Les premières " affaires " de tournantes sont parues dans la presse française au printemps 2001. Depuis, elles se suivent et se ressemblent. De très jeunes adolescentes entraînées dans des caves d'immeubles par un copain, voire un petit copain, se font violer en série. Les agresseurs sont condamnés par des peines de prison ferme. Mais il apparaît souvent qu'ils n'ont même pas le sentiment d'avoir commis un délit...
On aura constaté – une fois encore - que le titre est plus que douteux. Car si le très inquiétant phénomène des « tournantes » s’est développé dans les « banlieues difficiles », il a bel et bien vu le jour au sein des communautés arabo-musulmanes qui, bien souvent, constituent l’essentiel de la population de ces cités.
Il est le résultat du mépris que les musulmans affichent pour les droits de la femme ainsi que des « prescriptions coraniques » que diffusent bon nombre d’imams dans les mosquées.
Cliquer dans l'article pour le lire
Article relatif à une émission diffusée
par la chaîne franco-allemande « Arte » le 27 juin 2003
Hebdomadaire « Télépro » - Juin 2003
Pour ces jeunes, l’islam est un alibi commode qui leur permet de donner une apparence religieuse à leurs instincts les plus vils et les plus bas. En fait - quoi que puisse laisser penser l’encart de presse reproduit ci-dessus – les jeunes violeurs savent parfaitement qu’ils commettent un délit. Mais ils se réfugient – comme tous les lâches de leur espèce – derrière l’alibi coranique. Ils espèrent ainsi passer entre les mailles du filet de la loi lorsqu’ils sont dénoncés et arrêtés. Le surnom commun de ces viols en réunion – « plan pétasse » - indique d’ailleurs clairement qu’il n’y a rien de religieux dans tout cela. Les petits salopards, sous un prétexte quelconque, décrètent qu’une fille n’est pas une « bonne musulmane » dans le seul but « de se la faire » ! Ils commettent leurs forfaits en parfaite connaissance de cause et prennent même un réel plaisir à transgresser les lois occidentales. Nous avons dit par ailleurs que, de plus en plus souvent, les jeunes musulmans affirment que seule la loi coranique leur est applicable et qu’il n’ont « rien à foutre » des législations et réglementations des « mécréants » !
L’article de Sud-Presse rappelait, en outre, que les viols d’adolescentes sont de plus en plus fréquents dans les agglomérations urbaines à forte concentration de populations issues de l’immigration. C’est ainsi qu’au début du mois de mai, deux gamins de 13 ans ont été incarcérés pour le viol d’une collégienne de 12 ans (dans le département des Yvelines). Au début d’avril, quatre autres jeunes de 15 et 16 ans avaient été inculpés du viol d’une adolescente dans la région de Perpignan.
Le phénomène des « tournantes » et des viols d’adolescentes n’a donc rien de marginal. Il tend même à se propager à l’ensemble des jeunes en difficulté, qu’ils soient ou non musulmans. L’attitude des arabo-musulmans vis-à-vis des femmes déteint aussi sur le langage des jeunes. Une expression comme « nique ta mère » est tirée du langage des jeunes beurs et ce n’est là qu’un exemple parmi bien d’autres. On n’en finirait pas de mentionner les nombreux effets désastreux que génère, pour les enfants et les adolescents non musulmans, la fréquentation quotidienne des mini caïds de banlieue.
Cette forme de contagion d’origine islamique ne semble pourtant pas inquiéter outre mesure les autorités compétentes qui, bien au contraire, s’efforcent de minimiser les choses et donnent des instructions à la presse et aux médias pour que l’on n’insiste pas trop sur l’origine réelle du problème, à savoir l’islam et le coran. C’est ainsi que la lâcheté des « bons musulmans » (celle qui consiste à se servir de l’alibi divin pour commettre des crimes et des délits) se trouve confortée par la lâcheté de nos dirigeants administratifs et politiques !
Il existe pourtant une solution à ce problème. Elle consisterait dans la création de centre spéciaux de rééducation, de réinsertion civique et sociale, spécialement conçu pour les délinquants mineurs, comme cela existe dans certains états des USA où ces centres sont gérés par l’armée et la « rééducation » confiée à des instructeurs militaires. L’ encadrement y est composé d'autant d’hommes que de femmes afin d’affirmer la notion de parfaite parité entre les deux sexes.
Cet exemple illustre, une fois encore, le caractère criminogène du coran et de l’islam. C’est pour cette raison que nous ne cessons d’affirmer que le coran mérite d’être considéré comme le livre le plus dangereux qui ait jamais été écrit et, qu’en tout état de cause, sa vente, sa diffusion et son enseignement devraient être interdits sur l’ensemble du territoire européen et ce, conformément aux législations en vigueur ainsi qu’aux conventions signées par les Etats-membres (dont la Convention européenne des droits de l’homme…et de la femme !).
L’enseignement du coran aux jeunes enfants et aux adolescents devrait être rigoureusement interdite en application du principe de précaution et du principe de correction à la source (Article 130R du Traité de l’Union). Leur santé morale et psychique est gravement menacée par les idées que ce texte véhicule, idées qui sont propagées, par les jeunes musulmans (eux-mêmes manipulés par leurs aînés), au sein des couches les plus défavorisées (donc les plus vulnérables) de nos populations.
Trouverons-nous un jour des députés nationaux et européens suffisamment courageux pour oser aborder ce grave problème sous l’angle législatif ? N’y aurait-il que les démagogues à la petite semaine de l’extrême droite fascisante pour clamer bien haut ce que tout le monde pense sans avoir le courage de le dire ?
L’espoir fait vivre… mais la longue attente fait mourir !
Le monde est une énorme pomme. Cette pomme est rongée de l’extérieur par l’ultralibéralisme et de l’intérieur par l’islamisme. Si nous n’y prenons garde, il n’en restera plus bientôt… que les pépins !
la strip-teaseuse de dieu
Cette « créature » avait été surnommée « la strip-teaseuse de dieu » par la presse américaine. Née à Ankara, cette Turque pour le moins « sculpturale », avait émigré aux Etats-Unis avec ses parents. Adepte du body-building, elle se fera connaître sous le nom de Kellie Everts.
Bien qu’ayant reçu une éducation musulmane « classique », elle se mit à prôner une thèse selon laquelle le corps est un don de dieu par où passent tous les influx divins, dont l’amour, la sagesse et la spiritualité. S’inspirant du discours de certains évangélistes américains, Kellie Everts prétendait que l’instinct sexuel est non seulement un baromètre de notre santé mais aussi un stimulant, un médicament qui, pris comme tel, peut guérir bien des maux. Elle soignait les malades dans les hôpitaux en les visitant et en effectuant devant eux une danse qui se terminait en strip-tease. Elle prétendait ainsi faire passer des « rayons divins » par la voie visuelle et tactile. On prétend que sa méthode fit des « miracles » !
Ceux qui ont assisté aux conférences de presse donnés par « Sainte Fesse » (surnom qui lui était donné par certains journalistes) disent qu’elle avait l’aplomb d’un « christ féminin » et qu’elle n’avait pas que son postérieur et son énorme poitrine pour subjuguer les journalistes américains, pourtant habitués à l’extravagance et à l’insolite, notamment dans le domaine religieux.
Selon la « strip-teaseuse de dieu », l’homme et la femme étaient parfaits au « temps des origines ». Ils étaient à l’image de dieu him-self. Ils vivaient nus et n’en éprouvaient aucune honte. Selon sa théorie, si l’on se dénude « en toute bonne santé mentale », on se rapproche de la perfection originelle. De plus, on s’installe dans un rapport de vérité qui ne peut être faussé par le « mensonge du vêtement qui fait les classes sociales ». Elle prétendait aussi expliquer les raisons qui ont entraîné la dégénérescence de l’homme.
Kellie Everts a fait du sexe une véritable religion, n’hésitant pas à considérer l’orgasme comme une rencontre avec dieu, tout comme les exercices de body-building. Selon elle, l’effort physique met l’être humain dans un état de nirvâna proche de l’abstraction charnelle et ce, au profit du spirituel. Aux Etats-Unis, dans les années 80, son curieux discours –mélange d’islamisme, de christianisme et de bouddhisme - avait reçu le soutien de plusieurs Eglises ayant pignon sur rue. Il est vrai que c’est le seul type de discours que l’on aimerait entendre dans la bouche d’une femme née en terre musulmane.
Cependant, par les temps qui courent, si une femme issue de la « communauté islamique » venait à tenir un tel discours, elle ferait, à n’en pas douter, immédiatement l’objet d’une « fatwa de mort » de la part des « gestapistes » du « New Muslim Order » (l’ « Ordre Nouveau » made in la Mekke) !
Et pourtant la « strip-teaseuse de dieu » n’était pas « mécréante », loin s’en faut ! (les photos sont extraites d’un reportage paru dans la revue « Paris - Las Vegas » - années 70).
Ci-dessus, titre d’un article publié, en août 2003, par l’hebdomadaire « Télépro » concernant la condition de la femme dans les pays musulmans. Le terme « revendiquent », utilisé dans ce titre, est quelque peu excessif si l’on sait que, dans le monde musulman, les femmes ne peuvent rien revendiquer du tout. En terre d’islam, une femme qui « revendiquerait » serait battue ou mise à mort !
Cette interview est intéressante en ce sens qu’il s’agit d’une femme issue de la communauté musulmane, sociologue de formation et professeur d'université.
On relèvera, au passage, que Firouzeh Nahavandi confirme ce que nous pensons à propos de l’Irak, à savoir que le régime de Saddam Hussein, s’il n’avait rien d’« angélique », n’en était pas moins l’un des moins mauvais du monde arabe (avec le régime syrien fondé, lui aussi, sur le parti socialiste Baas). Bien que la religion musulmane ait été considérée comme « religion d’Etat » par le pouvoir irakien, le parti « Baath » (ou « Baas », mot qui signifie « résurrection ») demeurait ouvert à toutes les confessions et à l’athéisme. Nous ne redirons jamais que le pire des régimes politiques, dans le monde arabo-musulman, est celui de l’Arabie saoudite et de certains émirats. C’est celui qui se fonde sur le wahhabisme.
Saddam Hussein était moins « despotique » que ne le sont les roitelets du pétrole et d’autres chefs d’états qui se réclament, ou se réclamaient, de l’islam (voir le cas du sinistre Amin Dada). On l’a aussi accusé, à raison d’ailleurs, de « népotisme » mais l’habitude de placer la famille et le « clan » au pouvoir est ancrée chez les Arabes depuis la nuit des temps. En Arabie saoudite, ce sont 5.000 à 10.000 personnes apparentées aux Séoud qui bénéficient de privilèges. Et en France, « Tonton » (François Mitterand) et sa clique, famille et amis, n’ont pas démérité non plus sur ce plan-là !
Comme ils ont manipulé les informations relatives aux prétendues « armes de destruction massives » qui étaient supposées être détenues par l’armée irakienne (et dont on sait qu’elles n’existaient pas), les dirigeants US et britanniques ont volontairement exagéré les défauts du système politique irakien de manière à justifier leur intervention militaire, une intervention qui va déstabiliser durablement tout le Moyen-Orient (voir ce qui est dit à ce propos au chapitre 6 bis).
Nous rejoignons donc l’analyse de la sociologue de l’Université Libre de Bruxelles lorsqu’elle dit que le risque existe de voir les Irakiens et certains de leurs voisins, ulcérés par la présence occidentale (et les malheurs qui en découlent), revenir à une religion « pure et dure » avec tous ce que cela implique d’archaïsme et d’atteintes aux libertés fondamentales, notamment pour les femmes.
La sociologue de l’ULB n’ose cependant pas aller aussi loin que Taslima Nasreen (voir la fin de notre chapitre 15) qui, pour sa part, n’a pas eu peur de désigner
http://www.coranix.com
l'islam et la femme
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Le dialogue interreligieux est une forme organisée de dialogue entre des religions ou spiritualités différentes. Ultérieurement, la religion a considéré l'autre comme n'étant pas la vérité révélée. C'est ainsi que les premiers contacts entre l'islam et le christianisme furent souvent difficiles, et donnèrent lieu à des guerres impitoyables comme les croisades.
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l'islam et la femme
Ecrit le 21 mai05, 10:59Ecrit le 21 mai05, 13:55
VOUS AVER QUE CA A NOUS REPROCHER
BON ON VAS EN PARLER UN PEU
ALLAH DIT
« Et comportez-vous convenablement envers elles » S4 V19
le premier devoir du mari envers sa femme et de ce comporter convenablement avec elle
comme la si bien dit cheikh el otheimine
ce verset incite a la douceur envers les femmes et a la crainte d`allah a travers elles
ibn kathir a dit a ce propos
il s`agit davoir les meilleurs paroles envers elles et d`ameliorer les gestes et les comportements vis a vis d`elles du mieux que possible .
en fait le comportement c`est l`accompagnement et les relation avec les femmes et lke convenable cest tout ce que la legislation misulmane a approuver comme etant etre bonnes choses et ce queles a dessaprouver est une mauvaise choses
allah dit
« Quant à elles, elles ont des droits équivalents à leurs obligations, conformément au bien »S2 V228
a travers ce verset on voit que les droits de la femmes sont equivalentes a ses devoirs autant le mari doit subvenira aux besoins de da femmes et la vetir autant la femmes doit travailler dans la maison de son mari
ou sinon un hadith
le prophete mohamed a dit
« Le meilleur d’entre vous est celui qui est le meilleur avec sa femme
et je suis le meilleur avec mes femmes »
et allah dit
« Et quant à celles dont vous craignez la désobéissance, exhortez-les, éloignez-vous d’elles dans leurs lits [...]. Si elles arrivent à vous obéir, alors ne cherchez plus de voie contre elles, car Allah est certes, Haut et Grand ! » S4
exorter les
cela signifie quil faut les rappeler au livre d`allah et plus particulierement aux verset qui expliquent les devoir de l`epouse .il faut egalement les rappeler a la sounnah du prophetes et plus particulierement au hadith qui exposent lers droits du mari sur sa femmes et le pecher quelle commetent en dessobeissant
le prophetes nous a dit comment nous comporter evec les femmes
voici ce que dit le prophetes
Mou‘awiya ibn Hayra dit :
«Un homme dit : Ô messager d’Allah ! Quel est le devoir de l’un d’entre nous envers sa femme »
Il dit : « De la nourrir lorsque tu te nourris, de la vêtir lorsque tu te vêtis, de ne pas frapper le visage, et ne pas critiquer son visage, et que tu ne t’éloignes d’elle que dans le foyer
D’après Iyas ibn ‘Abdillah ibn abi Dhoubab, le Prophète -Prières et bénédiction d'Allah sur lui- a dit :
« Ne frappez pas les servantes d’Allah ».
Et le Messager d’Allah -Prières et bénédiction d'Allah sur lui- a dit : « De nombreuses femmes se sont plaintes de leurs maris auprès des femmes de Mouhammad , et ce ne sont pas ceux-là ( les maris ) les meilleurs d’entre vous »
Abdoullâh ibn Zam‘a a entendu le Prophète -Prières et bénédiction d'Allah sur lui- dire :
« L’un d’entre vous s’emporterait-il et fouetterait-il sa femme comme une esclave alors qu’à la fin de la journée il a des rapports avec elle
en sommes allah a delimiter ses represaile qui n`oubliont pas sont en fai des remedes a la desobeissances de la femmes effectivement des lors que le but reele et attient toutes repressaille devienne alors demesurer
Si elles arrivent à vous obéir, alors ne cherchez plus de voie contre elles, car Allah est certes, Haut et Grand ! » S4 V34
ibn kathir a dit au sujet de ce verset que si la femmes obeit a tout ce que le mari veut d`elle dans ce que luia permis allah alors il n`ya plus de raison contre elles apres ceci.. il ne doit ni la fraper ou l`isoler et il ne doit lui faire par la suite aucun reproche
... car Allah est certes, Haut et Grand !
ceci et une menace aux hommes qui chercherait la petite bete sans raison allah le tres haut est dans ce cas la l`allier des femmes et il se vengeras de tous ceux qui les oppriment et quil leur cherche la petite bete
allah dit
« Et parmi Ses signes, Il a créé de vous, pour vous, des épouses pour que vous cohabitiez avec elles, et Il a mis entre vous de l’affection et de la bonté » S30 V21
BON ON VAS EN PARLER UN PEU
ALLAH DIT
« Et comportez-vous convenablement envers elles » S4 V19
le premier devoir du mari envers sa femme et de ce comporter convenablement avec elle
comme la si bien dit cheikh el otheimine
ce verset incite a la douceur envers les femmes et a la crainte d`allah a travers elles
ibn kathir a dit a ce propos
il s`agit davoir les meilleurs paroles envers elles et d`ameliorer les gestes et les comportements vis a vis d`elles du mieux que possible .
en fait le comportement c`est l`accompagnement et les relation avec les femmes et lke convenable cest tout ce que la legislation misulmane a approuver comme etant etre bonnes choses et ce queles a dessaprouver est une mauvaise choses
allah dit
« Quant à elles, elles ont des droits équivalents à leurs obligations, conformément au bien »S2 V228
a travers ce verset on voit que les droits de la femmes sont equivalentes a ses devoirs autant le mari doit subvenira aux besoins de da femmes et la vetir autant la femmes doit travailler dans la maison de son mari
ou sinon un hadith
le prophete mohamed a dit
« Le meilleur d’entre vous est celui qui est le meilleur avec sa femme
et je suis le meilleur avec mes femmes »
et allah dit
« Et quant à celles dont vous craignez la désobéissance, exhortez-les, éloignez-vous d’elles dans leurs lits [...]. Si elles arrivent à vous obéir, alors ne cherchez plus de voie contre elles, car Allah est certes, Haut et Grand ! » S4
exorter les
cela signifie quil faut les rappeler au livre d`allah et plus particulierement aux verset qui expliquent les devoir de l`epouse .il faut egalement les rappeler a la sounnah du prophetes et plus particulierement au hadith qui exposent lers droits du mari sur sa femmes et le pecher quelle commetent en dessobeissant
le prophetes nous a dit comment nous comporter evec les femmes
voici ce que dit le prophetes
Mou‘awiya ibn Hayra dit :
«Un homme dit : Ô messager d’Allah ! Quel est le devoir de l’un d’entre nous envers sa femme »
Il dit : « De la nourrir lorsque tu te nourris, de la vêtir lorsque tu te vêtis, de ne pas frapper le visage, et ne pas critiquer son visage, et que tu ne t’éloignes d’elle que dans le foyer
D’après Iyas ibn ‘Abdillah ibn abi Dhoubab, le Prophète -Prières et bénédiction d'Allah sur lui- a dit :
« Ne frappez pas les servantes d’Allah ».
Et le Messager d’Allah -Prières et bénédiction d'Allah sur lui- a dit : « De nombreuses femmes se sont plaintes de leurs maris auprès des femmes de Mouhammad , et ce ne sont pas ceux-là ( les maris ) les meilleurs d’entre vous »
Abdoullâh ibn Zam‘a a entendu le Prophète -Prières et bénédiction d'Allah sur lui- dire :
« L’un d’entre vous s’emporterait-il et fouetterait-il sa femme comme une esclave alors qu’à la fin de la journée il a des rapports avec elle
en sommes allah a delimiter ses represaile qui n`oubliont pas sont en fai des remedes a la desobeissances de la femmes effectivement des lors que le but reele et attient toutes repressaille devienne alors demesurer
Si elles arrivent à vous obéir, alors ne cherchez plus de voie contre elles, car Allah est certes, Haut et Grand ! » S4 V34
ibn kathir a dit au sujet de ce verset que si la femmes obeit a tout ce que le mari veut d`elle dans ce que luia permis allah alors il n`ya plus de raison contre elles apres ceci.. il ne doit ni la fraper ou l`isoler et il ne doit lui faire par la suite aucun reproche
... car Allah est certes, Haut et Grand !
ceci et une menace aux hommes qui chercherait la petite bete sans raison allah le tres haut est dans ce cas la l`allier des femmes et il se vengeras de tous ceux qui les oppriment et quil leur cherche la petite bete
allah dit
« Et parmi Ses signes, Il a créé de vous, pour vous, des épouses pour que vous cohabitiez avec elles, et Il a mis entre vous de l’affection et de la bonté » S30 V21
- Invité
Ecrit le 22 mai05, 00:41
http://quebectech.darktech.org:8080/rel ... 8&start=15
l'islam est la seule doctrine qui pu faire face aux probléme de la prostitution et d'esclavage sexuelle de femmes pour sa que je comprends votre jalousie envers la loi islamique
l'islam est la seule doctrine qui pu faire face aux probléme de la prostitution et d'esclavage sexuelle de femmes pour sa que je comprends votre jalousie envers la loi islamique
- Invité
Ecrit le 22 mai05, 00:46
http://www.amnestyinternational.be/doc/article4335.html
http://planete.qc.ca/flash/flash-9122002-51043.html
alors qu'on arrete un peu notre jalousie envers les musulmans .
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alors qu'on arrete un peu notre jalousie envers les musulmans .
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