Merci

Vous lisez ensuite le verset suivant du Lévitique, chapitre 18, verset 23. Il porte sur la zoophilie.
C'est intéressant, parce que c'est historique. Ou comment le sexe et l'effroi évoluent. Je vous conseille ce livre :

Ou des pratiques de la sexualité humaine au travers des civilisations et des temps. C'est très instructif.
On y retiens surtout que notre fonctionnement moderne n'a plus rien à voir avec les notions et les pratiques qu'on croit être identiques, avec des plaisirs identiques, parce que semblables en apparence. Oh, comme rien n'est plus trompeur. En somme, l'homosexualité dans l'Antiquité, et le Lévitique appartient à cette antiquité juive, n'a strictement plus rien à voir avec nos notions d'homosexualités et de pratiques modernes actuelles.
Par exemple, à part Socrate qui ne faisait pas cela, quasiment tous les hellènes mâles faisaient cela. Fellatio, sodomites. Mais dans quel sens ? Aucun rapport avec les pratiques modernes.

Quand l'élève apprend des mythes grecs, dont Freud n'a strictement rien compris, soit dit en passant, quelle est cette sombre histoire de zoophilie entre une femme et un taureau ? Parce que le Minautore, c'est bien cela. A quoi cela correspondait-il ?
Comme on a dit de manière lumineuse à la Renaissance italienne, au 15 siècle donc, "cerca trova". Cherche et trouve.