Shaoul appelé Paulos

[Tsophar]

Si Yehshouah est apparu sur terre pour sauver son peuple de ses péchés (Matyah 1 : 21), il est certain que Shaoul (Paulos) fut, peut-être malgré lui, le créateur du catholicisme originel et de toutes les religions qui en découlent. Qui était-il ?
Il se dit être Juif, né à Tarse en Cilicie, élevé à Yeroushalaïm et instruit par Gamaliel dans la connaissance exacte de la Loi. (Actes 22 : 3)

Il n’y a pas à proprement parler de « mystère » en Paulos, mais il y a dans ses lettres quelques passages qui poussent à la réflexion. Par exemple, le récit que l’on trouve dans le Livre des Actes et celui que l’on trouve dans la lettre qu’il envoya aux Galates, et qui concernent, tous deux, sa présence à Yeroushalaïm et ses relations avec les Shlyhym (Apôtres).

La vision de Paulos et ses conséquences
Lorsque le disciple Stephanos fut lapidé, les témoins déposèrent leurs vêtements aux pieds d'un jeune homme appelé Shaoul (Actes 7 : 58). Cet homme, ravageait l'assemblée, entrant dans les maisons et traînant hommes et femmes, il les livrait pour être jetés en prison (Actes 8 : 3). Jusqu'au jour où, se rendant à Damas pour ramener de ceux qui étaient dans la voie, il vit une lumière aveuglante et il entendit Yehshouah lui demander : Shaoul ! Shaoul ! Pourquoi me persécutes-tu ? (Actes 9 : 1 à 9). C'est cet événement qui provoqua sa conversion et après un grand nombre de jours passé à Damas, il s'en retourna à Yeroushalaïm où il fut présenté aux Shlyhym par Barnaba (Actes 9 : 26).Par la suite, parlant ouvertement au nom du Seigneur, il se disputa avec les Hellénistes qui essayaient de le faire mourir. C'est pourquoi, les frères l'ayant sus le menèrent à Césarée, et l'envoyèrent à Tarse (Actes 9 : 28 à 30).
Plus tard, Barnaba s'en alla pour le chercher et l'ayant trouvé, il le mena à Antioche (Actes 11 : 25). Ils y restèrent une année (Actes 11 : 26) ; ensuite, ayant accompli leur service, ils s'en retournèrent à Yeroushalaïm, emmenant aussi avec eux Yohanan qui était surnommé Markos (Actes 12 : 25 ). Ils se rendirent ensuite dans l'île de Chypre où ils rencontrèrent Sergius Paulus, le proconsul, homme intelligent (Actes 13 : 6, 7). C'est à partir de ce moment que Shaoul est appelé Paulos (Actes 13 : 9).

Un jour où il se trouvait à Ephèse, les Yehoudim de cette ville, le prièrent de demeurer plus longtemps avec eux, il n'y consentit pas, mais il prit congé d'eux, disant : Il faut absolument que je célèbre la fête prochaine à Yeroushalaïm (Actes 18 : 20, 21).
Le Livre des Actes nous apprend encore, qu'à un certain moment, Paulos se hâtait pour être, s'il lui était possible, le jour de la fête de Shabouot (Pentecôte) à Yeroushalaïm (Actes 20 : 16). C'est à cette époque, qu'il fut arrêté par le tribun romain, mais, ayant reçu la permission de parler au peuple, il souligna entre autre, qu'après sa conversion sur la route de Damas et son immersion, il retourna à Yeroushalaïm (Actes 22 : 17).
En présence du roi Agrippa, il lui dit entre autres : je n'ai pas été désobéissant à la vision céleste ; mais j'ai annoncé premièrement a ceux de Damas, et à Yeroushalaïm, et à tout le pays de Yehouda et aux nations de se repentir et de se tourner vers Elohim (Actes 26 : 19, 20).
On pense que c'est Loukas qui a écrit le Livre des Actes ; il serait aussi l'auteur du troisième Evangile. C'était un proche de Paulos, qu'il devait connaître particulièrement bien. Dans la lettre que Paulos envoya aux Colossiens alors qu'il se trouvait captif à Rome, se trouve une référence à Loukas, le médecin bien aimé (Colossiens 4 : 14).

Qui est ce Paulos qui a écrit la Lettre aux Galates
Or, dans la lettre que Paulos envoya aux Galates ont peut lire ce qui contredit entièrement ce qui est écrit dans le Livre des Actes : Je ne pris pas conseil de la chair ni du sang, ni ne montai à Yeroushalaïm vers ceux qui étaient Shlyhym avant moi, mais je m'en allai en Arabie, et je retournai de nouveau à Damas. Puis, TROIS ANS APRES, je montai à Yeroushalaïm pour faire la connaissance de Petros et je demeurai chez lui quinze jours et je ne vis aucun autre des Shlyhym, sinon Yaaqov le frère du Seigneur. Or dans les choses que je vous écris, devant Elohim, je ne mens point (Galates 1 : 17 à 19).
Ensuite, AU BOUT DE QUATORZE ANS, je montai de nouveau à Yeroushalaïm avec Barnaba, prenant aussi Titus avec moi. Or j'y montai selon une révélation, et je leur exposais la Bonne nouvelle que je prêche parmi les nations ...Cependant, même Titus qui était avec moi, et qui était Hellène, ne fut pas même contraint de se faire circoncire (Galates 2 : 1 et 3).
Voilà qui est en total contradiction avec ce que l’on vient de lire dans le Livre des Actes. Pourquoi ce mensonge ? Il semble que ce soit pour faire passer le message suivant : Je vous déclare, frères, que la Bonne nouvelle qui a été annoncé par moi n’est pas de l’homme ; car je ne l’ai ni reçu ni appris d’un homme, mais par une révélation de Yehshouah le Mashyah (Galates 1 : 11 et 12)

[Chrétien]

Je pense que tu as du te tromper de section

[medico]

J'ai déplacé le sujet .
Il n'y à pas de contradiction sur ce que dit Paul il s'adapte aux circonstances.nuance.

[Tsophar]

Chrétien a écrit :

Je pense que tu as du te tromper de section

C'est plus que possible, vu que je ne sais jamais très bien ou poster. Désolé !

Medico a écrit :

Il n'y à pas de contradiction sur ce que dit Paul il s'adapte aux circonstances. nuance.

Il ne s'agit pas ici d'une adaptation, il s'agit plutôt, à prime abord, d'un mensonge.

[medico]

PAUL n'a pas pour habitude de mentir .
(Galates 1:19, 20) [...] . 20 Or, quant aux choses que je vous écris, voyez, en présence de Dieu, je ne mens pas.
c'est ta mauvaise interpretation des écritures qui fausse ton jugement sur lui.

[Tsophar]

Or, quant aux choses que je vous écris, voyez, en présence de Dieu, je ne mens pas

et

c'est ta mauvaise interprétation des écritures qui fausse ton jugement sur lui.

Si tu me relis, tu verras que je n'interprète rien. Je fais juste une comparaison entre ce qui est écrit dans le Livre des Actes et la lettre de Paul aux Galates.

[medico]

a partir du moment ou tu fais une comparaison tu interprétes.
Paul et le seul a parler autant du mensonge que tout les autres apôtres réunis.
Alors de vouloir le taxer de menteur je m'insurge à bon escient.

[Tsophar]

a partir du moment ou tu fais une comparaison tu interprétes.

Je fais non pas une comparaison personnelle, mais une comparaison entre deux textes bibliques qui se contredise. Où est donc l'interprétation dans ce cas.

[medico]

le probléme c'est qu'il n'y à pas de contradiction car se sont deux cituations différentes et toi tu y vois une contradiction.
Avant l’intervention surnaturelle de Jésus, Paul avait, au sens figuré, ‘ rué contre les aiguillons ’. Comme une bête de somme qui se serait blessée inutilement en ruant contre la pointe d’un aiguillon, il s’était blessé, spirituellement parlant, en résistant à la volonté de Dieu. En apparaissant sur la route de Damas à cet homme sincère, mais manifestement fourvoyé, Jésus ressuscité l’avait fait changer d’attitude. — Jean 16:1, 2.
En effet, Paul avait radicalement changé. “ Je n’ai pas désobéi à ce spectacle céleste, a-t-il expliqué à Agrippa, mais à ceux de Damas d’abord et à ceux de Jérusalem, et par tout le pays de Judée, et aux nations, j’apportais ce message : qu’ils devaient se repentir et se tourner vers Dieu en faisant des œuvres qui conviennent à la repentance. ” (Actes 26:19, 20). Cela faisait maintenant des années qu’il s’acquittait de la mission que Jésus Christ lui avait confiée un midi dans une vision. Avec quels résultats ? Ceux qui accueillaient bien la bonne nouvelle qu’il prêchait se repentaient de leur conduite immorale et malhonnête et venaient à Dieu. Ils devenaient de bons citoyens, qui favorisaient et pratiquaient le respect de la loi et de l’ordre.

[Saint Glinglin]

Il est certain qu'il n'y a aucun accord entre la biographie de Paul selon les Actes et sa biographie selon les Epîtres.

Il y a même un scribe maladroit qui a tenté de les accorder en important Ac 9.25 ("Mais, pendant une nuit, les disciples le prirent, et le descendirent par la muraille, dans une corbeille") dans 2 Cor :

11.27 J'ai été dans le travail et dans la peine, exposé à de nombreuses veilles, à la faim et à la soif, à des jeûnes multipliés, au froid et à la nudité.
11.28 Et, sans parler d'autres choses, je suis assiégé chaque jour par les soucis que me donnent toutes les Églises.
11.29 Qui est faible, que je ne sois faible? Qui vient à tomber, que je ne brûle?
11.30 S'il faut se glorifier, c'est de ma faiblesse que je me glorifierai!
11.31 Dieu, qui est le Père du Seigneur Jésus, et qui est béni éternellement, sait que je ne mens point!...
11.32 A Damas, le gouverneur du roi Arétas faisait garder la ville des Damascéniens, pour se saisir de moi;
11.33 mais on me descendit par une fenêtre, dans une corbeille, le long de la muraille, et j'échappai de leurs mains.
12.1 Il faut se glorifier... Cela n'est pas bon. J'en viendrai néanmoins à des visions et à des révélations du Seigneur.

[inconnu]

Après Paul, "le prophète d'Égypte", c'est Paul "le menteur"

À quand : Paul, "le magicien d'Oz"

[Saint Glinglin]

Ce n'est pas Paul qui a rédigé les Actes, que je sache.

[inconnu]

Non, c'est Luc.

[Saint Glinglin]

Donc lorsque Luc invente sa biographie de Paul, cela ne fait pas de Paul un menteur.

Et lorsqu'un moine ajoute deux versets dans une épître, Paul n'y est pour rien.

[inconnu]

Les ajouts et autres interpolations n'ont rien de nouveau, alors, oui, tout est possible.