C'est la définition d'un dieu, donc je le lance pas a tord et a travers

Mes enseignement ne vienne que de moi, pas des leçon d'un autre ou d'un simple livre.
Ikarus a écrit :Dieu: Un être surnaturel, omnipotent et tout puissant.
C'est la définition d'un dieu, donc je le lance pas a tord et a travers
Mes enseignement ne vienne que de moi, pas des leçon d'un autre ou d'un simple livre.
Ikarus a écrit : PS: Quand on se moque de quelqu'un, on ne termine pas par amitié sincères, parce que sinon, soit on est un sacré menteur, soit on ne comprend pas ce que l'on dit.
J'aimerais rebondir sur le concept de foi, qui me semble essentiel dans ce post. Je m'interroge beaucoup sur le sens des mots, non pour faire du verbiage, mais pour saisir les nuances des idées. Les croyants semblent définir simplement la foi par : la confiance.indian a écrit : Mais bien sûr que c'est une croyance, c'est ça la foi... la confiance en ce qui est une preuve pour soi, la confiance en ce qui nous fait du sens... j’espère que tu as confiance en ce que tu vois, sens, touche, goute...tes sens quoi...tes sensibilités... tes raisonnements tes prises de conscience, ce que tu connais et reconnais... J’espère que tu as la foi en toi un brin...
Absenthéiste a écrit : J'aimerais rebondir sur le concept de foi, qui me semble essentiel dans ce post. Je m'interroge beaucoup sur le sens des mots, non pour faire du verbiage, mais pour saisir les nuances des idées. Les croyants semblent définir simplement la foi par : la confiance.
Ce qui différencie croyants et non-croyants me semble (donc) être une différence de propension à la confiance. Nous faisons tous, plus ou moins consciemment, confiance à quelque chose. A minima, et même s’ils peuvent nous tromper, nos 5 sens (comme le dit Indian). Nous acceptons qu’ils témoignent de l’extériorité, et de l’authenticité du réel. (L’environnement extérieur ne vient ni de mon imagination, ni d’une simulation (stimulation) de mon cerveau comme dans matrix !). Ce que je veux dire aux croyants et non-croyants, c’est que : Tout ce que nous savons repose sur l’acceptation résignée d’une incapacité.
Les non-croyants tendent à limiter au maximum la part de cette « confiance » dans l’acquisition de leurs connaissances. Se faisant, leur démarche d’appropriation du monde s’appuie sur une approche pragmatique. Volontairement, ils « épurent » leur jugements de ce qu’ils considèrent être des biais interprétatifs : ressentis, émotions, impressions, intuitions,…. et préfère les formalismes mathématiques, et la logique argumentaire « plus neutres. »
Les croyants, je les connais moins donc ils me corrigeront, tentent d’embrasser de façon plus complète la nature humaine, en conciliant leurs différentes facettes. Leur lecture et appropriation du réel n’évacue pas d’un revers de la main tout ce qui n’est pas démontrable. Comme les non-croyants, Ils s’appuient sur la « raison », et la « logique », mais Ils ne crachent pas sur la dimension intuitive. Ils admettent souvent plus facilement (trop facilement diront certains) que certaines choses soient inaccessibles à la raison humaine.
La foi me semble être une forme de confiance avouée, assumée, consciente. Parfois aveugle et héritée, parfois acquise et raisonnée. Qu’en pensez-vous ?
Tout ça pour dire que nous ne fonctionnons pas avec les mêmes outils. La lecture que tu as de la nature Indian, ne pourra jamais être entendue par VIC. Et ce n’est ni bien ni mal d’ailleurs.
je ne me reconnais pas du tout dans cette description , on peut être athée et faire appel à l'expérience empirique tel que la méditation qui n'est pas un argumentaire mathématique mais simplement être pleinement conscient et attentif à ce qui est dans l'instant présent .absenthéïste a dit :Les non-croyants tendent à limiter au maximum la part de cette « confiance » dans l’acquisition de leurs connaissances. Se faisant, leur démarche d’appropriation du monde s’appuie sur une approche pragmatique. Volontairement, ils « épurent » leur jugements de ce qu’ils considèrent être des biais interprétatifs : ressentis, émotions, impressions, intuitions,…. et préfère les formalismes mathématiques, et la logique argumentaire « plus neutres. »
je suis en désaccord avec ça , la dimension intuitive est très présente en science et même en mathématique ,on ne peut du reste pas devenir un grand scientifique sans une intuition importante .Essayer de faire croire que l'intuition serait absente du coté des athées et bien plus développée chez les croyants est évidemment un apriori , une ineptie .absenthéïstee a dit :Les croyants, je les connais moins donc ils me corrigeront, tentent d’embrasser de façon plus complète la nature humaine, en conciliant leurs différentes facettes. Leur lecture et appropriation du réel n’évacue pas d’un revers de la main tout ce qui n’est pas démontrable. Comme les non-croyants, Ils s’appuient sur la « raison », et la « logique », mais Ils ne crachent pas sur la dimension intuitive. Ils admettent souvent plus facilement (trop facilement diront certains) que certaines choses soient inaccessibles à la raison humaine.
Si c'est du bahaïsme c'est du gignolo .indian a dit : a dit :Mais la bonté du Saint-Esprit nous fournit le véritable procédé infaillible et indubitable. C'est le secours du Saint-Esprit qui parvient à l'homme. Là seulement se trouve la certitude!
vic a écrit :
1) je ne me reconnais pas du tout ...,
2) je suis en désaccord avec ça ,
3) Si c'est du bahaïsme c'est du gignolo .
Oui, Je me suis essayé à une définition générale, nécessairement limitée à ce que j'estime être la majorité. Cette définition est donc naturellement pauvre en nuances, ce qui explique à mon sens que tu ne t'y retrouves pas. Ou alors je suis royalement à coté de la plaque ^^.vic a écrit : je ne me reconnais pas du tout dans cette description
Tout à fait, même si je ne classerais pas la méditation comme une démarche empirique.vic a écrit : On peut être athée et faire appel à l'expérience empirique tel que la méditation qui n'est pas un argumentaire mathématique mais simplement être pleinement conscient et attentif à ce qui est dans l'instant présent.
Je suis d'accord, c'est l'idée que je voulais faire passer, en disant que "les scientifiques ne jugent pas en se basant sur l'intuition" je ne veux pas dire qu'ils n'en ont pas, mais qu'ils ne s'en contentent pas pour tirer des conclusions.vic a écrit : La seule différence c'est que le scientifique ou le athée va essayer de comprendre les choses dans un état d'ensemble sans passion et essayer de cerner le vrai du faux
Je n'ai jamais prétendu le contraire ^^ Décidément, quel animosité pour un bouddhistevic a écrit : Vouloir être neutre ou logique ça n'est pas forcément faire des maths désolé .
Absenthéiste a écrit :Je suis d'accord, c'est l'idée que je voulais faire passer, en disant que "les scientifiques ne jugent pas en se basant sur l'intuition" je ne veux pas dire qu'ils n'en ont pas, mais qu'ils ne s'en contentent pas pour tirer des conclusions.
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