Personne n'a forcé Maximilien Kolbe à se sacrifier. Comme nous tous Hitler (ce n'est pas moi qui ait franchi le point de Godwin !) à été libre de faire le bien ou le mal. Personne n'a forcé les gens qui ont résisté, ils ont choisis de le faire ! Et Dieu les aidait, leur donnait la force et le courage en abondance mais ne les forçait pas à persévérer, donner des munitions à quelqu'un ce n'est pas le forcer à ne pas se rendre.Shinran a écrit : Et on fait quoi du libre arbitre? Est-ce Dieu qui a utilisé ces héros comme des pantins?
Je dois admettre que la réponse est intéressante, mais quand même laisser une guerre causé 56 millions de morts...ça pose question non!
Quelques milliers de vies épargnés c'est super, et on peut parler de ces gens comme des témoins de la foi, mais face à autant de million ça paraît rien...
60 millions de mort entre 1939 et 1945, 12 millions dans les goulags communistes, 21 millions dans la Chine de Mao, Dieu n'a jamais rien demandé que d'intervenir ! Mais pour respecter notre liberté il ne peu le faire que cacher, à travers des gens qui ont ce même désir, si Dieu n'est pas intervenu autant que vous l'auriez voulu c'est parce que le monde manque encore d'amour.
Pour leur bonheur ? D'un geste de la main Dieu peut faire surgir du néant un milliard de saints qui chanteraient sa grandeur jours et nuits, mais cela n'a pour lui aucune valeur, contre ces milliard de saints pantins ils préfère le pauvre amour donné en toute âme et conscience par l'un de ses enfants. C'est cet amour là qu'il veut, car c'est celui-là qui permet de glorifier l'homme.maymay a écrit : Pourquoi Dieu créa-t-il des êtres en sachant que bon nombres d'entre eux iraient en enfer? Pourquoi Dieu ne pourrait-il pas une fois l'existence-ci achevée changer l'être humain "mauvais"? En serait-il incapable? Non, la sagesse divine dépasse la raison humaine me dira-t-on : on retrouve l'absurdité des preuves, par suite, tout le problème se résout, mais personne ne l'accepte.
Dieu peut tout faire, mais il ne fera rien qui puisse nous priver de notre liberté car cela nous humilierait.