IL y a toutes sortes de solitude. La solitude PHYSIQUE et la solitude INTELLECTUELLE, par exemple....on pourrait d'ailleurs en trouver d'autres comme la solitude sexuelle (5 contre 1)

Je modere ma solitude intellectuelle avec le forum religion.
Seuls ceux qui n'ont pas essayé peuvent dire que c'est impossible. Si un jour vous décidez d'être heureux, avec les bonnes méthodes, vous y parviendrez. Si vous décidez de ne pas être heureux, ça revient à décider d'être malheureux.Farore97 a écrit :Je le répète si on choisissait de pouvoir etre heureux ou malheureux alors tout serai effectivement trop facil.
On ne peut pas choisir d'être heureux c'est impossible comme tu le dis notre subconsciente est ce qui est hors de notre pensée donc hors de contrôle.
On a le choix d'être heureux ou de rester malheureux. Mais on en peut en rien se décider d'être un jour malheureux et un jour non.
On est venu pour ça. Pour nous ! Les autres font partie de notre univers, mais c'est NOTRE UNIVERS.Farore97 a écrit :Il n'est pas question d'attendre que tout le monde soit heureux pour l'etre ; c'est agir de façon a ce que tout le monde le soit, même soi même !
Mais si on agit de telle sorte que cela n'impacte que nous, je le demande, où EST l'intérêt d'avoir exploiter le potentiel de la vie uniquement pour nous ?
On le trouve dans la nature ?Farore97 a écrit :C'est bien ! Et ensuite ? Quoi d'autre ? Le bonheur n'est pas a vous. Vous le trouver dans la nature et ensuite vois dite qu'il est a vous. De cette manière, vous attisez les tentions et décupler la jalousie en l'autre.
Au contraire, si tout le monde faisait comme moi, tout le monde serait heureux et le monde s'en porterait bien mieux. Pas de conflits. Pas de guerre. Pas de colère. Pas de jalousie. Pas de déception. Il faudrait m'expliquer en quoi c'est mal.Farore97 a écrit :MLP si tu es heureux c'est parce que tu sais ce après quoi tu cours et que ca te motive. Parce que tu as cette impression d'avoir trouver la vérité.
Mais encore une fois je ne suis pas d'accord avec ta manière de penser ; si tout le monde faisait comme toi, l'humanité perdrait de son humanité.
Justement ! Ce qui sépare les hommes et les femmes, ce sont les conflits. Si il n'y a plus de conflits, tout le monde s'aime, et s'aide, et le corps social est plus solide que jamais.Farore97 a écrit :C'est a dire qu'il existerait encore des Hommes selon ta manieres de fonctionner mais il n'y aurait plus de corps social. Corps social qui je le rappelle te permet de vivre, d'aller tous les jours au super marché, qui t'assure une firme de sécurité.
Existerait il toujours une union entre les Hommes si tout le monde faisait comme toi ?
L'Union a fait notre plus grande force face à la nature et peut être fera t elle le poid face a l'univers ?
Le bonheur, ce n'est pas voler ce qui est à d'autres. En étant heureux moi, je ne prends rien à personne. Absolument RIEN ! Au contraire, je laisse les autres libres. Ils n'ont pas d'obligations envers moi. Ils peuvent donc progresser et prendre le chemin qui leur convient. Les gens heureux donnent beaucoup, mais ne prennent rien. Le jour où tu comprendras ça, ce sera une révolution dans ton cerveau.Farore97 a écrit :Tu penses que tes choix n'engagent personnes mais en réalité ils ont un poids que je viens de citer au dessus. C'est un peu comme si tu étais tomber sur une mine d'or et que tu y mettais ta propriété dessus.
Ca me fait penser aux européens lorsqu'ils ont découvert le continent américain.
Regarde les problème que cela a engendré !
Tu vois des problèmes là où il n'y en a pas. Tu préfères un monde plein de conflits, plutôt qu'un monde sans conflit. Tu crois naïvement qu'un monde avec des conflits incessants est plus humain qu'un monde sans conflit. C'est ce qui est incompréhensible. Pour moi, c'est dénué de sens.Farore97 a écrit :Ce n'est pas parce que tu ne voies pas les probleme produit que ca n'existe pas.
Et ce n'est pas en disant je suis heureux et je vois pas le problèmes que cela arrangera les choses.
C'est complètement absurde. Ca prouve que tu n'as rien compris à la vie et à la notion de bonheur.Farore97 a écrit :1) C'est pas la question ! Tu me dis que l'on peut decider d'être heureux ; c'est à croire qu'on pourrait aussi décider d'être malheureux pour faire [ATTENTION Censuré dsl] les autres. Tu crois quoi ?! Tout le monde durant toute sa vie essaye d'être heureux !
Et on tente de maintenir cet état la. Ce n'est pas de notre fait si un decet survient au sein de la famille et qu'on se mette a pleurer. Ce n'est pas non plus de notre fait si on a une deception amoureuse ou qu'on doit faire face à la trahison blessante d'un ami. On y peut rien et on ne contrôle pas ca et c'est naturel.
Resterais tu souriant lors d'un enterrement ?
On ne choisit pas le malheur ; on le subit. Pareil pour le bonheur.
Le but de la vie n'est pas de servir les autres, mais de trouver le plus grand bonheur, la plus grande joie, la plus grande paix. Je sais que ce qui est bon pour moi est aussi bon pour les autres. Si je suis heureux et en paix, je donne l'occasion à ceux qui m'entourent de l'être aussi. Je ne vais pas leur poser de problème. Je ne vais pas être jaloux, violent, exigeant. Je ne vais pas rentrer en conflit avec eux. Ils ont donc tout à y gagner et rien à perdre. Ce serait absurde de vouloir servir les autres pour être au final frustré, déçu, en colère, violent, et malheureux.Farore97 a écrit :2) Ainsi donc se reflète l'avarice humaine. Un potentiel illimité desservant un etre vivant, lui meme, alors qu'il pourrait etre heureux tout en desservant les autres.
Dans ce domaine là tu montre la petitesse de ce dont nous sommes capable et tu cache le vrai potentiel qui nous habite pour toi.
Farore97 a écrit :Je ne prétend pas etre venu pour l'autre ou d'avoir été envoyer par je ne sais qu'elle force pour aider l'autre.
Mais je sais que sans l'autre, la vie n'aurait jamais valu le coup d'être vecu. Car sans lui je n'aurai meme pas eu conscience, ni de la vie, ni du bonheur. Tel est la source , selon moi, du vrai bonheur car tout est parti de là. Alors moi, je fait tout pour le conserver et le maintenir en vie.
Parce que trouver le bonheur, c'est quand tu rencontres l'homme ou la femme de ta vie. Alors tu te dis : « j'ai trouvé le bonheur ». Jusqu'à ce que cet homme ou cette femme disparaissent. Et là, tu as perdu le bonheur.Farore97 a écrit :3) On s'amuse a prendre au pied de la lettre ce que je dis, n'est-ce pas ?
Jusqu'à présent on dit que "le bonheur se trouve"dans notre bon vieux patois français. La nature est notre environnement toi tu y es compris. Ou trouve tu le bonheur alors ? Qui y a t-il d'incorrects dans ce que je dis ?
Au cas où tu ne l'aurais pas encore remarqué, les gens sont de passage. Tous les êtres vivants sont de passage. Je ne vois pas en vertu de quoi je devrais considérer que l'être humain n'est pas de passage.Farore97 a écrit :4) Le recentrement sur soi même, la prise en compte uniquement de notre désir , considéré l'autre comme une chose de passage tel un oiseau dans le ciel, ... En claire une perception de l'autre en tant qu'être vivant mais pas en tant qu'être humain.
Censé ? Censé en vertu de quoi ? L'autre n'est pas dévalorisé. Il est à sa place. C'est une circonstance. Il est inutile de lui accorder plus de place que ça. On peut l'aimer, s'y attacher, contribuer à son bien-être, mais il reste une circonstance.Farore97 a écrit :"L'autre" dans ta philosophie est dévalorisé, par rapport à la personne qu'elle est censé représenté.
Si c'est ta façon de trouver le bonheur, vas y ! Moi je sais que j'aide mieux les autres en étant heureux moi-même.Farore97 a écrit :Ce n'est pas ainsi que je traite l'étranger ou l'inconnu. J'ai de la compassion pour l'autre, du respect, ... Mais pas seulement ! Je prend conscience de sa singularité : qu'elle ne vaut pas plus que la mienne en réalité.
Je prend conscience de ses désirs et de ses voeux les plus chère qui ferai de lui un Homme comblé. Je me met un instant a sa place.
C'est la même envie que la mienne que je lis dans ses yeux. Et probablement aucun d'entre nous ne parviendra à assouvir ce bonheur, s'il s'y met seul de son côté comme tu le fait.
Car ce bonheur n'est pas forcément facil à atteindre. Alors il est légitime de penser que je pourrais mettre de cote mon bonheur pour satisfaire le sien. Parce que je sais que j'en ressortirais meilleur qu'avant.
C'est toi qui voit ça comme un manque de considération. Moi je ne le vois pas comme ça. Ca ne veut pas dire que l'autre n'est pas considéré.Farore97 a écrit :Pour résumé, il n'y a pour moi aucune différence entre une humanité en conflit et une humanité fragmentée par le manque de considérations envers autrui.
Le corps social n'a pas à assurer le bonheur de l'homme. C'est d'ailleurs aussi illusoire qu'impossible. Le corps social fournit des circonstances. Le bonheur est un chemin totalement individuel.Farore97 a écrit :Le corps social dans les deux cas est fragile et n'assure pas le bonheur de l'homme.
Les bonnes relations fortes entre individus ne sont pas nécessaires au bonheur individuel. Peut-être que TOI tu as besoin de ces relations fortes, parce que tu es en manque d'amour, d'affection, de reconnaissance, ou de je ne sais quoi. Tu t'identifies totalement par rapport aux autres, et tu as besoin d'eux pour te valoriser. Je me rends compte maintenant que la façon dont tu appréhendes le monde provient de tes propres manques.Farore97 a écrit :5) Ce n'est donc pas ca ! Je te renvoie a ce qu'il y a au dessus. L'absence de conflit ne signifie pas la présence nécessaire de bonnes relations forte entre individus et donc du bonheur émanant du corps social. S'il y a manque de concideration envers l'autre, c'est comme si les liens (que le conflits serai en trains de détruire) n'existait pas. C'est comme si entre chaque etre humain, il y avait du vide.
C'est aussi stupide que de dire que la joie que tu éprouves quand tu as réussi un examen a été volée. Cette joie t'appartient parce que tu l'as mérité. C'est le résultat de tes efforts. Crois tu avoir volé ta joie à quelqu'un qui n'aurait pas réussi l'examen ?Farore97 a écrit :6) Par conséquent, si le bonheur ne se vol pas, il n'est pas propriété spécifique de quelqu'un et donc ne peut t'appartenir comme je te l'ai dit auparavant. Si il est ta propriété c'est qu'il peut etre volé ou qu'il a été volé... Bref choisi.
Donc, c'est que tu es d'accord pour que les gens soient heureux, même si ça ne correspond pas à ta forme de bonheur.Farore97 a écrit :7)Moi, aimer le conflit !!? Je n'aime pas le conflit.
Je ne sais pas ou tu tire cette conclusion que je veuille plonger le monde dans le conflit. Et puis quoi encore ? Je veux aussi ressuscité Staline ! Pourquoi ? Parce que c'est drôle.
Ce n'est pas exact ce que tu dis là. C'est à chacun de choisir son but dans la vie, pour certains ça sera de trouver la joie, pour d'autres ça sera de servir les autres.MLP a écrit : Le but de la vie n'est pas de servir les autres, mais de trouver le plus grand bonheur, la plus grande joie, la plus grande paix.
Je sens encore une fois que tu n'as pas compris, et tu n'as pas compris parce que pour toi, certaines choses sont inconcevables. Je vais donc essayer de t'expliquer autrement.Farore97 a écrit :1) Nous avons tous la possibilité de faire des choix qui peuvent nous guider vers notre bonheur ou notre malheur ; je n'ai jamais dit le contraire.
Mais ce n'est pas parce que le navigateur mais cap sur telle destination qu'il y parviendra, même s'il y met toute sa volonté.
Il y a des circonstances qui sont indépendante de nos actes et de nos choix.
La présence d'une graine dans un desert n'est pas lié à l'absence d'eau. Ces deux événements sont complètement indépendant.
Et pourtant ; pas d'eau, pas de germination.
Le navigateur ne choisit pas le temps qu'il fera sur sa route. Il ne peut pas choisir de réussir ou non à atteindre son bonheur. Car la météo peut le faire échouer et l'empêcher a jamais d'atteindre les rivage de son bonheur.
Donc on ne choisit pas si on est heureux ou malheureux. Car certaines circonstances sont hors d'atteinte de notre volonté et indépendant de nos choix et pourtant nécessaire a notre bonheur.
Un exemple tout con que je peux te fabriquer. Un jeune adolescent décide de se lancer dans une carrière de foot. Il en a pratiqué déjà depuis pas mal d'années et veut atteindre un haut niveau avec son équipe. Je peux te trouver un millions de circonstances qui iront a l'encontre de son bonheur.
Son club ferme.
Il se blesse de manière irrémédiable, à cause de la pelouse un peu humide qui l'a fait glissé.
Un des parents devient chômeurs et la famille ne peut payer cette somme au club ...
Et j'en passe car les possibles circonstances ne dépendant pas de lui, qui peuvent se dresser sur sa route le menant vers le bonheur sont indénombrables.
La volonté est le principal mais ne fait pas tout. L'autre partie nécessaire au bonheur s'appelle la chance.
Tu es encore dans l'erreur. Je te l'ai dit, je ne fais rien par sentiment d'obligation. Si je veux aider un SDF, je le fais. C'est tout ! Si je ne le fais pas, je ne me sens pas pour autant coupable. Je ne suis pas responsable de son état.Farore97 a écrit :2) Comment peut on continuer a prendre soin de son bonheur quand on prend conscience de la souffrance de l'autre ?
Tu n'apporte rien à l'autre en te contentant d'être heureux. Absolument rien ! Ce n'est pas un riche heureux qui va arriver vers un SDF malheureux et qui va lui dire,
"J'ai tout ce dont j'ai besoin, je ne manque de rien et en plus je te permet d'être heureux parce que je rayonne positivement sur toi et que je n'exige rien en retour."
Que cela va changer quelques choses au bonheur de ce SDF ! Tu ne le dis pas mais tu le pense et c'est tout aussi dérangeant que de l'entendre.
Tes paroles sont celles de quelqu'un qui a peur d'aider parce que peur de perdre son propre bonheur ! Tu te permet d'aider dès que ton bonheur n'est pas en danger. Cette manière de penser est digne d'un lâche.
Tu ne peux pas être heureux si tu attends quelque chose des autres. Ca ne va pas ensemble. Tu ne dois pas dépendre des autres, de leurs choix, de ce qu'ils te donnent ou ne te donnes pas. Jamais !Farore97 a écrit :D'un autre côté si tu en es arrivé a une telle conclusion sur le fait de ne pas aider l'autre avant ton bonheur, c'est parce que tu t'y es sans doute mal pris ; je suis certain que tu attendais quelques choses de l'autre ... Et que tu as été par conséquent déçu du résultat !
Tu n'es pas obligé de me croire. Tu n'as qu'à faire l'expérience toi même. Moi je sais que je fais plus de bien à ceux qui m'entourent aujourd'hui, que du temps où j'étais malheureux.Farore97 a écrit :Le problème est ici MLP. Si tu en arrive là, c'est parce que soit tu n'as pas respecter l'autre dans ta quête du bonheur, soit que l'autre a abuser de toi.
Dans les deux cas, la notion de respect n'est pas respectée, et ceci conduit a la souffrance.
Après vient la troisième possibilité qui est la suivante ; l'autre n'a pas besoin de toi. Dans ce cas là il ne faut pas se chercher à se faire utile pour l'autre.
Cela mènerai toutes personnes a la folie et à la dépression.
Aider l'autre c'est aussi ne pas aller à l'encontre de ses désir à moins que ceci ne contredise le respect envers autrui dont cette personne doit faire preuve.
Dans ces conditions là, tu apportes le bonheur autour de toi (et si cela se trouve t'apporte aussi du bonheur).
Mais ne me sort pas qu'en te préoccupant uniquement de ton bonheur, tu rayonne positivement sur l'autre ! C'est la chose la plus absurde que j'ai jamais entendu, l'argument (tu m'excuseras) le plus bidon pour s'économiser au maximum.
Non tu n'aide en rien les autres en t'aidant toi même !
Ca ne me pose pas de problème. Mais tu sais, il est difficile de convaincre quelqu'un qui a atteint un état d'équilibre, de paix, de sérénité et de bonheur, il est difficile de convaincre une telle personne d'abandonner tout ce qu'elle a conquis, parce que juste toi, tu trouves ça immoral et méprisable. Tu n'as rien à offrir en échange.Farore97 a écrit :Car tu es aussi aveugle que l'être qui aide un aveugle. Tu es aveuglé par ton propre bonheur. Seulement que toi tu ne fait rien. Et c'est, excuse moi du terme, ce que je méprise dans ta manière de penser.
Mes fils sont aussi des circonstances dans ma vie. Je n'ai pas besoin de m'occuper des pissenlits, c'est ça la différence. Certaines personnes, expériences et circonstances t'apportent plus que d'autres. C'est bien normal. Mais toi, tu mesures tout à ce que l'on te DONNE. Plus quelqu'un TE DONNE, plus tu REÇOIS, et plus tu as de la considération pour l'autre. Tu es toujours et définitivement dans l'AVOIR.Farore97 a écrit :3) En vertu de quoi l'autre devrait il etre plus haut placé que tout ?
Qui t'a enseigné la notion de respect pour vivre en paix que tu es toi même en train d'appliquer pour vivre ton bonheur ?
Qui te permet de savoir si tu es dans le mal ou dans le bien ?
Qui te permet de savoir si tu es dans le faux ou dans le vrai ?
N'est ce pas l'autre ?
Voilà en vertu de quoi je le place plus haut que tout.
Et voici que je t'entends considèrer l'autre comme une circonstance, un etre de passage.
Un caillou aussi c'est une circonstance MLP. Mais je doute qu'il t'apporte autant.
Le terme est donc mal approprié.
Je ne vois aucune distinction entre le pissenlit et un Homme selon ton point de vue. L'un a un potentiel de vie un tantinet plus élevé quand même, non ?
Tu met tout sur le même plan et c'est dérangeant.
Mettrais-tu sur la même échelle un pissenlit et tes fils ?
A la différence de toi, je ne me définis pas par rapport aux autres. Les autres te jugent selon leur propres valeurs, comme toi tu le fais avec moi. Ils peuvent donc t'empêcher de devenir qui tu veux, si tu t'attaches à la vision qu'ils ont de toi. Je t'ai déjà expliqué que je ne peux ni ne veux dépendre des autres.Farore97 a écrit :4)Tu me dit que j'ai besoin de l'autre pour me valoriser. Ce n'est pas une question de me valoriser, car la valeur est subjective. C'est toi qui pense qu'il s'agit de me valorisée ; un laspus révélateur de ton passé sans doute ... Passons !
C'est une question de se définir. Il n'y a que l'autre pour dire et me mettre un mirroir sur ce que je suis aujourd'hui.
Certes ! Il n'y a que moi qui a le pouvoir de me faire devenir celui que je veut. C'est là , le reel potentiel de notre vie.
Mais, ne pouvant être objectif avec moi même, j'ai besoin d'un point de vue extérieur qui me dise où en suis-je, si je suis devenu ce que j'ai toujours désiré.... Et l'unique lumière capable d'éclairer ce que je suis est l'autre.
Il n'y a que l'autre qui peut me faire prendre conscience de moi.
Et la prise de conscience de moi, c'est la prise de conscience de ma vie, et d'un bonheur sans limite dont je peux profiter dans la mesure où je ne nuit pas aux autres.
Je n'ai pas dit ça pour te blesser, mais seulement pour que tu saches que j'ai compris ce qui motivait ta vision du monde.Farore97 a écrit :Quand à ta théorie que je projette mon manque sur l'autre, elle ne me fait ni chaud ni froid. Notre diversité fait notre force et, nous en avons plus que besoin pour évoluer et grandir. Ce manque que je projette sur l'autre est la diversité que je ne possède pas et dont j'ai besoin pour croître.
En claire, si tu croyais formulé une vérité sur moi c'est raté parce que je ne suis pas le seul poisson que tu as attrapé dans le filet de ta pseudo theorie.
Je suis convaincu de ne désintégrer aucun corps social. C'est à chacun d'emprunter son chemin spirituel et à donner plus d'importance à l'ÊTRE qu'à l'AVOIR.Farore97 a écrit :J'ai dit que je ne cherche pas le conflit.
Cependant tout a un poids et certain conflit valent la peine d'être vécu pour en éviter d'autre problèmes plus grave ; par exemple la désintégration de ce corps social que tu provoques en te comportant comme tel.
Parce que c'est détruire la cohésion humaine sociale que d'intégrer un tel comportement.
La société apporte des circonstances qui ne dépendent pas de nous et donc nous apporte l'opportunité de saisir sa chance et son bonheur. Si tu détruit ce corps social tu rends la tâche beaucoup plus difficile à l'autre (et au passage le travail de plusieurs générations).
Le chemin du bonheur est pour moi un chemin spirituel. Il est vain et absurde de chercher le bonheur dans la satisfaction de désirs matériels, et dans le comblement de manques divers.Farore97 a écrit :Et il n'est pas vain d'essayer de rendre ce bonheur toujours plus accessible pour l'autre. On ne peut, sans doute jamais atteindre la perfection, mais on peut toujours faire mieux. Et tant qu'on peut faire mieux alors le malheur est toujours possible.
Non ! Etre, c'est se connaître soi-même, dans sa véritable nature. Il ne suffit pas d'être, mais de « s'établir dans l'être ». Encore une fois, tu te projettes sur le monde extérieur, alors que je m'efforce de t'expliquer que tu dois chercher à être spirituel.Farore97 a écrit :Etre c'est avoir une personnalité, des rêves, des désirs, des peurs, des pensées, des idées.
Etre c'est d'une certaine manière avoir une définition de soit même. Tel est ce que l'homme recherche. Une définition donnant un sens a sa vie. Donc déjà ca détruit une partie de ta démonstration que tu as répété tout le long de ta réponse.
Punaise !Farore97 a écrit :Donc etre c'est avoir.
Oui et non ! Un oeuvre de l'esprit est par définition immatérielle et pourtant, elle peut appartenir à quelqu'un.Farore97 a écrit :Mais après avoir quoi ? Le matériel ? Non.
L'immatériel selon toi n'est pas possessible.
Ne me dis pas que tu n'es pas capable de comprendre les subtilités de la langue française.Farore97 a écrit :Mais laisse moi te dire que tu te contredit.
Car tu me dit que le bonheur c'est être et non avoir. Et avant tu m'as dit que le bonheur s'appartient et que ton bonheur t'appartient. Tu n'es pas cohérent dans tes propos.
C'est là où tu commets une erreur. Je ne suis absolument pas responsable de ce qu'il sera demain, pas plus que je ne suis responsable de ce qu'il était avant.Farore97 a écrit :2) Tu n'es pas responsable de ce que le SDF est ou a été. Mais tu es responsable de ce qu'il sera des lors que tu en prends conscience. Tu peux lui apporter une occasion qu'il peut saisir !
Et décider de ne pas aider c'est faire comme s'il n'était pas là. (Le résultat aurait été le même).
Tu laisse le destin d'un tel Homme entre les mains d'un certains hasards car son bonheur depend de circonstances qui ne dépendent pas de lui même mais qui peuvent (j'ai dit qui peuvent) dépendre de toi.
La morale, c'est quelque chose qui ne m'inquiète absolument pas. La morale, c'est relatif. Ca dépend de la vision de chacun, et tu sais que je ne me détermine pas par rapport aux autres.Farore97 a écrit :Tu sais, a t'entendre parlé on dirait un enfant. Pourquoi ? On dirait que ton bonheur est la seule chose dont le monde ait besoin pour vivre heureux. Tu sais ? Par exemple lorsqu'il commence a marcher ou a parler ; ca rend heureux tout le monde, parce qu'on apprécié le progrès qu'il fait.
Mais tu es un adulte ; c'est fini la bonne époque !
Et puis le fait que tu rendes heureux sur le fait les autres qui sont autour de toi, ne fait pas de toi un être moral pour autant.
La preuve est au dessus de ce que je t'ai écrit avec le SDF.
Non, je n'attends rien de toi. Simplement, si tu m'offrais un moyen d'être encore plus heureux, je le prendrais volontiers.Farore97 a écrit :5) Je n'ai rien a offrir en échange car le bonheur ce n'est pas avoir mais être; tu l'as dit toi meme plus haut.
Et puis tu attend quelques choses de moi dans cette situation.
N'est-ce pas contraire à tes principes ?
Bah oui ! Ca te choque ? Sur le même plan spirituel bien sûr, car si je peux arracher un pissenlit, je ne vais pas trucider quelqu'un pour autant.Farore97 a écrit :5) Tu n'as pas non plus besoin de t'occupper du SDF. Cela ne t'apporte rien. Pour autant tu met sur le même plan un etre humains et un pissenlit.
A vrai dire :Farore97 a écrit :6) Je ne me préoccupe pas de ce que je reçois. Car je le reçois aussi tôt que je le donne. L'émerveillement dont l'autre fait preuve est le résultat du travail que je donnerai pour l'autre. Et je ne prétend pas que cela parviendra a la première tentative.
Mon travail n'apporte que à l'autre. Et apporter à l'autre ce qui est utile est la vrai récompense : sentir que notre vie est faite pour quelques choses.
Je ne suis pas lié à l'avoir. Je suis lié à l'être ; etre utile.
Et l'émerveillement est immatériel et donc pas possible a posséder.
L'émerveillement est de contempler ce qui est harmonieux et par nature beau. Et ceci est sens a ma vie. Ceci est le bonheur éternel.
N'est ce pas cela qui nous guide dans chacun de nos choix et de nos pas ? La contemplation du beau ?
Oui, heureusement ! Mais en toute occasion, c'est le maître qui dirige le disciple et non le contraire.Farore97 a écrit :7) Seulement a la différence de toi je n'omet pas la possibilité que l'autre peut avoir raison, et peut discerner la réalité que toi tu ne peux discerner avec tes valeurs a toi. N'admet d'être entièrement aveugle sur ce qui je suis.
Les autres peuvent m'empêcher de devenir qui je souhaite si cela peut entraver leur liberté et ils auront raisons.
On m'empêchera de tuer des gens par exemple.
Farore97 a écrit :Malheureusement, tu dépend déjà de l'autre que tu le veuille ou non. Car tu as déjà saisi des occasions qui t'ont été donné par l'autre et qui font que tu es heureux aujourd'hui.
Je te l'ai déjà dit : regrets, remords et culpabilité sont sans intérêt. Pour autant, je ne suis pas parfait. Je peux commettre des erreurs, et blesser quelqu'un par inadvertance.Farore97 a écrit :8) Tu ne m'as pas blessé. Tu m'as fait réfléchir. Et je n'y suis pas resté indifférent.
Mais je doute que tu ais culpabilisé vraiment a ce moment là où tu m'as dit cela, toi qui ne culpabilise pas d'être heureux sans prendre en compte la souffrance de l'autre.
C'est un bonheur éphémère qui dépend de l'avoir. J'ai dépassé ce stade depuis un bon bout de temps.Farore97 a écrit :Tu contre dit en plus la définition du bonheur qui est de un état ou ses désir sont comblé ; l'ataraxie selon Épicure.
Et qu'est ce qui l'empêche d'être autre chose ?Farore97 a écrit :Encore une fois je te ressort l'exemple du joueur de foot qui voulait etre une star ; Etre !
Et pourtant sa blessure ne dépendait pas de lui.
Ce n'est pas l'avis des maîtres spirituels justement. Que ce soit Siddhārtha Gautama, les maîtres védiques ou Jésus pour ne citer qu'eux, ils appellent tous à se détacher du monde matériel pour trouver le bonheur dans la spiritualité. C'est à dire un bonheur illimité qui ne dépend pas de ce que tu AS dans ce monde matériel. Crois tu qu'ils aient été totalement dans l'erreur ?Farore97 a écrit :Je te le dis. Si je ne voyais que quelques choses qui ne m'allait pas personnellement, je n'aurais pas fait tout ce baratin. Je l'ai fait parce que je me suis imagine que si tout le monde vivait comme toi, le bonheur serai plus difficile a atteindre et pour toi et pour l'autre.
Bien sur qu'on est responsable de la pauvreté et des famines. 1% des humains contrôlent 50% des richesses et cela s'accroit de jour en jour. Si l'humain décidait désormais d'être généreux et solidaire, il n'y aurait plus de pauvreté en quelques moisMonstreLePuissant a écrit :C'est là où tu commets une erreur. Je ne suis absolument pas responsable de ce qu'il sera demain, pas plus que je ne suis responsable de ce qu'il était avant.
Bien sûr, je peux lui apporter une occasion. Ou pas ! Si je lui donne 5 €, c'est peut-être la somme qui lui manquait pour aller acheter sa bouteille d'alcool. Il sera tellement saoul qu'il traversera la rue sans prendre garde et se fera renverser. Il mourra. Parce que je lui ai donné 5 €.
Tu crois naïvement que tout ce que tu feras aura de bonnes conséquences. Mais ce n'est pas toujours le cas. Je me fais donc suffisamment confiance pour décider de ce que je vais faire, sans la moindre once de culpabilité ou de responsabilité.
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