Un "tient" vaut mieux que deux "Tu l'auras".nomade a écrit :je réponds en vrac...
question typique d'un non-croyant, qui recherche "toujours plus" dans cette vie ci.
d'un point de vue matériel, généralement, le non-croyant est plus "a l'aise" que le croyant; ceci est normal, car :
Selon Abou Hourayra (radhia Allâhou anhou), le Messager d'Allâh (sallallâhou alayhi wa sallâm) a dit: «Ce monde est la prison du Croyant et le Paradis du Mécréant». (Mouslim)
d'un point de vue psychique et spirituel, l'avantage du croyant accompli est évident: le bonheur et la sérénité ne le quittent pas, quelles que soient les circonstances.
de plus,
Le Prophète (sallallâhou alayhi wa sallâm) a dit: «A celui qui se lève le matin plein des soucis du bas-monde, Allâh disperse son affaire, éparpille son occupation, place sa pauvreté entre ses yeux, et il n'aura, des biens du bas-monde, que ce qui lui est prédestiné. A celui qui se lève le matin en n'ayant pour souci la vie future, Allâh rassemble pour lui son souci, préserve pour lui son occupation, place sa richesse dans son cœur, et le bas-monde viendra malgré lui vers cet homme». (Ahmad, et Ibn Mâja, authentifié par al-Albânî)
voila un extrait:
Qu’est-ce donc que la mort, chers frères ? La mort est la troisième d’une série de quatre étapes prescrites par Dieu — Exalté soit-Il — et que l’homme doit traverser au cours de sa vie. Ô fils d’Adam, tu as rendez-vous avec quatre étapes tout au long de ta vie :
La première étape est la vie fœtale pendant laquelle le fœtus est dans le monde utérin ;
La deuxième étape est la vie terrestre dans laquelle nous évoluons aujourd’hui ;
La troisième étape est la vie d’outre-tombe (al-hayâh al-barzakhiyyah), avec laquelle nous avons rendez-vous incessamment sous peu ;
La quatrième et dernière étape est la vie dans l’au-delà.
pour le texte complet:
http://www.mejliss.com/showthread.php?t ... E9cr%E9ant
mais exactement.
lors des victoires musulmanes (en petit nombre) contre les perses (en grand nombre) , quelqu'un (il faut que je retrouve l'histoire) expliquait la défaite des perses : "c'est parce qu'ils (les musulmans) aiment la mort autant que nous aimons la vie"
mais ils étaients des mujahideens qui cherchaient le martyr.
quand au croyant ordinaires, ils sont de deux sortes:
-celui qui n'est pas encore pret a rencontrer le Bien-Aimé ; il ressemble a un hote qui attends son invité mais sa maison est en désordre et le repas n'est pas pret; il s'active pour tout arranger tout en ayant l'oeil rivé sur la montre.(cepandant, l'invité est quelqu'un d'indulgent malgré son importance; si il reste un coussin qui traine, il espère qu'Il l'excusera)
- celui qui est pret a recontrer le Bien-Aimé ; il est comme un hote dont la
maison est rangée est qui attends impatiemment son invité ; il se rejout a l'idée de le rencontrer; il n'en peut plus d'attendre.
On ne jette pas la proie pour l'ombre
La vie on la possede, on la connais, on en connais ses qualites et ses defauts, on apprends comment en tirer le maximum, comment jouir de chacune des heures qui nous sont offertes.
L'apres n'est qu'un promesse, sans la moindre preuve autre que des textes qui n'ont pas ete prouve. L'apres a autant de descroptions que de croyance et meme a l'interieur d'une croyance il y a des variations et des divergences.
Pretendre que la vie est le domaine de mecreants est absurde. Comment ne pas croire a ce qui se manifeste a chaque seconde.
Les "soi disant" croyants sont obliges de diriger leur vie sur la base d'une promesse, pire, ils sont encourage de sacrifier ce qu'ils ont contre une promesse.
Les martyrs sont des individus a qui on a lave le cerveau afin de les transformer en robot pour satisaire une cause qui n'a rien a voir avec l'au dela. Khomeini envoyait des adolescents sur les champs de mine avec une promesse, Bon Laden et abu Mussad al Zirqawi font exactement la meme chose.
Je doute tres fort qu'aucun des trois n'auraient le courage de se ceinturer de dynamite.
Les califs musulmans ont envoye a la mort des mujahideens contre une peuplade qui ne leur avait rien fait, rien que par esprit d'imperialisme.