San Sanchez a écrit : ↑14 févr.22, 01:38
Il est possible que la manière dont cette femme à pratiquer l'adultère constituait un péché mais comme Jésus légalise ici l'adultère cela voudrait dire que ce n'est pas l'adultère en lui-même qui constitue le péché.
Il faut se rappeler déjà que ce passage est un ajout, il n'est pas retenu comme faisant parti des textes. Ensuite c'est assez simple, La loi de Moïse légalisait l'adultère, ce n'est pas Jésus qui l'a légalisé. Mais Jésus a mit fin à la Loi, or dans la Loi ce n'est pas la manière dont tu regardes une personne, en l'occurrence une femme qui se rendrait coupable de la lapidation mais d'avoir commis l'adultère, l'acte sexuel entre au moins une personne mariée et une personne non mariée ou d'un autre couple.
Ce que Jésus mettait en avant c'est le danger de se laisser aller à un tel désir, il te suffit de voir jusqu'où le roi David est allé car il a bien commis un adultère.
Le danger est donc d'aller jusqu'à léser son prochain (destruction du couple, diffamation, meurtre).
Par contre dans la loi du Christ, il n'existe aucune peine de mort exécutive. En fait cela va dépendre un peu des pays, certains pays emprisonnent, d'autres coupent la tête, ... Mais du point de vue de Dieu, un chrétien n'a pas à lapider ou à immoler ou à démembrer, etc...