Toujours à regarder chez le voisin,
ce qui arrive dans sa maison...
En 2003, Mohamed Ahmed
dirige une école coranique rue Maréchal-Leclerc, à Saint-Denis. Concrètement, il dispense
des cours de coran dans le salon de son appartement à de jeunes garçons d´origine comorienne pour la plupart.
Et ce, malgré l´interdiction d´exercer une profession en relation avec des enfants, prononcée par le tribunal correctionnel pour une précédente affaire de mœurs.
Le 9 septembre 2003, une femme dépose une plainte pour viol et agression sexuelle sur son fils. En juin 2003, alors qu´elle va chercher son fils à l´école coranique, elle surprend son fils
qui sort de la chambre de l´imam avec une pièce dans la main. Elle demande des explications à son enfant, alors âgé de 11 ans. Ce dernier lui raconte que l´imam “a essayé d´introduire son sexe dans ses fesses.” Plusieurs autres fois, le professeur l´avait obligé à s´asseoir sur ses genoux et l´avait caressé.
“C´est l´enfant qui voulait mon corps”
http://www.bouclier.org/article/4232.html
Affaire des pédophiles allemands d’Agadir, arrestation d’une personnalité du monde culturel français avec des mineurs à Marrakech, procès de l’imam salafiste qui abusait de ses élèves à Dakhla… Les affaires de pédophilie sont de plus en plus médiatisées. Celles concernant des étrangers le sont encore plus.
Najat Anwar, présidente de l’Association «Touche pas à mon enfant», préfère, elle, parler de la phase préjudiciaire.
«Il est vrai que les victimes osent porter plainte et ne se cloîtrent plus dans le silence, mais il reste beaucoup à faire pour sensibiliser les enfants et les parents sur ce phénomène», explique Anwar. Créée e 2004, l’association qu’elle préside s’est constituée partie civile dans 11 affaires d’abus sexuels sur mineurs en 2005 et dans une quinzaine de procès cette année. Sept procès ont déjà été jugés en première instance et le reste est en cours. La répartition des dossiers par nationalité montre que les «pédo-touristes» ne sont pas les seuls à sévir sur le territoire national. Plusieurs pédophiles marocains se retrouvent également dans le box des accusés.
http://www.yabiladi.com/article-societe-1212.html
Les ascendants... sont sans doute des prêtres...occidentaux... mariés et avec des enfants au Maroc...
La multiplication des plaintes contre les pédophiles sonne-t-elle le glas de la loi du silence? Est-ce que la société marocaine n’a plus «honte» des viols sur mineurs? Rien n’est moins sûr puisqu’un autre volet de ce phénomène reste très secret et est plus que tout régi par l’omerta: l’inceste. «Touche pas à mon enfant» s’est portée partie civile dans quatre procès pour «viols sur mineurs par un ascendant» à Casablanca, Rabat, Ben Ahmed et Dakhla. «C’est beaucoup plus difficile de convaincre une victime d’inceste de porter plainte». Outre la honte, les victimes doivent généralement faire face à une crainte révérentielle puisque le criminel n’est autre qu’un membre de la famille. Pour y remédier, Anwar souhaite la création de centre d’écoute pour les enfants violés et leurs familles, afin que ces dernières puissent comprendre que ce crime, pas plus que les autres, ne doit pas rester impuni
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