- pas de conflit israélo-arabe
- pas de talibans, donc pas de conlit en Afghanistan,Chose certaine au Proche-Orient, deux peuples, dont l'un se juge
l'élu de Dieu et l'autre l'héritier d'une terre promise en vertu du
partage de la Palestine décidée en 1948 par l'ONU et l'ancienne
puissance coloniale d'antan, ont tous deux développé des discours
contradictoires nationalistes qui débordent largement le cadre de
simples conflits ethniques entre deux communautés vivant sur le
même sol. D'un côté comme de l'autre, les éléments politiques
modérés sont dépassés par des partis radicaux de droite ou de
gauche, si tant est que ces termes soient toujours utilisables, ou
encore par des factions extrémistes dont la principale mission est
de jeter de l'huile sur le feu. Ici comme en Asie du Sud, une lueur
d'espoir semble poindre à l'horizon avec le " pacte " de Genève,
préparé par l'Israélien Yossi Beilin et le Palestinien Yasser Abed
Rabbo. Malgré les encouragements du secrétaire d'État C olin
Powell, Washington juge toutefois que ces négociations parallèles
ne doivent pas, pour réussir, s'écarter de " la feuille de route "
développée par le Quartet (UE, ONU, Russie et États-Unis). Pour
l'instant, le premier ministre Sharon juge cette initiative de Genève
comme " plus dangereuse " que les accords d'Oslo de 1993, ce qui
en dit long sur le chemin qui reste à parcourir !
Code : Tout sélectionner
http://www.er.uqam.ca/nobel/cepes/pdf/BULL66.pdf