John a écrit :deut21:18
Si un homme a un fils indocile et rebelle, n'écoutant ni la voix de son père, ni la voix de sa mère, et ne leur obéissant pas même après qu'ils l'ont châtié,
19le père et la mère le prendront, et le mèneront vers les anciens de sa ville et à la porte du lieu qu'il habite.
20Ils diront aux anciens de sa ville: Voici notre fils qui est indocile et rebelle, qui n'écoute pas notre voix, et qui se livre à des excès et à l'ivrognerie.
21Et tous les hommes de sa ville le lapideront, et il mourra. Tu ôteras ainsi le mal du milieu de toi, afin que tout Israël entende et craigne.
L'eternel aime bcp les enfants

Verset 18 à 21
Punition du fils rebelle.
Ici encore l'autorité paternelle est réduite à de sages limites, bien qu'elle soit en même temps confirmée. Le père de famille n'est pas autorisé à disposer de son chef, dans un moment de colère, de la vie de son enfant, ainsi que c'était le cas chez d'autres peuples. Quand l'avertissement, puis le châtiment (corporel) ont été inutiles, une accusation publique a lieu, et c'est ensuite de cette accusation des deux parents que justice est faite, non par le père, mais par tous les hommes de la ville.
Verset 19
A la porte, où se tenait le tribunal (Genèse 19.1 note)
Verset 22
Cadavres des criminels. L'idée de l'exécution capitale est le seul lien qui unisse ce passage au précédent.
Et que tu l'auras pendu. La pendaison suit l'exécution et n'est pas le supplice lui-même, mais une aggravation de peine, un opprobre infligé au cadavre du malfaiteur pour certains crimes extraordinaires (blasphème, idolâtrie, d'après les rabbins). Au lieu d'être immédiatement enseveli, le corps du criminel était mis en évidence et suspendu à un arbre ou à un poteau, comme un objet d'horreur pour les hommes et un monument du déplaisir divin.