
le pere de mahommet
Règles du forum
Le dialogue interreligieux est une forme organisée de dialogue entre des religions ou spiritualités différentes. Ultérieurement, la religion a considéré l'autre comme n'étant pas la vérité révélée. C'est ainsi que les premiers contacts entre l'islam et le christianisme furent souvent difficiles, et donnèrent lieu à des guerres impitoyables comme les croisades.
Le dialogue interreligieux est une forme organisée de dialogue entre des religions ou spiritualités différentes. Ultérieurement, la religion a considéré l'autre comme n'étant pas la vérité révélée. C'est ainsi que les premiers contacts entre l'islam et le christianisme furent souvent difficiles, et donnèrent lieu à des guerres impitoyables comme les croisades.
le pere de mahommet
Ecrit le 24 sept.06, 07:17le pere de mahommet s appelait abdallah ce qui veut dire serviteur d allah!!! donc le mot allah existait bien avant la venue de l islam....et des historiens affirment que mahommet etait chretien nestorien...il etait monogame jusqu a la mort de sa 1ere riche femme...les nestoriens niaient la divinite du christ et ils etaient nombreux a 7 epoque en arabie
je ferai des recherches plus approfondies sur ce sujet promis

Ecrit le 24 sept.06, 07:43
On va vous aider dans vos recherche
Avant l’époque islamique le judaïsme avait été réduit à un amalgame de rituels et de sacrements ternes et sans vie, dénués de toute signification. De plus, en tant que religion soutenant la division raciale, il n’avait jamais eu aucun message à transmettre aux autres nations ou destiné au bien-être de l’humanité en général.
La Gemara babylonienne(si populaire au cours du sixième siècle qu’elle était souvent préférée à la Torah par les juifs orthodoxes) illustre de façon typique le caractère rudimentaire de la compréhension intellectuelle et religieuse des juifs du sixième siècle, et cela en raison des commentaires facétieux et imprudents sur Dieu, ainsi que des nombreuses croyances et idées totalement absurdes et scandaleuses que l’on y retrouve, ce qui dénote non seulement un manque de sensibilité, mais aussi un manque de consistance avec la croyance monothéique juive.
Dès ses débuts, la chrétienté était livrée à la ferveur de ses évangélistes trop zélés, à l’interprétation arbitraire de ses principes par des pères de l’Église ignorants, et à l’iconolâtrie des païens convertis à la chrétienté. La doctrine de la trinité, qui s’est accaparée la première du dogme chrétien dès la fin du quatrième siècle a été décrite ainsi dans la New Catholic Encyclopedia :
Il est difficile, dans la seconde moitié du 20e siècle, de présenter un exposé clair, objectif et honnête de la révélation, de l’évolution doctrinale et de la conception théologique du mystère de la trinité. Le débat trinitaire, tel que conçu par les catholiques romains ou par d’autres dénominations, n’est pas aussi homogène qu’on le croit. Deux choses se sont produites. Une entente entre les exégètes et les théologiens bibliques, incluant un nombre croissant de catholiques romains, selon laquelle nul ne doit discuter de la trinité telle que présentée dans le Nouveau Testament sans être réellement qualifié.
Et une entente parallèle entre les historiens du dogme trinitaire et les théologiens méthodiques selon laquelle lorsque quelqu’un parle de trinitarisme non-qualifié, il fait alors référence à la période comprise entre les origines de la chrétienté jusqu’au dernier quart du 4ème siècle. Car ce n’est qu’à ce moment-là que ce qui pourrait être appelé le dogme trinitaire définitif « un Dieu en trois personnes » a été profondément assimilé à la vie chrétienne et au mode de pensée chrétien.
Retraçant les origines des coutumes, rites, festivals et offices religieux païens chez les idolâtres convertis au christianisme, un autre historien de l’Église chrétienne nous fait un compte rendu explicite démontrant à quel point les premiers chrétiens s’efforçaient d’imiter les nations païennes. Le révérend James Houston Baxter, professeur d’histoire ecclésiastique à l’Université de St. Andrews, écrit, dans son ouvrage intitulé The History of Christianity in the Light of Modern Knowledge (L’histoire de la chrétienté à la lumière des connaissances modernes) :
Si le paganisme a disparu, c’est moins par anéantissement que par absorption. Presque tout ce qui était païen a survécu en étant transmis au christianisme, qui lui a donné une appellation chrétienne. Privés de leurs faux dieux et héros, les hommes ont facilement et plus ou moins consciemment revêtu des attributs de ces dieux et héros un martyr local, en plus de donner son nom à une de leurs statues, reportant sur lui le culte et la mythologie associés aux déités païennes.
Avant même la fin du siècle, le culte du martyr était devenu universel et ce fut le premier pas vers l ‘imposition d’un être humain déifié comme intérmédiaire entre Dieu et l’homme qui, d’une part, était une conséquence de l’arianisme et qui, d’autre part, allait être à l’origine de nombreuses pratiques et de la foi typiques de l’époque médiévale. Plusieurs festivals païens furent adoptés et renommés ; dès l’an 400, le jour de Noël, qui était en fait l’ancien festival du soleil, était devenu le jour de naissance de Jésus.
A SUIVRE

Avant l’époque islamique le judaïsme avait été réduit à un amalgame de rituels et de sacrements ternes et sans vie, dénués de toute signification. De plus, en tant que religion soutenant la division raciale, il n’avait jamais eu aucun message à transmettre aux autres nations ou destiné au bien-être de l’humanité en général.
La Gemara babylonienne(si populaire au cours du sixième siècle qu’elle était souvent préférée à la Torah par les juifs orthodoxes) illustre de façon typique le caractère rudimentaire de la compréhension intellectuelle et religieuse des juifs du sixième siècle, et cela en raison des commentaires facétieux et imprudents sur Dieu, ainsi que des nombreuses croyances et idées totalement absurdes et scandaleuses que l’on y retrouve, ce qui dénote non seulement un manque de sensibilité, mais aussi un manque de consistance avec la croyance monothéique juive.
Dès ses débuts, la chrétienté était livrée à la ferveur de ses évangélistes trop zélés, à l’interprétation arbitraire de ses principes par des pères de l’Église ignorants, et à l’iconolâtrie des païens convertis à la chrétienté. La doctrine de la trinité, qui s’est accaparée la première du dogme chrétien dès la fin du quatrième siècle a été décrite ainsi dans la New Catholic Encyclopedia :
Il est difficile, dans la seconde moitié du 20e siècle, de présenter un exposé clair, objectif et honnête de la révélation, de l’évolution doctrinale et de la conception théologique du mystère de la trinité. Le débat trinitaire, tel que conçu par les catholiques romains ou par d’autres dénominations, n’est pas aussi homogène qu’on le croit. Deux choses se sont produites. Une entente entre les exégètes et les théologiens bibliques, incluant un nombre croissant de catholiques romains, selon laquelle nul ne doit discuter de la trinité telle que présentée dans le Nouveau Testament sans être réellement qualifié.
Et une entente parallèle entre les historiens du dogme trinitaire et les théologiens méthodiques selon laquelle lorsque quelqu’un parle de trinitarisme non-qualifié, il fait alors référence à la période comprise entre les origines de la chrétienté jusqu’au dernier quart du 4ème siècle. Car ce n’est qu’à ce moment-là que ce qui pourrait être appelé le dogme trinitaire définitif « un Dieu en trois personnes » a été profondément assimilé à la vie chrétienne et au mode de pensée chrétien.
Retraçant les origines des coutumes, rites, festivals et offices religieux païens chez les idolâtres convertis au christianisme, un autre historien de l’Église chrétienne nous fait un compte rendu explicite démontrant à quel point les premiers chrétiens s’efforçaient d’imiter les nations païennes. Le révérend James Houston Baxter, professeur d’histoire ecclésiastique à l’Université de St. Andrews, écrit, dans son ouvrage intitulé The History of Christianity in the Light of Modern Knowledge (L’histoire de la chrétienté à la lumière des connaissances modernes) :
Si le paganisme a disparu, c’est moins par anéantissement que par absorption. Presque tout ce qui était païen a survécu en étant transmis au christianisme, qui lui a donné une appellation chrétienne. Privés de leurs faux dieux et héros, les hommes ont facilement et plus ou moins consciemment revêtu des attributs de ces dieux et héros un martyr local, en plus de donner son nom à une de leurs statues, reportant sur lui le culte et la mythologie associés aux déités païennes.
Avant même la fin du siècle, le culte du martyr était devenu universel et ce fut le premier pas vers l ‘imposition d’un être humain déifié comme intérmédiaire entre Dieu et l’homme qui, d’une part, était une conséquence de l’arianisme et qui, d’autre part, allait être à l’origine de nombreuses pratiques et de la foi typiques de l’époque médiévale. Plusieurs festivals païens furent adoptés et renommés ; dès l’an 400, le jour de Noël, qui était en fait l’ancien festival du soleil, était devenu le jour de naissance de Jésus.
A SUIVRE
Ecrit le 24 sept.06, 07:45
Les Arabes avaient jadis suivi la religion d’Abraham et se distinguaient par le fait d’avoir sur leurs terres la première Maison de Dieu. Mais l’intervalle de temps qui les séparait des grands patriarches et prophètes du passé, ainsi que leur isolement dans les déserts arides de la péninsule arabe avait favorisé la naissance, chez eux, d’une exécrable idolâtrie. Cette adoration se rapprochait beaucoup de celle des hindous au sixième siècle. En associant d’autres divinités à Dieu, ils partageaient la même foi que tous les autres peuples polythéistes.
Croyant fermement que l’Être Suprême était secondé par des dieux de rang inférieur pour la direction et le gouvernement de l’univers, ils étaient convaincus que leurs déités possédaient le pouvoir de les aider ou de leur nuire, de leur donner la vie ou la mort. L’idolâtrie, en Arabie, avait atteint un point où chaque région, chaque clan, et même chaque maison avait sa propre divinité.
L’ARABIE
L’idée même de la vertu et de la moralité était totalement inconnue aux anciens bédouins. Grands amateurs de vin et de jeux de hasard, ils avaient le cœur assez dur pour enterrer vivantes leurs propres filles. Le pillage des caravanes et les meurtres commis de sang froid pour des sommes misérables étaient les méthodes typiquement utilisées pour subvenir aux besoins des nomades des nomades.
Les jeunes bédouines ne jouissaient d’aucun statut social, pouvaient être troquées comme n’importe quelle marchandise ou n’importe quel bétail échangeable, ou encore être héritées par les légataires du défunt. Il y avait certaines nourritures réservées pour les hommes seulement, que les femmes n’avaient pas le droit de toucher.
A SUIVRE
Croyant fermement que l’Être Suprême était secondé par des dieux de rang inférieur pour la direction et le gouvernement de l’univers, ils étaient convaincus que leurs déités possédaient le pouvoir de les aider ou de leur nuire, de leur donner la vie ou la mort. L’idolâtrie, en Arabie, avait atteint un point où chaque région, chaque clan, et même chaque maison avait sa propre divinité.
L’ARABIE
L’idée même de la vertu et de la moralité était totalement inconnue aux anciens bédouins. Grands amateurs de vin et de jeux de hasard, ils avaient le cœur assez dur pour enterrer vivantes leurs propres filles. Le pillage des caravanes et les meurtres commis de sang froid pour des sommes misérables étaient les méthodes typiquement utilisées pour subvenir aux besoins des nomades des nomades.
Les jeunes bédouines ne jouissaient d’aucun statut social, pouvaient être troquées comme n’importe quelle marchandise ou n’importe quel bétail échangeable, ou encore être héritées par les légataires du défunt. Il y avait certaines nourritures réservées pour les hommes seulement, que les femmes n’avaient pas le droit de toucher.
A SUIVRE
Ecrit le 24 sept.06, 07:51
Allah avait choisi les Arabes pour porter l’étendard de l’islam et propager son message aux quatre coins du monde parce que ces gens étaient candides et que rien n’était gravé sur leur esprit et leur cœur, du moins rien qui fut gravé assez profondément pour qu’il fut impossible d’en faire table rase. Les Romains, les Iraniens et les Indiens, profondément fiers des heures de gloire de leurs arts et de leur littérature, de leur philosophie, de leur culture et de leur civilisation étaient accablés par le lourd poids de leur passé ; ils souffraient d’un réflexe conditionné de narcissisme qui s’était gravé de façon indélébile dans leur esprit.
À cause de leur inexpérience et de leur ignorance, ou plutôt à cause de leur vie nomade, les marques laissées dans la mémoire des Arabes n’étaient guère profondes et c’est pourquoi elles étaient susceptibles d’être facilement oblitérées et remplacées par de nouvelles impressions.
La naissance du Prophète Mohammed dans la ville de la Mecque était réellement une réponse aux prières d’Abraham et de son fils Ismaël, prières qu’ils avaient prononcées alors qu’ils jetaient les fondations de la Ka’ba. Ils avaient imploré Allah en ces mots :
“Notre Seigneur! Envoie l’un des leurs comme messager parmi eux, pour leur réciter Tes versets, leur enseigner le Livre et la Sagesse, et les purifier. Car c’est Toi, certes, le Puissant, le Sage!” (Coran, 2:129)
Et comme il est rapporté dans le livre biblique la Genese il est dit:"Quand l'eau de l'outre fut épuisée,elle(Agar) jeta l'enfant sous l'un des arbustes puis ella s'asseoir à l'écart à la distance d'une portée d'arc.Elle disait en efet:Que je n'assiste pas à la mort de l'enfant".Assise à l'écart elle éleva la voix et pleura.
Dieu entendit la voix du garçon et du ciel l'ange de dieu appela Agar.Ne craint rien,car dieu a entendu la voix du graçon là où il est.Lève-toi!Relève l'enfant et tiens-le par la main,car je lui ferai une grande nation".
Effectivement cette promesse fut tenu et c'est avec la venue de Mohammed que cette nation connu sa grandeur!.
A SUIVRE
À cause de leur inexpérience et de leur ignorance, ou plutôt à cause de leur vie nomade, les marques laissées dans la mémoire des Arabes n’étaient guère profondes et c’est pourquoi elles étaient susceptibles d’être facilement oblitérées et remplacées par de nouvelles impressions.
La naissance du Prophète Mohammed dans la ville de la Mecque était réellement une réponse aux prières d’Abraham et de son fils Ismaël, prières qu’ils avaient prononcées alors qu’ils jetaient les fondations de la Ka’ba. Ils avaient imploré Allah en ces mots :
“Notre Seigneur! Envoie l’un des leurs comme messager parmi eux, pour leur réciter Tes versets, leur enseigner le Livre et la Sagesse, et les purifier. Car c’est Toi, certes, le Puissant, le Sage!” (Coran, 2:129)
Et comme il est rapporté dans le livre biblique la Genese il est dit:"Quand l'eau de l'outre fut épuisée,elle(Agar) jeta l'enfant sous l'un des arbustes puis ella s'asseoir à l'écart à la distance d'une portée d'arc.Elle disait en efet:Que je n'assiste pas à la mort de l'enfant".Assise à l'écart elle éleva la voix et pleura.
Dieu entendit la voix du garçon et du ciel l'ange de dieu appela Agar.Ne craint rien,car dieu a entendu la voix du graçon là où il est.Lève-toi!Relève l'enfant et tiens-le par la main,car je lui ferai une grande nation".
Effectivement cette promesse fut tenu et c'est avec la venue de Mohammed que cette nation connu sa grandeur!.
A SUIVRE
- l'espoir
- [ Aucun rang ]
- [ Aucun rang ]
- Messages : 3813
- Enregistré le : 18 sept.06, 08:37
- Localisation : Algérie
Ecrit le 24 sept.06, 08:26
bsr tous le monde!
candice vraiment vous me faites rire
a ce point !
je ne savais pas que l'islam été si important! pour vous bien sur, pour nous il a tjrs été important.
di moi franchement!
pourquoi toi exactement tu t'y interesse autant?
y surement une réson
ou une histoire peut etre?
di pas que c'est de la curiosité parce que ça tien pas debou
candice vraiment vous me faites rire



a ce point !
je ne savais pas que l'islam été si important! pour vous bien sur, pour nous il a tjrs été important.
di moi franchement!
pourquoi toi exactement tu t'y interesse autant?
y surement une réson

ou une histoire peut etre?
di pas que c'est de la curiosité parce que ça tien pas debou

- Saladin1986
- [ Aucun rang ]
- [ Aucun rang ]
- Messages : 3729
- Enregistré le : 10 août05, 19:33
- Localisation : France->Bretagne
Ecrit le 24 sept.06, 08:53
Tu es vraiment mauvaise Candice.candice a écrit :donc vs etes les desendants du fils CENSURE ismael???
Est ce le christiannisme qui te rend ainsi?
Un batard est un enfant non reconnu par son père or Ismaël (psl) était reconnu par son père Abraham (psl).
Le batard ne sait pas qui est son père.
Modifié en dernier par Saladin1986 le 24 sept.06, 09:31, modifié 1 fois.
Ecrit le 24 sept.06, 09:16
Peut etre qu'elle veut se convertir à l'Islam mais ne sait pas comment s y prendre !!!!!l'espoir a écrit :bsr tous le monde!
candice vraiment vous me faites rire![]()
![]()
![]()
a ce point !
je ne savais pas que l'islam été si important! pour vous bien sur, pour nous il a tjrs été important.
di moi franchement!
pourquoi toi exactement tu t'y interesse autant?
y surement une réson![]()
ou une histoire peut etre?
di pas que c'est de la curiosité parce que ça tien pas debou
- maurice le laïc
- [ Aucun rang ]
- [ Aucun rang ]
- Messages : 4538
- Enregistré le : 04 déc.05, 00:06
- Simplement moi
- [ Aucun rang ]
- [ Aucun rang ]
- Messages : 17964
- Enregistré le : 21 avr.04, 01:21
- Localisation : Sur Terre ! parisienne...
Ecrit le 24 sept.06, 14:15
Cela se devine ...reda13 a écrit :
Peut etre qu'elle veut se convertir à l'Islam mais ne sait pas comment s y prendre !!!!!

Quant à toi... il aurait été plus correct de mettre le lien d'ou tu tires tes collé-copiés
http://www.icsfp.com/FR/Contents.aspx?AID=2426
- From Da Wu
- [ Aucun rang ]
- [ Aucun rang ]
- Messages : 1252
- Enregistré le : 17 févr.06, 08:51
- Localisation : France
Re: le pere de mahommet
Ecrit le 24 sept.06, 22:38Le mot Allah a toujours existé, ensuite les polythéistes ont mit d'autres divinité autour de lui. Donc la mission de mohamed c'était d'enlever toutes les idoles et de purifier la religioncandice a écrit :le pere de mahommet s appelait abdallah ce qui veut dire serviteur d allah!!! donc le mot allah existait bien avant la venue de l islam....et des historiens affirment que mahommet etait chretien nestorien...il etait monogame jusqu a la mort de sa 1ere riche femme...les nestoriens niaient la divinite du christ et ils etaient nombreux a 7 epoque en arabieje ferai des recherches plus approfondies sur ce sujet promis
- jusmon de M. & K.
- [ Aucun rang ]
- [ Aucun rang ]
- Messages : 12253
- Enregistré le : 26 janv.05, 01:11
- Localisation : Andromède
Re: le pere de mahommet
Ecrit le 24 sept.06, 22:41Mais en tant que faux prophète, il n'a rien à la place de valable.abdel12 a écrit : Le mot Allah a toujours existé, ensuite les polythéistes ont mit d'autres divinité autour de lui. Donc la mission de mohamed c'était d'enlever toutes les idoles et de purifier la religion

"Ils étaient frappés de sa doctrine ; car il enseignait comme ayant autorité, et non pas comme les scribes." (Marc 1:22).
Le christianisme enfin expliqué:
http://www.forum-religion.org/post641487.html#p641487
Le christianisme enfin expliqué:
http://www.forum-religion.org/post641487.html#p641487
-
- Sujets similaires
- Réponses
- Vues
- Dernier message
-
- 4 Réponses
- 233 Vues
-
Dernier message par Troubaadour
-
- 26 Réponses
- 1727 Vues
-
Dernier message par candice
Qui est en ligne
Utilisateurs parcourant ce forum : Google-F et 18 invités