L'islam est un perpétuel crime contre l'humanité. L'islam c'est le reflet exact de celui qui l'a fondé, un sociopathe sanguinaire décrit par les hadiths comme ceci :
Sa rancune tenace : « ... Mahomet dit à Oqba : je fait le vœu que je te saisis en dehors de la Mecque, je te ferai couper la tête ... le Prophète et ses compagnons, ayant remporté la victoire sur les incrédules de la Mecque firent beaucoup de prisonniers. Lorsqu’on amena au Prophète un à un ces prisonniers, et parmi eux Oqba qui lui avait craché au visage, ce pourquoi il avait fait le vœu de le tuer, avec une corde au cou, Mahomet dit à Ali : Allons, accomplis le vœu du prophète de Dieu ! Ali tira son épée et la brandit. Oqba dit : ô Mahomet, si tu me fais mourir, qui soutiendra mes enfants après ma mort ? Oqba avait beaucoup d’enfants et était pauvre. Le Prophète répliqua : ta place et la leur sont dans l’enfer ; s’ils ne deviennent croyants, je les ferai tous mourir, et ils iront avec toi dans l’ enfer. Et il le fit décapiter sur le champs. Ensuite on fit passer devant le Prophète Nadhr qui avait dit : ô Dieu, si cela est vrai, fait pleuvoir sur nous des pierres ! Sur l’ordre du Prophète, Acim fils de Thâbit fils d’Abou-Aqlah, tua Nadhr. »
Son sens du aigu du pardon : « quiconque d’entre vous rencontrera Abou-Djahl, qu’il ait soin de ne pas le laisser échapper. Si vous ne le rencontrez pas, cherchez le parmi les morts ; car Dieu m’a promis qu’il serait tué aujourd’hui. Si vous ne le reconnaissez pas à son visage qui pourrait être couvert de poussière, vous pourrez le distinguer à une cicatrice qu’il a au pied. Dans notre enfance, nous nous trouvâmes un jour dans la maison d’Abdallah, fils de Djoud’ân, l’un des nobles de la Mecque, en quittant la table après avoir mangé, Abou-Djahl me poussa et voulut me faire tomber ; mais il n’y réussit pas ensuite je le bousculai et son pied ayant frappé le seuil de la maison, il se blessa, et son genou a gardé la trace de cette blessure, vous le reconnaîtrez à ce signe ; tranchez lui la tête et amenez la moi. En terminant ses recommandations, il dit : « maintenant, au nom d’Allah, allez et exécutez ce que je vous ai dit ».
Sa manière de convaincre avec douceur : « ... Le Prophète fit venir les chefs des Beni Quaïnoqâ et leurs parla ainsi : Vous savez par votre Pentateuque que je suis le prophète d'Allah. Croyez en moi. Si vous n’embrassez pas l’Islamisme, je vous déclare la guerre. Comme ils refusèrent, le Prophète irrité les assiégea pendant quinze jours. Ensuite ils capitulèrent et se rendirent à discrétion. Le Prophète ordonna de tuer tous les hommes, de réduire en esclavage les femmes et les enfants, et de piller leurs biens. »
Son air de ne rien demander : « ... Un jour qu’il se trouvait au milieu de ses compagnons, et qu’on lui parlait de Ka’b fils d’Achraf, le Prophète se plaignit de lui et dit : Qui donnera sa vie à Allah et tuera cet homme ? L’un des Ançâr, nommé Mohammed fils de Maslama dit : Moi j’irai et je le tuerai ô apôtre d’Allah ! Le Prophète le remercia vivement. »
Son préférence systématique de la paix : « ... Le Prophète se revêtit de son armure ...et dit à ses hommes : Maintenant que j’ai revêtu mon armure, je ne veut pas reculer. Il n’est pas convenable, après avoir pris les armes de les déposer sans avoir combattu. »
Son dégoût des armes : « ... Le Prophète donna son sabre Dsoul-Feqâr à Ali... Le Prophète le vit combattre avec violence, frapper avec Dsoul-Feqâr en avant, en arrière, à droite et à gauche. Un Qoraïchite s’étant présenté devant lui se couvrant de son bouclier, Ali le frappa de façon que le sabre pénétra à travers le bouclier et le casque, fendit la tête de cet homme et traversa son corps jusqu’à la poitrine. Le Prophète en voyant cet exploit dit : Il n’est pas de sabre comme Dsoul-Feqâr et il n’est pas de héros comme Ali. »
Sa non-violence légendaire : « ... Quand le Prophète était à la Mecque,Obayy lui disait chaque jour : j’élève une chamelle ; j’espère que monté sur elle je te prendrai et te tuerai. Le Prophète lui avait répondu : C’est moi qui te tuerai s’il plait à Allah....Au combat d’O’hod, Obayy laissa l’ armée à sa droite et marchant au milieu des morts chercha le Prophète qu’il rencontra au moment où Sad se disposait à tirer ses flèches sur lui. Le Prophète dit à Sad : Ne le frappe pas, laisse-le approcher. Obayy s’approcha et visa le Prophète avec sa lance en disant : qui te sauvera de ma main ? Le Prophète répliqua : Allah me sauvera de ta main mais il ne te sauvera pas de la mienne. Ensuite il se leva et prit la lance de Harith fils de Cimma qui était près de lui. Le prophète frappa Obay au cou et le blessa mortellement. »
Sa clémence mythique : « ... Les Qoraïzha sortirent de leur fort et dirent au Prophète : Agis avec bonté envers nous, fais nous grâce. Le Prophète refusa fit lier les mains et saisir les biens des huit cents juifs qui ne se sauvèrent pas. On rentra à Médine au mois de dsou’l qua’da. Les juifs restèrent dans leurs liens pendant trois jours jusqu’à ce que tous leurs bien fussent transportés à Médine. Ensuite, le Prophète fut creuser une fosse sur la place du marché, s’assit au bord, fit appeler Ali, fils d’Abou Talib et Zobaïr, fils Al Awwâm et leur ordonna de prendre leur sabre et d’égorger successivement tous les Juifs et de les jeter dans la fosse. »
Sa recherche désespérée du dialogue : « ... le Prophète, avant que des Arabes commandés par Harith, fils de Dhibar ne se soient rassemblés, vint au devant d’eux, leur livra combat pendant trois jours et les mit en fuite après avoir tué beaucoup de monde. On leur prit une grande quantité de butin et on emmena leurs femmes et leurs enfants. »
Son détachement total des biens de ce monde, et sa compassion devant la souffrance d’autrui : « ... Or un homme vint dénnoncer Kinâna, fils de Hoqaïq, comme sachant où étaient déposés les trésors des Béni Nadhir. Le Prophète fit venir Kinâna qui refusa d’ avouer, résistant à toute persuasion. On le fit jurer sur l’âme de son père mais il ne jura pas. Alors un autre d’entre les prisonnier juif vint faire la déclaration suivante : a tel endroit, près de la porte du fort, il y a un lieu où j’ai vu rôder Kinâna chaque matin. Le Prophète ayant fait appeler Kinâna et interroger en vain lui dit : Si je fais fouiller en tel endroit et que je trouve les trésors, je te ferai mettre à mort. C’est bien répliqua Kinâna. On fit des fouilles et on découvrit une partie des trésors, Kinâna refusant de dire le reste, le Prophète fit venir Zobaïr, fils d’Al Awwam et lui dit : mets le à la question jusqu’à ce qu’il avoue et qu’il meure. Zobaïr lui lia les pieds et les mains et l’étendit par terre et lui mit sur le visage et sur la barbe de l’amidon enflammé qui lui brula la peau. Kinâna n’avouait pas, Zobaïr voyant que Kinâna était près de mourir, vint avertir le Prophète. Celui-ci dit de le livrer à Mohammed, fils de Maslama, pour qu’il le fit mourir... Mohammed, fils de Maslama saisit Kinâna et le tua. »
Sa miséricorde et sa bonté d’envoyé de Dieu. « ...Les quatre femmes dont le Prophète avait ordonné la mort étaient Hind épouse d’Abou Sofiane, Sara affranchie des Beni Abdou’l’ Motalib et deux esclaves d’Abdallah fils de Khatal qui avaient chanté des satires contre le Prophète et qui s’appelaient Qarîba et Fartanâ... Le lendemain, le Prophète demanda si l’on avait mis à mort les dix personnes qu’il avait ordonné de tuer. On amena devant lui Abdallah Ibn Abou Sahr qui sollicita son pardon. Sad fils d’Obâda et d’autres Ançar se tenaient auprès du Prophète le sabre à la main. Le prophète baissa la tête et garda le silence pendant quelques temps ; enfin il accorda ce qui lui était demandé. Après, il dit à Sad fils d’Obâda : Aucun de vous ne pouvait trancher la tête à cet hypocrite ? J’ai gardé le silence si longtemps pensant que quelqu’un le tuerait ».
Son saint refus de faire du mal : « ...Le Prophète mettant pieds à terre, tira son sabre Dsoul-Feqâr et se jeta dans la mélée lançant les vers suivants repris par son armée : Je suis le Prophète, sans imposture. Je suis le descendant d’Abdou’l’Moutalib ! Ce fut durant l’expédition de Honaïn »
Son écoeurement devant la cruauté : « ...Le Prophète fit prendre les nomades apostats. Il ordonna qu’on leur coupa les pieds et les mains, leur fit crever les yeux et les fit jeter sur le chemin, à un endroit nommé Harra, où exposés à la chaleur du jour, ils périrent lentement ».
Je vous le disais bien, c'est un taré génocide fait prophète par des pillards.
L'islam est une secte qui a plus de membres que les autres. Mais c'est une secte.
C'est une doctrine où on tourne autours d'un temple paien et ou l'on baise une pierre noire, vestige des croyances anciennes.
Quant à Allah, il n'est pas Dieu, mais un dieu tutélaire de la Mecque déjà adoré avant Mohamed le prophète pédophile comme le prouve le nom d'Abd Allah que portait le père de Momo.
J'ai en ce qui me concerne d'autres projets de société que les leurs :

Al