Quand les intellectuels arabes débattaient avec Mahomet
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Le dialogue interreligieux est une forme organisée de dialogue entre des religions ou spiritualités différentes. Ultérieurement, la religion a considéré l'autre comme n'étant pas la vérité révélée. C'est ainsi que les premiers contacts entre l'islam et le christianisme furent souvent difficiles, et donnèrent lieu à des guerres impitoyables comme les croisades.
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Quand les intellectuels arabes débattaient avec Mahomet
Ecrit le 16 oct.08, 02:41Quand les intellectuels arabes débattaient avec Mahomet
Par Mumin Salih
15 juin 2008
Il y mille quatre cents années, à La Mecque, eut lieu entre Mahomet et un groupe d’intellectuels arabes le plus important débat public de l’histoire de l’Islam. Les musulmans ayant lourdement censuré l’histoire de l’Arabie, nous ne connaîtrons probablement jamais tous les détails du déroulement de ce débat mais il reste entre les lignes de ces documents lourdement censurés suffisamment d’informations qui indiquent que la performance de Mahomet fut lamentable. Ce débat eut des conséquences désastreuses pour l’Islam et réduisit Mahomet au silence pendant des années. L’Islam semblait destiné à disparaître au berceau.
Cet article est le fruit de mes investigations en vue de trouver des indices à l’appui de l’allégation islamique que les premiers Arabes qui entendirent le Coran en furent éblouis. C’est une autre question qui, je l’espère, fera l’objet d’un autre article. Toutes les sources islamiques, y compris le Coran, indiquent que le Coran ne fut jamais admiré par les anciens Arabes, ou en tout cas par les intellectuels arabes, y compris de nos jours d’ailleurs. Cet article est une réplique à ces oulémas qui ont le culot de continuer à prétendre cela malgré toutes les preuves du contraire. Il est dédié à ces grands esprits arabes de La Mecque qui, sans verser une goutte de sang, démasquèrent Mahomet et ses mensonges et tentèrent de contrecarrer la progression de l’Islam.
Le contexte
La Mecque du septième siècle était une cité florissante et un centre commercial et culturel bien établi en Arabie. Il y prévalait un climat de tolérance religieuse qui permettait à toutes les tribus d’y pratiquer librement leurs religions. Loin d’être isolés dans leur péninsule, les Arabes pré-islamiques étaient en contact avec le monde extérieur. Ils se mélangeaient et commerçaient avec les nations voisines et connaissaient bien les cultures et les civilisations du nord et du sud. Les Arabes avaient déjà établi deux royaumes dans le Nord et avaient conclu des alliances stratégiques avec les Romains et les Perses. Ils avaient leur propre culture raffinée qui se reflétait dans une poésie délicate que les Arabes continuent à considérer sans pareille.
Mahomet profita de ce climat de tolérance religieuse et se mit à affirmer qu’il était un prophète. Les Mecquois ne rejetèrent pas ses affirmations à priori et lui donnèrent l’occasion de présenter ses arguments devant un groupe d’éminents intellectuels, c’était l’occasion d’apporter des clarifications ou de répondre aux questions. Ces intellectuels de La Mecque comprenaient Abul Hakam Ibn Hisham et Al Nadr Ibn AlHarith. C’étaient des gens cultivés qui connaissaient le monde et étaient renommés pour leur sagesse et leurs profondes connaissances des civilisations voisines. Ces intellectuels examinèrent avec un esprit ouvert mais critique ce que Mahomet prétendait qu’Allah lui avait révélé dans son Coran. Ces hommes devaient avoir remarqué que le Coran contenait de nombreuses erreurs graves et attendaient de Mahomet qu’il leur donne de bons arguments l’appui de ses allégations de révélations divines. Comme tout intellectuel le ferait quand il passe en revue un nouveau travail littéraire, ces intellectuels arabes exigèrent des réponses et des éclaircissements aux nombreuses questions que le Coran et les affirmations de Mahomet soulevaient. Ces critiques posèrent sur le coran les mêmes questions que, de nos jours encore, nous posons aux oulémas sans obtenir de réponses.
Il apparaît que Mahomet fut déconcerté quand ces grands esprits de La Mecque mirent le doigt sur les faiblesses du Coran. Ils le pressèrent de toute part, exigeants des réponses et des éclaircissements sur les incohérences qu’ils avaient remarqués dans le Coran, mais Mahomet resta à quia, ne sachant que répondre. Le débat laissa Mahomet psychologiquement traumatisé. Quand son calvaire intellectuel fut enfin terminé, Mahomet passa en revue les évènements de la journée et les pénibles moments qu’il avait endurés. Il repensa à certaines des questions embarrassantes auxquelles il n’avait pas su répondre et, pour préserver son amour-propre, il les enveloppa dans de nouveaux versets. Comme il le faisait souvent quand il était stressé, Mahomet a transcrit dans le Coran ses sentiments sur ce débat.
Voici quelques exemples de ces versets exprimant la frustration de Mahomet.
Dans ces versets-ci, c’est un Mahomet en plein désarroi qui se parle à lui-même via son dieu imaginaire ; on sent qu’il aurait probablement préféré ne jamais avoir commencé à parler du Coran au Mecquois :
7: 2. C'est un Livre qui t'a été descendu (le Coran) ; qu'il n'y ait, à son sujet, nulle gêne dans ton cœur ….
11: 12. Il se peut que tu négliges une partie de ce qui t'est révélé, et que ta poitrine s'en sente compressée ….
20: 2. Nous n'avons point fait descendre sur toi le Coran pour que tu sois malheureux.
Dans la sourate 21 (Anbyaa), Mahomet admet indirectement son échec et décrit clairement ce que les Arabes pensaient de lui et de son Coran :
21: 5. .. Mais il dirent : "Voilà plutôt un amas de rêves! Ou bien Il l'a inventé. Ou, c'est plutôt un poète. Qu'il nous apporte donc un Ayâh [signe preuve] identique à celui dont furent chargés les premiers envoyés".
Selon ce verset, les Arabes qualifièrent le Coran de rêves, d’hallucinations ou d’inventions et prièrent Mahomet de produire une preuve convaincante comme les précédents prophètes l’avaient fait. Cela démontre clairement que les Arabes ne considéraient pas que le Coran était une preuve convaincante en soi. Contrairement à ce que prétendent les musulmans contemporains, loin d’avoir été époustouflés par la récitation du Coran, les Arabes de La Mecque soulignèrent son style inférieur. Ils en conclurent immédiatement et à juste titre que Mahomet devait en être l’auteur. Les Arabes effectuaient des échanges avec les nations voisines et connaissaient les anciennes croyances religieuses. Le contenu du Coran n’avait rien de neuf pour eux et ils le décrivirent à juste titre comme de vieilles légendes :
16: 24. Et lorsqu'on leur dit : "Qu'est-ce que votre Seigneur a fait descendre? " Ils disent : "Des légendes anciennes ! "
Des révélations encore plus significatives apparaissent dans la sourate 10 (Younus) où le Coran décrit clairement comment les Arabes exprimèrent leur dédain à son égard. Les Arabes demandèrent clairement à Mahomet de cesser de proférer des absurdités et de tenir des discours plus sensés. Sinon, ils lui suggérèrent de revoir et de corriger son Coran pour le rendre acceptable. Evidemment, l’opinion de Mahomet était que le Coran était parfait et c’était sa seule réponse. Il s’imaginait que tout le monde partageait son opinion sur son Coran. La dernière chose qu’il s’attendait à entendre était bien que son Coran était rempli d’erreurs et avait besoin de corrections. Le verset qui va suivre décrit ce moment de tension tandis que Mahomet était planté, totalement sidéré, devant ces intellectuels. Il ne s’attendait vraiment pas aux remarques critiques de ces éminents érudits. Ainsi que sa réponse en atteste, il fut surpris, désarçonné et perdit contenance. On se serait attendu à ce que Mahomet défende bec et ongles son Coran et clarifie les parties incorrectes ou ambiguës. Pas du tout, il battît honteusement en retraite et rejeta la faute sur Allah ! En effet quand les Mecquois le pressèrent de s’expliquer, la réponse de Mahomet fut parfaitement déshonorante : je suis incapable de vous produire quelque chose de mieux et ce n’est pas ma faute, moi je ne fais que suivre les ordres !
10: 15. Et quand leur sont récités Nos versets en toute clarté, ceux qui n'espèrent pas notre rencontre disent : "Apporte un Coran autre que celui-ci" ou bien "Change-le". Dis : "Il ne m'appartient pas de le changer de mon propre chef ; Je ne fais que suivre ce qui m'est révélé.
Résultat de ce débat : les mensonges et la personnalité de Mahomet furent démasqués. Il s’était ridiculisé devant les intellectuels arabes par son incapacité à défendre son Coran ou à justifier ses prétentions, il avait été vaincu sur le plan intellectuel et humilié publiquement. Allah comprit bien l’état d’esprit de Mahomet, Il s’empressa de révéler :
21:36. … Quand les mécréants te voient, ils ne te prennent qu'en dérision..
25: 41. Et quand ils te voient, ils ne te prennent qu'en raillerie
Après ce débat, Mahomet demeura encore cinq ans à La Mecque mais ses activités restèrent pratiquement au point mort. Ayant mis à jour sa vraie personnalité, les Mecquois le considéraient comme un dément et se détournaient de lui. Mais ils respectaient complètement ses droits en tant qu’homme. Ils ne considérèrent pas qu’il posait pour la société une menace plus grave que celle des autres fous. Ils le laissaient tranquille dans son monde imaginaire et lui laissaient croire à la religion de son choix. La situation est bien décrite dans les versets suivants du Coran :
44: 14. Puis ils s'en détournèrent en disant : "C'est un homme instruit [par d'autres], un POSSÉDÉ (un FOU) "
37: 36. .. et disaient : "Allons-nous abandonner nos divinités pour UN POÈTE FOU ?"
52: 29. … tu n'es ni un devin ni un FOU.
Pour les Arabes préislamiques, les prophètes autoproclamés n’étaient plus une nouveauté. A l’époque c’était même une activité florissante en Arabie. Les gens étaient conscient que n’importe qui peut prétendre être quelque chose mais que leurs allégations périssent avec eux. Les Arabes de La Mecque se contentèrent de l’ignorer comme ils ignoraient les autres fous. Cette stratégie fonctionna parfaitement aussi longtemps qu’il resta à La Mecque. Le mouvement de Mahomet tournait à vide et l’Islam semblait condamné à disparaître. Mahomet lui-même envisageait le suicide comme nous le lisons dans le Coran:
18:6. Tu vas peut-être te consumer de chagrin parce qu'ils se détournent de toi et ne croient pas en ce discours!
26:3. Il se peut que tu te consumes de chagrin parce qu'ils ne sont pas (ne deviennent pas) croyants!
(Notez que le traducteur a ajouté le terme « de chagrin » à ces deux versets alors qu’il n’existe pas dans le Coran. Encore un exemple de traduction trompeuse du Coran où le traducteur s’empresse d’atténuer la signification lugubre d’un verset).
Cependant, le destin de Mahomet changea du tout au tout quand il rencontra des hommes des tribus Aws et Khazraj de Yathrib. Ces Arabes irresponsables et faibles invitèrent Mahomet et ses adeptes dans leur cité. Il ne fallut que quelques mois à Mahomet pour prendre le pouvoir dans une cité où il était censé n’être qu’un invité. Mahomet disposait désormais des ressources dont il avait besoin pour établir son état. Les Aws et les Khazraj ne jouèrent plus aucun rôle dans l’histoire de l’Islam ; leur nom disparut complètement en une génération après qu’ils aient offert leur pays à Mahomet sur un plateau d’argent.
L’histoire de ce débat résume tout l’Islam. Mahomet perdit la bataille des idées, comme les musulmans de nos jours encore, mais gagna la bataille des épées, et j’espère que cette fois les musulmans ne la gagneront pas. Mahomet n’oublia ni ne digéra jamais l’humiliation qu’il avait du endurer sur le plan intellectuel à La Mecque. L’histoire se termina mal, mais venant de lui ce n’est pas une surprise, Mahomet revint avec son armée et régla ses comptes avec son épée. Une fois devenu chef de guerre, sa première priorité fut d’assassiner les deux hommes qui l’avaient vaincu intellectuellement.
J’ai bien peur que, pour ce qui concerne l’Islam, la plume ne soit pas plus forte que l’épée.
Par Mumin Salih
15 juin 2008
Il y mille quatre cents années, à La Mecque, eut lieu entre Mahomet et un groupe d’intellectuels arabes le plus important débat public de l’histoire de l’Islam. Les musulmans ayant lourdement censuré l’histoire de l’Arabie, nous ne connaîtrons probablement jamais tous les détails du déroulement de ce débat mais il reste entre les lignes de ces documents lourdement censurés suffisamment d’informations qui indiquent que la performance de Mahomet fut lamentable. Ce débat eut des conséquences désastreuses pour l’Islam et réduisit Mahomet au silence pendant des années. L’Islam semblait destiné à disparaître au berceau.
Cet article est le fruit de mes investigations en vue de trouver des indices à l’appui de l’allégation islamique que les premiers Arabes qui entendirent le Coran en furent éblouis. C’est une autre question qui, je l’espère, fera l’objet d’un autre article. Toutes les sources islamiques, y compris le Coran, indiquent que le Coran ne fut jamais admiré par les anciens Arabes, ou en tout cas par les intellectuels arabes, y compris de nos jours d’ailleurs. Cet article est une réplique à ces oulémas qui ont le culot de continuer à prétendre cela malgré toutes les preuves du contraire. Il est dédié à ces grands esprits arabes de La Mecque qui, sans verser une goutte de sang, démasquèrent Mahomet et ses mensonges et tentèrent de contrecarrer la progression de l’Islam.
Le contexte
La Mecque du septième siècle était une cité florissante et un centre commercial et culturel bien établi en Arabie. Il y prévalait un climat de tolérance religieuse qui permettait à toutes les tribus d’y pratiquer librement leurs religions. Loin d’être isolés dans leur péninsule, les Arabes pré-islamiques étaient en contact avec le monde extérieur. Ils se mélangeaient et commerçaient avec les nations voisines et connaissaient bien les cultures et les civilisations du nord et du sud. Les Arabes avaient déjà établi deux royaumes dans le Nord et avaient conclu des alliances stratégiques avec les Romains et les Perses. Ils avaient leur propre culture raffinée qui se reflétait dans une poésie délicate que les Arabes continuent à considérer sans pareille.
Mahomet profita de ce climat de tolérance religieuse et se mit à affirmer qu’il était un prophète. Les Mecquois ne rejetèrent pas ses affirmations à priori et lui donnèrent l’occasion de présenter ses arguments devant un groupe d’éminents intellectuels, c’était l’occasion d’apporter des clarifications ou de répondre aux questions. Ces intellectuels de La Mecque comprenaient Abul Hakam Ibn Hisham et Al Nadr Ibn AlHarith. C’étaient des gens cultivés qui connaissaient le monde et étaient renommés pour leur sagesse et leurs profondes connaissances des civilisations voisines. Ces intellectuels examinèrent avec un esprit ouvert mais critique ce que Mahomet prétendait qu’Allah lui avait révélé dans son Coran. Ces hommes devaient avoir remarqué que le Coran contenait de nombreuses erreurs graves et attendaient de Mahomet qu’il leur donne de bons arguments l’appui de ses allégations de révélations divines. Comme tout intellectuel le ferait quand il passe en revue un nouveau travail littéraire, ces intellectuels arabes exigèrent des réponses et des éclaircissements aux nombreuses questions que le Coran et les affirmations de Mahomet soulevaient. Ces critiques posèrent sur le coran les mêmes questions que, de nos jours encore, nous posons aux oulémas sans obtenir de réponses.
Il apparaît que Mahomet fut déconcerté quand ces grands esprits de La Mecque mirent le doigt sur les faiblesses du Coran. Ils le pressèrent de toute part, exigeants des réponses et des éclaircissements sur les incohérences qu’ils avaient remarqués dans le Coran, mais Mahomet resta à quia, ne sachant que répondre. Le débat laissa Mahomet psychologiquement traumatisé. Quand son calvaire intellectuel fut enfin terminé, Mahomet passa en revue les évènements de la journée et les pénibles moments qu’il avait endurés. Il repensa à certaines des questions embarrassantes auxquelles il n’avait pas su répondre et, pour préserver son amour-propre, il les enveloppa dans de nouveaux versets. Comme il le faisait souvent quand il était stressé, Mahomet a transcrit dans le Coran ses sentiments sur ce débat.
Voici quelques exemples de ces versets exprimant la frustration de Mahomet.
Dans ces versets-ci, c’est un Mahomet en plein désarroi qui se parle à lui-même via son dieu imaginaire ; on sent qu’il aurait probablement préféré ne jamais avoir commencé à parler du Coran au Mecquois :
7: 2. C'est un Livre qui t'a été descendu (le Coran) ; qu'il n'y ait, à son sujet, nulle gêne dans ton cœur ….
11: 12. Il se peut que tu négliges une partie de ce qui t'est révélé, et que ta poitrine s'en sente compressée ….
20: 2. Nous n'avons point fait descendre sur toi le Coran pour que tu sois malheureux.
Dans la sourate 21 (Anbyaa), Mahomet admet indirectement son échec et décrit clairement ce que les Arabes pensaient de lui et de son Coran :
21: 5. .. Mais il dirent : "Voilà plutôt un amas de rêves! Ou bien Il l'a inventé. Ou, c'est plutôt un poète. Qu'il nous apporte donc un Ayâh [signe preuve] identique à celui dont furent chargés les premiers envoyés".
Selon ce verset, les Arabes qualifièrent le Coran de rêves, d’hallucinations ou d’inventions et prièrent Mahomet de produire une preuve convaincante comme les précédents prophètes l’avaient fait. Cela démontre clairement que les Arabes ne considéraient pas que le Coran était une preuve convaincante en soi. Contrairement à ce que prétendent les musulmans contemporains, loin d’avoir été époustouflés par la récitation du Coran, les Arabes de La Mecque soulignèrent son style inférieur. Ils en conclurent immédiatement et à juste titre que Mahomet devait en être l’auteur. Les Arabes effectuaient des échanges avec les nations voisines et connaissaient les anciennes croyances religieuses. Le contenu du Coran n’avait rien de neuf pour eux et ils le décrivirent à juste titre comme de vieilles légendes :
16: 24. Et lorsqu'on leur dit : "Qu'est-ce que votre Seigneur a fait descendre? " Ils disent : "Des légendes anciennes ! "
Des révélations encore plus significatives apparaissent dans la sourate 10 (Younus) où le Coran décrit clairement comment les Arabes exprimèrent leur dédain à son égard. Les Arabes demandèrent clairement à Mahomet de cesser de proférer des absurdités et de tenir des discours plus sensés. Sinon, ils lui suggérèrent de revoir et de corriger son Coran pour le rendre acceptable. Evidemment, l’opinion de Mahomet était que le Coran était parfait et c’était sa seule réponse. Il s’imaginait que tout le monde partageait son opinion sur son Coran. La dernière chose qu’il s’attendait à entendre était bien que son Coran était rempli d’erreurs et avait besoin de corrections. Le verset qui va suivre décrit ce moment de tension tandis que Mahomet était planté, totalement sidéré, devant ces intellectuels. Il ne s’attendait vraiment pas aux remarques critiques de ces éminents érudits. Ainsi que sa réponse en atteste, il fut surpris, désarçonné et perdit contenance. On se serait attendu à ce que Mahomet défende bec et ongles son Coran et clarifie les parties incorrectes ou ambiguës. Pas du tout, il battît honteusement en retraite et rejeta la faute sur Allah ! En effet quand les Mecquois le pressèrent de s’expliquer, la réponse de Mahomet fut parfaitement déshonorante : je suis incapable de vous produire quelque chose de mieux et ce n’est pas ma faute, moi je ne fais que suivre les ordres !
10: 15. Et quand leur sont récités Nos versets en toute clarté, ceux qui n'espèrent pas notre rencontre disent : "Apporte un Coran autre que celui-ci" ou bien "Change-le". Dis : "Il ne m'appartient pas de le changer de mon propre chef ; Je ne fais que suivre ce qui m'est révélé.
Résultat de ce débat : les mensonges et la personnalité de Mahomet furent démasqués. Il s’était ridiculisé devant les intellectuels arabes par son incapacité à défendre son Coran ou à justifier ses prétentions, il avait été vaincu sur le plan intellectuel et humilié publiquement. Allah comprit bien l’état d’esprit de Mahomet, Il s’empressa de révéler :
21:36. … Quand les mécréants te voient, ils ne te prennent qu'en dérision..
25: 41. Et quand ils te voient, ils ne te prennent qu'en raillerie
Après ce débat, Mahomet demeura encore cinq ans à La Mecque mais ses activités restèrent pratiquement au point mort. Ayant mis à jour sa vraie personnalité, les Mecquois le considéraient comme un dément et se détournaient de lui. Mais ils respectaient complètement ses droits en tant qu’homme. Ils ne considérèrent pas qu’il posait pour la société une menace plus grave que celle des autres fous. Ils le laissaient tranquille dans son monde imaginaire et lui laissaient croire à la religion de son choix. La situation est bien décrite dans les versets suivants du Coran :
44: 14. Puis ils s'en détournèrent en disant : "C'est un homme instruit [par d'autres], un POSSÉDÉ (un FOU) "
37: 36. .. et disaient : "Allons-nous abandonner nos divinités pour UN POÈTE FOU ?"
52: 29. … tu n'es ni un devin ni un FOU.
Pour les Arabes préislamiques, les prophètes autoproclamés n’étaient plus une nouveauté. A l’époque c’était même une activité florissante en Arabie. Les gens étaient conscient que n’importe qui peut prétendre être quelque chose mais que leurs allégations périssent avec eux. Les Arabes de La Mecque se contentèrent de l’ignorer comme ils ignoraient les autres fous. Cette stratégie fonctionna parfaitement aussi longtemps qu’il resta à La Mecque. Le mouvement de Mahomet tournait à vide et l’Islam semblait condamné à disparaître. Mahomet lui-même envisageait le suicide comme nous le lisons dans le Coran:
18:6. Tu vas peut-être te consumer de chagrin parce qu'ils se détournent de toi et ne croient pas en ce discours!
26:3. Il se peut que tu te consumes de chagrin parce qu'ils ne sont pas (ne deviennent pas) croyants!
(Notez que le traducteur a ajouté le terme « de chagrin » à ces deux versets alors qu’il n’existe pas dans le Coran. Encore un exemple de traduction trompeuse du Coran où le traducteur s’empresse d’atténuer la signification lugubre d’un verset).
Cependant, le destin de Mahomet changea du tout au tout quand il rencontra des hommes des tribus Aws et Khazraj de Yathrib. Ces Arabes irresponsables et faibles invitèrent Mahomet et ses adeptes dans leur cité. Il ne fallut que quelques mois à Mahomet pour prendre le pouvoir dans une cité où il était censé n’être qu’un invité. Mahomet disposait désormais des ressources dont il avait besoin pour établir son état. Les Aws et les Khazraj ne jouèrent plus aucun rôle dans l’histoire de l’Islam ; leur nom disparut complètement en une génération après qu’ils aient offert leur pays à Mahomet sur un plateau d’argent.
L’histoire de ce débat résume tout l’Islam. Mahomet perdit la bataille des idées, comme les musulmans de nos jours encore, mais gagna la bataille des épées, et j’espère que cette fois les musulmans ne la gagneront pas. Mahomet n’oublia ni ne digéra jamais l’humiliation qu’il avait du endurer sur le plan intellectuel à La Mecque. L’histoire se termina mal, mais venant de lui ce n’est pas une surprise, Mahomet revint avec son armée et régla ses comptes avec son épée. Une fois devenu chef de guerre, sa première priorité fut d’assassiner les deux hommes qui l’avaient vaincu intellectuellement.
J’ai bien peur que, pour ce qui concerne l’Islam, la plume ne soit pas plus forte que l’épée.
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que
Ecrit le 16 oct.08, 02:43caius Bonjour
tout cela que de temps perdus. en pour en venir au même point.
a+
G
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Re: que
Ecrit le 16 oct.08, 03:07Heureusement que l'on marche pas a l"encre et l'huile de coude, avec ce qui est écrit il seras riche.sambion a écrit : Oui gaspillage
a+
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Ecrit le 16 oct.08, 03:08
salam marlikoum
oui caius ca c est ta theorie , c est ton histoire , c est ton propre point vue , c est tu est sur que mohamed sws n ete rien pourquoi tu en parle
si en fon de toi il ne represente rien , si quel qun que tu connait ou que tu voit a la tele et qui represente rien pour toi tu en parle pas car sa serait tu temps perdu alors que si tu en parle c est qu il ya quelque chose en toi qui fait que tu en parle meme c est en male ou en bien car l homme est hypocryte il veut toujour avoir raisson. reflechi.
oui caius ca c est ta theorie , c est ton histoire , c est ton propre point vue , c est tu est sur que mohamed sws n ete rien pourquoi tu en parle
si en fon de toi il ne represente rien , si quel qun que tu connait ou que tu voit a la tele et qui represente rien pour toi tu en parle pas car sa serait tu temps perdu alors que si tu en parle c est qu il ya quelque chose en toi qui fait que tu en parle meme c est en male ou en bien car l homme est hypocryte il veut toujour avoir raisson. reflechi.
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heur
Ecrit le 16 oct.08, 03:20Heureusement que le texte n'est pas écrit pareil que la réponse car dans 1 mois on y est encore.
a+
G
a+
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Ecrit le 16 oct.08, 04:07
salam marlikoun
Si on aime pas mohamed sws ont en parle pas et sauf si ont resent quelque chose pour lui d accord ou pas et de laisse les musulman tranquile (les fous de dieu) comme vous les appeler et surout qu on modifi pas l histoire car vous dite que c est la version des arabe pas la notre mais nous ont peut faire la meme chose mais ont le fait pas.
Si on aime pas mohamed sws ont en parle pas et sauf si ont resent quelque chose pour lui d accord ou pas et de laisse les musulman tranquile (les fous de dieu) comme vous les appeler et surout qu on modifi pas l histoire car vous dite que c est la version des arabe pas la notre mais nous ont peut faire la meme chose mais ont le fait pas.
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Ecrit le 16 oct.08, 04:12
Si cela m'est adresser, je ne m'occupe pas du Cran et du reste d'ailleurs, tant que je n'est pas de référence a faire.moussboss a écrit :salam marlikoun
Si on aime pas mohamed sws ont en parle pas et sauf si ont resent quelque chose pour lui d accord ou pas et de laisse les musulman tranquile (les fous de dieu) comme vous les appeler et surout qu on modifi pas l histoire car vous dite que c est la version des arabe pas la notre mais nous ont peut faire la meme chose mais ont le fait pas.
Et si cela ne m'est pas adresser que l'on fasse savoir a qui on cause
Merci
a+
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Ecrit le 16 oct.08, 04:21
salem arlikoum
je parle pas a toi Gilbert76600 tu a insulter les musulman non mohamed sws non, le coran non ta modifier l histoire pour apuiyer des argument non donc ne te sens pas vise je parler les gens en general a tous le monde car parler a une personne seulement sa sert a rien car sa peut durre des jour, des mois , des annee ect mais a tous le monde comme le fait si bien le coran.
je parle pas a toi Gilbert76600 tu a insulter les musulman non mohamed sws non, le coran non ta modifier l histoire pour apuiyer des argument non donc ne te sens pas vise je parler les gens en general a tous le monde car parler a une personne seulement sa sert a rien car sa peut durre des jour, des mois , des annee ect mais a tous le monde comme le fait si bien le coran.
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Ecrit le 16 oct.08, 04:26
Sachez cher ami que je n'insulte pas les musulmans sans raisons je les respects qui est - ce qui vous gêne dans mes commentaires?moussboss a écrit :salem arlikoum
je parle pas a toi Gilbert76600 tu a insulter les musulman non mohamed sws non, le coran non ta modifier l histoire pour apuiyer des argument non donc ne te sens pas vise je parler les gens en general a tous le monde car parler a une personne seulement sa sert a rien car sa peut durre des jour, des mois , des annee ect mais a tous le monde comme le fait si bien le coran.
a+
G
Ecrit le 16 oct.08, 05:19
lol encore des mensonges et des versets pris hors contexte, si mohammed n'était pas messager la lune ne se serait jamais fendue en deux, un temple hindoux avait été constrit le jour où la lune fut coupé, ils ont vu ce miracle jusqu'en inde c'est pour dire... si mohammad n'était pas messager de Dieu, Dieu n'aurait jamais puni abraha et ses fantassins quand ils sont vens d'éthiopie pour détruire la kaaba et miracle dieu envoyé des oiseaux par volée qui les rendirent comme des vermines.
et jen passe
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Ecrit le 16 oct.08, 05:28
iliasin Bonsoiriliasin a écrit :lol encore des mensonges et des versets pris hors contexte, si mohammed n'était pas messager la lune ne se serait jamais fendue en deux, un temple hindoux avait été constrit le jour où la lune fut coupé, ils ont vu ce miracle jusqu'en inde c'est pour dire... si mohammad n'était pas messager de Dieu, Dieu n'aurait jamais puni abraha et ses fantassins quand ils sont vens d'éthiopie pour détruire la kaaba et miracle dieu envoyé des oiseaux par volée qui les rendirent comme des vermines.
et jen passe
c'est adresser a qui ce message?
a+
G
Ecrit le 16 oct.08, 08:29
salam marlikoum
non justement vous avez rien , mais si vous voulait parler des musulman , de mohamed sws , du coran modifier pas l histoire pour apuiyer vous argument ou theorie de croit seulement ce que les media et occidentale particulierment americain car vous suvuit tous les ameriacain comme des zombie car si vous voulait voir a quoi resssemble le vraie islam et vrai musulaman vous avez cas aller a la mecque et a medine et la vous pourer donner votre point vue car c est comme une langue si tu veut la parler courament avec la accent il faut allez sur place la ou au parle la langue courament.
non justement vous avez rien , mais si vous voulait parler des musulman , de mohamed sws , du coran modifier pas l histoire pour apuiyer vous argument ou theorie de croit seulement ce que les media et occidentale particulierment americain car vous suvuit tous les ameriacain comme des zombie car si vous voulait voir a quoi resssemble le vraie islam et vrai musulaman vous avez cas aller a la mecque et a medine et la vous pourer donner votre point vue car c est comme une langue si tu veut la parler courament avec la accent il faut allez sur place la ou au parle la langue courament.
- Gilbert76600
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Ecrit le 16 oct.08, 08:46
Bonsoir moussbossmoussboss a écrit :salam marlikoum
non justement vous avez rien , mais si vous voulait parler des musulman , de mohamed sws , du coran modifier pas l histoire pour apuiyer vous argument ou theorie de croit seulement ce que les media et occidentale particulierment americain car vous suvuit tous les ameriacain comme des zombie car si vous voulait voir a quoi resssemble le vraie islam et vrai musulaman vous avez cas aller a la mecque et a medine et la vous pourer donner votre point vue car c est comme une langue si tu veut la parler courament avec la accent il faut allez sur place la ou au parle la langue courament.
Que voulez - vous que j'aille faire la - bas, ce n'est pas ma place, premièrement je suis handicapé jambe droite sectionner causse accident de travail en (2000 deux ans et demie d'hôpital cela me suffit) j 'ai une prothèse donc je ne peux allez la bas.
Si je veux faire mon culte a côté de chez moi j'ai une église cela m suffit a moi - même et pas la peine de parler votre langue la mienne me suffit.
Merci quand même pour l'invitation.
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